13-09-2021, 04:06 PM
Bonjour mes amies lectrices et mes amis lecteurs, voilà, j'ai pris quelques jours de vacances et je reviens pour vous livrer la suite du récit.
Déjà merci à vous de me suivre dans cette saga!
Je vous embrasse!
Philou
Chapitre 32.
Vitesse de croisière.
C’est le jour de la reprise des cours et donc le moment de connaître les résultats de la session d’examens. Nous sommes, Juju et moi, assez confiants, mais il subsiste toujours un peu d’appréhension. Bref nous nous séparons pour nous rendre dans notre faculté.
Les résultats sont affichés aux valves ad-hoc. Je trouve mon nom dans la liste, par ordre alphabétique pour chaque cours. Je peux voir que je suis parmi les bons étudiants de ma section. Ma moyenne de septante-deux pour cent ! Je suis un peu à la limite pour le cours d’anglais, j’ai un peu plus que la moyenne. Je ne sais pas comment ça s’est passé pour Juju, nous nous verrons probablement au moment du repas.
Je rejoins mes copains au cours de chimie. Le prof semble assez content de la classe, le taux de réussite est de soixante et quelque pour cent. Nous poursuivons les cours et ensuite le labo. Je n’ai pas vu Juju à l’heure de midi, en fait il avait cours un peu plus tard en fin de matinée. De plus les horaires ont un peu changé, il semble que ça arrive après chaque trimestre.
Comme le dernier cours de la journée est annulé, le prof étant absent, je décide de rentrer à la maison. Julien quant à lui a semble-t-il encore deux heures de cours. Je me vois très mal attendre pendant deux heures sur le campus.
Je suis à peine entré dans le hall que maman déboule de la cuisine, je vois à son regard qu’elle a une question qui lui brûle les lèvres : « Phil as-tu tes résultats d’examens ? ». Je ne laisse pas maman la poser, je lui fais un large sourire qui en dit long, soit que j’ai réussi. Je vois alors le visage de maman qui change, elle affiche elle aussi un sourire radieux. Je m’avance vers elle et je dépose un bisou sur sa joue. Puis je lui dis :
Moi : « Bien sûr que j’ai réussi. J’ai plus de septante pour cent de moyenne !
Mam : Je suis soulagée. Bravo mon grand, je suis fière de toi.
Moi : Merci maman. Moi aussi je suis très content de moi : aucun échec, c’est un peu juste en anglais.
Mam : Super, je me sens beaucoup plus légère tout d’un coup.
Moi : Ça ne sert à rien de stresser, tu te fais de la bile pour rien.
Mam : Je sais, mais tu sais Phil, une mère c’est comme ça, elle pense à ses enfants et à leurs études.
Moi : Je sais maman, tu es merveilleuse. Merci.
Je dépose un nouveau bisou sur la joue de ma chère maman. Je suis heureux d’être son fils. Je l’avise que je n’ai plus vu Julien depuis le début des cours et qu’il avait encore deux heures à suivre avant d’avoir fini sa journée.
Maman m’amène à la cuisine et nous prépare un chocolat chaud. Elle a fait des galettes comme encas. Elle est incroyable, elle pense à sa famille. Nous en profitons pour discuter de choses et d’autres. Je lui dis :
Moi : Maman, pour les vacances d’été, je souhaite partir au bord de la mer, soit en Bretagne ou soit en Vendée.
Mam : C’est une bonne idée, je comprends très bien que vous souhaitez être à deux, sans la famille.
Moi : Tu sais Maman, nous pouvons aussi partir en famille, cela dépend des filles, mais aussi de vos désirs à toi et papa.
Mam : Mais tu es toujours attentif aux autres et à la famille, tu es incroyable.
Moi : Mais c’est normal, je vous aime tous et Juju aussi.
Mam : Nous aussi nous vous aimons les deux filles et vous mes deux garçons.
Moi : De toute manière nous avons encore le temps d’y repenser plus tard. »
Nous entendons la porte d’entrée s’ouvrir, ce sont Delphine et Stéphanie qui rentrent.
Je vois qu’elles sont souriantes, tout laisse donc supposer qu’elles aussi ont réussi leurs examens. Je laisse le soin à maman de leur poser la question. De fait, Delphine a obtenu soixante-huit pour cent et Stéphanie a soixante-quatre pour cent. Inutile de dire que maman les enlace et dépose sur leurs joues quelques bisous. Une fois que maman cesse de les enlacer, c’est moi qui viens les prendre dans les bras. Je leur dis que j’ai aussi très bien travaillé et que ma moyenne est septante-deux pour cent. Elles me couvrent de bisous à leur tour.
