21-09-2021, 11:14 AM
Tout se passe pour le mieux. C’est Ben qui vient me trouver en me demandant si je ne suis pas un peu nostalgique. Je lui demande à quoi il pense et pourquoi il me dit ça. Puis Ben me répond qu’il a envie, peut-être comme moi, de chanter comme lors d’une veillée scoute. Je trouve son idée super intéressante. J’ai toujours un chansonnier dans mes affaires quand je pars avec des amis et bien entendu je l’ai pris avec moi. Je quitte le groupe un moment pour prendre possession de mon calepin.
Une fois de retour, je l’ouvre et je vois que Ben a aussi son chansonnier. Avec Ben nous choisissons un chant et un autre, pour suivre. C’est donc, à capella, que nous chantons : « vent frais, vent du matin, … » Claude et Camille ainsi que Julien connaissent le chant, ils chantent avec nous. Ensuite nous avons chanté « My Bonnie Lies over the Ocean ». Même les filles s’y sont mises, à notre plus grand plaisir. Pierre-Alain et Marc ont les yeux grands ouverts, ils ne connaissent pas les chants, mais ils semblent si heureux de nous entendre chanter. Valentin, qui a été scout, nous demande de chanter « Red River Valley ». Puis bien entendu, c’est « Je reviens » de Hugues Aufray. Les parents de Ben ont eux aussi des étoiles dans les yeux. Ben se lance alors pour nous délivrer « L’homme de Cro-Magnon », j’enchaîne donc avec « Debout les gars ». Quelle ambiance, tous les invités et les hôtes ont le sourire aux lèvres et des éclats brillants dans leur regard.
Certains boivent encore du vin et d’autres sont aux limonades. C’est véritablement, comme si nous étions à une veillée chez les scouts. On voit bien que Claude et Camille ainsi que Valentin ont été scouts, ou le sont encore pour les jumeaux. Cette soirée n’est qu’un grand bonheur partagé. Il fait nuit, il est vingt-trois heures passées. Je propose alors de bientôt mettre fin à cette soirée. Je propose un chant qui me tiens fort à cœur, « Les retrouvailles » (Il faut que je m’en aille) de Graeme Allwright. Ben me regarde et a très bien compris, c’est le « chant » de notre dernier camp avec les pionniers valaisans. C’est donc en chœur que nous commençons Ben et moi ce chant, Claude et Camille le connaissent ainsi que les filles, même Valentin aussi s’en souvient. Quel bonheur !
Valentin nous regarde Ben et moi. Il s’approche de nous pour nous remercier de cette soirée magique (selon lui) ! Il est bouleversé par cette ambiance particulière pleine d’amitié, d’amour et de bonté. Il nous demande de chanter un dernier chant, un cantique. Ancien scout il connait et il souhaite que cette soirée magique se clôture avec le « Cantique des patrouilles ». Ben et moi sommes si heureux de cette proposition que nous proposons à nos amis comme chant, somme toute très emblématique, le « Cantique des Patrouilles ». Je sens toute la tension autour de nous, il ne manque qu’un feu de joie. Les « scouts » présents dans notre cercle d’amis le lèvent, les autres suivent, ils comprennent que ce moment est très important pour certains. Nous entonnons alors ce très beau cantique. Ceux qui le connaissent le chantent avec une profondeur intérieure particulière. Nous chantons le premier couplet et ensuite le refrain. Puis lorsque nous chantons :
***Nous venons toutes les patrouilles,
Te prier pour Te servir mieux,
Vois au bois silencieux,
Tes scouts qui s’agenouillent !
(Nous nous agenouillons comme nous le faisons à chaque fois, à la fin de la veillée ou à la fin de la réunion.)
Bénis-les, ô Jésus dans les Cieux ! ***
Une fois le chant terminé, il règne comme un silence et une comme une douceur incroyable. C’est comme si nous étions enveloppés dans de la brume, dans les nuages. C’est un moment magique, un moment de communion comme il est rare d’en rencontrer. Les filles ont les larmes aux yeux, certains garçons aussi, Ben et moi nous avons les joues humides !
