01-09-2021, 01:16 PM
(Modification du message : 01-09-2021, 07:10 PM par laurentdu51100.)
CHAPITRE 86 : « Imperia » « Antonin »
« Appartements impériaux, chambre de l’empereur. »
Le médecin nouvellement désigné pour s’occuper de l’empereur et des hauts dignitaires de l’Imperium, ressort de la chambre avec une moue visiblement contrariée.
L’évanouissement de Sa Majesté, il l’a bien compris, est dû à l’inquiétude croissante de ce dernier envers la disparition de l’unique, ajouter à cela l’invasion de ces dernières semaines qui n’a pas été pour arranger les choses.
Lorgan l’attend dans le couloir pour pouvoir lui parler et surtout connaître le diagnostic du spécialiste.
- Alors docteur, comment va-t-il ?
- Sa Majesté s’en remettra, il lui faut juste du repos et surtout lui éviter les mauvaises nouvelles tant qu’il n’ira pas mieux. Son énergie a été épuisée par le stress, des choses graves se sont sans doute passées dernièrement qui l’ont mis dans cet état.
- On peut dire ça comme ça en effet.
- Sa Majesté est dans un état proche de la dépression, il lui faut beaucoup de calme et de repos, d’ici quelques jours cela devrait aller mieux. C’est également valable pour vous jeune homme.
- Entendu !! Merci Docteur.
Lorgan laisse le spécialiste s’éloigner alors que son front se plisse et qu’il libère l’état de tension qu’il retenait jusque-là par un profond soupir, étant lui-même très proche de la dépression après ces dernières nouvelles qui l’ont amené au palais quelques heures plus tôt.
La disparition de Florian et maintenant la détresse de Thomas, c’en est beaucoup trop pour un jeune Elfe dont la race est bien connue, sur « PENN » tout du moins, pour sa propension au suicide dès que la contrariété devient incontrôlable.
Le médecin en a peut-être vu les signes mais n’en a pas perçu le danger, heureusement il reste à Lorgan quelqu’un de suffisamment proche pour s’en inquiéter et arriver au bon moment pour empêcher le vase émotionnel du jeune prince Elfe de déborder.
Celui qui a le titre de grand chambellan mais que tous quand il n’entend pas appellent l’amant impérial, apparaît alors à l’angle du couloir et se précipite juste à temps pour rattraper Lorgan qui commençait à s’affaisser sous la forte pression psychologique du moment.
Antonin le maintient contre lui en s’étonnant qu’il soit aussi léger et qu’un gringalet comme lui, arrive sans trop d’effort à le porter.
Lorgan ouvre les yeux pour se retrouver dans ceux d’Antonin, un petit sourire confus lui vient alors, tandis que ses bras viennent s’enrouler autour de son cou avec une douceur telle qu’elle lui amène le frisson.
Lorgan voit alors combien il compte également pour ce dernier, amant de l’unique avec qui il n’a jamais vraiment partagé de moment privilégié comme ceux de ces derniers temps avec Thomas.
Peut-être, sans doute même, parce qu’il ne voit Antonin que dans le rôle passif qui est également essentiellement le sien, l’idée lui est restée sans preuve concrète, juste parce que leur physique à tous les deux le laisse à penser.
L’intérêt ne lui est donc jamais venu d’avoir une relation autre qu’amicale, le considérant juste comme amant reconnu de l’empereur et de l’unique, du moins jusqu’à cet instant où il se retrouve dans ses bras.
Lorgan sent bien la force virile tranquille de celui qui le soutient toujours, force qui étrangement aujourd’hui ne lui est pas indifférente.
Ses yeux papillonnent alors d’une envie soudaine qui le prend le premier au dépourvu, s’attendant à tout mais sûrement pas à ces pensées qui lui viennent brusquement et ce sans crier gare.
Antonin s’en étonne d’abord avant de s’en amuser, lisant comme à livre ouvert les émotions apparaissant sur le visage angélique du jeune Elfe.
Une envie ou plutôt une pulsion soudaine lui fait l’embrasser avec une passion qui le surprend lui-même le premier, leur amitié quoique forte n’ayant jamais été jusqu’à avoir ce genre d’effusion impulsive.
Ce n’est qu’une fois à bout de souffle qu’il détache ses lèvres de celle de Lorgan, tout en remarquant bien l’état devenu rêveur et alangui du jeune Elfe.
