16-09-2021, 10:56 AM
Sylvio se lève, prend ma main et m'entraîne dans un long corridor en marbre avec des statues à gauche et à droite, certaines franchement érotiques. Un étroit escalier en colimaçon débouche sur un autre corridor beaucoup plus simple, sans statues. Il ouvre une porte, je suis dans sa chambre. Il y a un lit. Nous nous regardons en restant debout. La chaleur est suffocante, je suis torse nu, il ne porte qu'un slip bleu et sa soutane est par terre. Nous continuons à nous regarder, la chaleur est toujours suffocante, je porte un slip blanc avec une tache humide sur le devant et mon pantalon a rejoint la soutane. Le slip bleu a également une tache humide qui n'y était pas il y a peu de temps.
Tu ne peux pas rentrer avec cet orage me susurre-t-il et avec la nuit tu pourrais faire de mauvaises rencontres. Nous convenons donc que, contraint par les circonstances, je vais dormir dans sa chambre où il n'y a qu'un seul lit, assez étroit de surcroit ! Nous sommes toujours debout, en slips montrant clairement une excitation dont nous ne sommes pas véritablement conscients. Un violent coup de tonnerre nous fait sursauter et nous ramène à la réalité. Nous enlevons le couvre-lit, ramassons nos habits épars sur le sol, Sylvio met sa soutane sur un cintre. Nous sommes toujours en slip, bleu pour lui et blanc pour moi, les chapiteaux sont toujours plus visibles. Un éclair illumine la petite chambre et trois secondes plus tard c'est un roulement assourdissant : la foudre n'est pas tombée loin. Nous avons frissonné. Pour nous rassurer Sylvio s'étend sur son lit et je le suis. Nos corps ne peuvent que se toucher, même en se mettant sur le côté pour prendre moins de place. Nos sexes s'accommodent pour être ensemble tout en étant confortables. Nos lèvres font brièvement connaissance. Un ange passe, attendri. Nous dormons.
En pleine nuit, je me réveille, mon corps dégouline de transpiration qui me colle contre un corps qui n'est pas le mien. Il se réveille et m'entraîne pour prendre une douche froide dans les locaux communs quelques mètres plus loin. Nous sommes nus, trois hommes se rafraichissent déjà avec plaisir, deux sont également nus le troisième porte un boxer mouillé qui plaque ses attributs masculins. Nous regardons d'un air ensommeillé, sourions puis regagnons chacun nos chambres, Sylvio et moi notre lit toujours aussi étroit. Mon compagnon s'est mis sur le dos, jambes légèrement écartées. Faute de place, je cale une de mes jambes entre les siennes, elles n'ont pas l'air contrarié, au contraire. Nous nous sommes rendormis.
Je rêve, un rêve divinement érotique car je sens mon sperme qui remonte lentement mais sûrement. Mon sexe s'agite à cette remontée mais également en raison d'un tremblement de terre voisin. Le volcan tout proche rejette par ses deux cratères un torrent de lave incandescente. Je nage dans une mer d'eau tiède, porteuse comme la Mer Morte. Sylvio fait le même rêve, nous émergeons ensemble de notre rêve lorsque le courant de lave cesse. Les dernières émissions de lave, non de sperme car maintenant nous sommes réveillés portent notre jouissance au maximum, nos deux bas-ventres ont reçu une quantité impressionnante de nos profondeurs, nous en avons partout, sur nos queues, nos testicules et même dans nos raies et sur l'entrée de nos intimités : une vraie inondation ! Gluants, poisseux, nous nous rendormons.
Au réveil, nous nous sentons sales de nos éjections nocturnes, la petite pièce pue la transpiration et surtout l'odeur de sperme, forte et insistante. Nous sommes un peu gênés et nous ne disons pas grand-chose. Sylvio se trouve près de la fenêtre, nu et sa bite est encroûtée de traces de sperme plus ou moins séchées. Curieux effet de perspective: du lit où je suis encore vautré, le gland de sa queue toujours tendue effleure le sommet de la coupole de Saint-Pierre. Un téléphone interne sonne et j'entends mon compagnon d'une nuit dire qu'il arrive dans cinq minutes. S.E.… me demande, attends-moi pour sortir me dit-il. Il part rapidement, pour un peu il aurait oublié de s'habiller. Quelques minutes plus tard, il revient tout souriant :
- Mon patron te fait bien saluer et il espère que nous avons passé une bonne nuit malgré l'orage. Comme à son habitude, il a été très direct en me demandant ce que nous avions fait ensemble. Je lui ai expliqué qu'à part dormir ensemble dans un lit trop étroit et avoir fait le même rêve dont il m'a demandé les détails, nous n'avions rien fait. Il a paru déçu et espère te revoir bientôt
- Elle est large d'idées ton Eminence mais elle me semble être un peu coquine, non ?
