26-08-2021, 09:27 AM
L’après-midi se passe dans une très belle ambiance. Nous reparlons de ce qui s’est passé au début des vacances d’été ! Nous revenons sur certains moments parfois loufoques et les délires de David lorsqu’il me chatouillait le matin, avec les conséquences qui vont avec. Maman et papa n’étaient pas au courant, ils ont donc appris ce que nous avons partagé comme moments de joie et aussi de peine, par exemple l’accident de mini-foot de Nathan. C’est aussi la découverte de l’amour entre Nathan et Manu, lorsque le premier était à l’hôpital.
Il est presque temps de rentrer à la maison. Au moment de partir, Julien et moi nous remercions encore ma tante et mon oncle pour toute l’attention apportée lors de notre séjour chez eux, moi dans la famille et Julien à l’hôpital. Nous nous faisons un câlin partagé à quatre. Ensuite je demande un service à David : je souhaite qu’il entre en contact avec l’hôpital et de savoir quand Claude, l’infirmier est de service durant la troisième semaine de janvier, ainsi que la psychologue et le médecin qui se sont occupés de Julien, sont en service. En un mot, je lui dis que nous voulons les revoir pour les remercier et montrer que maintenant tout va bien. David comprend que c’est important pour moi mais surtout pour mon chéri.
Nous embrassons toute la famille avant de reprendre la route. Nous sommes arrivés en deux voiture et pour le retour papa me demande si je veux reprendre le volant d’un véhicule et il fait la même demande à Julien. Je sais que papa aime entretenir le lien qui l’uni à mon chéri, je me propose alors de rentrer avec maman et de laisser Juju avec papa.
Lors du trajet de retour, j’ai l’occasion de discuter avec maman et les deux filles. Nous parlons de Julien. Sachant qu’il est avec papa, je peux dire ce que je pense. Je ne pense que du bien de mon chéri : il a progressé d’une très belle manière, il a fait son deuil et il est paré pour aller de l’avant et s’assumer entièrement. Les deux filles me félicitent pour tout ce que j’ai fait pour Juju. Je n’ai rien dit de la demande faite à David, c’est une surprise mais il faut qu’elle soit réalisable, et je pense que oui.
De retour à la maison nous nous mettons à revoir l’un ou l’autre cours car la session d’examens commence dans deux jours. Nous avons rejoint le grand bureau où nous nous mettons au travail. Pas la peine de dire qu’on peut entendre les mouches voler. Maman vient voir si nous voulons manger. Je lui demande seulement un bol de soupe avec deux biscottes. Julien dit alors que c’est une très bonne idée et qu’il prendra la même chose.
Les jours passent entre études et révisions des cours et les examens oraux ou écrits. Nous n’avons pas les mêmes horaires et de ce fait je suis souvent seul dans le bureau. Il y a parfois du soleil, alors je prends place dans la salle à manger : c’est si agréable d’avoir une telle lumière, ça aide pour réviser. Effectivement, il gèle à moins deux ou moins trois degrés à l’extérieur et de ce fait, en fonction de l’anticyclone qui domine, il n’y a pas de nuages.
Nous arrivons enfin au bout de cette cession d’examens. Nous aurons les résultats dans la huitaine. Nous sommes donc tranquilles pour quelques jours. Nous en profitons Julien et moi pour fréquenter la salle de sport de l’université. Nous rencontrons souvent les mêmes adeptes mais nous restons très attentifs pour ne pas dévoiler le lien qui nous unit.
Un soir, soit deux jours après la fin de nos examens, David me contacte pour nous donner des nouvelles de Claude, de la psy et du chirurgien. Ils seront tous présents à l’hôpital dans deux jours, soit le mercredi après-midi. Inutile de dire que j’en parle directement avec maman et lui demande de pouvoir disposer de sa voiture pour nous rendre dans cet établissement. Elle comprend très bien la démarche que je veux entreprendre et elle accepte. J’ajoute que Julien n’est pas au courant.
Quel bonheur d’être avec Julien. Il a vraiment repris son destin en main. Une fois couchés dans notre lit, il me regarde, les yeux dans les yeux. Je retrouve son regard plein de malice et d’amour. Il me dit alors : « Merci Phil de m’aimer, tu es mon ange » ! Inutile de dire que j’en ai la chair de poule, les poils de mes bras sont hérissés comme jamais. Mon Juju me remercie de l’amour que je lui porte. Mais je sais que mon chéri m’aime lui aussi et de plus en plus.