Antonin s’en trouve soudainement tout chamboulé à son tour, une envie lui vient alors sur un coup de sang et ses bras qui maintenaient simplement debout Lorgan, le prennent maintenant de façon à le porter et c’est sans plus réfléchir qu’il l’emmène jusqu’à sa chambre, cette dernière heureusement très proche de celle de Thomas.
Lorgan se laisse emporter en devenant encore plus câlin, ses bras toujours autour du cou d’Antonin le resserre avec encore plus de douceur, sa joue à la peau de velours venant se frotter langoureusement par petites touches contre celle de son ami.
Le comportement de Lorgan ne prête plus maintenant à aucune erreur quant à son envie qu'on lui fasse l’amour, aussi Antonin ne ressent pas le besoin d’en avoir confirmation quand il l’allonge doucement sur le lit et qu’il l’effeuille de ses vêtements, en prenant le temps du régal des yeux entre chaque pièce d’habillement tombant sur le sol.
Lorgan n’en peut plus, cette lenteur lui met les nerfs à fleur de peau, n’attendant que le moment où il sera sien, rempli de cette chair durcie qu’il devine sous le pantalon de toile que porte toujours son futur étalon.
Antonin ressent bien l’empressement de son partenaire, pourtant cela ne change rien à cette lenteur exaspérante mais calculée qu’il met pour en venir à ses fins.
L’idée étant de marquer suffisamment l’esprit du jeune Elfe pour que le désir reste et que cette occasion exceptionnelle puisse avoir rapidement l’opportunité de se reproduire le plus souvent possible.
C’est donc avec la même lenteur calculée qu’il ôte à son tour un à un ses vêtements, sous l’œil devenu fou de passion de celui qui jusque-là avait bien trop souvent décliné de participer aux ébats à plusieurs qu’aussi bien Thomas que Florian apprécie.
Le jeune prince Elfe malgré tout finit par se rendre compte de son petit jeu et loin de s’en offusquer bien au contraire, il décide d’y mettre sa touche en prenant une position qu’il sait avoir un effet ravageur sur ses amoureux.
Il se soulève donc du matelas pour se retourner et se mettre en position à genoux torse plaqué sur le drap et fesses bien cambrées en arrière, laissant apparaître aussi bien l’œillet rose palpitant d’envie, que le service trois pièces joliment exposé à la vue sous cet angle encore plus érotique s’il en faut.
Comme il fallait s’y attendre, Antonin est pris dans le filet, arrachant presque la dernière pièce de tissu le couvrant encore avant de venir à son tour s’agenouiller sur le sol pour avoir son visage à hauteur des présents exposés, présents qu’il s’empresse de prendre nerveusement en mains et en bouche.
Dire que Lorgan n’attendait que ça serait une bien mince description de la scène se déroulant alors, scène où les jappements se joignent aux grognements, alors que leur cerveau explose sous les sensations des plaisirs multiples qui y affluent.
L’un de par ses palpations et ses coups de langues, l’autre par les résultats que ces mêmes palpations et coups de langue ont sur son corps devenu d’une sensibilité telle, que le moindre souffle lui envoie un millier de picotements des plus jouissifs.
Antonin n’y tient plus alors que son sexe laisse perler un long fil d’Ariane jusqu’au sol où une petite flaque de précum commence à se former, il se redresse d’un mouvement souple pour venir le positionner là où il est attendu avec la nervosité de l’impatience.
Le premier toucher amène un long frisson sur toute l’échine dorsale de Lorgan, qui tend un peu plus encore son derrière vers la chose qui bute maintenant sur sa cible avec la ferme intention de ne plus lâcher un millimètre de terrain.
Arrive alors ce qui doit arriver, quand la gorge de Lorgan émet ce son guttural de délivrance quand enfin les muscles cèdent sous la poussée et que la partie la plus épaisse fait son chemin, s’avançant avec une lenteur toujours calculée à l’intérieur de cette gaine délicieusement acceuillante et ce jusqu’à sa limite physique.
Antonin sait et pour cause combien ce moment peut être jouissif ou au contraire douloureux, aussi reste-t-il sans bouger en attendant que les premiers mouvements viennent de son partenaire qui ira suivant son désir et surtout son plaisir, il sera temps ensuite pour lui d’y amener sa virilité dans les quelques coups qui au final les délivreront dans, il le souhaite de tout cœur un orgasme commun.