Nous parlons à voix basse, il est inutile de se faire remarquer par les voisins, il est trop tard après cette veillée improvisée. Yves remarque que Pierre-Alain et Marc ainsi que les jumeaux ont leur compte, ils semblent assez imbibés de ce très bon vin et qu’il vaut mieux qu’ils restent loger. Valentin est d’accord avec Yves et il agrée à cette proposition. Arlette avait prévu le coup, elle a dégagé, début de soirée la remise et y a installé des matelas pneumatiques avec des couvertures.
Nos amies et nos amis nous quittent après cette superbe soirée pour rentrer chez eux. Tous sont enchantés du déroulement de la « rencontre ». Ils embrassent Arlette et Yves en les remerciant pour cet accueil si fraternel. C’est Valentin qui part le dernier, non sans avoir fait l’éloge de cette soirée. Arlette sait que cela vient du cœur et que le compliment est véritable et fait tout simplement et naturellement.
Par la suite, une fois les invités partis, Ben demande à Arlette, sa maman, où il doit aller dormir, elle lui répond :
Arl : « Tu sais Benoît, tu fais comme tu veux, soit c’est ta chambre ou alors c’est le dortoir improvisé !
Ben : Oui, je vois. Je vais demander à Phil. Oh Phil, viens près de moi.
Moi : Je t’écoute Ben.
Ben : Tu veux dormir dans notre chambre ou avec les autres dans la remise.
Moi : C’est toi qui décide, je suis d’accord pour les deux propositions !
Ben : Remise ?
Moi : Oui, remise !
Arl : Très bien les garçons, mais alors, soyez « sages » !
Ben : Mais oui maman ! »
Nous rejoignons nos quatre amis et nous les invitons à nous suivre dans la remise. Ils sont effectivement un peu éméchés. Nous avons Ben et moi fait attention de ne pas trop boire, pour ne pas être trop imbibés. Nous allons nous occuper de nos amis. Ils sont si sympathiques. Puis comme scouts, ils savent bien que c’est de bon cœur que nous leurs avons donné ce coup de main pour qu’ils passent une bonne nuit.
Nous trouvons chacun une place pour nous poser pour cette nuit. Bien entendu je suis à côté de Ben, Pierre-Alain et Marc sont eux aussi l’un à côté de l’autre et enfin les jumeaux ont trouvé leurs places. Il n’a pas fallu trois minutes avant que nos quatre invités ne tombent dans un sommeil réparateur après cette journée et cette soirée on ne peut plus conviviale et quelque peu arrosée ! Je regarde Ben et il me répond par un large sourire. Nous nous rapprochons en efforçant d’éviter le bruit pour ne pas réveiller les autres.
Nos lèvres se retrouvent et bien entendu en contact en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire ! Nos langues entrent en danse dans nos bouches assoiffées de sensations attendues. Nos attributs ne restent pas non plus sans réaction, le volume de notre colonne de chair augmente de plus en plus. Mon gland commence à montrer le bout de son nez en élargissant le prépuce de manière ininterrompue. Déjà du pré-cum pointe au niveau du méat. Je suis certain que c’est la même chose pour mon Ben d’amour. Nos mains sont parties à l’exploration du corps de l’être aimé. Elles valsent sur les pectoraux puis au niveau des flancs en passant par les fesses bien rebondies. A un moment nous nous trouvons, bien qu’étant allongés sur le grand matelas, face à face, pénis dressé contre pénis dressé. Cette sensation nous envoie comme un arc électrique, nous laissant monter dans un nuage de bonheur de volupté incroyable ; est-ce alors dû à la proximité de nos amis ou à ce contact. Nos mains entourent alors nos deux membres dressés pour faire sur ceux-ci des mouvements de va et vient lascifs et ensuite de plus en plus appuyés pour enfin nous faire monter « dans les tours ». Nous allions ensemble, à l’unisson, vers le moment de non-retour et, dans un râle commun, nous avons joui en même temps maculant nos doigts et nos ventres de nos semences réunies. Nos lèvres se sont rejointes ensuite pour un nouveau baiser profond, laissant nos langues se mêler l’une à l’autre comme deux danseuses d’un ballet magique.