Stéphanie me demande si j’ai des nouvelles de Julien, je lui réponds qu’il avait encore deux heures de cours et que je ne l’ai pas vu sur le temps de midi. J’ajoute aussi que j’ai hâte de le voir et de savoir s’il s’en est bien sorti.
Nous nous installons autour de la table de la salle à manger. Maman nous apporte du café et des biscuits. C’est le moment de décompresser et de parler d’autre chose que des examens et des cours. Je ne sais pas, mais c’est Delphine qui nous demande si nous avons prévu quelque chose pour les grandes vacances ! Je regarde maman avec qui j’avais eu la même discussion avant que les deux filles ne reviennent. Nous échangeons un petit sourire complice !
Maman, fidèle à ce qu’elle m’avait dit, propose : soit qu’elles partent à elles deux ou alors en famille, c’est-à-dire toute la famille ensemble dans un gîte. Maman ajoute que j’avais suggéré d’aller au bord de la mer, soit en Bretagne soit en Vendée. Je vois que Stéphanie et Delphine se regardent, elles semblent avoir fait leur choix d’un simple regard et en même temps elles nous disent : « À la mer en famille » !
Alors que nous débarrassons la table j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Je vais voir si c’est Julien ou papa. En fait ils sont là tous les deux-. Je vais vers mon Juju d’amour et je vois qu’il affiche une mine à la fois réjouie avec un regard qui me semble mitigé. Je l’embrasse et nous rejoignons les autres dans la salle à manger.
Papa : « Voilà, j’ai fini un peu plus tôt, Julien m’a téléphoné pour savoir si je pouvais le prendre pour rentrer ou s’il devait prendre le tram et le bus.
Jul : Oui, j’ai terminé les cours assez tard alors, pour gagner du temps sur le trajet, j’ai sonné à papa Alain.
Moi : Alors mon amour, as-tu eu tes résultats ?
Jul : Oui, j’ai soixante-neuf de moyenne.
Moi : Super, je suis content de savoir que tu as aussi réussi ta session d’examens !
Jul : Il y a un petit bémol, j’ai tout juste la moyenne en droit constitutionnel, donc je dois bien revoir mon cours afin de pouvoir suivre correctement la suite des exposés sur cette matière.
Moi : Tu sais Juju, tu as peut-être juste la moyenne dans cette branche, mais tu peux être très fier de toi.
Sté : Bien sûr que tu peux être très fier de toi. Moi je suis fière de mon frère, ça tu peux le croire.
Mam : Bien entendu que nous sommes tous fiers de toi Julien, tu es très méritant. Allez viens dans mes bras.
Julien s’avance vers maman qui le prend dans ses bras pour lui faire un gros câlin. Les deux filles se joignent à eux. Pour ma part je vais auprès de papa et je lui donne un bisou sur la joue.
Nous sommes assis dans le salon. Juju à côté de moi dans le divan ainsi que les deux filles. C’est alors que Julien me demande :
Jul : Et toi Phil, tu as eu tes résultats ?
Moi : Oui, j’ai obtenu septante-deux pour cent.
Jul : Super, félicitations.
Moi : Merci. (Juju vient me donner un petit bisou sur la bouche.)
Papa : C’est très bien mon fils. Je suis fier de vous les garçons. Alors mes deux demoiselles, elles en sont où ?
Sté : J’ai eu soixante-quatre !
Del : Moi j’ai eu soixante-huit.
Papa : Mais c’est très bien, vous avez tous très bien travaillé. Je suis très fier de vous quatre.
Tous : Merci !
Papa : Je vous propose de fêter ça, je vous invite au restaurant.
Tous : Super. »
Nous passons un très belle soirée. Nous sommes au Chinois pour une fois changer. C’est très bon ! Nous mangeons des mets assez raffinés tout compte fait. Il faut dire que les plats sont bien assaisonnés avec des mélanges de saveurs parfois subtiles allant du sucré au salé en passant par l’aigre-doux. Nous terminons par un dessert traditionnel : des litchis. Bien entendu il y a le saqué pour clore le repas. Maman et papa font l’impasse car ils doivent reprendre le volant des deux voitures. Il faut dire que nous, les quatre enfants, nous avons profité des boissons qui accompagnent les plats et que nous ne sommes pas en état de conduire.
Une fois à la maison, c’est l’occasion de remercier nos parents pour cet excellent souper au resto chinois. Nous sommes encore tous félicités pour la réussite de nos examens. Il est alors temps de rejoindre nos lits pour nous laisser aller dans les bras de Morphée.
