14-09-2021, 02:21 PM
Notre baiser fougueux est terminé, nous retrouvons nos esprits. Je me rends compte que je bande tout comme Ben. Arlette se met à éclater de rire, puis elle ajoute : « Voilà la fougue de la jeunesse. Ils sont incroyables et on voit qu’ils s’aiment. » Nos joues virent pour tous les deux au rouge pivoine. Nous attendons un moment avant de sortir de l’eau que nos protubérances reprennent une dimension « normale ».
Nous restons nus à profiter des derniers rayons du soleil. Il fait encore très doux pour ne dire chaud. Yves apporte une bouteille de mousseux et six flûtes. Nous trinquons à cette journée, aux vacances qui se passent bien. Je repense aussi à nos amis rencontrés sur la plage et je me souviens que Ben voulait les inviter à un barbecue ici même à la villa. Il devait demander à son père si c’était possible. Je fais signe à Ben et je lui dis :
Moi : « Ben je pense que tu as oublié quelque chose, tu devais demander à ton papa pour les jeunes de la plage.
Ben : Oui, merci Phil, j’avais oublié. Papa, puis-je te demander quelque chose ?
Yve : Oui Ben, je t’écoute.
Ben : Voilà, c’est pour maman aussi. Vous savez le groupe de jeunes que nous avons rencontré sur la plage, je voulais savoir si vous seriez d’accord pour que nous les invitions à un barbecue ici à la villa !
Yve : Euh, ça peut s’envisager.
Arl : Mais pourquoi pas. Vous nous en avez parlé, et même ta sœur était emballée de connaître ces jeunes. Pour moi c’est bon, mais il faut savoir quand et à combien vous serez.
Ben : On se revoit demain, si vous êtes d’accord qu’on retourne à la plage.
Yve : Pas de souci, vous pouvez y aller.
Ben : Merci, vous êtes super. Merci.
Moi : Merci Arlette, merci Yves.
Chr : Je ne sais pas si je vais aller à la plage demain, mais c’est une excellente idée. Je serais contente de les revoir.
Arl : C’est donc adopté. Ben tu nous diras ce qu’il en est, demain après la plage.
Ben : Merci maman, je te tiens au courant. »
Après cette discussion, nous montons à la salle de bain pour faire notre toilette et nous laver les dents. Puis direction le lit dans la chambre. Nous nous couchons et directement nous nous embrassons doucement. Ces satanés fils deviennent déplaisants, il va être temps de les faire enlever. Je vais en parler avec Arlette demain matin durant le petit-déjeuner.
Nos langues s’en donnent à cœur-joie, elles dansent ensemble. Nos mains ont pris possession de nos corps encore tièdes de cette soirée au soleil couchant. Je titille le bout des pectoraux de Ben. Puis une fois notre baiser terminé, c’est ma bouche qui tente de sucer les deux bouts de mamelon déjà plus gros, mais je dois cesser, les fils de suture tirent trop. Qu’à cela ne tienne, mes mains poursuivent leurs caresses sur la peau déjà bien brune de Ben. Lui non plus n’est pas en reste, il me gratifie de petits suçons au niveau du lobe de l’oreille. Bref la température monte. Je hasarde une main au niveau des fesses de mon amoureux, puis je la laisse aller dans sa raie. Ben écarte un peu les jambes pour laisser le champ libre à mes caresses au niveau de son orifice rectal. Je place alors mon index à l’entrée de sa caverne, il y glisse sans trop de problème. Puis je demande à Ben s’il veut que je lui fasse l’amour. La réponse ne se fait pas attendre, il me donne le gel et un préservatif dans son emballage carré. Je m’occupe de sa rosette avec le gel et c’est Ben qui me place l’étui en latex sur mon sexe dressé.
Nous nous plaçons pour nous aimer. Je présente ma barre de chair à l’entrée de ce puits d’amour et elle y pénètre. Je lutine donc mon amour qui montre sa jouissance par de petits cris. Puis je déverse ma semence au fond de cette capote, dans un râle de bonheur qui est accompagné par les « oh oui » de mon Ben.
Remis de ce moment de joie partagée, c’est Ben qui s’occupe de préparer le terrain, de mettre du gel sur ma rosette. Comme il me l’a fait, je place à mon tour le préservatif sur le sexe bandé de mon amant. Je me place sur le dos et je monte mes jambes sur les épaules de Ben lorsqu’il présente son phallus à l’entrée de ma caverne. Il l’investit en douceur, pour arriver à la garde, ses deux « valseuses » venant se plaquer sur mes fesses. Ben me fait monter au rideau, je râle de bonheur de sentir son membre dressé bouger dans mes entrailles. Après un certain temps, Ben joui de bonheur et je ressens tout l’amour qu’il me procure.
