13-08-2021, 07:34 PM
Chapitre 9 - Promotions (4)
Samedi 15 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald
Koen et Yanis se rendirent sur la scène, le silence se fit immédiatement.
— Au moment où j’ai arrêté mon exposé, commença Koen, j’aurais voulu demander si un volontaire accepterait de nous monter ses organes génitaux. Je suis très heureux que notre invité surprise a accepté, c’est toujours intéressant de découvrir de nouveaux horizons (applaudissements).
— Je n’ai pourtant pas l’impression que mes organes génitaux, comme tu le dis, soient exceptionnels, fit le fleuriste, on ne m’a jamais fait de remarque à leur sujet.
— C’est parce que tu ne les as jamais montrés à un obsédé comme Koen, dit Laertes.
— Ne prends pas garde à ce qu’ils racontent, dit le Néerlandais, ils sont tous aussi obsédés que moi. Je te propose de te déshabiller (applaudissements).
Yanis prit son temps. Il ôta ses chaussures, sa chemise et ses pantalons, les plia et les posa sur le tabouret du piano. Il avait un slip rouge avec un croix blanche qui fit rire l’assemblée.
— Je ne pensais pas que tu étais aussi patriotique, dit Franz.
— C’est mon slip fétiche, je le mets lors de toutes les compétitions importantes, mon espoir secret est de le porter dans quatre ans aux JO de Mexico.
— S’il n’est pas trop usé. Tu as raison d’avoir de l’ambition, mais pourquoi l’as-tu mis aujourd’hui, ce n’est pas une compétition ?
— J’ai vite passé à la maison me changer avant de venir, une intuition que cette soirée pourrait être importante pour moi.
Koen allait dire à Yanis d’enlever son sous-vêtement, mais Laertes intervint :
— Tu as vraiment un beau corps musclé, ton six-pack m’impressionne. Je peux toucher ?
Laertes monta sur la scène et tâta les muscles du fleuriste, ceux du ventre mais aussi du buste et des jambes. Il en profita pour effleurer le paquet contenu dans le slip.
— Tu auras encore du travail pour atteindre son niveau, dit Franz, il faudra entraîner autre chose que ta bite. Vous pourrez aller dans un club de sport à la rentrée, l’école vous offre un abonnement, pas de raison de vous défiler.
— Il n’y aura plus de gymnastique nue le matin ? s’étonna Koen.
— Quand il fait moins 10 degrés et qu’il y a 50 centimètres de neige fraîche elle a très peu de succès.
— C’est mieux le club de sport, dit Frédéric, tu pourras mater les gars du village au vestiaire.
— Ouais, dit Franz, mater seulement, pas toucher, certains sportifs sont plus susceptibles que notre gymnaste.
Volant la vedette à Koen, Laertes baissa le slip de Yanis, provoquant de nouveaux applaudissements. Comme il l’avait dit, son pénis n’avait rien d’extraordinaire, il était dans la moyenne, le prépuce recouvrait juste le gland. Koen poursuivit son exposé qui n’intéressa plus beaucoup de monde, il décalotta le membre puis tâta les couilles. Yanis fut surpris et eut un mouvement de recul.
— Je t’ai fait mal ? demanda Koen.
— Non, je me demande pourquoi tu le fais.
— Tu devrais le faire tous les mois, c’est pour prévenir le cancer.
— Je ne savais pas.
— Tu as au moins appris quelque chose en venant ici. Pourrais-tu te tourner pour nous montrer l’arrière ?
Yanis s’exécuta, Koen écarta les fesses, il y eut encore quelques applaudissements.
— Tu ne lui contrôles pas la prostate ? demanda Laertes.
— Euh, dit Koen, je n’ai pas de gants et de gel.
— Peur de te salir les mains. Et tu ne le fais pas bander ? Je t’ai connu plus consciencieux.
— Je ne voudrais pas abuser de la patience de notre invité. Merci, j’ai terminé.