« Appartements impériaux, chambre de l’empereur. »
Le médecin nouvellement désigné pour s’occuper de l’empereur et des hauts dignitaires de l’Imperium, ressort de la chambre avec une moue visiblement contrariée.
L’évanouissement de Sa Majesté, il l’a bien compris, est dû à l’inquiétude croissante de ce dernier envers la disparition de l’unique, ajouter à cela l’invasion de ces dernières semaines qui n’a pas été pour arranger les choses.
Lorgan l’attend dans le couloir pour pouvoir lui parler et surtout connaître le diagnostic du spécialiste.
- Alors docteur, comment va-t-il ?
- Sa Majesté s’en remettra, il lui faut juste du repos et surtout lui éviter les mauvaises nouvelles tant qu’il n’ira pas mieux. Son énergie a été épuisée par le stress, des choses graves se sont sans doute passées dernièrement qui l’ont mis dans cet état.
- On peut dire ça comme ça en effet.
- Sa Majesté est dans un état proche de la dépression, il lui faut beaucoup de calme et de repos, d’ici quelques jours cela devrait aller mieux. C’est également valable pour vous jeune homme.
- Entendu !! Merci Docteur.
Lorgan laisse le spécialiste s’éloigner alors que son front se plisse et qu’il libère l’état de tension qu’il retenait jusque-là par un profond soupir, étant lui-même très proche de la dépression après ces dernières nouvelles qui l’ont amené au palais quelques heures plus tôt.
La disparition de Florian et maintenant la détresse de Thomas, c’en est beaucoup trop pour un jeune Elfe dont la race est bien connue, sur « PENN » tout du moins, pour sa propension au suicide dès que la contrariété devient incontrôlable.
Le médecin en a peut-être vu les signes mais n’en a pas perçu le danger, heureusement il reste à Lorgan quelqu’un de suffisamment proche pour s’en inquiéter et arriver au bon moment pour empêcher le vase émotionnel du jeune prince Elfe de déborder.
Celui qui a le titre de grand chambellan mais que tous quand il n’entend pas appellent l’amant impérial, apparaît alors à l’angle du couloir et se précipite juste à temps pour rattraper Lorgan qui commençait à s’affaisser sous la forte pression psychologique du moment.
Antonin le maintient contre lui en s’étonnant qu’il soit aussi léger et qu’un gringalet comme lui, arrive sans trop d’effort à le porter.
Lorgan ouvre les yeux pour se retrouver dans ceux d’Antonin, un petit sourire confus lui vient alors, tandis que ses bras viennent s’enrouler autour de son cou avec une douceur telle qu’elle lui amène le frisson.
Lorgan voit alors combien il compte également pour ce dernier, amant de l’unique avec qui il n’a jamais vraiment partagé de moment privilégié comme ceux de ces derniers temps avec Thomas.
Peut-être, sans doute même, parce qu’il ne voit Antonin que dans le rôle passif qui est également essentiellement le sien, l’idée lui est restée sans preuve concrète, juste parce que leur physique à tous les deux le laisse à penser.
L’intérêt ne lui est donc jamais venu d’avoir une relation autre qu’amicale, le considérant juste comme amant reconnu de l’empereur et de l’unique, du moins jusqu’à cet instant où il se retrouve dans ses bras.
Lorgan sent bien la force virile tranquille de celui qui le soutient toujours, force qui étrangement aujourd’hui ne lui est pas indifférente.
Ses yeux papillonnent alors d’une envie soudaine qui le prend le premier au dépourvu, s’attendant à tout mais sûrement pas à ces pensées qui lui viennent brusquement et ce sans crier gare.
Antonin s’en étonne d’abord avant de s’en amuser, lisant comme à livre ouvert les émotions apparaissant sur le visage angélique du jeune Elfe.
Une envie ou plutôt une pulsion soudaine lui fait l’embrasser avec une passion qui le surprend lui-même le premier, leur amitié quoique forte n’ayant jamais été jusqu’à avoir ce genre d’effusion impulsive.
Ce n’est qu’une fois à bout de souffle qu’il détache ses lèvres de celle de Lorgan, tout en remarquant bien l’état devenu rêveur et alangui du jeune Elfe.