Déjà merci à vous de me suivre dans cette saga!
Je vous embrasse!
Philou
Chapitre 32.
Vitesse de croisière.
C’est le jour de la reprise des cours et donc le moment de connaître les résultats de la session d’examens. Nous sommes, Juju et moi, assez confiants, mais il subsiste toujours un peu d’appréhension. Bref nous nous séparons pour nous rendre dans notre faculté.
Les résultats sont affichés aux valves ad-hoc. Je trouve mon nom dans la liste, par ordre alphabétique pour chaque cours. Je peux voir que je suis parmi les bons étudiants de ma section. Ma moyenne de septante-deux pour cent ! Je suis un peu à la limite pour le cours d’anglais, j’ai un peu plus que la moyenne. Je ne sais pas comment ça s’est passé pour Juju, nous nous verrons probablement au moment du repas.
Je rejoins mes copains au cours de chimie. Le prof semble assez content de la classe, le taux de réussite est de soixante et quelque pour cent. Nous poursuivons les cours et ensuite le labo. Je n’ai pas vu Juju à l’heure de midi, en fait il avait cours un peu plus tard en fin de matinée. De plus les horaires ont un peu changé, il semble que ça arrive après chaque trimestre.
Comme le dernier cours de la journée est annulé, le prof étant absent, je décide de rentrer à la maison. Julien quant à lui a semble-t-il encore deux heures de cours. Je me vois très mal attendre pendant deux heures sur le campus.
Je suis à peine entré dans le hall que maman déboule de la cuisine, je vois à son regard qu’elle a une question qui lui brûle les lèvres : « Phil as-tu tes résultats d’examens ? ». Je ne laisse pas maman la poser, je lui fais un large sourire qui en dit long, soit que j’ai réussi. Je vois alors le visage de maman qui change, elle affiche elle aussi un sourire radieux. Je m’avance vers elle et je dépose un bisou sur sa joue. Puis je lui dis :
Moi : « Bien sûr que j’ai réussi. J’ai plus de septante pour cent de moyenne !
Mam : Je suis soulagée. Bravo mon grand, je suis fière de toi.
Moi : Merci maman. Moi aussi je suis très content de moi : aucun échec, c’est un peu juste en anglais.
Mam : Super, je me sens beaucoup plus légère tout d’un coup.
Moi : Ça ne sert à rien de stresser, tu te fais de la bile pour rien.
Mam : Je sais, mais tu sais Phil, une mère c’est comme ça, elle pense à ses enfants et à leurs études.
Moi : Je sais maman, tu es merveilleuse. Merci.
Je dépose un nouveau bisou sur la joue de ma chère maman. Je suis heureux d’être son fils. Je l’avise que je n’ai plus vu Julien depuis le début des cours et qu’il avait encore deux heures à suivre avant d’avoir fini sa journée.
Maman m’amène à la cuisine et nous prépare un chocolat chaud. Elle a fait des galettes comme encas. Elle est incroyable, elle pense à sa famille. Nous en profitons pour discuter de choses et d’autres. Je lui dis :
Moi : Maman, pour les vacances d’été, je souhaite partir au bord de la mer, soit en Bretagne ou soit en Vendée.
Mam : C’est une bonne idée, je comprends très bien que vous souhaitez être à deux, sans la famille.
Moi : Tu sais Maman, nous pouvons aussi partir en famille, cela dépend des filles, mais aussi de vos désirs à toi et papa.
Mam : Mais tu es toujours attentif aux autres et à la famille, tu es incroyable.
Moi : Mais c’est normal, je vous aime tous et Juju aussi.
Mam : Nous aussi nous vous aimons les deux filles et vous mes deux garçons.
Moi : De toute manière nous avons encore le temps d’y repenser plus tard. »
Nous entendons la porte d’entrée s’ouvrir, ce sont Delphine et Stéphanie qui rentrent.
Je vois qu’elles sont souriantes, tout laisse donc supposer qu’elles aussi ont réussi leurs examens. Je laisse le soin à maman de leur poser la question. De fait, Delphine a obtenu soixante-huit pour cent et Stéphanie a soixante-quatre pour cent. Inutile de dire que maman les enlace et dépose sur leurs joues quelques bisous. Une fois que maman cesse de les enlacer, c’est moi qui viens les prendre dans les bras. Je leur dis que j’ai aussi très bien travaillé et que ma moyenne est septante-deux pour cent. Elles me couvrent de bisous à leur tour.
