12-08-2021, 03:10 PM
Les vacances sont consacrées aux révisons et à l’étude approfondie des cours. En effet une session d’examen est prévue début du mois de janvier, ce qui fait qu’il ne nous reste à Julien et à moi, qu’une dizaine de jours pour être prêts. Nous avons chacun les dates et les heures des examens, c’est principalement un oral que nous avons, bien que des écrits soient aussi prévus.
Nous prenons du temps aussi pour nous délasser, soit en allant faire des balades en forêt ou alors en passant une heure et demie dans la salle de sport de l’université. Nous trouvons à chaque fois un créneau horaire où il n’y a presque personne.
Bien entendu nous passons par les douches pour nous débarrasser de la sueur et nous laver. Parfois nous tombons avec deux ou trois gars qui sans scrupule se masturbent en se regardant les uns les autres. Nous les accompagnons parfois dans cette espèce de délire de grands ados. Une fois nous sommes arrivés dans les douches et cette chance d’avoir deux couples de garçons qui se masturbent mutuellement. Nous nous sommes alors branlés ensemble Julien et moi. Les deux autres couples nous regardent ne perdant rien de ce qui se passe sous leurs yeux. Nous avons quand même parfois craint de tomber sur un ou des homophobes.
Voilà l’année qui s’achève, nous sommes le trente décembre et demain soir nous allons réveillonner. Nous avons, Julien et moi, mais aussi les deux filles, déjà lancés des invitations adressées à nos amis en vue de fêter la nouvelle année dans la salle paroissiale qui a été louée par nos parents. C’est une fête organisée pour les jeunes, mes parents ayant décidé de passer le réveillon chez des amis.
Inutile de dire que nous sommes assez fébriles et que nous allons devoir tout agencer pour que nous passions un très bon moment entre nous. Je pense que ce ne sera pas très facile pour Stéphanie et Julien, c’est une page à tourner, une année à oublier, soit celle de cet effroyable accident qui a coûté la vie à leur maman et à leur papa. Je n’oublie pas les semaines de galères vécues par Julien pour sa guérison. Ce qui me fait penser que notre amour est encore plus fort qu’avant ce funeste jour de début juillet. Julien et moi nous nous aimons d’un amour fort et tendre à la fois. Bien entendu il nous arrive de ne pas être d’accord, mais nous trouvons toujours le moyen d’arriver une solution et d’arrondir les angles. Je pense que c’est une preuve de maturité, car ce qui s’est passé nous a fait mûrir très vite et dans le bon sens.
Nous sortons de table et débarrassons pour tout apporter dans la cuisine. Maman nous dit qu’elle s’occupe de la vaisselle et que nous pouvons nous consacrer aux derniers préparatifs pour le réveillon. Nous restons auprès d’elle pour l’aider, c’est pour nous la moindre des choses à faire que de lui donner un coup de main. Je vois maman nous sourire tout en poursuivant le lavage des assiettes et des couverts. Nous essuyons le tout et le replaçons dans les armoires et tiroirs correspondants.
Nous montons dans notre chambre non sans avoir pris avec nous nos listes des tâches à accomplir pour que cette soirée se passe au mieux. Nous passons l’ensemble des listes à la loupe pour bien vérifier que tout est bien mentionné.
Bref, nous avons la liste des invités, celle des victuailles, celle des boissons, celle du matériel pour la sono, les guirlandes et autres confetti et chapeaux de circonstance, … etc. Nous serons vingt-six pour ce réveillon. Comme la salle peut contenir quarante personnes au maximum, nous serons donc à l’aise pour tout installer et prévoir une piste de danse. Tout est organisé, il ne reste plus qu’à procéder à l’aménagement à partir de neuf heures demain.
Nous quittons la chambre pour nous doucher. Nous déposons nos vêtements dans la manne à linge sale et nous entrons dans la douche dont l’eau à bonne température nous réchauffe. Comme à notre habitude nous nous lavons l’un l’autre ce qui a pour effet de voir nos pénis prendre de l’ampleur. Nous évitons tant que faire se peut de trop nous y attarder car nous envisageons de nous aimer avant de dormir. Une fois séchés, nous regagnons notre antre pour enfin nous coucher sur notre lit.
Nos lèvres se retrouvent et nous nous embrassons avec fougue. Nous attendions ce moment depuis déjà des heures ! Nos mains une nouvelle fois parcourent nos corps en s’attardant sur les parties sensibles telles que nos tétons, … etc. Julien me caresse les cheveux doucement, de mon côté c’est son cou et sa nuque que j’aime toucher, il en est de même pour ses aisselles. Nous savons maintenant ce que notre compagnon aime. C’est ensuite le moment de s’occuper de nos appendices dressés et durs comme des barres de fer. Je sens déjà que mon gland est tout humide, celui de Juju lui aussi dégouline un peu. Nos mains s’attardent à ce niveau en caressant doucement l’objet de notre désir. Nos lèvres se détachent alors : nous savons que c’est le moment de passer aux choses sérieuses.
