09-08-2021, 10:34 AM
De retour à la maison nous nous attelons à préparer les cours du lendemain. Nous sommes tous les deux dans la salle à manger où nous occupons la table principale. Celle-ci est très vite envahie par nos fardes et autres livres. Nous discutons entre nous de la possibilité de placer deux bureaux dans la « chambre médicalisée » qui pourrait dès lors service de salle d’étude pour avoir plus facile. Il est certain que cette solution puisse être acceptée par les parents.
Nous avons terminé juste à temps pour le repas du soir. Nous mettons la table pour le souper à la suite de la demande de maman. Ce soir nous mangeons un spaghetti bolognaise qui fera plaisir à tout le monde.
Lors du repas, Julien et moi, abordons la problématique de l’endroit où nous pouvons étudier en disposant d’assez de place pour disposer nos cours et nos livres. Nous suggérons à nos parents l’achat de deux bureaux pour les installer dans la chambre du rez-de-chaussée. La proposition est acceptée sans problème. C’est donc tranquille que nous terminons ce succulent repas.
Les jours se suivent et nous nous appliquons à bien revoir nos cours chaque soir. Nous savons que nous devons être irréprochables car notre avenir en dépend. Julien m’a d’ailleurs confié qu’il n’envisageait pas de rater une année scolaire car il sait que cela aurait un impact pour sa sœur et nos parents. Il est très conscient du fait que c’est grâce à l’héritage de ses parents et l’aide des miens qu’il peut faire des études universitaires.
Nous avons régulièrement des activités avec Axel et Thomas. Nous allons au théâtre ainsi qu’au cinéma. Nous deux amis vivent ensemble dans un studio et tout semble bien se passer. Il n’est pas rare de nous retrouver dans un restaurant fréquenté par des étudiants et de passer de très bons moments entre nous. Parfois Stan, celui qui fréquente aussi la salle de sport de l’université, se joint à nous. Lors d’une soirée nous nous sommes même retrouvés avec nos deux sœurs Delphine et Stéphanie. Il n’a pas fallu longtemps à nos amis pour découvrir qu’elles étaient ensemble.
Le temps passe vite, nous voilà déjà fin décembre, aux fêtes de fin d’année, soit Noël et le Nouvel An ! C’est une période de fête mais aussi d’étude pour nous, car nous avons une session d’examens début janvier. Nous ne manquons pas de passer le réveillon de Noël en famille, c’est très important, étant donné que c’est le premier Noël vécu avec notre famille agrandie.
Le réveillon débute par la mise en place des décorations dans le living. Le sapin est déjà en place et décoré depuis une semaine. Les filles préparent la table, maman et papa vaquent à la préparation du repas, c’est « une surprise » disent-ils, donc pas question d’aller dans la cuisine. Nous sommes prêts pour cette soirée familiale. Bien entendu nous allons Julien et moi nous préparer. Nous montons à l’étage pour prendre un douche.
C’est donc dans le plus simple appareil que nous passons de la chambre à la salle de bain. Nous entrons dans la douche et c’est le moment de nous embrasser. Je dépose mes lèvres sur celles de mon Juju d’amour. Inutile de dire qu’il accepte ce baiser et bien entendu il y répond en laissant sa langue entrer dans ma bouche pour qu’elle retrouve la mienne. Il est clair que nos membres se sont aussi réveillés. Nos mains descendent au niveau de nos attributs pour les gratifier de caresses bien prononcées. Nous nous collons l’un à l’autre laissant nos vis se frôler l’un et l’autre. Nos lèvres sont toujours soudées pour un baiser passionné. Je prends la main de Juju et je la place sur nos sexes bandés, la mien étant posée sur la sienne. C’est donc de concert que nous nous masturbons sous la douche. Il n’a pas fallu longtemps avant que nos sèves se répande sur nos doigts et nos pubis. L’eau a vite fait d’effacer toute trace de notre jouissance. Nos lèvres se décollent enfin l’une de l’autre. Nos regards se font plus profonds, pas besoin de parler, nos yeux parlent pour nous. Ils nous disent combien nous nous aimons et que nous tenons l’un à l’autre.
Nous finissons alors nos ablutions pour nous sécher avant de rejoindre notre chambre pour nous apprêter. Dans le hall de nuit, nous croisons « in naturalibus » mon frère Olivier et Julie qui viennent d’arriver et qui se rendent dans la chambre d’ami. Ils nous font la bise comme si de rien n’était. Ils savent que c’est très souvent nu que nous déambulons à l’étage de la maison.
Tout le monde est présent. Nous allons prendre l’apéritif. Nous avons le choix, du mousseux, de la trappiste d’Orval ou de Chimay, du whisky ou bien du soft. Chacun prend ce qui lui fait plaisir. Julien opte pour une Chimay bleue et je l’accompagne. Nous les seuls à avoir pris de la bière, les autres se sont accordés pour le mousseux. Les discussions vont bon train. Olivier nous pose des questions sur notre premier trimestre à l’université. Nous lui expliquons ce que nous avons comme cours, nos séances de musculation à la salle des sports, nos sorties avec nous amis et nos sœurs.
