24-08-2021, 11:02 AM
Une fois remis de nos émotions, nous nous installons dans les fauteuils de jardin. Je me place à côté de la maman de Ben, Arlette. Voyant les autres occupés à discuter sport, je glisse à l’oreille d’Arlette que je veux offrir un repas crêpes peut-être à l’occasion de la « journée en famille ». Arlette me regarde et me dit qu’elle trouve cette intention très touchante. Bref, je suis rassuré et au moins Arlette sait ce que j’ai prévu pour leur faire plaisir.
Denis se rapproche de Ben, il discute avec lui de choses et d’autres. Puis il me fait signe de les rejoindre. Je quitte Arlette et me joins à eux. Denis nous prend la main, j’ai ma main droite dans sa main gauche et Ben à sa main gauche dans sa main droite. Il nous regarde à tour de rôle. Puis il nous dit :
Den : « Ben, Phil, vous êtes des jeunes supers. J’en ai parlé avec Christine, et je suis d’accord avec elle, vous avez tous les deux le cœur sur la main.
Ben : Oui Denis, tu me connais, puis tu commences à connaître Phil, tu sais donc que nous sommes complémentaires !
Den : Oui, je le sais maintenant. Je voulais juste vous dire que vous êtes mes « beaux-frères préférés ». Même si vous êtes gays, vous savez rester vous-mêmes, sans provocation, toujours attentifs aux autres. Vous avez une maturité au-dessus de la moyenne et cela vous n’avez pas besoin de le montrer.
Moi : Mais la seule chose que nous voulons Ben et Moi c’est de pouvoir vivre heureux ensemble tout en aidant ceux qui en ont besoin, c’est tout.
Den : C’est bien cela que je ressens lorsque je vous vois !
Ben : Merci Denis, c’est sympa de nous le dire.
Den : Je suis hétéro, mais je vous respecte car vous êtes vrais et super sympas. Si un jour vous avez à faire à des homophobes et que je suis près de vous, je prendrai votre défense.
Moi : Merci Denis. J’espère que cela n’arrivera pas.
Ben : Moi non plus, je n’ai pas envie de me faire frapper dessus. »
Il se fait tard, le soleil est couché. Avec le reste de la famille, Ben et moi avons parlé du camp, de nos inquiétudes concernant Gaby et son frère Damien, etc. Nous allons tous nous coucher après un passage par la salle de bain, par couple.
Enfin, je suis dans le lit et Ben vient s’étendre à côté de moi. Nous sommes nus, comme nous en avons l’habitude. Ben veut m’embrasser mais il y a ces satanés fils qui sont là et qui font obstacle. Je sais que Ben m’aime et que nous avons d’autre moyen de prouver notre amour. Nos mains se sont alors mises à l’œuvre pour nous procurer des caresses assez sensuelles et appliquées sur tout le corps. Je m’attarde au niveau des pieds de Ben, ils me fascinent. Puis nos attributs prennent de l’ampleur. Nos sexes sont déjà bien durs et nos corps sont en demande d’amour.
Ben prend alors des préservatifs et du gel. J’ai compris que nous allons nous aimer. Ben me passe le préservatif car il veut se donner à moi. Il s’occupe de préparer sa collerette anale avec le gel. De mon côté je me prépare aussi. Je prends mon temps pour ouvrir le petit emballage carré, ensuite je place cet étui sur mon membre dressé. Je mets aussi un peu de gel sur ce bout de latex. Ben se positionne et donne le feu vert pour entamer cette partie de jeu amoureux que nous apprécions particulièrement. Mon pénis « habillé » entre doucement dans l’antre si accueillant de Ben. J’arrive à introduire tout mon appendice pénien et mes deux valseuses viennent buter sur les fesses de mon amour. Je lui fais alors l’amour passionnément, Ben semble apprécier mon travail au niveau de son fondement. Il émet des gémissements de contentement. Je continue à lui faire l’amour ainsi durant cinq grosses minutes pour enfin libérer ma semence au fond de la capote dans un râle de bonheur. Ben lui aussi apprécie ce moment en me disant qu’il m’aime, je lui réponds bien entendu que je l’aime aussi. Je me retire et j’ôte le latex plein de sperme. Ben me donne de petits bisous sur ma poitrine alors que je suis allongé à côté de lui.