Yanis se rhabilla et ils retournèrent s’asseoir. Franz éteignit les plafonniers et alluma quelques bougies pour rendre l’ambiance plus intime. Il alla sur la scène qu’il éclaira avec un spot rouge. Il prit un schwyzerörgeli et joua un morceau de musique folklorique. Peter le rejoignit pour entonner des chants traditionnels.
— Encore des productions ? demanda Franz.
Alexandre se mit au piano et joua une mélodie langoureuse.
— Qui fait un striptease ? demanda Laertes.
— Toi, fit Frédéric.
— Moi, vous me connaissez. Ce serait plus intéressant d’avoir quelqu’un d’autre.
Daniel se sentit visé par cette remarque, il était le seul, avec Dominique, que les élèves n’avaient pas encore vu à poil. Il hésitait, il discuta avec son amie, et finalement il renonça. Cela ne l’aurait pas dérangé de se déshabiller devant les autres, mais il ne désirait pas se donner en spectacle, et il n’aurait pas su le faire avec assez d’élégance.
Puisque personne ne se dévouait, Laertes fit lui-même le striptease, encouragé par le public qui manifestait à chaque habit qu’il ôtait et qu’il jetait au loin, le slip termina dans la salle et faillit tomber sur une bougie. Il se caressa et banda.
Hiroshi fit ensuite une démonstration en montrant comment enlever et mettre un fundoshi le plus rapidement possible et dans divers styles.
Vers minuit, Franz demanda aux élèves d’aller se coucher.
— On pourrait faire un concours de masturbation avant, proposa Koen, comme cela on verra si le slip de Yanis lui porte chance.
— Ce sera celui qui jute le plus vite qui gagnera ou celui qui a la plus grosse ? demanda l’intéressé.
— Non, c’est celui qui tiendra le plus longtemps qui remportera le trophée.
— Vous pouvez faire ce que vous voulez, dit Franz, mais je ne désire pas que vous le fassiez dans ce local, ce n’est pas un baisodrome. Je vous propose quelque chose, vous pouvez aller dans un dortoir libre, mais à une condition : demain matin je veux que vous changiez les draps et que vous nettoyiez les taches sur le sol. Je ne désire pas que les nouveaux élèves aient une mauvaise impression à la rentrée. D’accord ?
Tous acquiescèrent. Franz ajouta à l’intention de Dominique et Daniel :
— Ne vous sentez pas obligés de rester avec ces excités, vous pouvez rentrer à votre hôtel. Je comprends votre situation un peu délicate en étant la seule femme.
— Cela ne doit pas être déplaisant de voir des jeunes hommes se masturber, dit Dom, surtout pour une femme. Seraient-ils gênés si je restais en tant que spectatrice ?
— Je ne pense pas, ils sont trop fiers de montrer leurs bites. Et il faudra des arbitres.
— Ce sera moi l’arbitre, dit Koen, je renoncerai même à me branler pour pouvoir mieux observer.
— Tu es prêt à faire ce sacrifice ? fit Frédéric.
— Oui, ce sera aussi intéressant d’un point de vue scientifique, pour voir si j’ai une pollution nocturne lorsque je ne n’éjacule pas pendant une journée.
— Que ne ferait-on pas pour la science.
— Je ne désire pas d’autres arbitres ou spectatrices, continua Koen, seuls ceux qui désirent participer au concours seront admis dans le dortoir.
— Moi qui pensait vous surveiller, fit Franz.
— Puisque tu ne veux pas me dire si tu es homosexuel je vais utiliser une autre méthode : pourras-tu résister à la tentation de te branler avec nous ? Cela me donnera une indication au sujet de ta position sur l’échelle de Kinsey.
— Tu es intransigeant, Koen. Pense à Dominique, elle aimerait aussi voir des jeunes gens se branler.
— Ce n’est pas la queue de Dominique qui m’intéresse, c’est la tienne.
