29-06-2021, 09:35 AM
A nos côtés Justin et Hans sont têtes bêches, ils se sucent mutuellement. Nous entendons leurs râles de bonheur. Il semble qu’ils soient proches de la jouissance, en effet nous entendons les soupires caractéristiques émis lors de l’éjaculation. Les deux cousins terminent leurs ébats par un baiser sur la bouche bien appuyé. Ils se couchent alors dans le grand duvet. Ils reprennent leur respiration, lentement, étant encore un peu sur leur nuage. Ils n’ont pas trop fait attention à nos ados qui se masturbaient.
Jus : « Ça va les jeunes, vous vous êtes donnés du plaisir à ce que j’ai pu voir, du moins au début.
Moi : Oui Justin, notre ami Gaby nous a gratifié d’une masturbation à chacun. Nous lui avons Ben et moi, donné du plaisir à deux mains !
Jus : Oh oui, je vois. Je ne sais pas si Gaby est gay, mais il semble aimer le sexe quand même.
Gab : Mais, heu…, c’était juste…pour…enfin….
Jus : Pas besoin de chercher des excuses Gaby, ça fait partie des choses de la vie. Et puis tu sais très bien ce que c’est que de se branler.
Ben : Pas besoin d’être gay, bi ou hétéro, chacun sait ce que c’est que de se palucher.
Han : Bien dit Ben, selon les statistiques, il y a environ nonante-cinq pour cent des garçons qui se masturbent ou qui se sont masturbés dans leur vie.
Jus : Il faut dire que parfois deux gars se masturbent mutuellement sans pour autant être homos ; ils font ça juste pour le fun ou pour savoir ce que c’est et même parfois par plaisir.
Moi : C’est tout à fait vrai, je connais deux ou trois copains qui l’ont fait sans pour autant être homos.
Jus : Bon je crois qu’il est temps de dormir. Bonne nuit les mecs !
Nous : Bonne nuit les cousins !
Han : Bonne nuit les amis. »
Je me colle à Gaby, Ben fait la même chose. Notre ami a déjà bien plus fière allure que durant notre périple après sa chute. Il frissonne beaucoup moins. Ben s’endort assez vite. Les deux cousins ronflent déjà. Je sens que Gaby est presque endormi. Je repasse alors dans ma tête cette fin de journée. Notre arrivée dans le refuge, notre installation pour placer Gaby au chaud. La venue des Justin et de Hans. Nos conversations à cinq. Puis cette partie un peu chaude où Gaby nous a masturbé alors que les deux cousins se taillaient une pipe. Enfin, je pense que je m’endors tout en pensant à mon amour, à mon ami Ben, mon petit-ami.
Je suis réveillé par des bruits diffus, par des sons de voix étouffés. J’ouvre les yeux et je vois que Justin et Hans terminent de faire leur sac. C’est Justin qui s’aperçoit que je suis éveillé. Il s’approche de moi et me signale qu’il y a de l’eau chaude dans la casserole sur le feu. Il me dit qu’il est heureux d’avoir fait notre connaissance et il nous souhaite un bon retour. Il ajoute qu’il faut faire attention à Gaby. Les deux jeunes sont sur le pas de la porte et ils me font signe de la main. Je les salue. Ils quittent le refuge pour poursuivre leur balade.
Une fois les deux cousins partis, je me tourne vers Gaby. Il dort toujours. Je sens qu’il a nettement plus chaud que la veille au soir. Puis je me rends compte que le duvet est humide. Je ne sais pas ce qu’il y a. Je tâte et je m’aperçois que c’est même un peu mouillé du côté de Gaby. Je pense que Gaby s’est pissé dessus. Effectivement en soulevant le duvet, je sens une odeur d’urine. Je ne sais pas quoi faire, soit je le laisse dormir encore un peu ou alors je le réveille. J’opte pour la première solution, je vais le laisser dormir, il sera bien temps de réagir lorsqu’il sera réveillé.