Peu de temps après, c’est Ben qui prend l’emballage carré alors que je me prépare l’arrière-train. Je mets du gel à l’entrée de mon anus et le dilate avec mes doigts. Ben est prêt et il s’avance vers mon postérieur alors que je suis en position sur le lit. Je sens alors à l’entrée de ma caverne que le gland « emballé » de Ben force le passage. Je n’ai pas mal du tout et je laisse ce membre dressé progresser dans cette cavité toute prête à recevoir ce symbole de virilité. Ben sait y faire, il me lime d’anus en faisant des grognements de satisfaction. Je sens bien les mouvements de va et vient prodigués par le pénis de Ben. Je suis heureux de le recevoir « entre les reins », comme le dit une certaine chanson. Puis, comme j’en ai l’habitude, je sens que Ben va jouir, sa colonne de chair remplie de sang est gonflée au maximum et dans les trente secondes, c’est le feu d’artifice dans mes entrailles. Nous restons dans la position encore un moment avant que son sexe un peu ramolli ne quitte son chaud fourreau de joie.
Nous sommes fatigués, Ben se couche sur le lit. Je me redresse un peu sur un coude et je dépose doucement mes lèvres sur les siennes. Les fils de suture tirent un peu, mais je voulais remercier mon amour en l’embrassant doucement. Nos langues jouent entre elle en se titillant les pointes. Ensuite, mon regard plonge, dans celui de Ben. Nous savourons ce moment de calme après avoir fait l’amour. Nous savons, sans dire le moindre mot, que nous nous aimons. Avant de nous coucher pour la nuit, nous mettons nos condoms usagés dans un papier et ensuite le tout dans la poubelle.
Ce matin, après une très bonne nuit de sommeil, Ben me réveille. Je peux déjà voir en ouvrant les yeux la chevelure blonde de mon amour. Ses yeux bleus sont remplis de cet éclat où je comprends bien qu’il m’aime. Je réponds par un sourire, un des plus beaux et mes yeux lui renvoient tout mon amour pour lui. J’avance mes lèvres vers les siennes, elles se touchent et comme la veille au soir Ben fait attention de ne pas me faire mal. Nos langues dansent entre elles. Nous entendons des pas dans le hall de nuit, je pense que Christine et Denis se sont levés. Ils descendent au rez-de-chaussée pour le petit déjeuner. Une bonne odeur de café flotte dans l’air un moment plus tard. Nous nous levons et passons par la salle de bain. Nous douchons ensemble. Une fois séchés, nous retournons à la chambre pour nous vêtir. Nous croisons Arlette et Christine qui viennent de remonter. Nous sommes nus et nous faisons comme si de rien n’était. Arlette dit alors :
Arl : « Que voilà deux beaux garçons, ils sont à croquer.
Ben : Maman, bon, il ne faut pas exagérer !
Chr : Non, c’est vrai, vous êtres craquants comme ça, nus.
Moi : Merci. Bon Ben si nous nous habillions pour aller prendre ce petit-déjeuner ? Ce s'rait pas mal, non ? Car j’ai faim.
Arl : Bien dit Phil. »
Nous nous vêtons d’un tee-shirt et d’un short. Une fois en bas, nous prenons notre petit-déjeuner en famille. En cette matinée, après un court voyage en voiture, nous nous baladons sur le port d’Etel. Maman en profite pour acheter du poisson frais en vue du repas. Chris et Denis se tiennent par la main, mais pour Ben et moi ce serait trop imprudent : alors nous marchons côte à côte en faisant attention à nous. Bien entendu que je voudrais prendre la main de Ben et marcher comme ça tranquillement, mais c’est trop risqué.
Au retour à Belz, le repas est pris sur la terrasse ; il fait bon mais pas trop chaud. Je pense qu’il fera plus chaud cet après-midi. A l’issue du repas je demande à Chris et Denis s’ils sont partants pour faire un tour à la plage avec nous. Il y a encore deux vélos qui sont à disposition dans la remise. Ils sont d’accord. Nous débarrassons la table et faisons la vaisselle en laissant Arlette et Yves un peu tranquilles. Une fois prêts, nous enfourchons les vélos et nous partons en direction de la plage naturiste pour y retrouver nos nouveaux amis. Nous pédalons une bonne demi-heure, il y a plus de vent qu’hier.
Nous plaçons et attachons les vélos avec les cadenas pour ne pas nous les faire « chourer ». Puis avec nos petits sacs à dos, après avoir escaladé la petite dune, nous arpentons la plage en direction de la partie dédiée au naturisme. Une fois à l’entrée de la zone, nous nous dévêtons. C’est la première fois que Denis se met ainsi nu sur une plage. Il n’a pas l’air plus embarrassé que ça. Je suis certain que Chris y est pour quelque chose.
