16-09-2021, 08:24 AM
Après une bonne douche, nous nous glissons dans notre lit, nus comme nous en avons l’habitude. Inutile de préciser que nos attributs se réveillent et que tous nos sens font de même. Nos lèvres se retrouvent pour un chaste baiser. Puis nous nous embrassons à pleine bouche en laissant nos langues entrer dans une folle farandole magistralement orchestrée. D’une main, je caresse les cheveux de mon amoureux et de l’autre, je parcours sa poitrine légèrement velue. Je m’attarde à ses petits tétons qui gonflent au fur et à mesure que je les titille. Julien n’est pas en reste, il me caresse le dos et le visage. Il s’attarde au niveau de mes oreilles et de mon cou. Nos bouches se séparent laissant alors nos lèvres se balader sur nos visages. Je lèche doucement le cou de Juju pour descendre vers ses tétons toujours grossis par le massage prodigué il y a peu. Mes lèvres s’attardent sur ces deux boutons sensibles. Déjà j’entends quelques râles de bonheur, mon chéri semble aimer mes caresses buccales. Pendant ce temps-là ma main se pose sur son pénis tendu. Je lui applique des mouvements très doux en laissant mon pouce tourner autour du gland déjà luisant de pré cum. Je sens que la main de mon amant se pose elle aussi sur ma protubérance. Finalement nous nous masturbons lascivement l’un l’autre. Nos lèvres se retrouvent pour une nouvelle fois laisser le champ libre à nos langues pour une danse endiablée. Nous sommes dans notre bulle, plus rien ne compte que notre complicité d’esprit, d’âme et de corps.
Sans même nous parler nous nous plaçons têtes bêche pour goûter à nos sucres d’orge. Ma langue vient se poser sur le gland mouillé de Juju. Elle passe et repasse sur le méat ouvert, je savoure le goût un peu salé de cette mouille qui m’enivre. Puis elle se déplace tout le long de cette colonne de chair, allant des deux valseuses vers le frein. Des râles de bonheur s’échappent de nos bouches ouvertes qui s’activent sur nos phallus. Enfin mes lèvres laissent entrer l’objet de mes désirs dans ma cavité buccale. J’entreprends alors une fellation amoureuse. Julien lui aussi a gobé mon boute joie, il s’y prend délicatement et cela me procure beaucoup de plaisir. Nous nous donnons l’un à l’autre, appliquant nos mouvements buccaux de manière synchronisée afin de faire monter cette jouissance attendue lentement, graduellement. De ma main droite, je caresse les fesses de mon Juju d’amour. Elle passe aussi sur sa raie et avec le majeur je titille sa rondelle. Je sens que la main de mon homme se déplace aussi vers mon trou d’amour. Tout en poursuivant nos sucions le long de nos pénis, nous laissons un doigt pénétrer doucement dans la caverne qui s’ouvre à nos caresses. Nous préparons nos anus en vue de nous aimer.
Nous pivotons alors, je me mets de façon à laisser la voie libre à Julien pour me faire l’amour. Je sens déjà le bout de son pénis se poser sur ma collerette, ensuite il pénètre dans mon antre de joie. Les mouvements de vas et viens sont divins, je suis aux anges. Je sens le plaisir qu’éprouve Juju en me possédant de la sorte. Je ne dois pas attendre longtemps pour sentir le flot de semence envahir mon rectum. Julien émet des râles de bonheur, moi de mon côté, c’est la même chose.
Nous changeons de position et c’est à mon tour d’aimer mon chéri. Mon sexe n’a pas débandé depuis le début de nos agapes, que du contraire, il est dur comme tout. Je le glisse dans la caverne accueillante et débute mes mouvements alternatifs. Julien émet une nouvelle fois des râles de satisfaction. Je poursuis la sodomie de mon chou bien enserré dans ses entrailles. Je sens que mon ventre commence à me « brûler », signe que la jouissance est proche, de fait je me cabre et mes muscles se contactent, ça y est, je jouis laissant ma sève s’éprendre dans l’étui anal de Juju. Nous restons un moment couchés côte à côte, le temps de reprendre notre souffle.