Antonin s’en trouve soudainement tout chamboulé à son tour, une envie lui vient alors sur un coup de sang et ses bras qui maintenaient simplement debout Lorgan, le prennent maintenant de façon à le porter et c’est sans plus réfléchir qu’il l’emmène jusqu’à sa chambre, cette dernière heureusement très proche de celle de Thomas.
Lorgan se laisse emporter en devenant encore plus câlin, ses bras toujours autour du cou d’Antonin le resserre avec encore plus de douceur, sa joue à la peau de velours venant se frotter langoureusement par petites touches contre celle de son ami.
Le comportement de Lorgan ne prête plus maintenant à aucune erreur quant à son envie qu'on lui fasse l’amour, aussi Antonin ne ressent pas le besoin d’en avoir confirmation quand il l’allonge doucement sur le lit et qu’il l’effeuille de ses vêtements, en prenant le temps du régal des yeux entre chaque pièce d’habillement tombant sur le sol.
Lorgan n’en peut plus, cette lenteur lui met les nerfs à fleur de peau, n’attendant que le moment où il sera sien, rempli de cette chair durcie qu’il devine sous le pantalon de toile que porte toujours son futur étalon.
Antonin ressent bien l’empressement de son partenaire, pourtant cela ne change rien à cette lenteur exaspérante mais calculée qu’il met pour en venir à ses fins.
L’idée étant de marquer suffisamment l’esprit du jeune Elfe pour que le désir reste et que cette occasion exceptionnelle puisse avoir rapidement l’opportunité de se reproduire le plus souvent possible.
C’est donc avec la même lenteur calculée qu’il ôte à son tour un à un ses vêtements, sous l’œil devenu fou de passion de celui qui jusque-là avait bien trop souvent décliné de participer aux ébats à plusieurs qu’aussi bien Thomas que Florian apprécie.
Le jeune prince Elfe malgré tout finit par se rendre compte de son petit jeu et loin de s’en offusquer bien au contraire, il décide d’y mettre sa touche en prenant une position qu’il sait avoir un effet ravageur sur ses amoureux.
Il se soulève donc du matelas pour se retourner et se mettre en position à genoux torse plaqué sur le drap et fesses bien cambrées en arrière, laissant apparaître aussi bien l’œillet rose palpitant d’envie, que le service trois pièces joliment exposé à la vue sous cet angle encore plus érotique s’il en faut.
Comme il fallait s’y attendre, Antonin est pris dans le filet, arrachant presque la dernière pièce de tissu le couvrant encore avant de venir à son tour s’agenouiller sur le sol pour avoir son visage à hauteur des présents exposés, présents qu’il s’empresse de prendre nerveusement en mains et en bouche.
Dire que Lorgan n’attendait que ça serait une bien mince description de la scène se déroulant alors, scène où les jappements se joignent aux grognements, alors que leur cerveau explose sous les sensations des plaisirs multiples qui y affluent.
L’un de par ses palpations et ses coups de langues, l’autre par les résultats que ces mêmes palpations et coups de langue ont sur son corps devenu d’une sensibilité telle, que le moindre souffle lui envoie un millier de picotements des plus jouissifs.
Antonin n’y tient plus alors que son sexe laisse perler un long fil d’Ariane jusqu’au sol où une petite flaque de précum commence à se former, il se redresse d’un mouvement souple pour venir le positionner là où il est attendu avec la nervosité de l’impatience.
Le premier toucher amène un long frisson sur toute l’échine dorsale de Lorgan, qui tend un peu plus encore son derrière vers la chose qui bute maintenant sur sa cible avec la ferme intention de ne plus lâcher un millimètre de terrain.
Arrive alors ce qui doit arriver, quand la gorge de Lorgan émet ce son guttural de délivrance quand enfin les muscles cèdent sous la poussée et que la partie la plus épaisse fait son chemin, s’avançant avec une lenteur toujours calculée à l’intérieur de cette gaine délicieusement acceuillante et ce jusqu’à sa limite physique.
Antonin sait et pour cause combien ce moment peut être jouissif ou au contraire douloureux, aussi reste-t-il sans bouger en attendant que les premiers mouvements viennent de son partenaire qui ira suivant son désir et surtout son plaisir, il sera temps ensuite pour lui d’y amener sa virilité dans les quelques coups qui au final les délivreront dans, il le souhaite de tout cœur un orgasme commun.
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