Nous parcourons au moins trois cents mètres avant de voir nos amis. Nous nous approchons du groupe. Valentin nous aperçoit de loin et nous fait des signes. Je regarde et je constate qu’ils sont dix : il y a deux jeunes de plus. Je suppose que Val a vu lui aussi que nous étions quatre. Deux minutes plus tard nous faisons la jonction avec eux. Ben présente Christine et Denis au groupe. Chris se présente :
Chr : « Bonjour à vous. Ben est mon frère et il m’a parlé de vous. Je vous présente Denis, c’est mon petit-ami.
Den : Bonjour, Oui, je suis Denis, le petit copain de Chris.
Val : Enchanté de vous connaître. Je pense que nous devons avoir le même âge ; j’ai vingt ans.
Den : Oui, nous aussi.
Cla : Bonjour, je vous présente Pierre-Alain et Marc. Pierre-Alain est notre cousin et Marc est un ami de Pierre-Alain.
Moi : Enchanté. Je pense que nous pourrons bien nous amuser.
P.A : Oui je le pense aussi. Mon prénom c’est Pierre-Alain, mais mes amis m’appellent P.A.
Ben : OK, c’est bon pour nous. »
Nous nous installons à côté du groupe. Nous sommes donc quatorze pour profiter de la plage. Les deux nouveaux garçons du groupe sont, semble-t-il, de notre âge. Ils sont très beaux et bronzés. P.A est lui aussi bien musclé, il a des reflets roux dans ses cheveux châtain clair, une fine moustache rousse orne sa lèvre supérieure. Sa toison pubienne est rousse tout comme celles des jumeaux. Marc est moins musclé, mais il se défend pas mal, les yeux marrons avec une tignasse châtain très foncée. C’est donc un ami de P.A.
Nous en profitons pour nous enduire de crème solaire, pas la peine d’attraper un coup de soleil, c’est pour souffrir inutilement. Nous papotons ensemble, les quatre filles sont ensemble, le contraire m’aurait étonné. Denis discute avec Val, ils ont le même âge. P.A. et Marc viennent nous parler. Ils ont eux aussi dix-sept ans. Ils sont ensemble dans la même classe et ils font tous les deux du foot. Nous discutons de choses et d’autres, P.A. aime aussi la natation et a pratiqué le judo. Marc, lui, fait de la musique. Bref nous sommes contents de passer du temps avec tout le groupe.
Denis se rapproche de Ben, il discute avec lui de choses et d’autres. Puis il me fait signe de les rejoindre. Je quitte Arlette et me joins à eux. Denis nous prend la main, j’ai ma main droite dans sa main gauche et Ben à sa main gauche dans sa main droite. Il nous regarde à tour de rôle. Puis il nous dit :
Den : « Ben, Phil, vous êtes des jeunes supers. J’en ai parlé avec Christine, et je suis d’accord avec elle, vous avez tous les deux le cœur sur la main.
Ben : Oui Denis, tu me connais, puis tu commences à connaître Phil, tu sais donc que nous sommes complémentaires !
Den : Oui, je le sais maintenant. Je voulais juste vous dire que vous êtes mes « beaux-frères préférés ». Même si vous êtes gays, vous savez rester vous-mêmes, sans provocation, toujours attentifs aux autres. Vous avez une maturité au-dessus de la moyenne et cela vous n’avez pas besoin de le montrer.
Moi : Mais la seule chose que nous voulons Ben et Moi c’est de pouvoir vivre heureux ensemble tout en aidant ceux qui en ont besoin, c’est tout.
Den : C’est bien cela que je ressens lorsque je vous vois !
Ben : Merci Denis, c’est sympa de nous le dire.
Den : Je suis hétéro, mais je vous respecte car vous êtes vrais et super sympas. Si un jour vous avez à faire à des homophobes et que je suis près de vous, je prendrai votre défense.
Moi : Merci Denis. J’espère que cela n’arrivera pas.
Ben : Moi non plus, je n’ai pas envie de me faire frapper dessus. »
Il se fait tard, le soleil est couché. Avec le reste de la famille, Ben et moi avons parlé du camp, de nos inquiétudes concernant Gaby et son frère Damien, etc. Nous allons tous nous coucher après un passage par la salle de bain, par couple.