Nous pouvons être content de nous, nous n’avons pas négligé nos études ni notre couple. C’est une bonne chose de faire chacun les études qui nous conviennent, nous avons chacun notre voie et notre vision de l’avenir professionnel qui est le nôtre. Nous allons régulièrement effectuer des exercices de musculation à la salle de sport.
Pour les congés de carnaval nous pensons pouvoir partir dans les Fagnes pour passer du temps à deux et ainsi prendre du bon temps, chose que nous n’avons pas faite depuis trop longtemps. Je demande à maman si nous pouvons partir une semaine avec sa voiture ou alors si elle préfère que nous prenions le train pour aller dans le sud-est du pays. J’explique que nous avons trouvé un gîte et que nous serons quatre. En effet Mathieu et Lucas sont de la partie. Ils n’ont pas encore leur permis de conduire, raison pour laquelle je sollicite le véhicule. Maman souhaite en parler avec papa avant de donner sa réponse.
Les filles pensent passer du temps à la côte belge. Elles souhaitent louer un appartement avec deux copines de leur fac. Pour elles c’est plus facile de partir en train et de prendre le tram de la côte pour se rendre à la station balnéaire du « Coq ».
Nous sommes fin janvier, un vendredi soir. Nous sommes tous réunis autour de la table pour le repas du soir. C’est souvent le cas en fin de semaine, c’est le moment où nous pouvons être plus relax, les cours sont terminés, les parents sont eux aussi en « mode week-end ». C’est maman qui nous dit :
Mam : « Bon les enfants, avec papa nous avons décidé que c’était une bonne idée que vous puissiez profiter des congés du carnaval pour vous reposer.
Del : C’est super, nous allons savoir si nous pourrons aller à la mer.
Moi : Et nous si nous pourrons aller dans les Fagnes en espérant qu’il neige !
Mam : Je sens que vous êtes impatients de savoir ce qu’il a été décidé !
Tous : Oh oui !
Man : Bon pour les filles, c’est OK, vous pouvez confirmer le séjour avec vos amies pour l’appartement. Nous participons aux frais bien entendu.
Sté : Oh merci, je propose aussi que je participe en partie aux frais. Ce sera aussi le cas pour Julien, du moins s’ils partent dans les Fagnes.
Papa : Bien entendu Stéphanie, cela fait partie de tes prérogatives, mais sache que nous sommes là pour vous deux.
Sté : Je le sais Alain, mais avec les loyers encaissés, nous pouvons ne fusse que participer au payement d’une partie de la location et de la nourriture !
Papa : Tu as tout-à-fait raison Stéphanie.
Mam : Pour les garçons, c’est OK pour votre séjour et pour la voiture. C’est à une seule condition, vous ne l’utilisez que pour ce qui est essentiel, soit le trajet jusque-là et les éventuelles courses pour la nourriture. Puis c’est sobre, sans avoir bu le moindre verre, que vous prenez le volant !
Moi : Il est certain que nous suivrons les instructions pour ce qui est de l’utilisation de la voiture.
Papa : Nous vous faisons confiance les garçons, vous devez prendre vos dispositions pour qu’il n’arrive rien de fâcheux.
Jul : Bien entendu « papa Alain » nous serons attentifs à ne pas prendre le volant pour rien et sûrement pas après avoir bu ne fusse qu’une bière. Je veux être irréprochable, car je sais ce qu’est souffrance à la suite d’un accident de la circulation. Tu peux compter sur moi !
Papa : Je le sais Julien, je sais aussi que Phil sera également attentif. Nous vous faisons confiance à tous les deux. Vous aurez vous aussi de quoi subvenir à vos besoins pour le séjour.
Moi : Merci Papa.