Nous nous sommes séparés ; à regret, mais si las de nous être ainsi fait jouir en même temps. Et dans les minutes qui suivent nous nous endormons en rejoignant le pays des rêves et des lutins gays !
Ce n’est que vers neuf heures trente que j’ouvre un œil. Mon Ben d’amour dort encore. Je jette un coup d’œil vers les quatre ados qui logent avec nous, ils sont encore dans les bras de Morphée. J’ai la gaule du matin. Je me rapproche de Ben et je sens bien que lui aussi est bien gaulé. Je lui caresse les cheveux. Je suis étonné de voir qu’ils sont si blonds, presque blancs. C’est surement l’action du soleil qui fait blanchir sa tignasse. Il me tarde de voir ses yeux bleus en vue de me prendre dans son regard océanique.
Je caresse maintenant ses joues et ses boucles de cheveux. Je suis tellement concentré sur son visage que je ne m’attends pas à ce que sa main vienne caresser ma barbe de jouvenceau. Il ouvre alors les yeux pour mon plus grand plaisir. Nous nous embrassons ensuite, heureux de ce nouveau jour qui se profile. Nos deux amis Pierre-Alain et Marc se sont réveillés, nous voyant nous embrasser, ils s’y mettent aussi. Leurs mains voyagent sur leurs corps encore alanguis par cette nuit. Ils sont eux aussi nus dans la couverture qui ne couvre plus que leurs pieds.
Je regarde plus loin et je vois les jumeaux les yeux tournés vers nous quatre. Ils sont nus et chacun une main posée sur leur pénis turgescent, se masturbent. Il n’en faut pas plus pour que P-A. et Marc se placent « tête bêche » s'octroyer une bonne petite fellation réciproque. Il n’en faut pas plus non plus, pour que nous aussi, Ben et moi nous les imitions ! Nous nous procurons tous les six du plaisir. Puis je remarque que Claude et Camille se masturbent mutuellement ! Oh là les jumeaux. Je poursuis mes activités auprès de la barre de chair de Ben, avec ma bouche et mes lèvres, mais lui n’a pas vu ce qui se passe près de nous. Nous avons atteint le moment culminant et nous savons que nous allons enfin jouir, nous allons arriver au sommet de notre jouissance. Nous nous sommes alors cambrés Ben et moi, pour laisser nos jets de semences se répandre dans la bouche de chacun.
Voyant ce que nous venions de faire, P-A. et Marc se sont forcés à recevoir le nectar de l’un et de l’autre, presque en même temps. Ils savourent le sperme de leur amant. Les jumeaux n’ont pas encore atteint la jouissance. Tous les deux râlent doucement, on sent bien que le moment de leur extase est proche, ils sont en communion l’un avec l’autre et puis dans un râle commun et puissant, ils éjaculent en même temps sur leurs doigts et leurs ventres. Puis ils se laissent aller, s’enlaçant avec leurs bras et en s’embrassant doucement, lèvres contre lèvres laissant semble-t-il leurs langues danser entre elles.
Personne ne parle, aucune remarque envers les autres. C’est un respect mutuel qui se dégage de ce qui vient de se passer. Personne, oui personne ne parlera de ce qui vient de se vivre entre les « trois couples » ce matin, en Bretagne.
D’un coup nous nous sommes mis à rire, à rire de ce qui s’est passé, rire d’avoir osé se donner face aux autres, d’avoir vécu quelque chose de particulier. Ben propose alors de prendre une bonne douche pour nous rafraîchir et nous laver après ce moment féérique. Il signale qu’il y a un tuyau d’arrosage près de l’annexe où nous nous trouvons. Nous sommes tous partants pour prendre cette douche tant convoitée. Nous sortons tous le six, nus et nous allons sur le côté gauche de l’annexe pour profiter de ce point d’eau. C’est Ben qui asperge le groupe. L’eau, assez froide, ne nous incite pas à rester longtemps face au jet du tuyau d’arrosage. Je remplace Ben et nous faisons ainsi de suite à six, l’un après l’autre !