Nous sommes fatigués de nous être aimés mais sommes heureux, ivres de bonheur. Couchés côte à côte, nous nous embrassons une dernière fois avant de couper la lumière de la lampe de chevet. Nous nous disons des « je t’aime » à n’en plus finir. Puis nous nous souhaitons une très bonne nuit. Peu de temps après, je lui murmure « Merci Ben de m’aimer. Fais de beaux rêves ! » Il n’a pas répondu, il s’est déjà endormi.
Nous nous sommes réveillés vers neuf heures trente. J’ai eu droit, comme chaque matin, à un sourire éclatant de la part de Ben, avec ses grands yeux bleus et sa tignasse blonde comme les blés ! Elle devient blanche sa tignasse par suite des rayons du soleil. Puis sa peau est bronzée, il est super beau mon Ben d’amour. Nos lèvres se rencontrent et nous échangeons un baiser langoureux. Une odeur de café et de viennoiseries flotte dans l’air. Il n’en faut pas plus pour que nous nous levions. Petit passage par la salle de bain. Nous descendons en tenue d’Adam. Arlette nous fait la bise. Denis nous voyant ainsi, ôte son short et Christine fait de même. Yves vient nous rejoindre et il est lui aussi nu. Il prend la parole :
Yve : « Bonjour les jeunes, vous avez raison d’en profiter et de vous mettre nus, c’est très sain et vous prenez un maximum de vitamines « D ».
Ben : Oui, c’est bien vrai et puis nous en profitons car une fois les vacances finies, ce sera différent, nous n’aurons plus le loisir de nous mettre en harmonie avec la nature et profiter des bienfaits du soleil, du vent et de l’eau.
Arl : Tu es bien nostalgique Ben. Mais nous trouverons l’occasion de nous mettre au diapason de la nature, même chez nous. J’aime bien cette philosophie, cette façon d’aborder les choses d’une manière plus zen.
Yve : Oui, moi aussi je me sens plus en accord avec moi-même.
Moi : Je ne vous cache pas que moi aussi j’aime être nu le plus souvent possible.
Ben : Très bien dit Phil, je suis d’accord avec vous tous. Tu en penses quoi Denis ?
Den : Et bien c’est la première fois que je passe du temps nu en dehors de ma chambre ou de la salle de bain. C’est très agréable. D’ailleurs je trouve que cela facilite les échanges entre les personnes, pas de caste ni d’apriori, nous sommes tous faits de la même façon.
Arl : Oui Denis, puis pas de préjugé, il y a des gros, des minces, des grands et des petits ! Chacun a droit au respect. C’est comme vous mes enfants, il y a des hétéros et des homos. Puis je vous aime tous tels que vous êtes !
Ben : Merci Maman.
Moi : Je suis très heureux auprès de vous. J’ai mon Ben à mes côtés mais aussi une famille très aimante. Merci à vous tous !
Yve : Merci Phil, tes propos nous touchent tous !
Den : Bon, allez, on fait un tour à la piscine.
Tous : Oui, génial ! »
Nous sautons tous dans l’eau. Quel bonheur de pouvoir profiter ainsi de ces moments de partage en famille. J’aimerais qu’une prochaine fois nous puissions, Ben et moi, réunir nos deux familles pour passer des vacances ensemble. Il faut que nous nous mettions d’accord pour organiser ça. Le temps passe et nous profitons du soleil pour nous sécher. Avant le repas, Arlette me demande si je souhaite faire ôter les fils de suture. J’accepte bien volontiers. Je m’habille et je pars avec Yves chez le médecin le plus proche.
Le praticien m’examine et trouve qu’il est temps d’enlever les sutures. Il lui suffit de deux minutes pour m’ôter les fils. Je me sens déjà mieux. Puis je me dis que je vais pouvoir faire une belle fellation à mon amour de Ben. Je crois que ce sera pour ce soir.
Nous rentrons à la villa, Arlette a prévu quelque chose de simple pour le repas, ce sont des crudités, des tomates crevettes et du pain. C’est bien comme repas, car nous n’avons pas l’estomac encombré pour l’après-midi.