Mam : Voilà qui est réglé. »
Nous poursuivons le repas. Nous mangeons un bon rôti ardennais qui est accompagné d’une potées composée de carottes et de pommes de terre avec des lardons fumés. Papa a ouvert une bonne bouteille de Côtes-du-Rhône comme boisson pour accompagner le plat. Au dessert nous arrivent des crêpes tièdes avec une boule de glace vanille et chocolat chaud par-dessus. Maman s’est, une nouvelle fois, surpassée avec ce délicieux repas. Nous la félicitons. Comme d’habitude, nous nous occupons de débarrasser et de tout ranger pour qu’elle puisse passer un petit moment tranquille auprès de papa dans le salon. C’est d’ailleurs leur moment où ils prennent un petit verre de liqueur pour maman et un cognac pour papa.
Nous passons de très agréables moments en famille. Stéphanie et Julien en font bien partie intégrante de la famille. Nous sommes donc quatre grands enfants avec une maman et un papa très aimants. Bien sûr que les deux pièces rapportées pensent encore à leurs deux parents, mais profitent enfin de la vie et sont tournées vers l’avenir, à nos côtés.
Sans même nous parler nous nous plaçons têtes bêche pour goûter à nos sucres d’orge. Ma langue vient se poser sur le gland mouillé de Juju. Elle passe et repasse sur le méat ouvert, je savoure le goût un peu salé de cette mouille qui m’enivre. Puis elle se déplace tout le long de cette colonne de chair, allant des deux valseuses vers le frein. Des râles de bonheur s’échappent de nos bouches ouvertes qui s’activent sur nos phallus. Enfin mes lèvres laissent entrer l’objet de mes désirs dans ma cavité buccale. J’entreprends alors une fellation amoureuse. Julien lui aussi a gobé mon boute joie, il s’y prend délicatement et cela me procure beaucoup de plaisir. Nous nous donnons l’un à l’autre, appliquant nos mouvements buccaux de manière synchronisée afin de faire monter cette jouissance attendue lentement, graduellement. De ma main droite, je caresse les fesses de mon Juju d’amour. Elle passe aussi sur sa raie et avec le majeur je titille sa rondelle. Je sens que la main de mon homme se déplace aussi vers mon trou d’amour. Tout en poursuivant nos sucions le long de nos pénis, nous laissons un doigt pénétrer doucement dans la caverne qui s’ouvre à nos caresses. Nous préparons nos anus en vue de nous aimer.
Nous pivotons alors, je me mets de façon à laisser la voie libre à Julien pour me faire l’amour. Je sens déjà le bout de son pénis se poser sur ma collerette, ensuite il pénètre dans mon antre de joie. Les mouvements de vas et viens sont divins, je suis aux anges. Je sens le plaisir qu’éprouve Juju en me possédant de la sorte. Je ne dois pas attendre longtemps pour sentir le flot de semence envahir mon rectum. Julien émet des râles de bonheur, moi de mon côté, c’est la même chose.
Nous changeons de position et c’est à mon tour d’aimer mon chéri. Mon sexe n’a pas débandé depuis le début de nos agapes, que du contraire, il est dur comme tout. Je le glisse dans la caverne accueillante et débute mes mouvements alternatifs. Julien émet une nouvelle fois des râles de satisfaction. Je poursuis la sodomie de mon chou bien enserré dans ses entrailles. Je sens que mon ventre commence à me « brûler », signe que la jouissance est proche, de fait je me cabre et mes muscles se contactent, ça y est, je jouis laissant ma sève s’éprendre dans l’étui anal de Juju. Nous restons un moment couchés côte à côte, le temps de reprendre notre souffle.
Nous pouvons être content de nous, nous n’avons pas négligé nos études ni notre couple. C’est une bonne chose de faire chacun les études qui nous conviennent, nous avons chacun notre voie et notre vision de l’avenir professionnel qui est le nôtre. Nous allons régulièrement effectuer des exercices de musculation à la salle de sport.
Pour les congés de carnaval nous pensons pouvoir partir dans les Fagnes pour passer du temps à deux et ainsi prendre du bon temps, chose que nous n’avons pas faite depuis trop longtemps. Je demande à maman si nous pouvons partir une semaine avec sa voiture ou alors si elle préfère que nous prenions le train pour aller dans le sud-est du pays. J’explique que nous avons trouvé un gîte et que nous serons quatre. En effet Mathieu et Lucas sont de la partie. Ils n’ont pas encore leur permis de conduire, raison pour laquelle je sollicite le véhicule. Maman souhaite en parler avec papa avant de donner sa réponse.