- Un peu ? Tu verras que la prochaine fois il nous mettra son grand lit à disposition avec en contrepartie la permission qu'il se donnera tout seul d'assister à nos ébats et, selon le cas, de mettre la main à la pâte !
Sylvio me fait sortir discrètement par une petite porte et me promet que nous nous reverrions, bientôt si tel était le souhait du prélat.
Je suis rentré chez moi épuisé par cette nuit orageuse, excité et déconcerté par tout ce que je pensais avoir compris mais en même temps ébranlé que tout cela puisse se passer dans le cadre du Vatican. J'avais besoin d'une sérieuse douche pour effacer toutes les traces de notre nuit et, bêtement, j'allais aux douches communes. Je commence à mettre du gel-douche lorsque quelqu'un entre, nu comme cela arrivait souvent pour les chambres à proximité. Je ne me retourne pas mais je reconnais la voix de Stefano
- Eh bien mon cochon, tu en tiens une sérieuse couche !
- Moi / De quoi tu parles ?
- Stef / Mais de toutes les croûtes que tu as sur tout le corps et en particulier sur tes parties génitales. Vous étiez combien à vous distraire ? [et il éclate de rire]
- Moi, rouge de honte et ne pouvant clairement pas nier la réalité / Ne dis pas de bêtises, on n'était que lui et moi !
- Stef / Eh bien, vous deviez être à jeun tous les deux [et il me regarde avec une certaine concupiscence tout en s'approchant de moi avec sa queue à l'horizontale]
Ce gamin ne manque pas de culot. J'ai envie de l'envoyer se faire voir mais je dois admettre qu'il a, et je le sais très bien, un physique très plaisant et attirant de sorte qu'à mon tour mon sexe, entretemps savonné, se redresse lentement mais sûrement. Il faut dire à ma décharge que, finalement, la nuit avait été frustrante sur le plan sexuel ou malgré une proximité physique extrême il ne s'était rien passé de conscient. Je ne l'avais pas touché et lui non plus. Avant nos éjaculations oniriques du petit matin, nous ne nous étions pas branlés de la nuit : nos bouches, quoique proches, étaient restées vierges. Ma frustration est donc sinon justifiée du moins compréhensible. Malgré ma fatigue, je le laisse s'approcher. Il pose ses lèvres qui sentent bon le dentifrice sur ma bouche, une de ses mains se plaque sur mes fesses alors que l'autre se saisit de mon pénis. Il commençe alors un doux va-et-vient facilité par le gel sur mon corps. Sans réfléchir, je me saisis de son propre sexe, pas très grand mais d'une élégance extrême et à mon tour je mets une main non sur ses fesses mais sur sa raie et plus particulièrement sur l'ouverture de son petit trou. Là encore le gel fait miracle, mon majeur entre, presque à mon insu, dans sa cavité comme dans du beurre et trouve immédiatement sa prostate, déclenchant une onde électrique qui nous transperce tous les deux. En quelques secondes, je suis dur comme jamais encore et Stefano se tortille de plaisir et, je le saurai après, d'une sensations jusque-là jamais éprouvée. Trop rapidement, nous perdons simultanément le contrôle, le point de non-retour est atteint et dépassé lorsque nous nous répandons l'un sur l'autre, lui abondamment et moi-même plus modestement. Il m'embrasse de manière beaucoup plus appuyée et me remercie pour ce qui est sa première vraie expérience. J'avais oublié Sylvio, mon petit Stefano a un gros avantage : lui il est dans la chambre à côté de chez moi.
Pour quelqu'un qui se voulait être discret et surtout éviter le milieu proche de l'Église, c'est réussi : En moins de vingt-quatre heures, j'ai mis dans ma poche ou plutôt dans mon slip un jeune curé qui ne devait pas être sans expériences, un adolescent apprenti curé dont je doutais fortement de la solidité de la vocation et enfin une éminence qui n'était plus de première jeunesse et dont l'abstinence me paraissait douteuse. D'un seul coup, tous mes points de repère s'effondrent, je me sens comme un navire sans pilote. Si le père-abbé de l'internat n'était pas décédé, j'aurais probablement pris le premier train pour aller prendre conseil. Je ressens le besoin impérieux de me confier à quelqu'un en qui je puisse avoir entière confiance et je pense à l'homme avec qui Ludovico travaillait et qui, après le départ précipité de celui-ci, nous avait donné sa bénédiction. Je l'avais vu une ou deux fois à mon arrivée à Rome et il m'avait reçu avec beaucoup de bienveillance. Je me rends donc à son domicile situé un peu hors de la Cité du Vatican dans un bâtiment nettement plus modeste que celui de Sylvio et son patron.