Les cris ont bien entendu attiré Arlette et Yves, de même que Christine et Denis. Ils se sont mis à rire en nous voyant ainsi profiter de cette eau fraîche pour nous laver. Christine et Denis se sont joints à nous après avoir ôté leur pyjama. Inutile de dire que les rires se sont partagés.
Une fois de retour, je l’ouvre et je vois que Ben a aussi son chansonnier. Avec Ben nous choisissons un chant et un autre, pour suivre. C’est donc, à capella, que nous chantons : « vent frais, vent du matin, … » Claude et Camille ainsi que Julien connaissent le chant, ils chantent avec nous. Ensuite nous avons chanté « My Bonnie Lies over the Ocean ». Même les filles s’y sont mises, à notre plus grand plaisir. Pierre-Alain et Marc ont les yeux grands ouverts, ils ne connaissent pas les chants, mais ils semblent si heureux de nous entendre chanter. Valentin, qui a été scout, nous demande de chanter « Red River Valley ». Puis bien entendu, c’est « Je reviens » de Hugues Aufray. Les parents de Ben ont eux aussi des étoiles dans les yeux. Ben se lance alors pour nous délivrer « L’homme de Cro-Magnon », j’enchaîne donc avec « Debout les gars ». Quelle ambiance, tous les invités et les hôtes ont le sourire aux lèvres et des éclats brillants dans leur regard.
Certains boivent encore du vin et d’autres sont aux limonades. C’est véritablement, comme si nous étions à une veillée chez les scouts. On voit bien que Claude et Camille ainsi que Valentin ont été scouts, ou le sont encore pour les jumeaux. Cette soirée n’est qu’un grand bonheur partagé. Il fait nuit, il est vingt-trois heures passées. Je propose alors de bientôt mettre fin à cette soirée. Je propose un chant qui me tiens fort à cœur, « Les retrouvailles » (Il faut que je m’en aille) de Graeme Allwright. Ben me regarde et a très bien compris, c’est le « chant » de notre dernier camp avec les pionniers valaisans. C’est donc en chœur que nous commençons Ben et moi ce chant, Claude et Camille le connaissent ainsi que les filles, même Valentin aussi s’en souvient. Quel bonheur !
Valentin nous regarde Ben et moi. Il s’approche de nous pour nous remercier de cette soirée magique (selon lui) ! Il est bouleversé par cette ambiance particulière pleine d’amitié, d’amour et de bonté. Il nous demande de chanter un dernier chant, un cantique. Ancien scout il connait et il souhaite que cette soirée magique se clôture avec le « Cantique des patrouilles ». Ben et moi sommes si heureux de cette proposition que nous proposons à nos amis comme chant, somme toute très emblématique, le « Cantique des Patrouilles ». Je sens toute la tension autour de nous, il ne manque qu’un feu de joie. Les « scouts » présents dans notre cercle d’amis le lèvent, les autres suivent, ils comprennent que ce moment est très important pour certains. Nous entonnons alors ce très beau cantique. Ceux qui le connaissent le chantent avec une profondeur intérieure particulière. Nous chantons le premier couplet et ensuite le refrain. Puis lorsque nous chantons :
***Nous venons toutes les patrouilles,
Te prier pour Te servir mieux,
Vois au bois silencieux,
Tes scouts qui s’agenouillent !
(Nous nous agenouillons comme nous le faisons à chaque fois, à la fin de la veillée ou à la fin de la réunion.)
Bénis-les, ô Jésus dans les Cieux ! ***
Une fois le chant terminé, il règne comme un silence et une comme une douceur incroyable. C’est comme si nous étions enveloppés dans de la brume, dans les nuages. C’est un moment magique, un moment de communion comme il est rare d’en rencontrer. Les filles ont les larmes aux yeux, certains garçons aussi, Ben et moi nous avons les joues humides !
Nous parlons à voix basse, il est inutile de se faire remarquer par les voisins, il est trop tard après cette veillée improvisée. Yves remarque que Pierre-Alain et Marc ainsi que les jumeaux ont leur compte, ils semblent assez imbibés de ce très bon vin et qu’il vaut mieux qu’ils restent loger. Valentin est d’accord avec Yves et il agrée à cette proposition. Arlette avait prévu le coup, elle a dégagé, début de soirée la remise et y a installé des matelas pneumatiques avec des couvertures.
