29-07-2021, 10:41 AM
Nous sortons de la piscine et nous nous séchons avec les draps de bain disponibles pour tous. Il commence à faire un peu plus frais et nous nous rhabillons. Papa nous invite tous sur la terrasse pour prendre un dernier verre, c’est du champagne.
Julien se lève et va vers papa, il lui glisse quelques mots à l’oreille et il lui donne un bisou sur la joue. Je ne sais pas ce que Julien lui a dit mais je vois que papa est bouleversé. Je me rends compte que papa et Julien entretiennent de très bons rapports ; non je ne suis pas jaloux, que du contraire je me rends compte que Julien se projette dans l’avenir et qu’il a trouvé en papa un second père qui est là pour le conseiller, l’orienter, tout comme il le fait pour moi.
Il est temps d’aller dormir, il est déjà fort tard. Nous souhaitons à nos parents une très bonne nuit. Chacun regagne l’endroit où il va loger. Nous sommes donc six à nous rendre dans le garage. Les six couchages sont préparés, maman a une nouvelle fois bien fait les choses, ils sont placés deux par deux. Lucas est impressionné de voir que rien n’a été oublié, des bouteilles d’eau avec gobelets, des paquets de biscuits, du gel et des préservatifs sont préparés sur une petite table au centre du garage. Moi-même je ne m’attendais pas à ça. Mon cousin Nathan et son ami Emmanuel sont eux aussi étonnés de voir ce qui a été prévus, ils n’en reviennent pas.
Nous prenons possession des couchages. J’attache avec Julien les deux duvets l’un avec l’autre. Lucas et Math, ainsi que Nathan et Manu, nous voyant faire, font de même avec les leurs. Je peux voir des sourires s’afficher sur les visages, chacun d’entre nous sait que la nuit ne sera pas si calme que ça.
Nous nous dévêtons et c’est nu que nous nous plaçons dans nos duvets. Nathan tout comme Mathieu ont leur phallus mi-bandé. Je n’ai pas besoin de dire qu’ils peuvent se servir du gel et des capotes, ils se sont déjà servis sans aucune gêne.
Julien et moi, tout comme les quatre autres garçons, nous nous embrassons. Nos mains voyagent sur nos corps. Les caresses font maintenant place aux suçons. De mon côté, je m’attarde au niveau des tétons de mon Juju qui semble apprécier. Par la suite je sens qu’il me mordille le lobe de l’oreille. Nous sommes dans notre bulle et ce qui se passe dans le garage n’a plus aucune importance. Les deux autres couples sont eux aussi chacun dans leur bulle. Ce n’est pas plus mal comme ça !
Nos caresses se font de plus en plus insistantes : nos mains arrivent sur l’objet de notre désir, sur nos phallus dressés. Nous appliquons quelques va-et-vient sur la colonne de chair de notre amoureux. Ensuite nous nous regardons les yeux dans les yeux et d’un commun accord nous nous plaçons têtes bêches. Intitule de dire que nous aimons nous sucer, c’est une de nos manières de nous aimer. Je lèche avec délectation les deux bourses de mon Juju et je remonte le long de son bâton d’amour pour passer sur le frein et m’attarder au niveau du gland et du méat déjà humide. Julien calque ses mouvements sur les miens, c’est de cette manière que nous procédons de concert. Vient ensuite le moment où nous déposons nos lèvres sur le gland brillant de l’être aimé. Doucement nos lèvres se séparent et laissent alors entrer l’appendice gorgé de sang dans notre cavité buccale. Nos lèvres alternent la pression pour ainsi varier l’intensité des sensations. Puis nous engloutissons le gland dans notre orifice buccal ce membre dur comme du bois. Nous y allons de va-et-vient, de succion en succion et nous râlons de plaisir. Nous sentons la pression monter, nous savons que nous allons bientôt arriver à l’orgasme.
Nous entendons les deux autres couples gémir eux aussi. Des bruits caractéristiques se font entendre, il s’agit de testicules enrobés des scrotums qui viennent taper sur le dessous des fesses en rythme.
Cela nous fait comprendre qu’ils s’aiment eux aussi et qu’ils sont baignés de bonheur. Nous poursuivons notre fellation partagée avec volupté et tendresse. Julien est attentif à me faire encore bander plus fort, sa langue est une véritable sangsue, c’est un supplice si agréable qu’il me procure. De mon côté, je tente de faire comme lui. J’espère qu’il apprécie le « pompage » que j’effectue. Les râles sont de plus en plus sonores dans le garage. Nous allons arriver à l’explosion, tous nos sens sont en éveil et je sens déjà que ma sève va traverser ma colonne de chair, que je vais éjaculer comme jamais. Je pense que de savoir nos quatre autres amis auprès de nous, eux aussi occupés à s’envoyer en l’air, nous fait de l’effet ! Ça y est, je sens que tous mes muscles se contractent, oui, je vais lâcher prise, je vais éjaculer. Oups, c’est parti comme un feu d’artifice, je lâche les vannes et j’inonde le palais de mon Juju d’amour. Directement après, je reçois dans ma cavité buccale le sperme bien chaud de mon amant.
Nous nous remettons côte à côte et nous échangeons nos semences en nous embrassant, ivre de bonheur après ce plaisir partagé.
Nous sommes encore sur notre petit nuage mais nous entendons encore des râles de plaisir de nos amis. Le silence arrive alors, laissant les corps se détendre et souffler après avoir joui. C’est une sensation de plénitude que je ressens. C’est comme si nous étions tous les six sur une île déserte où nous nous sommes laissés aller à l’ivresse de l’amour. Pas besoin de parler, nous savons tous que nous venons de vivre un moment particulier. Trois couples qui s’aiment et qui savourent ce moment de plaisir et de joie, c’est merveilleux.