Le repas englouti après la séance de piscine, nous lavons ensemble la vaisselle. Finalement Christine et Denis décident de nous accompagner à la plage. Ils nous préviennent qu’ils nous quitteront vers seize heures. Nous partons donc ensemble vers la plage à vélo. Pose des cadenas sur les cadres et les roues. Nous marchons vers la zone naturiste et en bordure de celle-ci nous nous dévêtons. Nous poursuivons, nus, notre parcours en direction du bunker. Au loin nous voyons le groupe des jeunes. Nous nous hâtons pour les rejoindre. Nous nous faisons la bise.
Val : « Alors Phil tu es bien mieux comme ça, sans les points de suture.
Moi : Merci Val, je commençais à en avoir un peu marre !
P.A. : Oui, tu es plus beau comme ça.
Tous éclatent de rire. Puis c’est Pierre-Alain qui poursuit :
P.A. : Mais oui, je sais, mais c’est comme ça, je le trouve beau. Désolé Ben, c’est juste une réflexion, je te laisse ton amoureux.
De nouveau des éclats de rire fusent. Il est direct P.A. et puis ça vient du cœur, c’est spontané. Je sais qu’il est avec Marc, alors je n’ai rien à craindre. Ils sont tous super sympa. Puis je pose cette question après avoir fait un clin d’œil à Ben :
Moi : Alors, c’est quand qu’on se retrouve pour un barbecue à la maison de vacances ?
Val : Mais, c’était lancé comme ça !
Ben : Non, vous êtes attendus à la villa quand vous voulez, mes parents sont emballés à l’idée de nous retrouver tous ensemble autour d’un bon repas !
Val : Eh bien ça alors, je ne m’y attendais pas !
Chr : Tu sais Valentin, ce n’est pas une blague, nous devons Denis et moi partir vers seize heures et on peut dire quoi à mes parents. Si c’est OK pour ce soir et bien alors on fonce !
Val : C’est génial. Ils sont super vos parents. Alors les jeunes, est-ce que c’est d’accord pour vous ce soir, nous allons faire un barbecue chez nos amis belges ?
Tous : Oui, super. Merci.
Chr : Je préviens mes parents dès que possible et je pense que vers dix-neuf heures trente c’est bien comme heure de rendez-vous. Ben vous communique l’adresse.
Val : Génial. Bon qui vient nager ?
Tous : Oui, allez GO ! »
Voilà une nouvelle fois une petite quinzaine de jeunes qui se ruent vers l’océan. Il fait bon, le soleil ne tape pas trop fort, une petite brise de mer rafraîchit l’atmosphère. L’eau est bonne, bien qu’elle ne soit que tempérée. Nous nous amusons comme des fous à nous éclabousser les uns les autres au milieu de cris et de fous rire !
Nous restons nus à profiter des derniers rayons du soleil. Il fait encore très doux pour ne dire chaud. Yves apporte une bouteille de mousseux et six flûtes. Nous trinquons à cette journée, aux vacances qui se passent bien. Je repense aussi à nos amis rencontrés sur la plage et je me souviens que Ben voulait les inviter à un barbecue ici même à la villa. Il devait demander à son père si c’était possible. Je fais signe à Ben et je lui dis :
Moi : « Ben je pense que tu as oublié quelque chose, tu devais demander à ton papa pour les jeunes de la plage.
Ben : Oui, merci Phil, j’avais oublié. Papa, puis-je te demander quelque chose ?
Yve : Oui Ben, je t’écoute.
Ben : Voilà, c’est pour maman aussi. Vous savez le groupe de jeunes que nous avons rencontré sur la plage, je voulais savoir si vous seriez d’accord pour que nous les invitions à un barbecue ici à la villa !
Yve : Euh, ça peut s’envisager.
Arl : Mais pourquoi pas. Vous nous en avez parlé, et même ta sœur était emballée de connaître ces jeunes. Pour moi c’est bon, mais il faut savoir quand et à combien vous serez.
Ben : On se revoit demain, si vous êtes d’accord qu’on retourne à la plage.
Yve : Pas de souci, vous pouvez y aller.
Ben : Merci, vous êtes super. Merci.
Moi : Merci Arlette, merci Yves.
Chr : Je ne sais pas si je vais aller à la plage demain, mais c’est une excellente idée. Je serais contente de les revoir.
Arl : C’est donc adopté. Ben tu nous diras ce qu’il en est, demain après la plage.
Ben : Merci maman, je te tiens au courant. »
Après cette discussion, nous montons à la salle de bain pour faire notre toilette et nous laver les dents. Puis direction le lit dans la chambre. Nous nous couchons et directement nous nous embrassons doucement. Ces satanés fils deviennent déplaisants, il va être temps de les faire enlever. Je vais en parler avec Arlette demain matin durant le petit-déjeuner.
