27-09-2021, 08:57 AM
Nous discutons de tout, de notre belle balade, de nos activités, de nos familles. Le papa d’Adrien nous demande de l’appeler par son prénom, Roger, pour la maman c’est Anne. Nous parlons aussi de notre location avec la piscine, le sauna et le grand jardin. Je vois que les yeux des deux garçons s’éclairent quand je parle de la piscine intérieure. Nous regardons l’heure, il commence à se faire tard, d’ailleurs la luminosité diminue. Il va être temps de rentrer et faire quelques achats pour le repas du soir. J’en fais part à Julien ainsi qu’à nos deux amis. Les parents d’Adrien disent qu’eux aussi vont devoir songer à faire leurs courses pour se sustenter. C’est Adrien qui se tourne vers son papa et qui lui demande :
Adr : « Papa, tu penses qu’on peut manger ensemble avec Phil, Julien, Mathieu et Lucas ?
Rog : Nous n’allons pas les embêter.
Moi : Mais c’est une bonne idée, la maison est grande et nous pourrons nous installer à huit autour de la table, il y a assez de chaises. Cela nous ferait plaisir !
Adr : Papa, maman, dites oui !
Ann : Je suis partante. Qu’en penses-tu Roger ?
Rog : Oui, pourquoi pas.
Moi : Pour nous c’est OK.
Adr : On pourra aller nager ?
Moi : Bien entendu.
Adr et Yang : Oui, super.
Ann : Nous pourrions envisager de faire les achats ensemble pour le repas.
Jul : Très bonne idée, mais c’est moitié moitié pour les frais.
Rog : On verra, mais je pense que c’est une bonne idée.
Moi : OK, super. Je pense qu’il est temps de songer à quitter cette taverne, bien qu’on se sente si bien auprès de ce bon feu de bois.
Luc : Oui, il fait très bon ici, mais on pourra allumer le feu à la location.
Jul : C’est une très bonne idée Lucas.
Rog : On peut aller faire les achats dans le magasin de Malmedy.
Moi : Très bonne idée. »
Nous quittons donc la Baraque Michel. Nous suivons la voiture de Roger. Nous discutons entre nous et c’est Lucas qui nous dit qu’il trouve que nous sommes très ouverts et nous savons accueillir les autres. C’est vrai ce que Lucas vient de dire : c’est notre éducation qui fait ça. Ce que j’ai vécu avec Julien depuis l’accident, les soucis de Manu et Nathan, c’est tout ça m’a encore plus ouvert aux autres. Comme Julien à l’habitude de dire, je suis « un bon saint-bernard ».
Les achats sont faits pour le souper, ce seront des boulettes à la liégeoise avec des frites. Roger insiste alors pour offrir le vin. Anne prévoit un gâteau en guise de dessert. Tout semble en ordre pour passer une belle fin de journée. Nous regagnons alors la villa.
Nous faisons la visite de notre location pour la famille d’Anne et de Roger. Une fois que nous sommes dans l’espace piscine – sauna, c’est des « waouh » qu’on entend de la part de nos quatre invités. Comme les boulettes sont déjà préparées et qu’il ne reste plus qu’à les réchauffer et cuire les frites, nous avons encore du temps devant nous. Je m’attendais bien entendu à ce que Adrien demande s’il peut se baigner.
Adr : « Dis Phil, on peut aller dans la piscine ?
Moi : Oui, bien sûr.
Yan : J’ai aussi envie, mais on n’a pas de maillot !
Moi : Désolé, nous n’en avons pas, nous y allons à poil.
Adrien regarde tout à tour sa maman, son papa et Yang. Il a un regard interrogateur. Je précise alors :
Moi : Nous avons l’habitude de nager nus dans ma famille, c’est la même chose pour Julien. Nos deux amis, eux aussi s’y sont habitués. Je dois dire que nous sommes naturistes dans notre famille.
Rog : Je n’ai pas l’habitude de nager « in naturalibus », mais pourquoi pas. Pour moi c’est OK les garçons.
Jul : Vous verrez c’est très sympa et vous aurez une sensation de liberté en plus !
Adr : Super. On y va !
Yan : Bien sûr. Merci Phil.
Moi : Pas de quoi.
Ann : Je vais m’occuper du repas.
Moi : Merci, c’est comme vous voulez.
Ann : Pas de soucis pour moi.
