08-07-2021, 09:43 AM
Julien est très heureux et moi donc, je sens que mon chéri a passé un cap. Je vois maman discuter avec papa, ils chuchotent entre eux. Je vois que papa ressert du champagne et qu’il passe son tour. Pour moi c’est signe qu’il envisage que quitter la maison pour aller souper en ville. Je commence à connaître mes parents : maman a suggéré à papa d’aller au restaurant et c’est certain que ce sera le cas, après l’apéro bien entendu !
Stéphanie discute avec Julien lequel a le sourire aux lèvres depuis qu’il est revenu de son examen de conduite avec son précieux sésame en main. Maman se lève et entre dans la maison. Je me demande bien ce qu’elle fait. Après cinq minutes elle est de retour auprès de nous. Deux mots glissés dans l’oreille de papa. Que manigancent nos parents ?
Nous terminons l’apéro à notre aise. Papa ne sert plus à boire, hormis des limonades ou de l’eau pétillante. J’attends de savoir ce qu’ils ont décidé. Papa se lève et prend un air sérieux. Il nous regarde et nous dit :
Pap : « Bon, ce soir nous avons quelque chose à fêter, c’est l’obtention du permis de conduire pour Julien. Je vous propose d’aller souper au restaurant, nous avons réservé à notre restaurant habituel.
Tous : Super !
Mam : Je propose que ce soit Julien qui nous invite !
Jul : Heu, quoi, je ne … sais pas comment je vais faire !
Mam : C’est une blague Juju, tu es invité comme tous les membres de la famille.
Moi : Profites-en mon amour, c’est jour de fête pour toi !
Jul : Merci, je ne sais que dire pour vous remercier.
Pap : Tu n’as rien à dire, tu dois rester comme tu es, un jeune homme qui a maintenant la vie devant lui !
Jul : Je … je … (les yeux de mon chéri s’embrument)
Mam : Viens ici mon grand. (Maman prend Julien dans ses bars.)
Moi : Tu es fort émotif ce soir mon amour.
Jul : Oui, je sais. Et toi alors, tu es pire que moi ! »
Tous les autres éclatent de rire. C’est vrai que comme personne sensible, je suis le premier à verser une larme et plus qu’à mon tour ! Maman et Julien terminent ce beau câlin. Ils se font la bise. On sent tout l’amour que maman témoigne à Julien. Non je ne suis pas jaloux, pas du tout, c’est que je suis, moi aussi, très heureux de voir combien Julien et Stéphanie font maintenant partie de la famille comme s’ils étaient aussi les enfants de mes parents. Il est évident que la situation est particulière, les deux garçons ensemble et les deux filles aussi.
Nous voilà en route pour aller manger un bout à l’occasion de l’obtention du permis de conduire de mon Juju. Comme maman n’a bu qu’une demi-flûte de champagne elle prend aussi sa voiture. Les garçons avec maman et les filles avec le paternel !
Nous entrons dans l’établissement dénommé « Tour de Pise » et nous sommes accueillis par le patron, Giorgio. Il nous place à notre table habituelle. Il est heureux de nous revoir et nous demande si nous n’avons plus d’appréhension à venir dans son restaurant et de rencontrer une nouvelle fois un Olibrius homophobe ! Nous l’assurons que non. La table a été allongée, elle comporte dix places alors que nous sommes six. J’ai bien compris le manège de maman, elle a téléphoné à d’autres personnes pour qu’elles se joignent à nous pour ce repas.
Nous venons à peine de nous installer que je vois arriver, via le miroir placé sur le mur, Xavier et Didier. Ça c’est une surprise, je ne dis rien, je les laisse arriver et surprendre mon Juju. De fait, je vois le visage de mon chéri une nouvelle fois s’illuminer. Nos deux moniteurs d’auto-école se placent près de nous après avoir salué les parents et les filles. Je m’attends à voir arriver Jacques pour nous servir, à moins qu’il n’ait déjà terminé sa période de travail en tant qu’étudiant. C’est Giorgio qui vient en personne prendre la commande. Nous choisissons donc un nouvel apéro.