Je tends la main et prends le gel qui est placé sur la table de nuit. Je prends une petite noisette pour enduire et préparer la rosette de mon amour. Julien se place sur le dos. Mes doigts s’attardent pour bien élargir l’entrée de sa grotte d’amour. Je mets aussi du gel sur mon boute-joie et l’avance vers l’objet de mes désirs alors que Juju passe ses jambes sur mes épaules, offrant ainsi son corps. Mon gland pénètre doucement dans le passage préparé. Mon pénis est maintenant dans l’antre de mon chéri qui laisse déjà échapper quelques murmures de satisfaction. Je débute doucement les aller et retour dans cet étui bien chaud. Nous sommes tous les deux dans notre bulle, dans notre monde de tendresse et d’amour. Je lime donc mon chéri pour notre plus grand bonheur. Je ne sais pas depuis combien de temps je fais l’amour à mon Juju, je suis, tout comme lui, comme hors du temps. Je finis par jouir dans ses entrailles en laissant échapper de râles de bonheur tout comme Julien. Je quitte alors la grotte de mon aimé et m’étale à côté de lui. Nous nous embrassons laissant nos langues danser un moment entre elles.
Julien voyant que je suis prêt à recevoir tout son amour, prend du gel et s’occupe de préparer mon anus. Je me place dans la même position que lui lorsque je l’ai aimé. Je sens qu’il approche son gland de l’entrée de ma caverne. Tout comme moi, il y va doucement, son gland pénètre tendrement dans mon intimité. Je ressens déjà toute cette chaleur réchauffer mon antre. Ça y est, Julien vient me lutiner, il me fait l’amour comme jamais. Il a retrouvé toute sa vigueur, il me fait monter au septième ciel. Je râle de bonheur sous les coups de boutoir magiques et doux à la fois. Je me rends compte que mon amant va jouir, je sens alors toute cette tension qui arrive à son paroxysme et d’un coup je sens sa sève de vie qui vient s’épandre dans ma caverne. Je m’en mords les lèvres tellement c’est si fort, et sans même me toucher, j’éjacule moi aussi sur mon bas ventre.
Nous restons couchés l’un à côté de l’autre quelques minutes, le temps de reprendre haleine. Puis sans un mot j’embrasse mon chéri. Nos regards sont plongés l’un dans l’autre, nous n’avons pas besoin de dire que nous nous aimons, nos yeux parlent pour nous.
Nous redescendons sur « Terre », toujours ivres de bonheur. Nous essuyons les traces de notre relation avec des mouchoirs en papier, avant de nous prendre dans les bras l’un de l’autre, après avoir éteint la lumière. C’est ainsi que dans les minutes qui suivent nous plongeons ensemble dans le pays des rêves !
Nous prenons du temps aussi pour nous délasser, soit en allant faire des balades en forêt ou alors en passant une heure et demie dans la salle de sport de l’université. Nous trouvons à chaque fois un créneau horaire où il n’y a presque personne.
Bien entendu nous passons par les douches pour nous débarrasser de la sueur et nous laver. Parfois nous tombons avec deux ou trois gars qui sans scrupule se masturbent en se regardant les uns les autres. Nous les accompagnons parfois dans cette espèce de délire de grands ados. Une fois nous sommes arrivés dans les douches et cette chance d’avoir deux couples de garçons qui se masturbent mutuellement. Nous nous sommes alors branlés ensemble Julien et moi. Les deux autres couples nous regardent ne perdant rien de ce qui se passe sous leurs yeux. Nous avons quand même parfois craint de tomber sur un ou des homophobes.
Voilà l’année qui s’achève, nous sommes le trente décembre et demain soir nous allons réveillonner. Nous avons, Julien et moi, mais aussi les deux filles, déjà lancés des invitations adressées à nos amis en vue de fêter la nouvelle année dans la salle paroissiale qui a été louée par nos parents. C’est une fête organisée pour les jeunes, mes parents ayant décidé de passer le réveillon chez des amis.
Inutile de dire que nous sommes assez fébriles et que nous allons devoir tout agencer pour que nous passions un très bon moment entre nous. Je pense que ce ne sera pas très facile pour Stéphanie et Julien, c’est une page à tourner, une année à oublier, soit celle de cet effroyable accident qui a coûté la vie à leur maman et à leur papa. Je n’oublie pas les semaines de galères vécues par Julien pour sa guérison. Ce qui me fait penser que notre amour est encore plus fort qu’avant ce funeste jour de début juillet. Julien et moi nous nous aimons d’un amour fort et tendre à la fois. Bien entendu il nous arrive de ne pas être d’accord, mais nous trouvons toujours le moyen d’arriver une solution et d’arrondir les angles. Je pense que c’est une preuve de maturité, car ce qui s’est passé nous a fait mûrir très vite et dans le bon sens.