Je demande à parler à S.E. V.
Tu ne peux pas rentrer avec cet orage me susurre-t-il et avec la nuit tu pourrais faire de mauvaises rencontres. Nous convenons donc que, contraint par les circonstances, je vais dormir dans sa chambre où il n'y a qu'un seul lit, assez étroit de surcroit ! Nous sommes toujours debout, en slips montrant clairement une excitation dont nous ne sommes pas véritablement conscients. Un violent coup de tonnerre nous fait sursauter et nous ramène à la réalité. Nous enlevons le couvre-lit, ramassons nos habits épars sur le sol, Sylvio met sa soutane sur un cintre. Nous sommes toujours en slip, bleu pour lui et blanc pour moi, les chapiteaux sont toujours plus visibles. Un éclair illumine la petite chambre et trois secondes plus tard c'est un roulement assourdissant : la foudre n'est pas tombée loin. Nous avons frissonné. Pour nous rassurer Sylvio s'étend sur son lit et je le suis. Nos corps ne peuvent que se toucher, même en se mettant sur le côté pour prendre moins de place. Nos sexes s'accommodent pour être ensemble tout en étant confortables. Nos lèvres font brièvement connaissance. Un ange passe, attendri. Nous dormons.
En pleine nuit, je me réveille, mon corps dégouline de transpiration qui me colle contre un corps qui n'est pas le mien. Il se réveille et m'entraîne pour prendre une douche froide dans les locaux communs quelques mètres plus loin. Nous sommes nus, trois hommes se rafraichissent déjà avec plaisir, deux sont également nus le troisième porte un boxer mouillé qui plaque ses attributs masculins. Nous regardons d'un air ensommeillé, sourions puis regagnons chacun nos chambres, Sylvio et moi notre lit toujours aussi étroit. Mon compagnon s'est mis sur le dos, jambes légèrement écartées. Faute de place, je cale une de mes jambes entre les siennes, elles n'ont pas l'air contrarié, au contraire. Nous nous sommes rendormis.
Je rêve, un rêve divinement érotique car je sens mon sperme qui remonte lentement mais sûrement. Mon sexe s'agite à cette remontée mais également en raison d'un tremblement de terre voisin. Le volcan tout proche rejette par ses deux cratères un torrent de lave incandescente. Je nage dans une mer d'eau tiède, porteuse comme la Mer Morte. Sylvio fait le même rêve, nous émergeons ensemble de notre rêve lorsque le courant de lave cesse. Les dernières émissions de lave, non de sperme car maintenant nous sommes réveillés portent notre jouissance au maximum, nos deux bas-ventres ont reçu une quantité impressionnante de nos profondeurs, nous en avons partout, sur nos queues, nos testicules et même dans nos raies et sur l'entrée de nos intimités : une vraie inondation ! Gluants, poisseux, nous nous rendormons.
Au réveil, nous nous sentons sales de nos éjections nocturnes, la petite pièce pue la transpiration et surtout l'odeur de sperme, forte et insistante. Nous sommes un peu gênés et nous ne disons pas grand-chose. Sylvio se trouve près de la fenêtre, nu et sa bite est encroûtée de traces de sperme plus ou moins séchées. Curieux effet de perspective: du lit où je suis encore vautré, le gland de sa queue toujours tendue effleure le sommet de la coupole de Saint-Pierre. Un téléphone interne sonne et j'entends mon compagnon d'une nuit dire qu'il arrive dans cinq minutes. S.E.… me demande, attends-moi pour sortir me dit-il. Il part rapidement, pour un peu il aurait oublié de s'habiller. Quelques minutes plus tard, il revient tout souriant :
- Mon patron te fait bien saluer et il espère que nous avons passé une bonne nuit malgré l'orage. Comme à son habitude, il a été très direct en me demandant ce que nous avions fait ensemble. Je lui ai expliqué qu'à part dormir ensemble dans un lit trop étroit et avoir fait le même rêve dont il m'a demandé les détails, nous n'avions rien fait. Il a paru déçu et espère te revoir bientôt
- Elle est large d'idées ton Eminence mais elle me semble être un peu coquine, non ?
- Un peu ? Tu verras que la prochaine fois il nous mettra son grand lit à disposition avec en contrepartie la permission qu'il se donnera tout seul d'assister à nos ébats et, selon le cas, de mettre la main à la pâte !