Enfin, je suis dans le lit et Ben vient s’étendre à côté de moi. Nous sommes nus, comme nous en avons l’habitude. Ben veut m’embrasser mais il y a ces satanés fils qui sont là et qui font obstacle. Je sais que Ben m’aime et que nous avons d’autre moyen de prouver notre amour. Nos mains se sont alors mises à l’œuvre pour nous procurer des caresses assez sensuelles et appliquées sur tout le corps. Je m’attarde au niveau des pieds de Ben, ils me fascinent. Puis nos attributs prennent de l’ampleur. Nos sexes sont déjà bien durs et nos corps sont en demande d’amour.
Ben prend alors des préservatifs et du gel. J’ai compris que nous allons nous aimer. Ben me passe le préservatif car il veut se donner à moi. Il s’occupe de préparer sa collerette anale avec le gel. De mon côté je me prépare aussi. Je prends mon temps pour ouvrir le petit emballage carré, ensuite je place cet étui sur mon membre dressé. Je mets aussi un peu de gel sur ce bout de latex. Ben se positionne et donne le feu vert pour entamer cette partie de jeu amoureux que nous apprécions particulièrement. Mon pénis « habillé » entre doucement dans l’antre si accueillant de Ben. J’arrive à introduire tout mon appendice pénien et mes deux valseuses viennent buter sur les fesses de mon amour. Je lui fais alors l’amour passionnément, Ben semble apprécier mon travail au niveau de son fondement. Il émet des gémissements de contentement. Je continue à lui faire l’amour ainsi durant cinq grosses minutes pour enfin libérer ma semence au fond de la capote dans un râle de bonheur. Ben lui aussi apprécie ce moment en me disant qu’il m’aime, je lui réponds bien entendu que je l’aime aussi. Je me retire et j’ôte le latex plein de sperme. Ben me donne de petits bisous sur ma poitrine alors que je suis allongé à côté de lui.
Peu de temps après, c’est Ben qui prend l’emballage carré alors que je me prépare l’arrière-train. Je mets du gel à l’entrée de mon anus et le dilate avec mes doigts. Ben est prêt et il s’avance vers mon postérieur alors que je suis en position sur le lit. Je sens alors à l’entrée de ma caverne que le gland « emballé » de Ben force le passage. Je n’ai pas mal du tout et je laisse ce membre dressé progresser dans cette cavité toute prête à recevoir ce symbole de virilité. Ben sait y faire, il me lime d’anus en faisant des grognements de satisfaction. Je sens bien les mouvements de va et vient prodigués par le pénis de Ben. Je suis heureux de le recevoir « entre les reins », comme le dit une certaine chanson. Puis, comme j’en ai l’habitude, je sens que Ben va jouir, sa colonne de chair remplie de sang est gonflée au maximum et dans les trente secondes, c’est le feu d’artifice dans mes entrailles. Nous restons dans la position encore un moment avant que son sexe un peu ramolli ne quitte son chaud fourreau de joie.
Nous sommes fatigués, Ben se couche sur le lit. Je me redresse un peu sur un coude et je dépose doucement mes lèvres sur les siennes. Les fils de suture tirent un peu, mais je voulais remercier mon amour en l’embrassant doucement. Nos langues jouent entre elle en se titillant les pointes. Ensuite, mon regard plonge, dans celui de Ben. Nous savourons ce moment de calme après avoir fait l’amour. Nous savons, sans dire le moindre mot, que nous nous aimons. Avant de nous coucher pour la nuit, nous mettons nos condoms usagés dans un papier et ensuite le tout dans la poubelle.
Ce matin, après une très bonne nuit de sommeil, Ben me réveille. Je peux déjà voir en ouvrant les yeux la chevelure blonde de mon amour. Ses yeux bleus sont remplis de cet éclat où je comprends bien qu’il m’aime. Je réponds par un sourire, un des plus beaux et mes yeux lui renvoient tout mon amour pour lui. J’avance mes lèvres vers les siennes, elles se touchent et comme la veille au soir Ben fait attention de ne pas me faire mal. Nos langues dansent entre elles. Nous entendons des pas dans le hall de nuit, je pense que Christine et Denis se sont levés. Ils descendent au rez-de-chaussée pour le petit déjeuner. Une bonne odeur de café flotte dans l’air un moment plus tard. Nous nous levons et passons par la salle de bain. Nous douchons ensemble. Une fois séchés, nous retournons à la chambre pour nous vêtir. Nous croisons Arlette et Christine qui viennent de remonter. Nous sommes nus et nous faisons comme si de rien n’était. Arlette dit alors :
Arl : « Que voilà deux beaux garçons, ils sont à croquer.