Comme réponse, je penche mon visage vers le sien. Nos lèvres se rejoignent, nous nous embrassons, laissant nos langues se rejoindre. Nous sommes une nouvelle fois sur notre nuage, tous nos sens sont en ébullition, nos mains s’aventurent au niveau de nos entrejambes, nous nous caressons en nous embrassant. A un moment je me détache du corps de mon amour pour pivoter et me retrouver tête bêche par rapport à lui. L’invitation est faite à Juju de débuter une fellation partagée. Inutile de dire que nous sommes aux anges et je profite du sexe bandé de notre chéri pour lui donner un immense plaisir. Bien sûr il n’est pas en reste et s’occupe de mon appendice comme il se doit. Nous nous donnons chacun jusqu’à la dernière goutte de semence, semences que nous partageons dans un baiser très chaud. Nous nous endormons alors dans les bras l’un de l’autre !
Enfin, nous voilà mercredi matin et nous nous réveillons, il y a du soleil et ses rayons commencent à pénétrer au travers des voiles de la fenêtre. Julien ouvre les yeux alors que je le regarde depuis quelques minutes. Nos lèvres se retrouvent et nous nous embrassons. Je dis à mon chéri que nous allons nous balader toute la journée et que j’ai la voiture de maman à disposition. Juju me demande où nous allons, je lui réponds que c’est une surprise.
Nous nous préparons à partir pour la journée après avoir pris le petit-déjeuner avec maman. Je vois dans le regard de maman tout l’amour qu’elle nous porte au moment où nous quittons la maison.
J’avais pris contact avec ma tante Françoise la veille, pour lui demander de nous accueillir pour le repas de midi et de pouvoir ensuite nous rendre à l’hôpital en compagnie de Nathan et de Manu. Ma tante avait très bien compris ce que je voulais faire comme démarche.
Nous voilà en route vers Charleroi. Je suis au volant et Julien se doute bien que nous allons probablement chez ma tante. La circulation est assez fluide et nous arrivons à destination sur le coup de onze heures. Ma tante nous accueille et nous annonce qu’elle a aussi demandé à Manu et Élisabeth de venir dîner à la maison. Ils ne sont pas au courant de notre visite, ce sera donc une surprise pour eux.
Il est midi et quart, soit l’heure à laquelle mes cousins reviennent de l’école. Ma tante nous demande de nous « cacher » dans l’arrière-cuisine, le temps qu’ils soient débarrassés. Elle dit alors tout haut : « Surprise », c’est bien sûr le signal pour nous montrer.
Je n’en reviens pas de voir la tête de Nathan et celle de Manu. Ils sont scotchés sur place. David, lui sait, que nous serions là et il en avait parlé à Élisabeth. Nat s’est précipité vers nous pour nous faire un gros câlin. Manu a suivi. Inutile de dire qu’ils avaient tous le sourire aux lèvres.
Le repas se déroule dans une ambiance très chaleureuse. Les discussions vont bon train, les visages sont lumineux. Après le dessert, nous restons autour de la table pour parler de nos activités après les fêtes de fin d’année. Nous buvons un bon café tous ensemble. Il est presque quatorze heures, et il va être temps de rejoindre l’hôpital pour une visite particulière.
Je demande alors :
Moi : « Nat, Manu, j’ai une surprise pour vous, mais aussi pour Julien !
Jul : Heu, tu as … une surprise !
Nat et Manu : Quoi ….
Moi : Oui cet après-midi nous allons nous rendre à l’hôpital pour « boucler la boucle » !
Jul : Oh Phil, c’est effectivement une surprise. Je pensais que je devais revenir remercier ceux qui se sont occupés de moi durant des jours et des jours. Tu es incroyable ! (Des larmes coulent sur les joues de mon chéri)
Moi : Tu sais Juju, moi aussi j’en ressentais le besoin !
Jul : C’est une très belle surprise Phil, merci !
Moi : De rien mon cœur.
Nat : Je sais pourquoi tu nous demande de venir. C’est super, ça me touche beaucoup mon cher cousin.
Manu : C’est grâce à toi que j’ai pu déclarer mon amour à Nat, merci Phil.
Moi : C’est de bon cœur que je vous propose de nous accompagner, Julien et moi.
Nat et Manu : Merci !