Julien se lève et va vers papa, il lui glisse quelques mots à l’oreille et il lui donne un bisou sur la joue. Je ne sais pas ce que Julien lui a dit mais je vois que papa est bouleversé. Je me rends compte que papa et Julien entretiennent de très bons rapports ; non je ne suis pas jaloux, que du contraire je me rends compte que Julien se projette dans l’avenir et qu’il a trouvé en papa un second père qui est là pour le conseiller, l’orienter, tout comme il le fait pour moi.
Il est temps d’aller dormir, il est déjà fort tard. Nous souhaitons à nos parents une très bonne nuit. Chacun regagne l’endroit où il va loger. Nous sommes donc six à nous rendre dans le garage. Les six couchages sont préparés, maman a une nouvelle fois bien fait les choses, ils sont placés deux par deux. Lucas est impressionné de voir que rien n’a été oublié, des bouteilles d’eau avec gobelets, des paquets de biscuits, du gel et des préservatifs sont préparés sur une petite table au centre du garage. Moi-même je ne m’attendais pas à ça. Mon cousin Nathan et son ami Emmanuel sont eux aussi étonnés de voir ce qui a été prévus, ils n’en reviennent pas.
Nous prenons possession des couchages. J’attache avec Julien les deux duvets l’un avec l’autre. Lucas et Math, ainsi que Nathan et Manu, nous voyant faire, font de même avec les leurs. Je peux voir des sourires s’afficher sur les visages, chacun d’entre nous sait que la nuit ne sera pas si calme que ça.
Nous nous dévêtons et c’est nu que nous nous plaçons dans nos duvets. Nathan tout comme Mathieu ont leur phallus mi-bandé. Je n’ai pas besoin de dire qu’ils peuvent se servir du gel et des capotes, ils se sont déjà servis sans aucune gêne.
Julien et moi, tout comme les quatre autres garçons, nous nous embrassons. Nos mains voyagent sur nos corps. Les caresses font maintenant place aux suçons. De mon côté, je m’attarde au niveau des tétons de mon Juju qui semble apprécier. Par la suite je sens qu’il me mordille le lobe de l’oreille. Nous sommes dans notre bulle et ce qui se passe dans le garage n’a plus aucune importance. Les deux autres couples sont eux aussi chacun dans leur bulle. Ce n’est pas plus mal comme ça !
Nos caresses se font de plus en plus insistantes : nos mains arrivent sur l’objet de notre désir, sur nos phallus dressés. Nous appliquons quelques va-et-vient sur la colonne de chair de notre amoureux. Ensuite nous nous regardons les yeux dans les yeux et d’un commun accord nous nous plaçons têtes bêches. Intitule de dire que nous aimons nous sucer, c’est une de nos manières de nous aimer. Je lèche avec délectation les deux bourses de mon Juju et je remonte le long de son bâton d’amour pour passer sur le frein et m’attarder au niveau du gland et du méat déjà humide. Julien calque ses mouvements sur les miens, c’est de cette manière que nous procédons de concert. Vient ensuite le moment où nous déposons nos lèvres sur le gland brillant de l’être aimé. Doucement nos lèvres se séparent et laissent alors entrer l’appendice gorgé de sang dans notre cavité buccale. Nos lèvres alternent la pression pour ainsi varier l’intensité des sensations. Puis nous engloutissons le gland dans notre orifice buccal ce membre dur comme du bois. Nous y allons de va-et-vient, de succion en succion et nous râlons de plaisir. Nous sentons la pression monter, nous savons que nous allons bientôt arriver à l’orgasme.
Nous entendons les deux autres couples gémir eux aussi. Des bruits caractéristiques se font entendre, il s’agit de testicules enrobés des scrotums qui viennent taper sur le dessous des fesses en rythme.
Cela nous fait comprendre qu’ils s’aiment eux aussi et qu’ils sont baignés de bonheur. Nous poursuivons notre fellation partagée avec volupté et tendresse. Julien est attentif à me faire encore bander plus fort, sa langue est une véritable sangsue, c’est un supplice si agréable qu’il me procure. De mon côté, je tente de faire comme lui. J’espère qu’il apprécie le « pompage » que j’effectue. Les râles sont de plus en plus sonores dans le garage. Nous allons arriver à l’explosion, tous nos sens sont en éveil et je sens déjà que ma sève va traverser ma colonne de chair, que je vais éjaculer comme jamais. Je pense que de savoir nos quatre autres amis auprès de nous, eux aussi occupés à s’envoyer en l’air, nous fait de l’effet ! Ça y est, je sens que tous mes muscles se contractent, oui, je vais lâcher prise, je vais éjaculer. Oups, c’est parti comme un feu d’artifice, je lâche les vannes et j’inonde le palais de mon Juju d’amour. Directement après, je reçois dans ma cavité buccale le sperme bien chaud de mon amant.
Nous nous remettons côte à côte et nous échangeons nos semences en nous embrassant, ivre de bonheur après ce plaisir partagé.
Nous sommes encore sur notre petit nuage mais nous entendons encore des râles de plaisir de nos amis. Le silence arrive alors, laissant les corps se détendre et souffler après avoir joui. C’est une sensation de plénitude que je ressens. C’est comme si nous étions tous les six sur une île déserte où nous nous sommes laissés aller à l’ivresse de l’amour. Pas besoin de parler, nous savons tous que nous venons de vivre un moment particulier. Trois couples qui s’aiment et qui savourent ce moment de plaisir et de joie, c’est merveilleux.