Ce qui m’intrigue c’est qu’il y a encore deux places vides à table. Je discute avec Xavier et je ne fais pas attention au moment où nous sommes servis. Je vois alors Jacques et Dimitri qui terminent de déposer les boissons et qui prennent place à table. Julien et moi sommes très étonnés. Maman dit alors :
Mam : « Soyez les bienvenus les garçons, vous êtes nos invités et vous participez à la fête en l’honneur de la réussite du permis de conduire de Julien.
Jac : Merci pour cette invitation. Je te félicite Julien, tu le mérites bien après tout ce qui s’est passé !
Jul : Merci Jacques. Venant de toi ça a beaucoup de valeur. Je sais que tu es un gars super.
Jac : Je comprends très bien ce que tu veux dire. Sache qu’entre nous il y a de l’amitié et qu’il n’y a pas de jalousie.
Jul : Cela ne fait aucun doute, c’est une amitié saine et véritable.
Moi : Allez les gars, vous allez me faire pleurer.
Éclat de rire général. Maman et Papa ont très bien compris, de même que les filles et Dimitri. Pour Xavier et Didier, c’est autre chose, mais pas besoin d’en rajouter.
Papa lève son verre et nous dit :
Pap : À la santé de Julien, mon second fils !
Tous : Santé.
Jul : Merci pour ces mots ; merci Papa Alain ! »
Des larmes coulent sur les joues de mon chéri. Décidément c’est le jour des rires et des larmes, « de joie » !
Le repas se passe donc dans une très bonne ambiance, on peut voir des sourires sur des visages joyeux. Je me rends compte que maman et papa boivent de l’eau pour le repas, ils se sont contentés d’un verre d’apéro et d’un demi-verre de vin. C’est la même chose pour nos deux moniteurs de conduite. C’est un très bon signe adressé à tous ceux qui doivent reprendre le volant.
À l’issue du repas, Giorgio offre comme à son habitude le verre du patron, soit le pousse-café. Il prend un verre avec nous et c’est l’occasion de féliciter Jacques pour le travail accompli comme serveur durant un mois. C’est pour lui le moyen de gagner de l’argent de poche. Nous quittons le restaurant non sans avoir salué Giorgio et les autres serveurs, de même que le cuisinier.
Pour le retour à la maison, Julien et Delphine vont dans la voiture de papa, tandis que Stéphanie et moi allons avec maman. Durant le trajet maman nous met au courant de ce qui est prévu pour demain, soit samedi soir. Elle nous dit avoir mis sur pied une fête pour la guérison de Julien. Elle a lancé les invitations et elle compte sur moi pour que j’aille me balader avec Julien durant l’après-midi pour qu’elle puisse tout mettre en place pour la soirée.
Stéphanie explique qu’elle est au courant et qu’elle a aussi planifié avec maman cette festivité. Elles sont incroyables les filles, j’apprends aussi que ma sœur Delphine participe aussi dans la manigance. Ça promet d’être grandiose. Je sais donc que je dois m’occuper de mon chéri, chose que j’adore faire. Même si ce n’est pas que le sexe, nous savons nous tenir. J’ai un rictus aux lèvres, je ne fais que penser, j’ai déjà une idée pour passer le temps avec Juju : piscine et ensuite balade à vélo !
Nous sommes rentrés à la maison. Julien et moi souhaitons une bonne nuit à toute la famille et montons pour prendre une douche rapide avant d’aller dans notre lit.
Malgré la fatigue de la journée, nous nous câlinons un moment. Nous nous embrassons à pleine bouche, laissant nos langues s’amuser entre elles. Nos mains se baladent sur nos corps alanguis, nos sexes sont déjà bien gonflés et durs. Un seul regard suffit pour savoir ce que nous voulons : nous aimer.
