31-08-2021, 05:38 PM
Je suis là au bord de l’eau depuis cinq minutes, je me suis calmé, mais je repense à Henri, puis je vois Ben et Gaby, puis tous ceux que j’aime. J’en connais du monde finalement. Je me retourne alors que Valentin arrive près de moi, il est à quelques enjambées. Il se place à côté de moi, il ne dit rien. Nous regardons vers le large. Le soleil commence à descendre, mais nous avons encore bien le temps, de profiter de cette plage.
Val dit alors :
Val : « Tu sais Phil, nous sommes tous un jour ou l’autre confrontés à des problèmes, à des personnes violentes, à des enragés, à des trouillards aussi, ceux qui s’encourent dès le moindre mouvement suspect.
Moi : Heu, oui !
Val : Puis il y a ceux, ils sont rares, ceux qui font face, qui ont de l’empathie pour ceux qui ont besoin d’aide et qui agissent.
Moi : Oui, et ?
Val : Tu es de cette catégorie, celle des « Saint-bernard » !
Ce n’est pas la première fois que j’entends cette réflexion, je sais où Val veut en venir. Je le laisse faire.
Moi : Oui, on me l’a déjà dit !
Val : Tu as assez souffert Phil, Chris m’a expliqué ainsi que Ben, ton premier ami Henri te manque car cela va faire un an qu’il est mort. Mais il n’y a pas qu’Henri, il y a les autres que tu as aidés, comme Gaby, comme ceux que tu vas encore croiser et auxquels tu donneras le meilleur de toi.
Moi : Pourquoi tu me dis tout ça Val ?
Val : Tout simplement pour te remonter le moral et parce que c’est mon futur métier, je suis des cours de psychologie.
Moi : Ah, OK !
Val : Tu as de très bons amis, Ben t’aime, ta famille et celle de Ben vous soutiennent, alors tu dois pouvoir aller de l’avant, tu dois penser à l’avenir. Tu peux penser à Henri, c’est normal, on n’oublie pas quelqu’un qu’on a aimé, mais il reste ceux qu’on aime, Ben, les deux familles, tes meilleurs amis. Puis tu dois trouver un équilibre pour faire face aux belles choses et aux moins belles choses de la vie, et si tu as un souci, tu te tournes vers ceux en qui tu as confiance et qui vont t’apporter le soutien désiré.
Moi : Merci Val. Tu sais, je n’aime pas être le centre d’intérêt.
Val : Je l’ai tout de suite vu. Bon, tu reviens près de nous ?
Moi : Oui, merci, tu es super sympa.
Val : Tu m’appelles quand tu veux. Si tu veux parler, je suis là aussi !
Moi : Merci à toi. »
Nous revenons vers le reste du groupe. Ben s’avance et vient me prendre par les épaules, Chris vient me donner un bisou sur la joue, les autres me montrent leur beau sourire. Je prends alors place sur mon drap de plage et nous racontons des histoires et des récits marrants pour rire tous ensemble de bon cœur.
Il est temps de rentrer. Nous nous faisons la bise et nous nous donnons rendez-vous le surlendemain. Demain c’est une journée en famille. Je vais enfin pouvoir offrir mon petit cadeau, des crêpes. Nous reprenons les vélos et nous roulons jusqu’à la villa à Belz.
Nous sommes attendus pour l’apéro. Comme nous avons encore un peu de temps, nous nous dévêtons pour plonger, nus, dans la piscine. Nous nous débarrassons du sable et du sel marin, qui collent sur notre peau. Nous nous amusons ainsi un bon quart d’heure.
Pour le repas, nous enfilons un short. D’abord apéro, un verre de kir chacun. Ensuite nous passons à table. Elle est installée sur la terrasse. C’est un plat froid avec du poisson en terrine, de la charcuterie, des légumes et des pâtes froides, le tout accompagné d’un rosé bien frais.
Le repas terminé, nous partons tous ensemble pour une petite balade digestive. Ben en profite pour demander à Yves, son père, ce qu’il y avait de prévu au programme de la journée prochaine. La réponse faite est : « C’est une surprise ! ». Christine aussi tente de savoir quoi aussi bien du côté paternel que du côté maternel, mais rien n’y fait, la même réponse : « C’est une surprise ! ». Nous voilà donc bien avancés !
Je profite d’un moment où je suis à côté d’Arlette pour lui rappeler que je compte bien offrir mon cadeau gourmand, soit un repas « crêpes ». Elle me dit qu’il n’y a pas de souci, ce sera une sorte de goûter – souper. Je la remercie et nous poursuivons notre promenade.