Les filles pensent passer du temps à la côte belge. Elles souhaitent louer un appartement avec deux copines de leur fac. Pour elles c’est plus facile de partir en train et de prendre le tram de la côte pour se rendre à la station balnéaire du « Coq ».
Nous sommes fin janvier, un vendredi soir. Nous sommes tous réunis autour de la table pour le repas du soir. C’est souvent le cas en fin de semaine, c’est le moment où nous pouvons être plus relax, les cours sont terminés, les parents sont eux aussi en « mode week-end ». C’est maman qui nous dit :
Mam : « Bon les enfants, avec papa nous avons décidé que c’était une bonne idée que vous puissiez profiter des congés du carnaval pour vous reposer.
Del : C’est super, nous allons savoir si nous pourrons aller à la mer.
Moi : Et nous si nous pourrons aller dans les Fagnes en espérant qu’il neige !
Mam : Je sens que vous êtes impatients de savoir ce qu’il a été décidé !
Tous : Oh oui !
Man : Bon pour les filles, c’est OK, vous pouvez confirmer le séjour avec vos amies pour l’appartement. Nous participons aux frais bien entendu.
Sté : Oh merci, je propose aussi que je participe en partie aux frais. Ce sera aussi le cas pour Julien, du moins s’ils partent dans les Fagnes.
Papa : Bien entendu Stéphanie, cela fait partie de tes prérogatives, mais sache que nous sommes là pour vous deux.
Sté : Je le sais Alain, mais avec les loyers encaissés, nous pouvons ne fusse que participer au payement d’une partie de la location et de la nourriture !
Papa : Tu as tout-à-fait raison Stéphanie.
Mam : Pour les garçons, c’est OK pour votre séjour et pour la voiture. C’est à une seule condition, vous ne l’utilisez que pour ce qui est essentiel, soit le trajet jusque-là et les éventuelles courses pour la nourriture. Puis c’est sobre, sans avoir bu le moindre verre, que vous prenez le volant !
Moi : Il est certain que nous suivrons les instructions pour ce qui est de l’utilisation de la voiture.
Papa : Nous vous faisons confiance les garçons, vous devez prendre vos dispositions pour qu’il n’arrive rien de fâcheux.
Jul : Bien entendu « papa Alain » nous serons attentifs à ne pas prendre le volant pour rien et sûrement pas après avoir bu ne fusse qu’une bière. Je veux être irréprochable, car je sais ce qu’est souffrance à la suite d’un accident de la circulation. Tu peux compter sur moi !
Papa : Je le sais Julien, je sais aussi que Phil sera également attentif. Nous vous faisons confiance à tous les deux. Vous aurez vous aussi de quoi subvenir à vos besoins pour le séjour.
Moi : Merci Papa.
Mam : Voilà qui est réglé. »
Nous poursuivons le repas. Nous mangeons un bon rôti ardennais qui est accompagné d’une potées composée de carottes et de pommes de terre avec des lardons fumés. Papa a ouvert une bonne bouteille de Côtes-du-Rhône comme boisson pour accompagner le plat. Au dessert nous arrivent des crêpes tièdes avec une boule de glace vanille et chocolat chaud par-dessus. Maman s’est, une nouvelle fois, surpassée avec ce délicieux repas. Nous la félicitons. Comme d’habitude, nous nous occupons de débarrasser et de tout ranger pour qu’elle puisse passer un petit moment tranquille auprès de papa dans le salon. C’est d’ailleurs leur moment où ils prennent un petit verre de liqueur pour maman et un cognac pour papa.
Nous passons de très agréables moments en famille. Stéphanie et Julien en font bien partie intégrante de la famille. Nous sommes donc quatre grands enfants avec une maman et un papa très aimants. Bien sûr que les deux pièces rapportées pensent encore à leurs deux parents, mais profitent enfin de la vie et sont tournées vers l’avenir, à nos côtés.