Une bonne demi-heure plus tard, Gaby ouvre les yeux, il se rend compte de suite qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Il tourne la tête vers moi et croise mon regard. Gaby est submergé par la honte. Il baisse les yeux et n’ose rien dire, pas une parole. C’est alors moi qui lui dis :
Moi : « Tu sais Gaby, ce sont des choses qui peuvent arriver. Avec le stress et ce que tu as vécu ces dernières heures, ça peut se produire !
Gab : Je me sens si mal, j’ai honte Phil.
Moi : Tu n’as pas à avoir honte. Si tu savais le nombre de fois que ça m’est arrivé après le décès de…d’Henri !
Gab : Mais je n’ai plus jamais fait dans mon lit depuis des années.
Moi : Ne t’inquiète pas Gaby. Ce n’est pas grave. »
Gaby commence à pleurer, doucement. Il ne se sent pas bien. Il a vraiment honte. Je m’approche de lui, même si je suis en contact avec l’urine froide. Le plus important c’est de m’occuper de Gaby et de le consoler.
Ben se réveille à son tour. Il se rend compte que le duvet est mouillé. Me voyant occupé à consoler Gaby, Ben a tout compris.
Ben : « Oh, Gaby, ce n’est pas grave mon pote. Si tu savais parfois que ça m’arrive encore, mais rarement !
Gab : Mais j’ai honte Ben. Je ne me suis rendu compte de rien.
Moi : Je te l’ai dit Gaby, c’est l’accumulation de tous ce qui s’est passé. Ne t’inquiète pas, nous sommes Ben et moi avec toi.
Ben : Oui Gaby, nous sommes là pour t’aider. »
Gaby arrête de pleurer. Il ne sait plus où il peut poser les yeux. Il nous regarde, moi à sa droite et Ben à sa gauche. Puis, timidement, il dit :
Gab : « Je vais m’occuper des duvets. Je suis désolé, ce sont les vôtres en plus. Vraiment, je suis désolé.
Moi : Pas de souci Gaby, ce ne sont que des duvets !
Ben : Je crois qu’il vaut mieux en rire Gaby.
Moi : Bien dit Ben.
Gab : Merci, merci les gars, vous êtes super ! »
Je dépose un bisou sur la joue droite de Gaby, Ben fait de même sur la joue gauche. Puis nous nous mettons à rire. C’est un rire salvateur, un rire qui redonne courage à Gaby, qui montre bien que cela n’a aucune importance pour nous. Gaby est notre ami, il est en difficulté et nous sommes là pour lui venir en aide.
Jus : « Ça va les jeunes, vous vous êtes donnés du plaisir à ce que j’ai pu voir, du moins au début.
Moi : Oui Justin, notre ami Gaby nous a gratifié d’une masturbation à chacun. Nous lui avons Ben et moi, donné du plaisir à deux mains !
Jus : Oh oui, je vois. Je ne sais pas si Gaby est gay, mais il semble aimer le sexe quand même.
Gab : Mais, heu…, c’était juste…pour…enfin….
Jus : Pas besoin de chercher des excuses Gaby, ça fait partie des choses de la vie. Et puis tu sais très bien ce que c’est que de se branler.
Ben : Pas besoin d’être gay, bi ou hétéro, chacun sait ce que c’est que de se palucher.
Han : Bien dit Ben, selon les statistiques, il y a environ nonante-cinq pour cent des garçons qui se masturbent ou qui se sont masturbés dans leur vie.
Jus : Il faut dire que parfois deux gars se masturbent mutuellement sans pour autant être homos ; ils font ça juste pour le fun ou pour savoir ce que c’est et même parfois par plaisir.
Moi : C’est tout à fait vrai, je connais deux ou trois copains qui l’ont fait sans pour autant être homos.
Jus : Bon je crois qu’il est temps de dormir. Bonne nuit les mecs !
Nous : Bonne nuit les cousins !
Han : Bonne nuit les amis. »
Je me colle à Gaby, Ben fait la même chose. Notre ami a déjà bien plus fière allure que durant notre périple après sa chute. Il frissonne beaucoup moins. Ben s’endort assez vite. Les deux cousins ronflent déjà. Je sens que Gaby est presque endormi. Je repasse alors dans ma tête cette fin de journée. Notre arrivée dans le refuge, notre installation pour placer Gaby au chaud. La venue des Justin et de Hans. Nos conversations à cinq. Puis cette partie un peu chaude où Gaby nous a masturbé alors que les deux cousins se taillaient une pipe. Enfin, je pense que je m’endors tout en pensant à mon amour, à mon ami Ben, mon petit-ami.