De retour à la villa, nous profitons des derniers rayons de soleil pour plonger une dernière fois dans la piscine. Nous sommes tous dans l’eau, même Arlette. Inutile de dire que nous sommes nus. C’est un chahut bon enfant, nous nous éclaboussons, entre jeunes nous nous coulons les uns les autres, Arlette et Yves sont quant à eux enlacés, assis sur les marches de la piscine.
Ben est déjà couché dans le lit, il attend que je termine de me laver les dents à la salle de bain. Je regarde les fils de suture, je pense que je vais pouvoir bientôt les faire enlever. Je regarde mon visage « poilu », ma barbe a pris un peu plus d’ampleur. Finalement je rejoins Ben dans la chambre. Nous sommes tous les deux nus, comme nous en avons l’habitude.
Ben pose ses mains sur mon corps et commence à le caresser. Mes mains ne restent pas inactives, elles aussi se posent sur le torse de Ben. Nous nous caressons et nos bouches s’unissent pour un baiser tant attendu et désiré. Nos langues se cherchent, se trouvent et dansent ensemble pour notre plus grand bonheur. Mes fils ne me font plus mal aux lèvres, mais Ben fait toujours attention. Nos pénis prennent déjà du volume, mon gland est déjà humide sous le prépuce. Nos mains viennent alors se poser sur nos protubérances dressées, nos doigts s’emparent de ces tiges de chair, ils montent et descendent lentement en variant la pression exercée.
Je dis à Ben que je préfère encore attendre avant de lui faire une gâterie avec la bouche, je crains pour les sutures. Ben est d’accord et nous nous masturbons mutuellement et langoureusement jusqu’à ce que nos semences se déversent sur nos doigts et nos ventres. Des « Je t’aime » sont prononcés de part et d’autre. Oui j’aime mon Ben et je sais que lui aussi m’aime. Nous nous essuyons avant de nous enlacer.
Nous discutons un moment et je pose cette question à Ben :
Moi : « Tu ne sais pas où nous allons passer la journée ? J’ai hâte d’être à demain !
Ben : Non, je n’en ai aucune idée et comme toi j’ai envie de savoir ce que nous allons bien pouvoir faire en famille.
Moi : Il y a tellement de choses à voir et à visiter. J’ai entendu parler du site de « Carnac », c’est un alignement de menhirs.
Ben : Oui c’est juste, j’ai vu des photos dans une revue touristique. Ce serait bien d’aller là-bas.
Moi : Puis il y a des phares et autres ports de pêche à voir.
Ben : C’est juste ! Nous voilà bien, nous ne sommes pas plus avancés.
Moi : Au fait Ben, je trouve que tes parents sont assez cools, ils se baignent nus avec nous !
Ben : Oui, je pense que maman a pu se débarrasser de ses peurs.
Moi : Tu ne peux pas savoir comme je passe de bonnes vacances avec ta famille.
Ben : Et moi donc, je suis si heureux de t’avoir auprès de moi.
Moi : Que penses-tu de nos amis rencontrés sur la plage ?
Ben : Ils sont tous supers. Ils sont très ouverts d’esprits. J’ai envie de les inviter dans deux jours pour un barbecue ici à la villa.
Moi : Quelle bonne idée. Tu crois que tes parents seront d’accord ?
Ben : On ne risque rien à leur demander. Je vais le faire dès demain.
Moi : Tu sais Ben, je t’aime !
Ben : Moi aussi je t’aime Phil. »
Nous nous embrassons avant de couper la lampe de chevet. Il ne nous a fallu que quelques minutes avant de nous retrouver au pays des rêves. Je me suis endormi avec l’image de Ben affichant un très beau sourire avec sa tignasse blonde et ses yeux bleus. Je me sens très heureux et très apaisé dans ses bras.
Le soleil est déjà au beau fixe. Nous sommes réveillés par Denis, il a fait ça en douceur. Une fois les yeux ouverts, nous voyons qu’il affiche un large sourire en nous regardant. Puis je me rends compte que j’ai la gaule du matin, tout comme Ben d’ailleurs. Je dis alors à Denis :
Moi : « Oh là Denis, tu changes d’orientation ?
Den : Non Phil, mais je vous trouve beaux, c’est tout. La nudité masculine, telle que la-vôtre, est une belle chose à voir.
Ben : Oui, c’est ça. Mais c’est : « pas touche », il n’y a que Phil qui peut en profiter.
Den : Allez debout les deux adonis. Le petit-déjeuner est servi.