Nos langues s’en donnent à cœur-joie, elles dansent ensemble. Nos mains ont pris possession de nos corps encore tièdes de cette soirée au soleil couchant. Je titille le bout des pectoraux de Ben. Puis une fois notre baiser terminé, c’est ma bouche qui tente de sucer les deux bouts de mamelon déjà plus gros, mais je dois cesser, les fils de suture tirent trop. Qu’à cela ne tienne, mes mains poursuivent leurs caresses sur la peau déjà bien brune de Ben. Lui non plus n’est pas en reste, il me gratifie de petits suçons au niveau du lobe de l’oreille. Bref la température monte. Je hasarde une main au niveau des fesses de mon amoureux, puis je la laisse aller dans sa raie. Ben écarte un peu les jambes pour laisser le champ libre à mes caresses au niveau de son orifice rectal. Je place alors mon index à l’entrée de sa caverne, il y glisse sans trop de problème. Puis je demande à Ben s’il veut que je lui fasse l’amour. La réponse ne se fait pas attendre, il me donne le gel et un préservatif dans son emballage carré. Je m’occupe de sa rosette avec le gel et c’est Ben qui me place l’étui en latex sur mon sexe dressé.
Nous nous plaçons pour nous aimer. Je présente ma barre de chair à l’entrée de ce puits d’amour et elle y pénètre. Je lutine donc mon amour qui montre sa jouissance par de petits cris. Puis je déverse ma semence au fond de cette capote, dans un râle de bonheur qui est accompagné par les « oh oui » de mon Ben.
Remis de ce moment de joie partagée, c’est Ben qui s’occupe de préparer le terrain, de mettre du gel sur ma rosette. Comme il me l’a fait, je place à mon tour le préservatif sur le sexe bandé de mon amant. Je me place sur le dos et je monte mes jambes sur les épaules de Ben lorsqu’il présente son phallus à l’entrée de ma caverne. Il l’investit en douceur, pour arriver à la garde, ses deux « valseuses » venant se plaquer sur mes fesses. Ben me fait monter au rideau, je râle de bonheur de sentir son membre dressé bouger dans mes entrailles. Après un certain temps, Ben joui de bonheur et je ressens tout l’amour qu’il me procure.
Nous sommes fatigués de nous être aimés mais sommes heureux, ivres de bonheur. Couchés côte à côte, nous nous embrassons une dernière fois avant de couper la lumière de la lampe de chevet. Nous nous disons des « je t’aime » à n’en plus finir. Puis nous nous souhaitons une très bonne nuit. Peu de temps après, je lui murmure « Merci Ben de m’aimer. Fais de beaux rêves ! » Il n’a pas répondu, il s’est déjà endormi.
Nous nous sommes réveillés vers neuf heures trente. J’ai eu droit, comme chaque matin, à un sourire éclatant de la part de Ben, avec ses grands yeux bleus et sa tignasse blonde comme les blés ! Elle devient blanche sa tignasse par suite des rayons du soleil. Puis sa peau est bronzée, il est super beau mon Ben d’amour. Nos lèvres se rencontrent et nous échangeons un baiser langoureux. Une odeur de café et de viennoiseries flotte dans l’air. Il n’en faut pas plus pour que nous nous levions. Petit passage par la salle de bain. Nous descendons en tenue d’Adam. Arlette nous fait la bise. Denis nous voyant ainsi, ôte son short et Christine fait de même. Yves vient nous rejoindre et il est lui aussi nu. Il prend la parole :
Yve : « Bonjour les jeunes, vous avez raison d’en profiter et de vous mettre nus, c’est très sain et vous prenez un maximum de vitamines « D ».
Ben : Oui, c’est bien vrai et puis nous en profitons car une fois les vacances finies, ce sera différent, nous n’aurons plus le loisir de nous mettre en harmonie avec la nature et profiter des bienfaits du soleil, du vent et de l’eau.
Arl : Tu es bien nostalgique Ben. Mais nous trouverons l’occasion de nous mettre au diapason de la nature, même chez nous. J’aime bien cette philosophie, cette façon d’aborder les choses d’une manière plus zen.
Yve : Oui, moi aussi je me sens plus en accord avec moi-même.
Moi : Je ne vous cache pas que moi aussi j’aime être nu le plus souvent possible.
Ben : Très bien dit Phil, je suis d’accord avec vous tous. Tu en penses quoi Denis ?