Nos amies et nos amis nous quittent après cette superbe soirée pour rentrer chez eux. Tous sont enchantés du déroulement de la « rencontre ». Ils embrassent Arlette et Yves en les remerciant pour cet accueil si fraternel. C’est Valentin qui part le dernier, non sans avoir fait l’éloge de cette soirée. Arlette sait que cela vient du cœur et que le compliment est véritable et fait tout simplement et naturellement.
Par la suite, une fois les invités partis, Ben demande à Arlette, sa maman, où il doit aller dormir, elle lui répond :
Arl : « Tu sais Benoît, tu fais comme tu veux, soit c’est ta chambre ou alors c’est le dortoir improvisé !
Ben : Oui, je vois. Je vais demander à Phil. Oh Phil, viens près de moi.
Moi : Je t’écoute Ben.
Ben : Tu veux dormir dans notre chambre ou avec les autres dans la remise.
Moi : C’est toi qui décide, je suis d’accord pour les deux propositions !
Ben : Remise ?
Moi : Oui, remise !
Arl : Très bien les garçons, mais alors, soyez « sages » !
Ben : Mais oui maman ! »
Nous rejoignons nos quatre amis et nous les invitons à nous suivre dans la remise. Ils sont effectivement un peu éméchés. Nous avons Ben et moi fait attention de ne pas trop boire, pour ne pas être trop imbibés. Nous allons nous occuper de nos amis. Ils sont si sympathiques. Puis comme scouts, ils savent bien que c’est de bon cœur que nous leurs avons donné ce coup de main pour qu’ils passent une bonne nuit.
Nous trouvons chacun une place pour nous poser pour cette nuit. Bien entendu je suis à côté de Ben, Pierre-Alain et Marc sont eux aussi l’un à côté de l’autre et enfin les jumeaux ont trouvé leurs places. Il n’a pas fallu trois minutes avant que nos quatre invités ne tombent dans un sommeil réparateur après cette journée et cette soirée on ne peut plus conviviale et quelque peu arrosée ! Je regarde Ben et il me répond par un large sourire. Nous nous rapprochons en efforçant d’éviter le bruit pour ne pas réveiller les autres.
Nos lèvres se retrouvent et bien entendu en contact en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire ! Nos langues entrent en danse dans nos bouches assoiffées de sensations attendues. Nos attributs ne restent pas non plus sans réaction, le volume de notre colonne de chair augmente de plus en plus. Mon gland commence à montrer le bout de son nez en élargissant le prépuce de manière ininterrompue. Déjà du pré-cum pointe au niveau du méat. Je suis certain que c’est la même chose pour mon Ben d’amour. Nos mains sont parties à l’exploration du corps de l’être aimé. Elles valsent sur les pectoraux puis au niveau des flancs en passant par les fesses bien rebondies. A un moment nous nous trouvons, bien qu’étant allongés sur le grand matelas, face à face, pénis dressé contre pénis dressé. Cette sensation nous envoie comme un arc électrique, nous laissant monter dans un nuage de bonheur de volupté incroyable ; est-ce alors dû à la proximité de nos amis ou à ce contact. Nos mains entourent alors nos deux membres dressés pour faire sur ceux-ci des mouvements de va et vient lascifs et ensuite de plus en plus appuyés pour enfin nous faire monter « dans les tours ». Nous allions ensemble, à l’unisson, vers le moment de non-retour et, dans un râle commun, nous avons joui en même temps maculant nos doigts et nos ventres de nos semences réunies. Nos lèvres se sont rejointes ensuite pour un nouveau baiser profond, laissant nos langues se mêler l’une à l’autre comme deux danseuses d’un ballet magique.
Nous nous sommes séparés ; à regret, mais si las de nous être ainsi fait jouir en même temps. Et dans les minutes qui suivent nous nous endormons en rejoignant le pays des rêves et des lutins gays !