Samedi 15 août 1964, école de Hinterhoden, Grindelwald
Koen et Yanis se rendirent sur la scène, le silence se fit immédiatement.
— Au moment où j’ai arrêté mon exposé, commença Koen, j’aurais voulu demander si un volontaire accepterait de nous monter ses organes génitaux. Je suis très heureux que notre invité surprise a accepté, c’est toujours intéressant de découvrir de nouveaux horizons (applaudissements).
— Je n’ai pourtant pas l’impression que mes organes génitaux, comme tu le dis, soient exceptionnels, fit le fleuriste, on ne m’a jamais fait de remarque à leur sujet.
— C’est parce que tu ne les as jamais montrés à un obsédé comme Koen, dit Laertes.
— Ne prends pas garde à ce qu’ils racontent, dit le Néerlandais, ils sont tous aussi obsédés que moi. Je te propose de te déshabiller (applaudissements).
Yanis prit son temps. Il ôta ses chaussures, sa chemise et ses pantalons, les plia et les posa sur le tabouret du piano. Il avait un slip rouge avec un croix blanche qui fit rire l’assemblée.
— Je ne pensais pas que tu étais aussi patriotique, dit Franz.
— C’est mon slip fétiche, je le mets lors de toutes les compétitions importantes, mon espoir secret est de le porter dans quatre ans aux JO de Mexico.
— S’il n’est pas trop usé. Tu as raison d’avoir de l’ambition, mais pourquoi l’as-tu mis aujourd’hui, ce n’est pas une compétition ?
— J’ai vite passé à la maison me changer avant de venir, une intuition que cette soirée pourrait être importante pour moi.
Koen allait dire à Yanis d’enlever son sous-vêtement, mais Laertes intervint :
— Tu as vraiment un beau corps musclé, ton six-pack m’impressionne. Je peux toucher ?
Laertes monta sur la scène et tâta les muscles du fleuriste, ceux du ventre mais aussi du buste et des jambes. Il en profita pour effleurer le paquet contenu dans le slip.
— Tu auras encore du travail pour atteindre son niveau, dit Franz, il faudra entraîner autre chose que ta bite. Vous pourrez aller dans un club de sport à la rentrée, l’école vous offre un abonnement, pas de raison de vous défiler.
— Il n’y aura plus de gymnastique nue le matin ? s’étonna Koen.
— Quand il fait moins 10 degrés et qu’il y a 50 centimètres de neige fraîche elle a très peu de succès.
— C’est mieux le club de sport, dit Frédéric, tu pourras mater les gars du village au vestiaire.
— Ouais, dit Franz, mater seulement, pas toucher, certains sportifs sont plus susceptibles que notre gymnaste.
Volant la vedette à Koen, Laertes baissa le slip de Yanis, provoquant de nouveaux applaudissements. Comme il l’avait dit, son pénis n’avait rien d’extraordinaire, il était dans la moyenne, le prépuce recouvrait juste le gland. Koen poursuivit son exposé qui n’intéressa plus beaucoup de monde, il décalotta le membre puis tâta les couilles. Yanis fut surpris et eut un mouvement de recul.
— Je t’ai fait mal ? demanda Koen.
— Non, je me demande pourquoi tu le fais.
— Tu devrais le faire tous les mois, c’est pour prévenir le cancer.
— Je ne savais pas.
— Tu as au moins appris quelque chose en venant ici. Pourrais-tu te tourner pour nous montrer l’arrière ?
Yanis s’exécuta, Koen écarta les fesses, il y eut encore quelques applaudissements.
— Tu ne lui contrôles pas la prostate ? demanda Laertes.
— Euh, dit Koen, je n’ai pas de gants et de gel.
— Peur de te salir les mains. Et tu ne le fais pas bander ? Je t’ai connu plus consciencieux.
— Je ne voudrais pas abuser de la patience de notre invité. Merci, j’ai terminé.