Sylvio me fait sortir discrètement par une petite porte et me promet que nous nous reverrions, bientôt si tel était le souhait du prélat.
Je suis rentré chez moi épuisé par cette nuit orageuse, excité et déconcerté par tout ce que je pensais avoir compris mais en même temps ébranlé que tout cela puisse se passer dans le cadre du Vatican. J'avais besoin d'une sérieuse douche pour effacer toutes les traces de notre nuit et, bêtement, j'allais aux douches communes. Je commence à mettre du gel-douche lorsque quelqu'un entre, nu comme cela arrivait souvent pour les chambres à proximité. Je ne me retourne pas mais je reconnais la voix de Stefano
- Eh bien mon cochon, tu en tiens une sérieuse couche !
- Moi / De quoi tu parles ?
- Stef / Mais de toutes les croûtes que tu as sur tout le corps et en particulier sur tes parties génitales. Vous étiez combien à vous distraire ? [et il éclate de rire]
- Moi, rouge de honte et ne pouvant clairement pas nier la réalité / Ne dis pas de bêtises, on n'était que lui et moi !
- Stef / Eh bien, vous deviez être à jeun tous les deux [et il me regarde avec une certaine concupiscence tout en s'approchant de moi avec sa queue à l'horizontale]
Ce gamin ne manque pas de culot. J'ai envie de l'envoyer se faire voir mais je dois admettre qu'il a, et je le sais très bien, un physique très plaisant et attirant de sorte qu'à mon tour mon sexe, entretemps savonné, se redresse lentement mais sûrement. Il faut dire à ma décharge que, finalement, la nuit avait été frustrante sur le plan sexuel ou malgré une proximité physique extrême il ne s'était rien passé de conscient. Je ne l'avais pas touché et lui non plus. Avant nos éjaculations oniriques du petit matin, nous ne nous étions pas branlés de la nuit : nos bouches, quoique proches, étaient restées vierges. Ma frustration est donc sinon justifiée du moins compréhensible. Malgré ma fatigue, je le laisse s'approcher. Il pose ses lèvres qui sentent bon le dentifrice sur ma bouche, une de ses mains se plaque sur mes fesses alors que l'autre se saisit de mon pénis. Il commençe alors un doux va-et-vient facilité par le gel sur mon corps. Sans réfléchir, je me saisis de son propre sexe, pas très grand mais d'une élégance extrême et à mon tour je mets une main non sur ses fesses mais sur sa raie et plus particulièrement sur l'ouverture de son petit trou. Là encore le gel fait miracle, mon majeur entre, presque à mon insu, dans sa cavité comme dans du beurre et trouve immédiatement sa prostate, déclenchant une onde électrique qui nous transperce tous les deux. En quelques secondes, je suis dur comme jamais encore et Stefano se tortille de plaisir et, je le saurai après, d'une sensations jusque-là jamais éprouvée. Trop rapidement, nous perdons simultanément le contrôle, le point de non-retour est atteint et dépassé lorsque nous nous répandons l'un sur l'autre, lui abondamment et moi-même plus modestement. Il m'embrasse de manière beaucoup plus appuyée et me remercie pour ce qui est sa première vraie expérience. J'avais oublié Sylvio, mon petit Stefano a un gros avantage : lui il est dans la chambre à côté de chez moi.
Pour quelqu'un qui se voulait être discret et surtout éviter le milieu proche de l'Église, c'est réussi : En moins de vingt-quatre heures, j'ai mis dans ma poche ou plutôt dans mon slip un jeune curé qui ne devait pas être sans expériences, un adolescent apprenti curé dont je doutais fortement de la solidité de la vocation et enfin une éminence qui n'était plus de première jeunesse et dont l'abstinence me paraissait douteuse. D'un seul coup, tous mes points de repère s'effondrent, je me sens comme un navire sans pilote. Si le père-abbé de l'internat n'était pas décédé, j'aurais probablement pris le premier train pour aller prendre conseil. Je ressens le besoin impérieux de me confier à quelqu'un en qui je puisse avoir entière confiance et je pense à l'homme avec qui Ludovico travaillait et qui, après le départ précipité de celui-ci, nous avait donné sa bénédiction. Je l'avais vu une ou deux fois à mon arrivée à Rome et il m'avait reçu avec beaucoup de bienveillance. Je me rends donc à son domicile situé un peu hors de la Cité du Vatican dans un bâtiment nettement plus modeste que celui de Sylvio et son patron.
Je demande à parler à S.E. V.