Je prends le gel dans la table de nuit et je m’occupe de préparer l’antre de joie de mon chéri pour que je puisse l’aimer. Je prépare donc cette ouverture rectale avec soin. Déjà j’entends Julien qui gémit de bonheur, deux doigts se baladent à l’entrée de sa caverne qui s’apprête à accueillir mon boute-joie. Mon appendice est bandé au maximum, je suis prêt à aimer mon Juju d’amour. Sachant que nous sommes fidèles, nous ne portons plus de préservatif pour nous aimer. Je pénètre doucement l’orifice réceptacle bien préparé peu avant. Julien gémit de plaisir. J’entame alors des mouvements d’aller-retour dans cette antre bien chaud. Inutile de dire que nous couinons de bonheur. Je finis par lâcher ma semence dans l’anus de mon chéri.
Nous inversons alors les rôles, Julien prépare mon trou d’amour avec du gel. Je ressens déjà tous les bienfaits de ce traitement. Pas le peine de dire que je suis déjà bien relaxé après avoir aimé mon Juju. Mon chéri reste couché sur le lit, c’est moi qui viens m’empaler sur son vit dressé. C’est une des rares fois que nous pratiquons de la sorte, c’est plus reposant pour Julien. C’est finalement moi qui impose la cadence. Nous gémissons de bonheur et de plaisir, je suis certain que notre famille nous entend nous aimer, ça fait partie des joies de la vie de famille. Julien finit par répandre sa liqueur dans mes boyaux. Je m’affale à ses côtés, le temps de nous reprendre.
Nous nous embrassons après avoir essuyé les traces de nos copulations. Nous restons dans les bras l’un de l’autre, les yeux dans les yeux, heureux et toujours amoureux. Je repense alors à tout ce que nous avons vécu, à notre première fois, à notre séparation, à nos retrouvailles mais aussi à cette très mauvaise période qui est celle de l’accident, de ce qu’il a entraîné et à cette « résurrection », la revalidation de mon amour de Juju.
Je suis certain que la fête de demain sera l’occasion pour lui de tourner définitivement la page et d’ouvrir un nouveau cahier pour y compléter les pages encore vierges. Nous finissons par nous endormir en nous retrouvant au pays des rêves, heureux et amoureux.
Stéphanie discute avec Julien lequel a le sourire aux lèvres depuis qu’il est revenu de son examen de conduite avec son précieux sésame en main. Maman se lève et entre dans la maison. Je me demande bien ce qu’elle fait. Après cinq minutes elle est de retour auprès de nous. Deux mots glissés dans l’oreille de papa. Que manigancent nos parents ?
Nous terminons l’apéro à notre aise. Papa ne sert plus à boire, hormis des limonades ou de l’eau pétillante. J’attends de savoir ce qu’ils ont décidé. Papa se lève et prend un air sérieux. Il nous regarde et nous dit :
Pap : « Bon, ce soir nous avons quelque chose à fêter, c’est l’obtention du permis de conduire pour Julien. Je vous propose d’aller souper au restaurant, nous avons réservé à notre restaurant habituel.
Tous : Super !
Mam : Je propose que ce soit Julien qui nous invite !
Jul : Heu, quoi, je ne … sais pas comment je vais faire !
Mam : C’est une blague Juju, tu es invité comme tous les membres de la famille.
Moi : Profites-en mon amour, c’est jour de fête pour toi !
Jul : Merci, je ne sais que dire pour vous remercier.
Pap : Tu n’as rien à dire, tu dois rester comme tu es, un jeune homme qui a maintenant la vie devant lui !
Jul : Je … je … (les yeux de mon chéri s’embrument)
Mam : Viens ici mon grand. (Maman prend Julien dans ses bars.)
Moi : Tu es fort émotif ce soir mon amour.
Jul : Oui, je sais. Et toi alors, tu es pire que moi ! »
Tous les autres éclatent de rire. C’est vrai que comme personne sensible, je suis le premier à verser une larme et plus qu’à mon tour ! Maman et Julien terminent ce beau câlin. Ils se font la bise. On sent tout l’amour que maman témoigne à Julien. Non je ne suis pas jaloux, pas du tout, c’est que je suis, moi aussi, très heureux de voir combien Julien et Stéphanie font maintenant partie de la famille comme s’ils étaient aussi les enfants de mes parents. Il est évident que la situation est particulière, les deux garçons ensemble et les deux filles aussi.
Nous voilà en route pour aller manger un bout à l’occasion de l’obtention du permis de conduire de mon Juju. Comme maman n’a bu qu’une demi-flûte de champagne elle prend aussi sa voiture. Les garçons avec maman et les filles avec le paternel !
Nous entrons dans l’établissement dénommé « Tour de Pise » et nous sommes accueillis par le patron, Giorgio. Il nous place à notre table habituelle. Il est heureux de nous revoir et nous demande si nous n’avons plus d’appréhension à venir dans son restaurant et de rencontrer une nouvelle fois un Olibrius homophobe ! Nous l’assurons que non. La table a été allongée, elle comporte dix places alors que nous sommes six. J’ai bien compris le manège de maman, elle a téléphoné à d’autres personnes pour qu’elles se joignent à nous pour ce repas.
Nous venons à peine de nous installer que je vois arriver, via le miroir placé sur le mur, Xavier et Didier. Ça c’est une surprise, je ne dis rien, je les laisse arriver et surprendre mon Juju. De fait, je vois le visage de mon chéri une nouvelle fois s’illuminer. Nos deux moniteurs d’auto-école se placent près de nous après avoir salué les parents et les filles. Je m’attends à voir arriver Jacques pour nous servir, à moins qu’il n’ait déjà terminé sa période de travail en tant qu’étudiant. C’est Giorgio qui vient en personne prendre la commande. Nous choisissons donc un nouvel apéro.
Ce qui m’intrigue c’est qu’il y a encore deux places vides à table. Je discute avec Xavier et je ne fais pas attention au moment où nous sommes servis. Je vois alors Jacques et Dimitri qui terminent de déposer les boissons et qui prennent place à table. Julien et moi sommes très étonnés. Maman dit alors :
Mam : « Soyez les bienvenus les garçons, vous êtes nos invités et vous participez à la fête en l’honneur de la réussite du permis de conduire de Julien.
Jac : Merci pour cette invitation. Je te félicite Julien, tu le mérites bien après tout ce qui s’est passé !
Jul : Merci Jacques. Venant de toi ça a beaucoup de valeur. Je sais que tu es un gars super.
Jac : Je comprends très bien ce que tu veux dire. Sache qu’entre nous il y a de l’amitié et qu’il n’y a pas de jalousie.
Jul : Cela ne fait aucun doute, c’est une amitié saine et véritable.
Moi : Allez les gars, vous allez me faire pleurer.
Éclat de rire général. Maman et Papa ont très bien compris, de même que les filles et Dimitri. Pour Xavier et Didier, c’est autre chose, mais pas besoin d’en rajouter.
Papa lève son verre et nous dit :
Pap : À la santé de Julien, mon second fils !
Tous : Santé.
Jul : Merci pour ces mots ; merci Papa Alain ! »
Des larmes coulent sur les joues de mon chéri. Décidément c’est le jour des rires et des larmes, « de joie » !
Le repas se passe donc dans une très bonne ambiance, on peut voir des sourires sur des visages joyeux. Je me rends compte que maman et papa boivent de l’eau pour le repas, ils se sont contentés d’un verre d’apéro et d’un demi-verre de vin. C’est la même chose pour nos deux moniteurs de conduite. C’est un très bon signe adressé à tous ceux qui doivent reprendre le volant.
À l’issue du repas, Giorgio offre comme à son habitude le verre du patron, soit le pousse-café. Il prend un verre avec nous et c’est l’occasion de féliciter Jacques pour le travail accompli comme serveur durant un mois. C’est pour lui le moyen de gagner de l’argent de poche. Nous quittons le restaurant non sans avoir salué Giorgio et les autres serveurs, de même que le cuisinier.
Pour le retour à la maison, Julien et Delphine vont dans la voiture de papa, tandis que Stéphanie et moi allons avec maman. Durant le trajet maman nous met au courant de ce qui est prévu pour demain, soit samedi soir. Elle nous dit avoir mis sur pied une fête pour la guérison de Julien. Elle a lancé les invitations et elle compte sur moi pour que j’aille me balader avec Julien durant l’après-midi pour qu’elle puisse tout mettre en place pour la soirée.
Stéphanie explique qu’elle est au courant et qu’elle a aussi planifié avec maman cette festivité. Elles sont incroyables les filles, j’apprends aussi que ma sœur Delphine participe aussi dans la manigance. Ça promet d’être grandiose. Je sais donc que je dois m’occuper de mon chéri, chose que j’adore faire. Même si ce n’est pas que le sexe, nous savons nous tenir. J’ai un rictus aux lèvres, je ne fais que penser, j’ai déjà une idée pour passer le temps avec Juju : piscine et ensuite balade à vélo !
Nous sommes rentrés à la maison. Julien et moi souhaitons une bonne nuit à toute la famille et montons pour prendre une douche rapide avant d’aller dans notre lit.
Malgré la fatigue de la journée, nous nous câlinons un moment. Nous nous embrassons à pleine bouche, laissant nos langues s’amuser entre elles. Nos mains se baladent sur nos corps alanguis, nos sexes sont déjà bien gonflés et durs. Un seul regard suffit pour savoir ce que nous voulons : nous aimer.
Je prends le gel dans la table de nuit et je m’occupe de préparer l’antre de joie de mon chéri pour que je puisse l’aimer. Je prépare donc cette ouverture rectale avec soin. Déjà j’entends Julien qui gémit de bonheur, deux doigts se baladent à l’entrée de sa caverne qui s’apprête à accueillir mon boute-joie. Mon appendice est bandé au maximum, je suis prêt à aimer mon Juju d’amour. Sachant que nous sommes fidèles, nous ne portons plus de préservatif pour nous aimer. Je pénètre doucement l’orifice réceptacle bien préparé peu avant. Julien gémit de plaisir. J’entame alors des mouvements d’aller-retour dans cette antre bien chaud. Inutile de dire que nous couinons de bonheur. Je finis par lâcher ma semence dans l’anus de mon chéri.
Nous inversons alors les rôles, Julien prépare mon trou d’amour avec du gel. Je ressens déjà tous les bienfaits de ce traitement. Pas le peine de dire que je suis déjà bien relaxé après avoir aimé mon Juju. Mon chéri reste couché sur le lit, c’est moi qui viens m’empaler sur son vit dressé. C’est une des rares fois que nous pratiquons de la sorte, c’est plus reposant pour Julien. C’est finalement moi qui impose la cadence. Nous gémissons de bonheur et de plaisir, je suis certain que notre famille nous entend nous aimer, ça fait partie des joies de la vie de famille. Julien finit par répandre sa liqueur dans mes boyaux. Je m’affale à ses côtés, le temps de nous reprendre.
Nous nous embrassons après avoir essuyé les traces de nos copulations. Nous restons dans les bras l’un de l’autre, les yeux dans les yeux, heureux et toujours amoureux. Je repense alors à tout ce que nous avons vécu, à notre première fois, à notre séparation, à nos retrouvailles mais aussi à cette très mauvaise période qui est celle de l’accident, de ce qu’il a entraîné et à cette « résurrection », la revalidation de mon amour de Juju.
Je suis certain que la fête de demain sera l’occasion pour lui de tourner définitivement la page et d’ouvrir un nouveau cahier pour y compléter les pages encore vierges. Nous finissons par nous endormir en nous retrouvant au pays des rêves, heureux et amoureux.