Avant de passer à table, maman propose de passer à la distribution des cadeaux. Il faut dire qu’avec les deux filles nous nous sommes concertés pour ne pas offrir la même chose à nos parents. Nous débutons par le cadeau de nos sœurs à l’adresse de nos parents, elle offre un week-end en thalasso. Je laisse Julien donner celui que nous avons choisi pour eux, c’est un repas pour deux dans un restaurant gastronomique de la région. Inutile de dire que nos parents sont ravis de ce qu’ils ont reçu. Olivier et Julie leur offre deux entrée pour l’opéra, un séance pour voir « Nabucco » de Verdi.
C’est alors au tour des filles de recevoir le cadeau des parents, un séjour en croisière sur la méditerranée : elles sont folles de joie. C’est au tour de mon frère et de Julie, ils reçoivent aussi un séjour au States. C’est ensuite à notre tour à Julien et à moi. Maman tient une petite boite en main et papa en tient une identique dans ses mains. Nos parents placent les deux boîtes l’une sur l’autre et nous les déposent dans nos mains. Ils ajoutent que c’est pour nous deux, sans préciser.
Nous ouvrons chacun une des boites. Je trouve un trousseau de clefs de voiture, Julien fait aussi la même découverte. Nous nous regardons, nous comparons les deux trousseaux, ils sont identiques. C’est sans voix que nous enlaçons nos parents. Des larmes de joie coulent sur nos joues rouge écarlate. Nous reprenons nos places et papa nous dit :
Papa : « Voilà les garçons, vous avez dans vos mains les clefs de la voiture de Béatrice. C’est avec l’accord de Stéphanie que nous vous la confions. Maman et moi nous avons pris l’immatriculation et l’assurance en charge.
Moi et Jul : Heu, merci.
Mam : Bien entendu nous vous demandons d’être triplement attentif lorsque vous serez au volant de ce véhicule. N’oubliez pas que si vous n’êtes pas en état de conduire, vous ne prenez pas le volant, faîtes appel à nous.
Jul : Merci maman Fanny, je sais que le fait d’avoir un volant en main nous demande de respecter toutes les règles de conduite et bien entendu d’être apte à la conduite.
Moi : Maman, papa, c’est la même chose pour moi. Nous savons ce que c’est que conduire, connaissant les conséquences en cas de … d’accident !
Jul : Je, heu … je …
Mam : Je sais Julien, je sais que tu es encore touché par ce qui s’est passé et que tu connais les conséquences d’une erreur de conduite.
Papa : Bon, restons positif, nous vous faisons entièrement confiance. »
Julien et moi nous embrassons nos parents en leur disant « merci ». Nous poursuivons l’apéro avec le sourire aux lèvres, nous sommes comblés de bonheur !
Nous avons terminé juste à temps pour le repas du soir. Nous mettons la table pour le souper à la suite de la demande de maman. Ce soir nous mangeons un spaghetti bolognaise qui fera plaisir à tout le monde.
Lors du repas, Julien et moi, abordons la problématique de l’endroit où nous pouvons étudier en disposant d’assez de place pour disposer nos cours et nos livres. Nous suggérons à nos parents l’achat de deux bureaux pour les installer dans la chambre du rez-de-chaussée. La proposition est acceptée sans problème. C’est donc tranquille que nous terminons ce succulent repas.
Les jours se suivent et nous nous appliquons à bien revoir nos cours chaque soir. Nous savons que nous devons être irréprochables car notre avenir en dépend. Julien m’a d’ailleurs confié qu’il n’envisageait pas de rater une année scolaire car il sait que cela aurait un impact pour sa sœur et nos parents. Il est très conscient du fait que c’est grâce à l’héritage de ses parents et l’aide des miens qu’il peut faire des études universitaires.
Nous avons régulièrement des activités avec Axel et Thomas. Nous allons au théâtre ainsi qu’au cinéma. Nous deux amis vivent ensemble dans un studio et tout semble bien se passer. Il n’est pas rare de nous retrouver dans un restaurant fréquenté par des étudiants et de passer de très bons moments entre nous. Parfois Stan, celui qui fréquente aussi la salle de sport de l’université, se joint à nous. Lors d’une soirée nous nous sommes même retrouvés avec nos deux sœurs Delphine et Stéphanie. Il n’a pas fallu longtemps à nos amis pour découvrir qu’elles étaient ensemble.
Le temps passe vite, nous voilà déjà fin décembre, aux fêtes de fin d’année, soit Noël et le Nouvel An ! C’est une période de fête mais aussi d’étude pour nous, car nous avons une session d’examens début janvier. Nous ne manquons pas de passer le réveillon de Noël en famille, c’est très important, étant donné que c’est le premier Noël vécu avec notre famille agrandie.
Le réveillon débute par la mise en place des décorations dans le living. Le sapin est déjà en place et décoré depuis une semaine. Les filles préparent la table, maman et papa vaquent à la préparation du repas, c’est « une surprise » disent-ils, donc pas question d’aller dans la cuisine. Nous sommes prêts pour cette soirée familiale. Bien entendu nous allons Julien et moi nous préparer. Nous montons à l’étage pour prendre un douche.