Den : Et bien c’est la première fois que je passe du temps nu en dehors de ma chambre ou de la salle de bain. C’est très agréable. D’ailleurs je trouve que cela facilite les échanges entre les personnes, pas de caste ni d’apriori, nous sommes tous faits de la même façon.
Arl : Oui Denis, puis pas de préjugé, il y a des gros, des minces, des grands et des petits ! Chacun a droit au respect. C’est comme vous mes enfants, il y a des hétéros et des homos. Puis je vous aime tous tels que vous êtes !
Ben : Merci Maman.
Moi : Je suis très heureux auprès de vous. J’ai mon Ben à mes côtés mais aussi une famille très aimante. Merci à vous tous !
Yve : Merci Phil, tes propos nous touchent tous !
Den : Bon, allez, on fait un tour à la piscine.
Tous : Oui, génial ! »
Nous sautons tous dans l’eau. Quel bonheur de pouvoir profiter ainsi de ces moments de partage en famille. J’aimerais qu’une prochaine fois nous puissions, Ben et moi, réunir nos deux familles pour passer des vacances ensemble. Il faut que nous nous mettions d’accord pour organiser ça. Le temps passe et nous profitons du soleil pour nous sécher. Avant le repas, Arlette me demande si je souhaite faire ôter les fils de suture. J’accepte bien volontiers. Je m’habille et je pars avec Yves chez le médecin le plus proche.
Le praticien m’examine et trouve qu’il est temps d’enlever les sutures. Il lui suffit de deux minutes pour m’ôter les fils. Je me sens déjà mieux. Puis je me dis que je vais pouvoir faire une belle fellation à mon amour de Ben. Je crois que ce sera pour ce soir.
Nous rentrons à la villa, Arlette a prévu quelque chose de simple pour le repas, ce sont des crudités, des tomates crevettes et du pain. C’est bien comme repas, car nous n’avons pas l’estomac encombré pour l’après-midi.
Le repas englouti après la séance de piscine, nous lavons ensemble la vaisselle. Finalement Christine et Denis décident de nous accompagner à la plage. Ils nous préviennent qu’ils nous quitteront vers seize heures. Nous partons donc ensemble vers la plage à vélo. Pose des cadenas sur les cadres et les roues. Nous marchons vers la zone naturiste et en bordure de celle-ci nous nous dévêtons. Nous poursuivons, nus, notre parcours en direction du bunker. Au loin nous voyons le groupe des jeunes. Nous nous hâtons pour les rejoindre. Nous nous faisons la bise.
Val : « Alors Phil tu es bien mieux comme ça, sans les points de suture.
Moi : Merci Val, je commençais à en avoir un peu marre !
P.A. : Oui, tu es plus beau comme ça.
Tous éclatent de rire. Puis c’est Pierre-Alain qui poursuit :
P.A. : Mais oui, je sais, mais c’est comme ça, je le trouve beau. Désolé Ben, c’est juste une réflexion, je te laisse ton amoureux.
De nouveau des éclats de rire fusent. Il est direct P.A. et puis ça vient du cœur, c’est spontané. Je sais qu’il est avec Marc, alors je n’ai rien à craindre. Ils sont tous super sympa. Puis je pose cette question après avoir fait un clin d’œil à Ben :
Moi : Alors, c’est quand qu’on se retrouve pour un barbecue à la maison de vacances ?
Val : Mais, c’était lancé comme ça !
Ben : Non, vous êtes attendus à la villa quand vous voulez, mes parents sont emballés à l’idée de nous retrouver tous ensemble autour d’un bon repas !
Val : Eh bien ça alors, je ne m’y attendais pas !
Chr : Tu sais Valentin, ce n’est pas une blague, nous devons Denis et moi partir vers seize heures et on peut dire quoi à mes parents. Si c’est OK pour ce soir et bien alors on fonce !
Val : C’est génial. Ils sont super vos parents. Alors les jeunes, est-ce que c’est d’accord pour vous ce soir, nous allons faire un barbecue chez nos amis belges ?
Tous : Oui, super. Merci.
Chr : Je préviens mes parents dès que possible et je pense que vers dix-neuf heures trente c’est bien comme heure de rendez-vous. Ben vous communique l’adresse.
Val : Génial. Bon qui vient nager ?
Tous : Oui, allez GO ! »
Voilà une nouvelle fois une petite quinzaine de jeunes qui se ruent vers l’océan. Il fait bon, le soleil ne tape pas trop fort, une petite brise de mer rafraîchit l’atmosphère. L’eau est bonne, bien qu’elle ne soit que tempérée. Nous nous amusons comme des fous à nous éclabousser les uns les autres au milieu de cris et de fous rire !