Yanis se rhabilla et ils retournèrent s’asseoir. Franz éteignit les plafonniers et alluma quelques bougies pour rendre l’ambiance plus intime. Il alla sur la scène qu’il éclaira avec un spot rouge. Il prit un schwyzerörgeli et joua un morceau de musique folklorique. Peter le rejoignit pour entonner des chants traditionnels.
— Encore des productions ? demanda Franz.
Alexandre se mit au piano et joua une mélodie langoureuse.
— Qui fait un striptease ? demanda Laertes.
— Toi, fit Frédéric.
— Moi, vous me connaissez. Ce serait plus intéressant d’avoir quelqu’un d’autre.
Daniel se sentit visé par cette remarque, il était le seul, avec Dominique, que les élèves n’avaient pas encore vu à poil. Il hésitait, il discuta avec son amie, et finalement il renonça. Cela ne l’aurait pas dérangé de se déshabiller devant les autres, mais il ne désirait pas se donner en spectacle, et il n’aurait pas su le faire avec assez d’élégance.
Puisque personne ne se dévouait, Laertes fit lui-même le striptease, encouragé par le public qui manifestait à chaque habit qu’il ôtait et qu’il jetait au loin, le slip termina dans la salle et faillit tomber sur une bougie. Il se caressa et banda.
Hiroshi fit ensuite une démonstration en montrant comment enlever et mettre un fundoshi le plus rapidement possible et dans divers styles.
Vers minuit, Franz demanda aux élèves d’aller se coucher.
— On pourrait faire un concours de masturbation avant, proposa Koen, comme cela on verra si le slip de Yanis lui porte chance.
— Ce sera celui qui jute le plus vite qui gagnera ou celui qui a la plus grosse ? demanda l’intéressé.
— Non, c’est celui qui tiendra le plus longtemps qui remportera le trophée.
— Vous pouvez faire ce que vous voulez, dit Franz, mais je ne désire pas que vous le fassiez dans ce local, ce n’est pas un baisodrome. Je vous propose quelque chose, vous pouvez aller dans un dortoir libre, mais à une condition : demain matin je veux que vous changiez les draps et que vous nettoyiez les taches sur le sol. Je ne désire pas que les nouveaux élèves aient une mauvaise impression à la rentrée. D’accord ?
Tous acquiescèrent. Franz ajouta à l’intention de Dominique et Daniel :
— Ne vous sentez pas obligés de rester avec ces excités, vous pouvez rentrer à votre hôtel. Je comprends votre situation un peu délicate en étant la seule femme.
— Cela ne doit pas être déplaisant de voir des jeunes hommes se masturber, dit Dom, surtout pour une femme. Seraient-ils gênés si je restais en tant que spectatrice ?
— Je ne pense pas, ils sont trop fiers de montrer leurs bites. Et il faudra des arbitres.
— Ce sera moi l’arbitre, dit Koen, je renoncerai même à me branler pour pouvoir mieux observer.
— Tu es prêt à faire ce sacrifice ? fit Frédéric.
— Oui, ce sera aussi intéressant d’un point de vue scientifique, pour voir si j’ai une pollution nocturne lorsque je ne n’éjacule pas pendant une journée.
— Que ne ferait-on pas pour la science.
— Je ne désire pas d’autres arbitres ou spectatrices, continua Koen, seuls ceux qui désirent participer au concours seront admis dans le dortoir.
— Moi qui pensait vous surveiller, fit Franz.
— Puisque tu ne veux pas me dire si tu es homosexuel je vais utiliser une autre méthode : pourras-tu résister à la tentation de te branler avec nous ? Cela me donnera une indication au sujet de ta position sur l’échelle de Kinsey.
— Tu es intransigeant, Koen. Pense à Dominique, elle aimerait aussi voir des jeunes gens se branler.
— Ce n’est pas la queue de Dominique qui m’intéresse, c’est la tienne.
Pour des récits plus anciens indisponibles sur Slygame, voir le lien ci-dessous :
Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame