13-08-2021, 08:32 AM
Chapitre 2.
Vacances en Bretagne.
Après avoir réglé le réveil sur sept heures, je me couche, nu, dans mon lit. Je m’endors assez rapidement en ayant déjà des images de plages, de vagues et de mer dans la tête. Finalement je passe une bonne nuit. J’ouvre les yeux juste avant que le réveil ne sonne. Je me lève pour prendre une bonne douche. Je m’habille léger, car je sais qu’il va faire chaud dans la voiture par cette journée d’été. Je descends prendre le petit-déjeuner, mes parents sont déjà dans la cuisine. Je les embrasse et m’assieds à table. Je me sers une tasse de café et je prends deux tartines au choco.
Jean vient juste de nous rejoindre. Il embrasse tous ceux qui sont attablés. Nous parlons de ma semaine de vacances, du stage sportif de Jean. Maman demande que je donne un coup de téléphone dès mon arrivée. C’est maman, elle est comme ça, elle veut être rassurée et savoir que nous sommes arrivés à bon port ! Je reçois un tas de recommandations telles que de mettre de la crème solaire, de ne pas trop m’exposer au soleil, d’être prudent pour ne pas attirer l’attention sur Ben et moi, etc.
Il est huit heures moins cinq quand la voiture d’Yves arrive. Ben en descend le premier pour venir vers moi alors que je viens juste de me présenter sur le perron d’entrée de la maison. Il me saute dans les bras et nous nous embrassons. Arlette et Yves suivent. Ils me saluent ainsi que mes parents qui sont à côté de moi. Les mamans parlent entre elles et bien entendu les papas font de même. Je prends ma valise et je la porte jusqu’à l’auto. Il y a juste place pour la mettre dans le coffre. C’est comme si Yves avait su la taille qu’elle faisait. Je vois Ben qui arbore un large sourire car il se rend compte que je suis heureux de le revoir et de partir avec sa famille et lui en vacances.
Voilà, c’est le moment du départ tant attendu. Anne et Jean m’embrassent de même que mes parents. Ils sont contents de me voir joyeux et heureux de partir. Je monte à l’arrière de la voiture et je m’assieds à côté de Ben. Nous allons pouvoir discuter et lire des bandes dessinées durant le trajet. Il faut dire qu’il y a environ huit cents kilomètres, du moins c’est ce qu’Yves vient de nous dire.
Hop, nous voilà en route. Yves prend la direction de Mons, ensuite Amiens et Rouen. C’est à Rouen que nous faisons une halte. Nous prenons alors la direction de Caen. Après cette ville je vois de panneaux indiquant « Mont-Saint-Michel ». Génial, on va passer tout près. J’en fais d’ailleurs part à Ben, qui lui aussi semble très content. Yves nous dit que nous apercevons le Mont St-Michel de loin. Effectivement, nous voyons cet éperon rocheux sur lequel nous pouvons voir l’église abbatiale qui domine l’ensemble. Avec le Mont en fond de paysage, nous en profitons pour faire un arrêt pique-nique. Le voyage se poursuit en direction de Rennes et ensuite Vannes. Nous sommes bien en Bretagne. Nous découvrons çà et là des calvaires. Une fois dépassée la ville de Vannes, nous sommes sur une route qui nous mène à un bourg du nom de Belz. Yves nous dit alors que c’est dans cette bourgade que nous allons passer les vacances.
Encore deux ou trois kilomètres et nous arrivons devant une habitation portant un panneau mentionnant « Gîte ». C’est avec impatience que nous sortons de la voiture pour enfin voir de plus près le lieu de notre villégiature. Nous sommes accueillis par une charmante dame qui nous ouvre le portail. Il y a un beau jardin sur le devant. Nous la suivons pour entrer dans la bâtisse. C’est une maison typique bretonne, en schiste et granite, les pierres de pays. Le séjour est assez spacieux, il est composé d’une salle à manger et d’un salon. La cuisine donne vers la salle à manger. Puis, du hall d’entrée, un escalier mène à l’étage où se trouvent les trois chambres et la salle de bain. Puis nous faisons un tour à l’extérieur. Nous accédons à une très belle terrasse par la salle de séjour puis au le jardin où nous trouvons le terrain de boules et bien entendu, la piscine. Ben est très heureux de découvrir ce lieu. Moi aussi, j’ai des étoiles dans les yeux. Je vois qu’Arlette et Yves affichent un large sourire en nous voyant si contents.
Ni une, ni deux, Ben et moi déchargeons la voiture, laissant Arlette et Yves un peu tranquilles, afin qu’ils se reposent du trajet. Ben propose à sa maman de monter les valises dans les chambres et de commencer à faire les lits. Elle marque son accord en nous demandant de faire cela sérieusement. Bien entendu nous nous acquittons de cette tâche avec le sourire et même parfois avec le fou-rire. Arlette monte nous rejoindre alors que nous terminons le dernier lit, celui de notre propre chambre. Elle est enchantée et nous donne un coup de main. Une fois ce travail achevé, elle nous propose de retrouver Yves au salon.
Yve : « Je suis très content de vous les garçons. C’est pour cela que je vous propose d’aller manger un morceau au restaurant.
Ben : Oh, merci papa.
Moi : Merci Yves, c’est très gentil.
Arl : Nous avons faim et je n’ai pas grand-chose pour faire à manger pour le souper et vu l’heure tardive, les magasins sont déjà fermés.
Yve : Alors c’est resto pour tous !
Ben : Super.
Yve : Bon, on y va. Qui m’aime me suive ! »
C’est donc dans la bonne humeur, après une journée de route que nous allons profiter des vacances par un bon restaurant. Nous sommes partis à pied, Yves ayant au préalable demandé à notre hôtesse, une bonne adresse pour se restaurer. Nous marchons dix minutes et nous arrivons à l’endroit indiqué.
Nous avons très bien mangé. Nous ne nous sommes cependant pas éternisés, nous étions tous les quatre très fatigués d’avoir passés la journée dans la voiture. Nous sommes entrés à la villa des vacances pour vite prendre une douche. La douche de la salle de bain est juste, même très juste pour deux, mais bon, on s’y fait. Ben en profite pour me laver le dos. Je fais de même pour lui. Je fais attention à mes lèvres car les points de sutures tirent beaucoup ce soir. Ben me caresse alors ma barbe naissante, enfin une barbe de plus de quinze jours quand même. Il est subjugué par ma toison au menton. Une fois séchés, nous gagnons la chambre qui nous a été dévolue. Bien entendu je n’ai pas pris de pyjama. Ben n’en a cure, mais devant ses parents, ce n’est pas la même chose que devant les miens. Je me suis dit que nous verrons bien ce qu’ils vont dire, ils savent que je suis naturiste et que Ben aime autant être nu lui aussi.
Je me love contre mon amour de Ben. Il reprend ses caresses sur ma barbe. De mon côté je lui caresse ses cheveux mi-longs, superbement blonds comme les blés. Je sens mon pénis grossir, je ne sais pas ce qui va se passer mais j’ai tellement envie de douceur, de câlins, d’un peu de calme mais aussi de tendresse. Je plonge mon regard dans celui de Ben. Il n’en faut pas plus pour que nous soyons en communion. Il y a des étoiles dans nos yeux, il y a beaucoup d’amour, de belles choses à partager. Ben approche doucement ses lèvres des miennes, tout en sachant que j’ai encore un peu mal. Je le laisse faire, Ben est si délicat, si prévenant. Enfin nous nous embrassons. Nos langues dansent entre elles mais hors de nos bouches, c’est une première. C’est assez sensuel, nous aurions dû tester ça bien avant. Ben avance alors une main et vient s’emparer de mon sexe dressé. Je n’attends pas et je fais de même avec le sien. Ben me fait un clin d’œil et nous commençons une masturbation appliquée mais délicate sur la verge de notre amour. Je décalotte le gland du pénis de Ben. Il est déjà très humide son gland, je m’applique à lui donner de belles sensations en allant le long de sa barre de chair, tantôt en appuyant puis en passant doucement. Ben lui aussi s’applique à me donner du plaisir. Il joue avec le méat de mon gland, du pré-cum s’y échappe déjà. Ses caresses se font de plus en plus insistantes. Je sais que je ne vais pas tenir très longtemps à ce rythme. Je m’occupe donc du phallus de Ben en alternant les mouvements lents et rapides. Nos respirations se font plus sonores et saccadées. Je sens que nous allons tous les deux bientôt arriver au point de non-retour. Ben me dit qu’il va bientôt jouir, de mon côté je lui dis que moi aussi je vais jouir. Nous accélérons nos mouvements de la main et dans un râle commun nous libérons notre semence sur nos abdominaux. J’ai un peu de sperme de Ben sur les doigts et je m’empresse de porter ce délicieux nectar à ma bouche pour l’avaler. Ben voyant ce que je viens de faire, m’imite et goûte-lui aussi à mon sperme. Ben n’a pas prévu de quoi nous essuyer, qu’à cela ne tienne, je me penche vers le ventre de Ben et je lèche son sperme. Ensuite il fait de même avec le mien.
Je me glisse ensuite dans ses bras en lui susurrant à l’oreille que je l’aime. Ben me répond qu’il m’aime aussi. Nous sommes vidés, épuisés, par cette journée et il ne faut pas cinq minutes pour que nous rejoignons le pays des rêves, dans les bras l’un de l’autre.
C’est vers huit heures quarante que nous nous sommes réveillés avec une bonne odeur de café frais et de petits pains au chocolat. Nous passons par la salle de bain pour une bonne douche avant de rejoindre après avoir enfilé un short, Arlette et Yves qui prenaient déjà leur café. Un bisou en guise de bonjour et je n’oublie pas de remettre le cadeau destiné à les remercier de m’accueillir avec eux en vacances. Arlette prend et ouvre le paquet. Il s’agit d’un ensemble de bain, soit bikini et drap de bain avec des motifs particuliers et multicolores. Arlette a les yeux qui pétillent, elle est sous le charme, elle en avait parlé à maman il y a déjà quelques semaines. Comme Arlette ne parvenait pas à trouver ce fameux modèle, maman s’était décarcassée pour le trouver et donc l’offrir à Arlette la maman de mon amoureux. Quelle très belle intention.
Arlette se lève et vient m’embrasser en disant :
Arl « Oh Phil tu ne peux pas savoir comme ce cadeau me fait plaisir. C’est délicat de la part de ta maman de l’avoir découvert.
Moi : Je suis content de voir que cela vous fait plaisir. Je ne savais pas de quoi il s’agissait !
Arl : Mais c’est l’intention qui compte. J’en suis ravie. Puis je vais te dire que je te trouve très bien avec ta barbe.
Moi : Merci Arlette, c’est gentil de votre part.
Arl : Si tu veux on peut passer dans un salon de coiffure pour la faire égaliser.
Moi : Je n’en sais rien, je pense qu’il vaut peut-être mieux.
Ben : Oui Phil, elle sera déjà un peu moins hirsute.
Yve : Oui, je pense aussi.
Je passe ma main sur mes quelques poils de barbe et nous éclatons tous de rire. Je m’aperçois que les vacances commencent bien. Bon, je crois que je vais suivre leurs bons conseils. Je dois bien l’avouer, Marie m’avait fait la même remarque.
Vacances en Bretagne.
Après avoir réglé le réveil sur sept heures, je me couche, nu, dans mon lit. Je m’endors assez rapidement en ayant déjà des images de plages, de vagues et de mer dans la tête. Finalement je passe une bonne nuit. J’ouvre les yeux juste avant que le réveil ne sonne. Je me lève pour prendre une bonne douche. Je m’habille léger, car je sais qu’il va faire chaud dans la voiture par cette journée d’été. Je descends prendre le petit-déjeuner, mes parents sont déjà dans la cuisine. Je les embrasse et m’assieds à table. Je me sers une tasse de café et je prends deux tartines au choco.
Jean vient juste de nous rejoindre. Il embrasse tous ceux qui sont attablés. Nous parlons de ma semaine de vacances, du stage sportif de Jean. Maman demande que je donne un coup de téléphone dès mon arrivée. C’est maman, elle est comme ça, elle veut être rassurée et savoir que nous sommes arrivés à bon port ! Je reçois un tas de recommandations telles que de mettre de la crème solaire, de ne pas trop m’exposer au soleil, d’être prudent pour ne pas attirer l’attention sur Ben et moi, etc.
Il est huit heures moins cinq quand la voiture d’Yves arrive. Ben en descend le premier pour venir vers moi alors que je viens juste de me présenter sur le perron d’entrée de la maison. Il me saute dans les bras et nous nous embrassons. Arlette et Yves suivent. Ils me saluent ainsi que mes parents qui sont à côté de moi. Les mamans parlent entre elles et bien entendu les papas font de même. Je prends ma valise et je la porte jusqu’à l’auto. Il y a juste place pour la mettre dans le coffre. C’est comme si Yves avait su la taille qu’elle faisait. Je vois Ben qui arbore un large sourire car il se rend compte que je suis heureux de le revoir et de partir avec sa famille et lui en vacances.
Voilà, c’est le moment du départ tant attendu. Anne et Jean m’embrassent de même que mes parents. Ils sont contents de me voir joyeux et heureux de partir. Je monte à l’arrière de la voiture et je m’assieds à côté de Ben. Nous allons pouvoir discuter et lire des bandes dessinées durant le trajet. Il faut dire qu’il y a environ huit cents kilomètres, du moins c’est ce qu’Yves vient de nous dire.
Hop, nous voilà en route. Yves prend la direction de Mons, ensuite Amiens et Rouen. C’est à Rouen que nous faisons une halte. Nous prenons alors la direction de Caen. Après cette ville je vois de panneaux indiquant « Mont-Saint-Michel ». Génial, on va passer tout près. J’en fais d’ailleurs part à Ben, qui lui aussi semble très content. Yves nous dit que nous apercevons le Mont St-Michel de loin. Effectivement, nous voyons cet éperon rocheux sur lequel nous pouvons voir l’église abbatiale qui domine l’ensemble. Avec le Mont en fond de paysage, nous en profitons pour faire un arrêt pique-nique. Le voyage se poursuit en direction de Rennes et ensuite Vannes. Nous sommes bien en Bretagne. Nous découvrons çà et là des calvaires. Une fois dépassée la ville de Vannes, nous sommes sur une route qui nous mène à un bourg du nom de Belz. Yves nous dit alors que c’est dans cette bourgade que nous allons passer les vacances.
Encore deux ou trois kilomètres et nous arrivons devant une habitation portant un panneau mentionnant « Gîte ». C’est avec impatience que nous sortons de la voiture pour enfin voir de plus près le lieu de notre villégiature. Nous sommes accueillis par une charmante dame qui nous ouvre le portail. Il y a un beau jardin sur le devant. Nous la suivons pour entrer dans la bâtisse. C’est une maison typique bretonne, en schiste et granite, les pierres de pays. Le séjour est assez spacieux, il est composé d’une salle à manger et d’un salon. La cuisine donne vers la salle à manger. Puis, du hall d’entrée, un escalier mène à l’étage où se trouvent les trois chambres et la salle de bain. Puis nous faisons un tour à l’extérieur. Nous accédons à une très belle terrasse par la salle de séjour puis au le jardin où nous trouvons le terrain de boules et bien entendu, la piscine. Ben est très heureux de découvrir ce lieu. Moi aussi, j’ai des étoiles dans les yeux. Je vois qu’Arlette et Yves affichent un large sourire en nous voyant si contents.
Ni une, ni deux, Ben et moi déchargeons la voiture, laissant Arlette et Yves un peu tranquilles, afin qu’ils se reposent du trajet. Ben propose à sa maman de monter les valises dans les chambres et de commencer à faire les lits. Elle marque son accord en nous demandant de faire cela sérieusement. Bien entendu nous nous acquittons de cette tâche avec le sourire et même parfois avec le fou-rire. Arlette monte nous rejoindre alors que nous terminons le dernier lit, celui de notre propre chambre. Elle est enchantée et nous donne un coup de main. Une fois ce travail achevé, elle nous propose de retrouver Yves au salon.
Yve : « Je suis très content de vous les garçons. C’est pour cela que je vous propose d’aller manger un morceau au restaurant.
Ben : Oh, merci papa.
Moi : Merci Yves, c’est très gentil.
Arl : Nous avons faim et je n’ai pas grand-chose pour faire à manger pour le souper et vu l’heure tardive, les magasins sont déjà fermés.
Yve : Alors c’est resto pour tous !
Ben : Super.
Yve : Bon, on y va. Qui m’aime me suive ! »
C’est donc dans la bonne humeur, après une journée de route que nous allons profiter des vacances par un bon restaurant. Nous sommes partis à pied, Yves ayant au préalable demandé à notre hôtesse, une bonne adresse pour se restaurer. Nous marchons dix minutes et nous arrivons à l’endroit indiqué.
Nous avons très bien mangé. Nous ne nous sommes cependant pas éternisés, nous étions tous les quatre très fatigués d’avoir passés la journée dans la voiture. Nous sommes entrés à la villa des vacances pour vite prendre une douche. La douche de la salle de bain est juste, même très juste pour deux, mais bon, on s’y fait. Ben en profite pour me laver le dos. Je fais de même pour lui. Je fais attention à mes lèvres car les points de sutures tirent beaucoup ce soir. Ben me caresse alors ma barbe naissante, enfin une barbe de plus de quinze jours quand même. Il est subjugué par ma toison au menton. Une fois séchés, nous gagnons la chambre qui nous a été dévolue. Bien entendu je n’ai pas pris de pyjama. Ben n’en a cure, mais devant ses parents, ce n’est pas la même chose que devant les miens. Je me suis dit que nous verrons bien ce qu’ils vont dire, ils savent que je suis naturiste et que Ben aime autant être nu lui aussi.
Je me love contre mon amour de Ben. Il reprend ses caresses sur ma barbe. De mon côté je lui caresse ses cheveux mi-longs, superbement blonds comme les blés. Je sens mon pénis grossir, je ne sais pas ce qui va se passer mais j’ai tellement envie de douceur, de câlins, d’un peu de calme mais aussi de tendresse. Je plonge mon regard dans celui de Ben. Il n’en faut pas plus pour que nous soyons en communion. Il y a des étoiles dans nos yeux, il y a beaucoup d’amour, de belles choses à partager. Ben approche doucement ses lèvres des miennes, tout en sachant que j’ai encore un peu mal. Je le laisse faire, Ben est si délicat, si prévenant. Enfin nous nous embrassons. Nos langues dansent entre elles mais hors de nos bouches, c’est une première. C’est assez sensuel, nous aurions dû tester ça bien avant. Ben avance alors une main et vient s’emparer de mon sexe dressé. Je n’attends pas et je fais de même avec le sien. Ben me fait un clin d’œil et nous commençons une masturbation appliquée mais délicate sur la verge de notre amour. Je décalotte le gland du pénis de Ben. Il est déjà très humide son gland, je m’applique à lui donner de belles sensations en allant le long de sa barre de chair, tantôt en appuyant puis en passant doucement. Ben lui aussi s’applique à me donner du plaisir. Il joue avec le méat de mon gland, du pré-cum s’y échappe déjà. Ses caresses se font de plus en plus insistantes. Je sais que je ne vais pas tenir très longtemps à ce rythme. Je m’occupe donc du phallus de Ben en alternant les mouvements lents et rapides. Nos respirations se font plus sonores et saccadées. Je sens que nous allons tous les deux bientôt arriver au point de non-retour. Ben me dit qu’il va bientôt jouir, de mon côté je lui dis que moi aussi je vais jouir. Nous accélérons nos mouvements de la main et dans un râle commun nous libérons notre semence sur nos abdominaux. J’ai un peu de sperme de Ben sur les doigts et je m’empresse de porter ce délicieux nectar à ma bouche pour l’avaler. Ben voyant ce que je viens de faire, m’imite et goûte-lui aussi à mon sperme. Ben n’a pas prévu de quoi nous essuyer, qu’à cela ne tienne, je me penche vers le ventre de Ben et je lèche son sperme. Ensuite il fait de même avec le mien.
Je me glisse ensuite dans ses bras en lui susurrant à l’oreille que je l’aime. Ben me répond qu’il m’aime aussi. Nous sommes vidés, épuisés, par cette journée et il ne faut pas cinq minutes pour que nous rejoignons le pays des rêves, dans les bras l’un de l’autre.
C’est vers huit heures quarante que nous nous sommes réveillés avec une bonne odeur de café frais et de petits pains au chocolat. Nous passons par la salle de bain pour une bonne douche avant de rejoindre après avoir enfilé un short, Arlette et Yves qui prenaient déjà leur café. Un bisou en guise de bonjour et je n’oublie pas de remettre le cadeau destiné à les remercier de m’accueillir avec eux en vacances. Arlette prend et ouvre le paquet. Il s’agit d’un ensemble de bain, soit bikini et drap de bain avec des motifs particuliers et multicolores. Arlette a les yeux qui pétillent, elle est sous le charme, elle en avait parlé à maman il y a déjà quelques semaines. Comme Arlette ne parvenait pas à trouver ce fameux modèle, maman s’était décarcassée pour le trouver et donc l’offrir à Arlette la maman de mon amoureux. Quelle très belle intention.
Arlette se lève et vient m’embrasser en disant :
Arl « Oh Phil tu ne peux pas savoir comme ce cadeau me fait plaisir. C’est délicat de la part de ta maman de l’avoir découvert.
Moi : Je suis content de voir que cela vous fait plaisir. Je ne savais pas de quoi il s’agissait !
Arl : Mais c’est l’intention qui compte. J’en suis ravie. Puis je vais te dire que je te trouve très bien avec ta barbe.
Moi : Merci Arlette, c’est gentil de votre part.
Arl : Si tu veux on peut passer dans un salon de coiffure pour la faire égaliser.
Moi : Je n’en sais rien, je pense qu’il vaut peut-être mieux.
Ben : Oui Phil, elle sera déjà un peu moins hirsute.
Yve : Oui, je pense aussi.
Je passe ma main sur mes quelques poils de barbe et nous éclatons tous de rire. Je m’aperçois que les vacances commencent bien. Bon, je crois que je vais suivre leurs bons conseils. Je dois bien l’avouer, Marie m’avait fait la même remarque.