Je suis réveillé par des bruits diffus, par des sons de voix étouffés. J’ouvre les yeux et je vois que Justin et Hans terminent de faire leur sac. C’est Justin qui s’aperçoit que je suis éveillé. Il s’approche de moi et me signale qu’il y a de l’eau chaude dans la casserole sur le feu. Il me dit qu’il est heureux d’avoir fait notre connaissance et il nous souhaite un bon retour. Il ajoute qu’il faut faire attention à Gaby. Les deux jeunes sont sur le pas de la porte et ils me font signe de la main. Je les salue. Ils quittent le refuge pour poursuivre leur balade.
Une fois les deux cousins partis, je me tourne vers Gaby. Il dort toujours. Je sens qu’il a nettement plus chaud que la veille au soir. Puis je me rends compte que le duvet est humide. Je ne sais pas ce qu’il y a. Je tâte et je m’aperçois que c’est même un peu mouillé du côté de Gaby. Je pense que Gaby s’est pissé dessus. Effectivement en soulevant le duvet, je sens une odeur d’urine. Je ne sais pas quoi faire, soit je le laisse dormir encore un peu ou alors je le réveille. J’opte pour la première solution, je vais le laisser dormir, il sera bien temps de réagir lorsqu’il sera réveillé.
Une bonne demi-heure plus tard, Gaby ouvre les yeux, il se rend compte de suite qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Il tourne la tête vers moi et croise mon regard. Gaby est submergé par la honte. Il baisse les yeux et n’ose rien dire, pas une parole. C’est alors moi qui lui dis :
Moi : « Tu sais Gaby, ce sont des choses qui peuvent arriver. Avec le stress et ce que tu as vécu ces dernières heures, ça peut se produire !
Gab : Je me sens si mal, j’ai honte Phil.
Moi : Tu n’as pas à avoir honte. Si tu savais le nombre de fois que ça m’est arrivé après le décès de…d’Henri !
Gab : Mais je n’ai plus jamais fait dans mon lit depuis des années.
Moi : Ne t’inquiète pas Gaby. Ce n’est pas grave. »
Gaby commence à pleurer, doucement. Il ne se sent pas bien. Il a vraiment honte. Je m’approche de lui, même si je suis en contact avec l’urine froide. Le plus important c’est de m’occuper de Gaby et de le consoler.
Ben se réveille à son tour. Il se rend compte que le duvet est mouillé. Me voyant occupé à consoler Gaby, Ben a tout compris.
Ben : « Oh, Gaby, ce n’est pas grave mon pote. Si tu savais parfois que ça m’arrive encore, mais rarement !
Gab : Mais j’ai honte Ben. Je ne me suis rendu compte de rien.
Moi : Je te l’ai dit Gaby, c’est l’accumulation de tous ce qui s’est passé. Ne t’inquiète pas, nous sommes Ben et moi avec toi.
Ben : Oui Gaby, nous sommes là pour t’aider. »
Gaby arrête de pleurer. Il ne sait plus où il peut poser les yeux. Il nous regarde, moi à sa droite et Ben à sa gauche. Puis, timidement, il dit :
Gab : « Je vais m’occuper des duvets. Je suis désolé, ce sont les vôtres en plus. Vraiment, je suis désolé.
Moi : Pas de souci Gaby, ce ne sont que des duvets !
Ben : Je crois qu’il vaut mieux en rire Gaby.
Moi : Bien dit Ben.
Gab : Merci, merci les gars, vous êtes super ! »
Je dépose un bisou sur la joue droite de Gaby, Ben fait de même sur la joue gauche. Puis nous nous mettons à rire. C’est un rire salvateur, un rire qui redonne courage à Gaby, qui montre bien que cela n’a aucune importance pour nous. Gaby est notre ami, il est en difficulté et nous sommes là pour lui venir en aide.