Rog : Je reste avec vous les garçons, si ça ne vous dérange pas.
Moi : Non Roger, vous pouvez rester avec nous.
Rog : Merci. C’est super. »
Nous nous déshabillons tous les sept et c’est en toute simplicité que nous nous retrouvons nus pour profiter de la piscine. C’est une super moment de détente pour nous tous. Je vois qu’Adrien et Yang n’ont pas de complexe, ils se sentent bien. Nous passons un bon moment ensemble. C’est Anne qui nous rejoint et qui dit que le repas sera prêt dans un quart d’heure. Roger lui demande si elle ne veut pas faire un tour dans l’eau avec nous. Je vois qu’elle réfléchit. Puis elle ôte ses vêtements et vient nous rejoindre. Je remarque qu’Adrien ne s’attendait pas à voir sa maman accepter de se dévêtir devant nous.
Rog : « C’est vrai que c’est assez agréable de nager nu. Je ne m’attendais pas à ça.
Moi : Depuis que je suis tout petit je nage comme ça, j’ai convaincu Julien et mes amis et tous apprécient cette façon d’appréhender la nudité. Ensuite quand on se retrouve dans le plus simple appareil, on ressent les rayons du soleil, le vent qui caresse notre peau et bien entendu l’eau qui glisse sans résistance sur le corps.
Ann : Je pense que ça doit être une belle expérience.
Moi : Effectivement, c’est le cas. Il y a des belles plages naturistes pour pratiquer la nudité sans soucis. Personne ne vous regarde de travers, peu importe votre corpulence, votre couleur de peau, … etc.
Rog : J’ai envie d’y goûter.
Adr : C’est une bonne idée papa. On pourrait partir en vacances au bord de la mer. J’ai tellement envie de découvrir le naturisme.
Rog : Nous allons y réfléchir. »
Nous sortons de l’eau en vue d’aller manger, nous commençons à avoir faim. La balade dans les Fagnes et cette partie de jeu dans la piscine nous ont ouvert l’appétit.
Anne a bien fait les choses, la table est dressée, les boulettes sont bien chaudes et les frites sont dorées à souhait. Roger sert le vin pour ceux qui en prennent. J’ai aussi apporté de l’eau et de la limonade. Je me sens bien, cette rencontre avec la famille d’Adrien est providentielle. C’est incroyable comme nous nous sommes si bien entendus. Je suis certain que cette famille est très ouverte elle aussi, tout s’est fait dans la confiance et la simplicité. Nous sommes tous de belles personnes. J’espère que nous pourrons garder le contact après notre séjour.
Adr : « Papa, tu penses qu’on peut manger ensemble avec Phil, Julien, Mathieu et Lucas ?
Rog : Nous n’allons pas les embêter.
Moi : Mais c’est une bonne idée, la maison est grande et nous pourrons nous installer à huit autour de la table, il y a assez de chaises. Cela nous ferait plaisir !
Adr : Papa, maman, dites oui !
Ann : Je suis partante. Qu’en penses-tu Roger ?
Rog : Oui, pourquoi pas.
Moi : Pour nous c’est OK.
Adr : On pourra aller nager ?
Moi : Bien entendu.
Adr et Yang : Oui, super.
Ann : Nous pourrions envisager de faire les achats ensemble pour le repas.
Jul : Très bonne idée, mais c’est moitié moitié pour les frais.
Rog : On verra, mais je pense que c’est une bonne idée.
Moi : OK, super. Je pense qu’il est temps de songer à quitter cette taverne, bien qu’on se sente si bien auprès de ce bon feu de bois.
Luc : Oui, il fait très bon ici, mais on pourra allumer le feu à la location.
Jul : C’est une très bonne idée Lucas.
Rog : On peut aller faire les achats dans le magasin de Malmedy.
Moi : Très bonne idée. »
Nous quittons donc la Baraque Michel. Nous suivons la voiture de Roger. Nous discutons entre nous et c’est Lucas qui nous dit qu’il trouve que nous sommes très ouverts et nous savons accueillir les autres. C’est vrai ce que Lucas vient de dire : c’est notre éducation qui fait ça. Ce que j’ai vécu avec Julien depuis l’accident, les soucis de Manu et Nathan, c’est tout ça m’a encore plus ouvert aux autres. Comme Julien à l’habitude de dire, je suis « un bon saint-bernard ».
Les achats sont faits pour le souper, ce seront des boulettes à la liégeoise avec des frites. Roger insiste alors pour offrir le vin. Anne prévoit un gâteau en guise de dessert. Tout semble en ordre pour passer une belle fin de journée. Nous regagnons alors la villa.
Nous faisons la visite de notre location pour la famille d’Anne et de Roger. Une fois que nous sommes dans l’espace piscine – sauna, c’est des « waouh » qu’on entend de la part de nos quatre invités. Comme les boulettes sont déjà préparées et qu’il ne reste plus qu’à les réchauffer et cuire les frites, nous avons encore du temps devant nous. Je m’attendais bien entendu à ce que Adrien demande s’il peut se baigner.
Adr : « Dis Phil, on peut aller dans la piscine ?
Moi : Oui, bien sûr.
Yan : J’ai aussi envie, mais on n’a pas de maillot !
Moi : Désolé, nous n’en avons pas, nous y allons à poil.
Adrien regarde tout à tour sa maman, son papa et Yang. Il a un regard interrogateur. Je précise alors :
Moi : Nous avons l’habitude de nager nus dans ma famille, c’est la même chose pour Julien. Nos deux amis, eux aussi s’y sont habitués. Je dois dire que nous sommes naturistes dans notre famille.
Rog : Je n’ai pas l’habitude de nager « in naturalibus », mais pourquoi pas. Pour moi c’est OK les garçons.
Jul : Vous verrez c’est très sympa et vous aurez une sensation de liberté en plus !
Adr : Super. On y va !
Yan : Bien sûr. Merci Phil.
Moi : Pas de quoi.
Ann : Je vais m’occuper du repas.
Moi : Merci, c’est comme vous voulez.
Ann : Pas de soucis pour moi.
Rog : Je reste avec vous les garçons, si ça ne vous dérange pas.
Moi : Non Roger, vous pouvez rester avec nous.
Rog : Merci. C’est super. »
Nous nous déshabillons tous les sept et c’est en toute simplicité que nous nous retrouvons nus pour profiter de la piscine. C’est une super moment de détente pour nous tous. Je vois qu’Adrien et Yang n’ont pas de complexe, ils se sentent bien. Nous passons un bon moment ensemble. C’est Anne qui nous rejoint et qui dit que le repas sera prêt dans un quart d’heure. Roger lui demande si elle ne veut pas faire un tour dans l’eau avec nous. Je vois qu’elle réfléchit. Puis elle ôte ses vêtements et vient nous rejoindre. Je remarque qu’Adrien ne s’attendait pas à voir sa maman accepter de se dévêtir devant nous.
Rog : « C’est vrai que c’est assez agréable de nager nu. Je ne m’attendais pas à ça.
Moi : Depuis que je suis tout petit je nage comme ça, j’ai convaincu Julien et mes amis et tous apprécient cette façon d’appréhender la nudité. Ensuite quand on se retrouve dans le plus simple appareil, on ressent les rayons du soleil, le vent qui caresse notre peau et bien entendu l’eau qui glisse sans résistance sur le corps.
Ann : Je pense que ça doit être une belle expérience.
Moi : Effectivement, c’est le cas. Il y a des belles plages naturistes pour pratiquer la nudité sans soucis. Personne ne vous regarde de travers, peu importe votre corpulence, votre couleur de peau, … etc.
Rog : J’ai envie d’y goûter.
Adr : C’est une bonne idée papa. On pourrait partir en vacances au bord de la mer. J’ai tellement envie de découvrir le naturisme.
Rog : Nous allons y réfléchir. »
Nous sortons de l’eau en vue d’aller manger, nous commençons à avoir faim. La balade dans les Fagnes et cette partie de jeu dans la piscine nous ont ouvert l’appétit.
Anne a bien fait les choses, la table est dressée, les boulettes sont bien chaudes et les frites sont dorées à souhait. Roger sert le vin pour ceux qui en prennent. J’ai aussi apporté de l’eau et de la limonade. Je me sens bien, cette rencontre avec la famille d’Adrien est providentielle. C’est incroyable comme nous nous sommes si bien entendus. Je suis certain que cette famille est très ouverte elle aussi, tout s’est fait dans la confiance et la simplicité. Nous sommes tous de belles personnes. J’espère que nous pourrons garder le contact après notre séjour.