Stéphanie me demande si j’ai des nouvelles de Julien, je lui réponds qu’il avait encore deux heures de cours et que je ne l’ai pas vu sur le temps de midi. J’ajoute aussi que j’ai hâte de le voir et de savoir s’il s’en est bien sorti.
Nous nous installons autour de la table de la salle à manger. Maman nous apporte du café et des biscuits. C’est le moment de décompresser et de parler d’autre chose que des examens et des cours. Je ne sais pas, mais c’est Delphine qui nous demande si nous avons prévu quelque chose pour les grandes vacances ! Je regarde maman avec qui j’avais eu la même discussion avant que les deux filles ne reviennent. Nous échangeons un petit sourire complice !
Maman, fidèle à ce qu’elle m’avait dit, propose : soit qu’elles partent à elles deux ou alors en famille, c’est-à-dire toute la famille ensemble dans un gîte. Maman ajoute que j’avais suggéré d’aller au bord de la mer, soit en Bretagne soit en Vendée. Je vois que Stéphanie et Delphine se regardent, elles semblent avoir fait leur choix d’un simple regard et en même temps elles nous disent : « À la mer en famille » !
Alors que nous débarrassons la table j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Je vais voir si c’est Julien ou papa. En fait ils sont là tous les deux-. Je vais vers mon Juju d’amour et je vois qu’il affiche une mine à la fois réjouie avec un regard qui me semble mitigé. Je l’embrasse et nous rejoignons les autres dans la salle à manger.
Papa : « Voilà, j’ai fini un peu plus tôt, Julien m’a téléphoné pour savoir si je pouvais le prendre pour rentrer ou s’il devait prendre le tram et le bus.
Jul : Oui, j’ai terminé les cours assez tard alors, pour gagner du temps sur le trajet, j’ai sonné à papa Alain.
Moi : Alors mon amour, as-tu eu tes résultats ?
Jul : Oui, j’ai soixante-neuf de moyenne.
Moi : Super, je suis content de savoir que tu as aussi réussi ta session d’examens !
Jul : Il y a un petit bémol, j’ai tout juste la moyenne en droit constitutionnel, donc je dois bien revoir mon cours afin de pouvoir suivre correctement la suite des exposés sur cette matière.
Moi : Tu sais Juju, tu as peut-être juste la moyenne dans cette branche, mais tu peux être très fier de toi.
Sté : Bien sûr que tu peux être très fier de toi. Moi je suis fière de mon frère, ça tu peux le croire.
Mam : Bien entendu que nous sommes tous fiers de toi Julien, tu es très méritant. Allez viens dans mes bras.
Julien s’avance vers maman qui le prend dans ses bras pour lui faire un gros câlin. Les deux filles se joignent à eux. Pour ma part je vais auprès de papa et je lui donne un bisou sur la joue.
Nous sommes assis dans le salon. Juju à côté de moi dans le divan ainsi que les deux filles. C’est alors que Julien me demande :
Jul : Et toi Phil, tu as eu tes résultats ?
Moi : Oui, j’ai obtenu septante-deux pour cent.
Jul : Super, félicitations.
Moi : Merci. (Juju vient me donner un petit bisou sur la bouche.)
Papa : C’est très bien mon fils. Je suis fier de vous les garçons. Alors mes deux demoiselles, elles en sont où ?
Sté : J’ai eu soixante-quatre !
Del : Moi j’ai eu soixante-huit.
Papa : Mais c’est très bien, vous avez tous très bien travaillé. Je suis très fier de vous quatre.
Tous : Merci !
Papa : Je vous propose de fêter ça, je vous invite au restaurant.
Tous : Super. »
Nous passons un très belle soirée. Nous sommes au Chinois pour une fois changer. C’est très bon ! Nous mangeons des mets assez raffinés tout compte fait. Il faut dire que les plats sont bien assaisonnés avec des mélanges de saveurs parfois subtiles allant du sucré au salé en passant par l’aigre-doux. Nous terminons par un dessert traditionnel : des litchis. Bien entendu il y a le saqué pour clore le repas. Maman et papa font l’impasse car ils doivent reprendre le volant des deux voitures. Il faut dire que nous, les quatre enfants, nous avons profité des boissons qui accompagnent les plats et que nous ne sommes pas en état de conduire.
Une fois à la maison, c’est l’occasion de remercier nos parents pour cet excellent souper au resto chinois. Nous sommes encore tous félicités pour la réussite de nos examens. Il est alors temps de rejoindre nos lits pour nous laisser aller dans les bras de Morphée.