C’est donc dans le plus simple appareil que nous passons de la chambre à la salle de bain. Nous entrons dans la douche et c’est le moment de nous embrasser. Je dépose mes lèvres sur celles de mon Juju d’amour. Inutile de dire qu’il accepte ce baiser et bien entendu il y répond en laissant sa langue entrer dans ma bouche pour qu’elle retrouve la mienne. Il est clair que nos membres se sont aussi réveillés. Nos mains descendent au niveau de nos attributs pour les gratifier de caresses bien prononcées. Nous nous collons l’un à l’autre laissant nos vis se frôler l’un et l’autre. Nos lèvres sont toujours soudées pour un baiser passionné. Je prends la main de Juju et je la place sur nos sexes bandés, la mien étant posée sur la sienne. C’est donc de concert que nous nous masturbons sous la douche. Il n’a pas fallu longtemps avant que nos sèves se répande sur nos doigts et nos pubis. L’eau a vite fait d’effacer toute trace de notre jouissance. Nos lèvres se décollent enfin l’une de l’autre. Nos regards se font plus profonds, pas besoin de parler, nos yeux parlent pour nous. Ils nous disent combien nous nous aimons et que nous tenons l’un à l’autre.
Nous finissons alors nos ablutions pour nous sécher avant de rejoindre notre chambre pour nous apprêter. Dans le hall de nuit, nous croisons « in naturalibus » mon frère Olivier et Julie qui viennent d’arriver et qui se rendent dans la chambre d’ami. Ils nous font la bise comme si de rien n’était. Ils savent que c’est très souvent nu que nous déambulons à l’étage de la maison.
Tout le monde est présent. Nous allons prendre l’apéritif. Nous avons le choix, du mousseux, de la trappiste d’Orval ou de Chimay, du whisky ou bien du soft. Chacun prend ce qui lui fait plaisir. Julien opte pour une Chimay bleue et je l’accompagne. Nous les seuls à avoir pris de la bière, les autres se sont accordés pour le mousseux. Les discussions vont bon train. Olivier nous pose des questions sur notre premier trimestre à l’université. Nous lui expliquons ce que nous avons comme cours, nos séances de musculation à la salle des sports, nos sorties avec nous amis et nos sœurs.
Avant de passer à table, maman propose de passer à la distribution des cadeaux. Il faut dire qu’avec les deux filles nous nous sommes concertés pour ne pas offrir la même chose à nos parents. Nous débutons par le cadeau de nos sœurs à l’adresse de nos parents, elle offre un week-end en thalasso. Je laisse Julien donner celui que nous avons choisi pour eux, c’est un repas pour deux dans un restaurant gastronomique de la région. Inutile de dire que nos parents sont ravis de ce qu’ils ont reçu. Olivier et Julie leur offre deux entrée pour l’opéra, un séance pour voir « Nabucco » de Verdi.
C’est alors au tour des filles de recevoir le cadeau des parents, un séjour en croisière sur la méditerranée : elles sont folles de joie. C’est au tour de mon frère et de Julie, ils reçoivent aussi un séjour au States. C’est ensuite à notre tour à Julien et à moi. Maman tient une petite boite en main et papa en tient une identique dans ses mains. Nos parents placent les deux boîtes l’une sur l’autre et nous les déposent dans nos mains. Ils ajoutent que c’est pour nous deux, sans préciser.
Nous ouvrons chacun une des boites. Je trouve un trousseau de clefs de voiture, Julien fait aussi la même découverte. Nous nous regardons, nous comparons les deux trousseaux, ils sont identiques. C’est sans voix que nous enlaçons nos parents. Des larmes de joie coulent sur nos joues rouge écarlate. Nous reprenons nos places et papa nous dit :
Papa : « Voilà les garçons, vous avez dans vos mains les clefs de la voiture de Béatrice. C’est avec l’accord de Stéphanie que nous vous la confions. Maman et moi nous avons pris l’immatriculation et l’assurance en charge.
Moi et Jul : Heu, merci.
Mam : Bien entendu nous vous demandons d’être triplement attentif lorsque vous serez au volant de ce véhicule. N’oubliez pas que si vous n’êtes pas en état de conduire, vous ne prenez pas le volant, faîtes appel à nous.
Jul : Merci maman Fanny, je sais que le fait d’avoir un volant en main nous demande de respecter toutes les règles de conduite et bien entendu d’être apte à la conduite.
Moi : Maman, papa, c’est la même chose pour moi. Nous savons ce que c’est que conduire, connaissant les conséquences en cas de … d’accident !
Jul : Je, heu … je …
Mam : Je sais Julien, je sais que tu es encore touché par ce qui s’est passé et que tu connais les conséquences d’une erreur de conduite.
Papa : Bon, restons positif, nous vous faisons entièrement confiance. »
Julien et moi nous embrassons nos parents en leur disant « merci ». Nous poursuivons l’apéro avec le sourire aux lèvres, nous sommes comblés de bonheur !