Ben : Maman, bon, il ne faut pas exagérer !
Chr : Non, c’est vrai, vous êtres craquants comme ça, nus.
Moi : Merci. Bon Ben si nous nous habillions pour aller prendre ce petit-déjeuner ? Ce s'rait pas mal, non ? Car j’ai faim.
Arl : Bien dit Phil. »
Nous nous vêtons d’un tee-shirt et d’un short. Une fois en bas, nous prenons notre petit-déjeuner en famille. En cette matinée, après un court voyage en voiture, nous nous baladons sur le port d’Etel. Maman en profite pour acheter du poisson frais en vue du repas. Chris et Denis se tiennent par la main, mais pour Ben et moi ce serait trop imprudent : alors nous marchons côte à côte en faisant attention à nous. Bien entendu que je voudrais prendre la main de Ben et marcher comme ça tranquillement, mais c’est trop risqué.
Au retour à Belz, le repas est pris sur la terrasse ; il fait bon mais pas trop chaud. Je pense qu’il fera plus chaud cet après-midi. A l’issue du repas je demande à Chris et Denis s’ils sont partants pour faire un tour à la plage avec nous. Il y a encore deux vélos qui sont à disposition dans la remise. Ils sont d’accord. Nous débarrassons la table et faisons la vaisselle en laissant Arlette et Yves un peu tranquilles. Une fois prêts, nous enfourchons les vélos et nous partons en direction de la plage naturiste pour y retrouver nos nouveaux amis. Nous pédalons une bonne demi-heure, il y a plus de vent qu’hier.
Nous plaçons et attachons les vélos avec les cadenas pour ne pas nous les faire « chourer ». Puis avec nos petits sacs à dos, après avoir escaladé la petite dune, nous arpentons la plage en direction de la partie dédiée au naturisme. Une fois à l’entrée de la zone, nous nous dévêtons. C’est la première fois que Denis se met ainsi nu sur une plage. Il n’a pas l’air plus embarrassé que ça. Je suis certain que Chris y est pour quelque chose.
Nous parcourons au moins trois cents mètres avant de voir nos amis. Nous nous approchons du groupe. Valentin nous aperçoit de loin et nous fait des signes. Je regarde et je constate qu’ils sont dix : il y a deux jeunes de plus. Je suppose que Val a vu lui aussi que nous étions quatre. Deux minutes plus tard nous faisons la jonction avec eux. Ben présente Christine et Denis au groupe. Chris se présente :
Chr : « Bonjour à vous. Ben est mon frère et il m’a parlé de vous. Je vous présente Denis, c’est mon petit-ami.
Den : Bonjour, Oui, je suis Denis, le petit copain de Chris.
Val : Enchanté de vous connaître. Je pense que nous devons avoir le même âge ; j’ai vingt ans.
Den : Oui, nous aussi.
Cla : Bonjour, je vous présente Pierre-Alain et Marc. Pierre-Alain est notre cousin et Marc est un ami de Pierre-Alain.
Moi : Enchanté. Je pense que nous pourrons bien nous amuser.
P.A : Oui je le pense aussi. Mon prénom c’est Pierre-Alain, mais mes amis m’appellent P.A.
Ben : OK, c’est bon pour nous. »
Nous nous installons à côté du groupe. Nous sommes donc quatorze pour profiter de la plage. Les deux nouveaux garçons du groupe sont, semble-t-il, de notre âge. Ils sont très beaux et bronzés. P.A est lui aussi bien musclé, il a des reflets roux dans ses cheveux châtain clair, une fine moustache rousse orne sa lèvre supérieure. Sa toison pubienne est rousse tout comme celles des jumeaux. Marc est moins musclé, mais il se défend pas mal, les yeux marrons avec une tignasse châtain très foncée. C’est donc un ami de P.A.
Nous en profitons pour nous enduire de crème solaire, pas la peine d’attraper un coup de soleil, c’est pour souffrir inutilement. Nous papotons ensemble, les quatre filles sont ensemble, le contraire m’aurait étonné. Denis discute avec Val, ils ont le même âge. P.A. et Marc viennent nous parler. Ils ont eux aussi dix-sept ans. Ils sont ensemble dans la même classe et ils font tous les deux du foot. Nous discutons de choses et d’autres, P.A. aime aussi la natation et a pratiqué le judo. Marc, lui, fait de la musique. Bref nous sommes contents de passer du temps avec tout le groupe.