Julien me prend dans ses bras, nous nous faisons un gros câlin. Il ne pleure plus, il sait que ça va être uniquement du bonheur. Je vois que David et Élisabeth ont les yeux qui pétillent, pour eux aussi c’est grâce à cet « accident » de sport qu’ils se sont rencontrés. Il faut voir la tête de ma tante, elle apprécie au plus haut point cette démarche. Elle sait qu’un lien très fort uni nos deux familles ainsi que celle de Manu.
Il est presque temps de rentrer à la maison. Au moment de partir, Julien et moi nous remercions encore ma tante et mon oncle pour toute l’attention apportée lors de notre séjour chez eux, moi dans la famille et Julien à l’hôpital. Nous nous faisons un câlin partagé à quatre. Ensuite je demande un service à David : je souhaite qu’il entre en contact avec l’hôpital et de savoir quand Claude, l’infirmier est de service durant la troisième semaine de janvier, ainsi que la psychologue et le médecin qui se sont occupés de Julien, sont en service. En un mot, je lui dis que nous voulons les revoir pour les remercier et montrer que maintenant tout va bien. David comprend que c’est important pour moi mais surtout pour mon chéri.
Nous embrassons toute la famille avant de reprendre la route. Nous sommes arrivés en deux voiture et pour le retour papa me demande si je veux reprendre le volant d’un véhicule et il fait la même demande à Julien. Je sais que papa aime entretenir le lien qui l’uni à mon chéri, je me propose alors de rentrer avec maman et de laisser Juju avec papa.
Lors du trajet de retour, j’ai l’occasion de discuter avec maman et les deux filles. Nous parlons de Julien. Sachant qu’il est avec papa, je peux dire ce que je pense. Je ne pense que du bien de mon chéri : il a progressé d’une très belle manière, il a fait son deuil et il est paré pour aller de l’avant et s’assumer entièrement. Les deux filles me félicitent pour tout ce que j’ai fait pour Juju. Je n’ai rien dit de la demande faite à David, c’est une surprise mais il faut qu’elle soit réalisable, et je pense que oui.
De retour à la maison nous nous mettons à revoir l’un ou l’autre cours car la session d’examens commence dans deux jours. Nous avons rejoint le grand bureau où nous nous mettons au travail. Pas la peine de dire qu’on peut entendre les mouches voler. Maman vient voir si nous voulons manger. Je lui demande seulement un bol de soupe avec deux biscottes. Julien dit alors que c’est une très bonne idée et qu’il prendra la même chose.
Les jours passent entre études et révisions des cours et les examens oraux ou écrits. Nous n’avons pas les mêmes horaires et de ce fait je suis souvent seul dans le bureau. Il y a parfois du soleil, alors je prends place dans la salle à manger : c’est si agréable d’avoir une telle lumière, ça aide pour réviser. Effectivement, il gèle à moins deux ou moins trois degrés à l’extérieur et de ce fait, en fonction de l’anticyclone qui domine, il n’y a pas de nuages.
Nous arrivons enfin au bout de cette cession d’examens. Nous aurons les résultats dans la huitaine. Nous sommes donc tranquilles pour quelques jours. Nous en profitons Julien et moi pour fréquenter la salle de sport de l’université. Nous rencontrons souvent les mêmes adeptes mais nous restons très attentifs pour ne pas dévoiler le lien qui nous unit.
Un soir, soit deux jours après la fin de nos examens, David me contacte pour nous donner des nouvelles de Claude, de la psy et du chirurgien. Ils seront tous présents à l’hôpital dans deux jours, soit le mercredi après-midi. Inutile de dire que j’en parle directement avec maman et lui demande de pouvoir disposer de sa voiture pour nous rendre dans cet établissement. Elle comprend très bien la démarche que je veux entreprendre et elle accepte. J’ajoute que Julien n’est pas au courant.
Quel bonheur d’être avec Julien. Il a vraiment repris son destin en main. Une fois couchés dans notre lit, il me regarde, les yeux dans les yeux. Je retrouve son regard plein de malice et d’amour. Il me dit alors : « Merci Phil de m’aimer, tu es mon ange » ! Inutile de dire que j’en ai la chair de poule, les poils de mes bras sont hérissés comme jamais. Mon Juju me remercie de l’amour que je lui porte. Mais je sais que mon chéri m’aime lui aussi et de plus en plus.