Ben et moi : OK, on arrive ! »
Effectivement je sens une très bonne odeur de café qui flotte dans l’air ainsi que des effluves de viennoiseries encore un peu chaudes. Nous passons vite sous la douche pour nous rafraîchir, avant de descendre et d’aller sur la terrasse pour nous repaître de ce succulent repas.
Val dit alors :
Val : « Tu sais Phil, nous sommes tous un jour ou l’autre confrontés à des problèmes, à des personnes violentes, à des enragés, à des trouillards aussi, ceux qui s’encourent dès le moindre mouvement suspect.
Moi : Heu, oui !
Val : Puis il y a ceux, ils sont rares, ceux qui font face, qui ont de l’empathie pour ceux qui ont besoin d’aide et qui agissent.
Moi : Oui, et ?
Val : Tu es de cette catégorie, celle des « Saint-bernard » !
Ce n’est pas la première fois que j’entends cette réflexion, je sais où Val veut en venir. Je le laisse faire.
Moi : Oui, on me l’a déjà dit !
Val : Tu as assez souffert Phil, Chris m’a expliqué ainsi que Ben, ton premier ami Henri te manque car cela va faire un an qu’il est mort. Mais il n’y a pas qu’Henri, il y a les autres que tu as aidés, comme Gaby, comme ceux que tu vas encore croiser et auxquels tu donneras le meilleur de toi.
Moi : Pourquoi tu me dis tout ça Val ?
Val : Tout simplement pour te remonter le moral et parce que c’est mon futur métier, je suis des cours de psychologie.
Moi : Ah, OK !
Val : Tu as de très bons amis, Ben t’aime, ta famille et celle de Ben vous soutiennent, alors tu dois pouvoir aller de l’avant, tu dois penser à l’avenir. Tu peux penser à Henri, c’est normal, on n’oublie pas quelqu’un qu’on a aimé, mais il reste ceux qu’on aime, Ben, les deux familles, tes meilleurs amis. Puis tu dois trouver un équilibre pour faire face aux belles choses et aux moins belles choses de la vie, et si tu as un souci, tu te tournes vers ceux en qui tu as confiance et qui vont t’apporter le soutien désiré.
Moi : Merci Val. Tu sais, je n’aime pas être le centre d’intérêt.
Val : Je l’ai tout de suite vu. Bon, tu reviens près de nous ?
Moi : Oui, merci, tu es super sympa.
Val : Tu m’appelles quand tu veux. Si tu veux parler, je suis là aussi !
Moi : Merci à toi. »
Nous revenons vers le reste du groupe. Ben s’avance et vient me prendre par les épaules, Chris vient me donner un bisou sur la joue, les autres me montrent leur beau sourire. Je prends alors place sur mon drap de plage et nous racontons des histoires et des récits marrants pour rire tous ensemble de bon cœur.
Il est temps de rentrer. Nous nous faisons la bise et nous nous donnons rendez-vous le surlendemain. Demain c’est une journée en famille. Je vais enfin pouvoir offrir mon petit cadeau, des crêpes. Nous reprenons les vélos et nous roulons jusqu’à la villa à Belz.
Nous sommes attendus pour l’apéro. Comme nous avons encore un peu de temps, nous nous dévêtons pour plonger, nus, dans la piscine. Nous nous débarrassons du sable et du sel marin, qui collent sur notre peau. Nous nous amusons ainsi un bon quart d’heure.
Pour le repas, nous enfilons un short. D’abord apéro, un verre de kir chacun. Ensuite nous passons à table. Elle est installée sur la terrasse. C’est un plat froid avec du poisson en terrine, de la charcuterie, des légumes et des pâtes froides, le tout accompagné d’un rosé bien frais.
Le repas terminé, nous partons tous ensemble pour une petite balade digestive. Ben en profite pour demander à Yves, son père, ce qu’il y avait de prévu au programme de la journée prochaine. La réponse faite est : « C’est une surprise ! ». Christine aussi tente de savoir quoi aussi bien du côté paternel que du côté maternel, mais rien n’y fait, la même réponse : « C’est une surprise ! ». Nous voilà donc bien avancés !
Je profite d’un moment où je suis à côté d’Arlette pour lui rappeler que je compte bien offrir mon cadeau gourmand, soit un repas « crêpes ». Elle me dit qu’il n’y a pas de souci, ce sera une sorte de goûter – souper. Je la remercie et nous poursuivons notre promenade.
De retour à la villa, nous profitons des derniers rayons de soleil pour plonger une dernière fois dans la piscine. Nous sommes tous dans l’eau, même Arlette. Inutile de dire que nous sommes nus. C’est un chahut bon enfant, nous nous éclaboussons, entre jeunes nous nous coulons les uns les autres, Arlette et Yves sont quant à eux enlacés, assis sur les marches de la piscine.