Nous sortons de table et débarrassons pour tout apporter dans la cuisine. Maman nous dit qu’elle s’occupe de la vaisselle et que nous pouvons nous consacrer aux derniers préparatifs pour le réveillon. Nous restons auprès d’elle pour l’aider, c’est pour nous la moindre des choses à faire que de lui donner un coup de main. Je vois maman nous sourire tout en poursuivant le lavage des assiettes et des couverts. Nous essuyons le tout et le replaçons dans les armoires et tiroirs correspondants.
Nous montons dans notre chambre non sans avoir pris avec nous nos listes des tâches à accomplir pour que cette soirée se passe au mieux. Nous passons l’ensemble des listes à la loupe pour bien vérifier que tout est bien mentionné.
Bref, nous avons la liste des invités, celle des victuailles, celle des boissons, celle du matériel pour la sono, les guirlandes et autres confetti et chapeaux de circonstance, … etc. Nous serons vingt-six pour ce réveillon. Comme la salle peut contenir quarante personnes au maximum, nous serons donc à l’aise pour tout installer et prévoir une piste de danse. Tout est organisé, il ne reste plus qu’à procéder à l’aménagement à partir de neuf heures demain.
Nous quittons la chambre pour nous doucher. Nous déposons nos vêtements dans la manne à linge sale et nous entrons dans la douche dont l’eau à bonne température nous réchauffe. Comme à notre habitude nous nous lavons l’un l’autre ce qui a pour effet de voir nos pénis prendre de l’ampleur. Nous évitons tant que faire se peut de trop nous y attarder car nous envisageons de nous aimer avant de dormir. Une fois séchés, nous regagnons notre antre pour enfin nous coucher sur notre lit.
Nos lèvres se retrouvent et nous nous embrassons avec fougue. Nous attendions ce moment depuis déjà des heures ! Nos mains une nouvelle fois parcourent nos corps en s’attardant sur les parties sensibles telles que nos tétons, … etc. Julien me caresse les cheveux doucement, de mon côté c’est son cou et sa nuque que j’aime toucher, il en est de même pour ses aisselles. Nous savons maintenant ce que notre compagnon aime. C’est ensuite le moment de s’occuper de nos appendices dressés et durs comme des barres de fer. Je sens déjà que mon gland est tout humide, celui de Juju lui aussi dégouline un peu. Nos mains s’attardent à ce niveau en caressant doucement l’objet de notre désir. Nos lèvres se détachent alors : nous savons que c’est le moment de passer aux choses sérieuses.
Je tends la main et prends le gel qui est placé sur la table de nuit. Je prends une petite noisette pour enduire et préparer la rosette de mon amour. Julien se place sur le dos. Mes doigts s’attardent pour bien élargir l’entrée de sa grotte d’amour. Je mets aussi du gel sur mon boute-joie et l’avance vers l’objet de mes désirs alors que Juju passe ses jambes sur mes épaules, offrant ainsi son corps. Mon gland pénètre doucement dans le passage préparé. Mon pénis est maintenant dans l’antre de mon chéri qui laisse déjà échapper quelques murmures de satisfaction. Je débute doucement les aller et retour dans cet étui bien chaud. Nous sommes tous les deux dans notre bulle, dans notre monde de tendresse et d’amour. Je lime donc mon chéri pour notre plus grand bonheur. Je ne sais pas depuis combien de temps je fais l’amour à mon Juju, je suis, tout comme lui, comme hors du temps. Je finis par jouir dans ses entrailles en laissant échapper de râles de bonheur tout comme Julien. Je quitte alors la grotte de mon aimé et m’étale à côté de lui. Nous nous embrassons laissant nos langues danser un moment entre elles.
Julien voyant que je suis prêt à recevoir tout son amour, prend du gel et s’occupe de préparer mon anus. Je me place dans la même position que lui lorsque je l’ai aimé. Je sens qu’il approche son gland de l’entrée de ma caverne. Tout comme moi, il y va doucement, son gland pénètre tendrement dans mon intimité. Je ressens déjà toute cette chaleur réchauffer mon antre. Ça y est, Julien vient me lutiner, il me fait l’amour comme jamais. Il a retrouvé toute sa vigueur, il me fait monter au septième ciel. Je râle de bonheur sous les coups de boutoir magiques et doux à la fois. Je me rends compte que mon amant va jouir, je sens alors toute cette tension qui arrive à son paroxysme et d’un coup je sens sa sève de vie qui vient s’épandre dans ma caverne. Je m’en mords les lèvres tellement c’est si fort, et sans même me toucher, j’éjacule moi aussi sur mon bas ventre.
Nous restons couchés l’un à côté de l’autre quelques minutes, le temps de reprendre haleine. Puis sans un mot j’embrasse mon chéri. Nos regards sont plongés l’un dans l’autre, nous n’avons pas besoin de dire que nous nous aimons, nos yeux parlent pour nous.
Nous redescendons sur « Terre », toujours ivres de bonheur. Nous essuyons les traces de notre relation avec des mouchoirs en papier, avant de nous prendre dans les bras l’un de l’autre, après avoir éteint la lumière. C’est ainsi que dans les minutes qui suivent nous plongeons ensemble dans le pays des rêves !