Comme réponse, je penche mon visage vers le sien. Nos lèvres se rejoignent, nous nous embrassons, laissant nos langues se rejoindre. Nous sommes une nouvelle fois sur notre nuage, tous nos sens sont en ébullition, nos mains s’aventurent au niveau de nos entrejambes, nous nous caressons en nous embrassant. A un moment je me détache du corps de mon amour pour pivoter et me retrouver tête bêche par rapport à lui. L’invitation est faite à Juju de débuter une fellation partagée. Inutile de dire que nous sommes aux anges et je profite du sexe bandé de notre chéri pour lui donner un immense plaisir. Bien sûr il n’est pas en reste et s’occupe de mon appendice comme il se doit. Nous nous donnons chacun jusqu’à la dernière goutte de semence, semences que nous partageons dans un baiser très chaud. Nous nous endormons alors dans les bras l’un de l’autre !
Enfin, nous voilà mercredi matin et nous nous réveillons, il y a du soleil et ses rayons commencent à pénétrer au travers des voiles de la fenêtre. Julien ouvre les yeux alors que je le regarde depuis quelques minutes. Nos lèvres se retrouvent et nous nous embrassons. Je dis à mon chéri que nous allons nous balader toute la journée et que j’ai la voiture de maman à disposition. Juju me demande où nous allons, je lui réponds que c’est une surprise.
Nous nous préparons à partir pour la journée après avoir pris le petit-déjeuner avec maman. Je vois dans le regard de maman tout l’amour qu’elle nous porte au moment où nous quittons la maison.
J’avais pris contact avec ma tante Françoise la veille, pour lui demander de nous accueillir pour le repas de midi et de pouvoir ensuite nous rendre à l’hôpital en compagnie de Nathan et de Manu. Ma tante avait très bien compris ce que je voulais faire comme démarche.
Nous voilà en route vers Charleroi. Je suis au volant et Julien se doute bien que nous allons probablement chez ma tante. La circulation est assez fluide et nous arrivons à destination sur le coup de onze heures. Ma tante nous accueille et nous annonce qu’elle a aussi demandé à Manu et Élisabeth de venir dîner à la maison. Ils ne sont pas au courant de notre visite, ce sera donc une surprise pour eux.
Il est midi et quart, soit l’heure à laquelle mes cousins reviennent de l’école. Ma tante nous demande de nous « cacher » dans l’arrière-cuisine, le temps qu’ils soient débarrassés. Elle dit alors tout haut : « Surprise », c’est bien sûr le signal pour nous montrer.
Je n’en reviens pas de voir la tête de Nathan et celle de Manu. Ils sont scotchés sur place. David, lui sait, que nous serions là et il en avait parlé à Élisabeth. Nat s’est précipité vers nous pour nous faire un gros câlin. Manu a suivi. Inutile de dire qu’ils avaient tous le sourire aux lèvres.
Le repas se déroule dans une ambiance très chaleureuse. Les discussions vont bon train, les visages sont lumineux. Après le dessert, nous restons autour de la table pour parler de nos activités après les fêtes de fin d’année. Nous buvons un bon café tous ensemble. Il est presque quatorze heures, et il va être temps de rejoindre l’hôpital pour une visite particulière.
Je demande alors :
Moi : « Nat, Manu, j’ai une surprise pour vous, mais aussi pour Julien !
Jul : Heu, tu as … une surprise !
Nat et Manu : Quoi ….
Moi : Oui cet après-midi nous allons nous rendre à l’hôpital pour « boucler la boucle » !
Jul : Oh Phil, c’est effectivement une surprise. Je pensais que je devais revenir remercier ceux qui se sont occupés de moi durant des jours et des jours. Tu es incroyable ! (Des larmes coulent sur les joues de mon chéri)
Moi : Tu sais Juju, moi aussi j’en ressentais le besoin !
Jul : C’est une très belle surprise Phil, merci !
Moi : De rien mon cœur.
Nat : Je sais pourquoi tu nous demande de venir. C’est super, ça me touche beaucoup mon cher cousin.
Manu : C’est grâce à toi que j’ai pu déclarer mon amour à Nat, merci Phil.
Moi : C’est de bon cœur que je vous propose de nous accompagner, Julien et moi.
Nat et Manu : Merci !
Julien me prend dans ses bras, nous nous faisons un gros câlin. Il ne pleure plus, il sait que ça va être uniquement du bonheur. Je vois que David et Élisabeth ont les yeux qui pétillent, pour eux aussi c’est grâce à cet « accident » de sport qu’ils se sont rencontrés. Il faut voir la tête de ma tante, elle apprécie au plus haut point cette démarche. Elle sait qu’un lien très fort uni nos deux familles ainsi que celle de Manu.