Ben est déjà couché dans le lit, il attend que je termine de me laver les dents à la salle de bain. Je regarde les fils de suture, je pense que je vais pouvoir bientôt les faire enlever. Je regarde mon visage « poilu », ma barbe a pris un peu plus d’ampleur. Finalement je rejoins Ben dans la chambre. Nous sommes tous les deux nus, comme nous en avons l’habitude.
Ben pose ses mains sur mon corps et commence à le caresser. Mes mains ne restent pas inactives, elles aussi se posent sur le torse de Ben. Nous nous caressons et nos bouches s’unissent pour un baiser tant attendu et désiré. Nos langues se cherchent, se trouvent et dansent ensemble pour notre plus grand bonheur. Mes fils ne me font plus mal aux lèvres, mais Ben fait toujours attention. Nos pénis prennent déjà du volume, mon gland est déjà humide sous le prépuce. Nos mains viennent alors se poser sur nos protubérances dressées, nos doigts s’emparent de ces tiges de chair, ils montent et descendent lentement en variant la pression exercée.
Je dis à Ben que je préfère encore attendre avant de lui faire une gâterie avec la bouche, je crains pour les sutures. Ben est d’accord et nous nous masturbons mutuellement et langoureusement jusqu’à ce que nos semences se déversent sur nos doigts et nos ventres. Des « Je t’aime » sont prononcés de part et d’autre. Oui j’aime mon Ben et je sais que lui aussi m’aime. Nous nous essuyons avant de nous enlacer.
Nous discutons un moment et je pose cette question à Ben :
Moi : « Tu ne sais pas où nous allons passer la journée ? J’ai hâte d’être à demain !
Ben : Non, je n’en ai aucune idée et comme toi j’ai envie de savoir ce que nous allons bien pouvoir faire en famille.
Moi : Il y a tellement de choses à voir et à visiter. J’ai entendu parler du site de « Carnac », c’est un alignement de menhirs.
Ben : Oui c’est juste, j’ai vu des photos dans une revue touristique. Ce serait bien d’aller là-bas.
Moi : Puis il y a des phares et autres ports de pêche à voir.
Ben : C’est juste ! Nous voilà bien, nous ne sommes pas plus avancés.
Moi : Au fait Ben, je trouve que tes parents sont assez cools, ils se baignent nus avec nous !
Ben : Oui, je pense que maman a pu se débarrasser de ses peurs.
Moi : Tu ne peux pas savoir comme je passe de bonnes vacances avec ta famille.
Ben : Et moi donc, je suis si heureux de t’avoir auprès de moi.
Moi : Que penses-tu de nos amis rencontrés sur la plage ?
Ben : Ils sont tous supers. Ils sont très ouverts d’esprits. J’ai envie de les inviter dans deux jours pour un barbecue ici à la villa.
Moi : Quelle bonne idée. Tu crois que tes parents seront d’accord ?
Ben : On ne risque rien à leur demander. Je vais le faire dès demain.
Moi : Tu sais Ben, je t’aime !
Ben : Moi aussi je t’aime Phil. »
Nous nous embrassons avant de couper la lampe de chevet. Il ne nous a fallu que quelques minutes avant de nous retrouver au pays des rêves. Je me suis endormi avec l’image de Ben affichant un très beau sourire avec sa tignasse blonde et ses yeux bleus. Je me sens très heureux et très apaisé dans ses bras.
Le soleil est déjà au beau fixe. Nous sommes réveillés par Denis, il a fait ça en douceur. Une fois les yeux ouverts, nous voyons qu’il affiche un large sourire en nous regardant. Puis je me rends compte que j’ai la gaule du matin, tout comme Ben d’ailleurs. Je dis alors à Denis :
Moi : « Oh là Denis, tu changes d’orientation ?
Den : Non Phil, mais je vous trouve beaux, c’est tout. La nudité masculine, telle que la-vôtre, est une belle chose à voir.
Ben : Oui, c’est ça. Mais c’est : « pas touche », il n’y a que Phil qui peut en profiter.
Den : Allez debout les deux adonis. Le petit-déjeuner est servi.
Ben et moi : OK, on arrive ! »
Effectivement je sens une très bonne odeur de café qui flotte dans l’air ainsi que des effluves de viennoiseries encore un peu chaudes. Nous passons vite sous la douche pour nous rafraîchir, avant de descendre et d’aller sur la terrasse pour nous repaître de ce succulent repas.