Ce n’est que vers neuf heures trente que j’ouvre un œil. Mon Ben d’amour dort encore. Je jette un coup d’œil vers les quatre ados qui logent avec nous, ils sont encore dans les bras de Morphée. J’ai la gaule du matin. Je me rapproche de Ben et je sens bien que lui aussi est bien gaulé. Je lui caresse les cheveux. Je suis étonné de voir qu’ils sont si blonds, presque blancs. C’est surement l’action du soleil qui fait blanchir sa tignasse. Il me tarde de voir ses yeux bleus en vue de me prendre dans son regard océanique.
Je caresse maintenant ses joues et ses boucles de cheveux. Je suis tellement concentré sur son visage que je ne m’attends pas à ce que sa main vienne caresser ma barbe de jouvenceau. Il ouvre alors les yeux pour mon plus grand plaisir. Nous nous embrassons ensuite, heureux de ce nouveau jour qui se profile. Nos deux amis Pierre-Alain et Marc se sont réveillés, nous voyant nous embrasser, ils s’y mettent aussi. Leurs mains voyagent sur leurs corps encore alanguis par cette nuit. Ils sont eux aussi nus dans la couverture qui ne couvre plus que leurs pieds.
Je regarde plus loin et je vois les jumeaux les yeux tournés vers nous quatre. Ils sont nus et chacun une main posée sur leur pénis turgescent, se masturbent. Il n’en faut pas plus pour que P-A. et Marc se placent « tête bêche » s'octroyer une bonne petite fellation réciproque. Il n’en faut pas plus non plus, pour que nous aussi, Ben et moi nous les imitions ! Nous nous procurons tous les six du plaisir. Puis je remarque que Claude et Camille se masturbent mutuellement ! Oh là les jumeaux. Je poursuis mes activités auprès de la barre de chair de Ben, avec ma bouche et mes lèvres, mais lui n’a pas vu ce qui se passe près de nous. Nous avons atteint le moment culminant et nous savons que nous allons enfin jouir, nous allons arriver au sommet de notre jouissance. Nous nous sommes alors cambrés Ben et moi, pour laisser nos jets de semences se répandre dans la bouche de chacun.
Voyant ce que nous venions de faire, P-A. et Marc se sont forcés à recevoir le nectar de l’un et de l’autre, presque en même temps. Ils savourent le sperme de leur amant. Les jumeaux n’ont pas encore atteint la jouissance. Tous les deux râlent doucement, on sent bien que le moment de leur extase est proche, ils sont en communion l’un avec l’autre et puis dans un râle commun et puissant, ils éjaculent en même temps sur leurs doigts et leurs ventres. Puis ils se laissent aller, s’enlaçant avec leurs bras et en s’embrassant doucement, lèvres contre lèvres laissant semble-t-il leurs langues danser entre elles.
Personne ne parle, aucune remarque envers les autres. C’est un respect mutuel qui se dégage de ce qui vient de se passer. Personne, oui personne ne parlera de ce qui vient de se vivre entre les « trois couples » ce matin, en Bretagne.
D’un coup nous nous sommes mis à rire, à rire de ce qui s’est passé, rire d’avoir osé se donner face aux autres, d’avoir vécu quelque chose de particulier. Ben propose alors de prendre une bonne douche pour nous rafraîchir et nous laver après ce moment féérique. Il signale qu’il y a un tuyau d’arrosage près de l’annexe où nous nous trouvons. Nous sommes tous partants pour prendre cette douche tant convoitée. Nous sortons tous le six, nus et nous allons sur le côté gauche de l’annexe pour profiter de ce point d’eau. C’est Ben qui asperge le groupe. L’eau, assez froide, ne nous incite pas à rester longtemps face au jet du tuyau d’arrosage. Je remplace Ben et nous faisons ainsi de suite à six, l’un après l’autre !
Les cris ont bien entendu attiré Arlette et Yves, de même que Christine et Denis. Ils se sont mis à rire en nous voyant ainsi profiter de cette eau fraîche pour nous laver. Christine et Denis se sont joints à nous après avoir ôté leur pyjama. Inutile de dire que les rires se sont partagés.