28-06-2021, 11:15 AM
Ale : « Tu sais Phil, je suis tellement étonné de voir que tu aides Jacques.
Moi : Je le fais parce que c’est comme ça et qu’il a besoin de soutien !
Ale : Oui, mais mon frère t’a laissé en plan quand il est parti au Canada.
Moi : Je sais Alexis, nous en avons parlé et nous sommes finalement resté « amis » !
Ale : Je suis franchement heureux de voir que tu ne lui en tiens pas rigueur.
Moi : Merci, ça me touche ce que tu dis !
Ale : Je savais que tu es un gars super et qui n’est pas rancunier.
Moi : Je suis très heureux de rendre service quand je peux le faire, même si certains ne comprennent pas. On peut garder des liens d’amitié malgré ce qui s’est passé. Puis chacun suit son chemin.
Jac : Merci à toi mon frérot, merci Phil d’être resté ami avec moi !
Moi : Un ami c’est là pour soutenir, c’est ce que je fais, sans arrière-pensée.
Jul : Je connais l’histoire et je me doute bien que des amours à distance c’est souvent voué à l’échec ! Puis je sais que j’ai fait moi aussi souffrir Phil et lui m’a à nouveau refait confiance. Je peux te dire que c’est un chic type sur qui tu peux compter, je peux t’assurer qu’il est bien là quand tu as besoin de lui !
Jac : J’ai pu m’en rendre compte quand je passais vous voir durant les vacances.
Moi : Arrêtez vos éloges, buvons à la santé de Jacques et de Dimitri, et à la nôtre aussi.
Tous : Santé ! »
Les parents n’ont rien dit. Ils ont observé cette scène qui explique que l’amitié peut subsister même après une séparation entre deux amants. Ils savent qu’Alexis aime bien Phil, car il était un « beau-frère » attentionné envers lui. C’est probablement pour cette raison qu’Alexis s’est exprimer sur ce qu’il ressentait.
Nous passons à table dans une atmosphère détendue. Je me remémore alors les bons moments connus autour de cette table. Je me tourne vers Julien et nous nous regardons les yeux dans les yeux. Je crois qu’il comprend ce que je pense. Il me fait un clin d’œil, sachant très bien que je l’aime et que la page est tournée depuis longtemps avec Jacques.
Le repas est délicieux, Béatrice est un véritable cordon bleu. Nous faisons attention et nous ne prenons qu’un seul verre de vin. Nous passons très vite à l’eau ou à la limonade. Les conversations vont bon train concernant nos futures études, les activités sportives, … etc.
Il se fait tard et c’est Alain qui va nous ramener à la maison. Julien et moi remercions Béatrice pour l’excellent repas. Puis nous saluons Jacques et Dimitri, nous nous promettons de nous revoir. Puis c’est Alexis qui vient nous dire au revoir. Il me fait un câlin ainsi qu’à Julien. Il nous regarde et nous dit : « Vous allez bien ensemble, soyez heureux. … Merci pour mon grand frère ! » Je sens qu’il est très ému. Nous restons un petit moment enlacés tous les trois, puis nous desserrons l’étreinte. Je vois qu’il a les yeux humides.
Lors du trajet de retour, Alain nous remercie une nouvelle fois de notre soutien envers Jacques. Il ajoute que nous sommes toujours les bienvenus chez lui. Nous arrivons à destination. Alain nous souhaite une bonne nuit et nous faisons de même à son égard.
Les deux filles nous demandent comment s’est passée la soirée. Nous leurs racontons notre visite dans la famille de Jacques en soulignant l’attitude de son jeune frère, Alexis. Maman qui est présente à côté de nous nous dit :
Mam : « Je sens bien que l’amitié entre vous est très forte. Vous avez raison de soutenir Jacques. Je comprends aussi l’attitude d’Alexis, il avait une entière confiance en toi Phil.
Moi : Oui maman, je sais et je pense que c’est toujours le cas.
Mam : Il y a parfois des liens qui se tissent entre certaines personnes et au-delà de ça, le lien peut tenir longtemps.
Moi : Si Alexis a besoin d’aide dans le futur, je serai là pour le soutenir, l’aider tout comme je l’ai fait pour Jacques.
Mam : C’est bien Phil, tu as un cœur en or.
Jul : Je le sais qu’il a un cœur en or mon chéri.
Julien s’avance vers moi et dépose ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons.
Mam : Vous êtes choux les garçons. »
Nous nous mettons à rire. Nous souhaitons une très bonne nuit à la famille et nous montons pour aller nous coucher. Un passage par la salle de bain pour une bonne douche et direction la chambre.
Nous nous couchons nus dans le lit. Je regarde mon chéri et j’approche ma tête de la sienne. Nos regards sont fixés l’un à l’autre. Je vois que Julien est serein, il a semble-t-il passé une bonne journée. Nos lèvres se rapprochent et elles finissent par s’épouser. Nous nous faisons de petits bisous très tendres. Nous nous reculons un peu question de bien nous caler l’un contre l’autre. Je me tourne vers Juju et je dis :
Moi : « Puis-je te demande quelque chose ? Je veux que tu sois franc et que tu me dises ce que tu penses !
Jul : Je veux bien, je te dirai la vérité, sans détour !
Moi : Voilà Julien, je veux savoir si tu es jaloux de Jacques car je le soutien après l’incident d’hier soir !
Jul : Que tu as bien l’air sérieux mon Phil d’amour. Mais non je ne suis pas jaloux de Jacques, que du contraire, je trouve que tu fais bien de l’aider.
Moi : Tu es certain, car papa semble prendre les choses en main et pour moi c’est terminé !
Jul : Mais non Phil, je te dis que je trouve ça normal. Bien entendu vous été ensemble, après c’est moi qui t’ai un peu laissé « tombé » ! Je dois reconnaitre que je n’en suis pas fier, mais Jacques était tout d’abord un copain de ta classe, vous vous êtes trouvés et la vie a fait qu’il a dû te quitter pour suivre ses parents.
Moi : Oui tu as raison. Tu sais que j’ai de l’amitié pour lui, il a toujours été loyal et nous nous sommes perdus à cause de l’éloignement.
Jul : Je sais Phil, nous nous sommes ensuite retrouvés pour rester ensemble.
Moi : Merci Juju.
Jul : Je dois dire que je suis heureux de voir que tu aies encore de l’amitié pour lui. Je pense que lui aussi en a toujours pour toi. Puis il est avec Dimitri et j’ai pu voir combien ils s’aiment !
Moi : Merci Juju, merci pour ce que tu viens de me dire. Je t’aime !
Jul : Et moi alors, je t’aime mon cœur. »
Nos visages se rapprochent une nouvelle fois, nos lèvres se rencontrent et elles s’ouvrent pour laisser enfin à nos langues le passage pour qu’elles entament une nouvelle farandole endiablée. Les mains de mon chéri viennent ébouriffer ma chevelure, les miennes prennent aussi sa chevelure, mes doigts viennent s’y perdre. Je laisse une main caresser son torse, mes doigts s’attardent sur les mamelons qui grossissent sous la pression. Nos bouches s’éloignent et laissent alors nos lèvres se balader sur nos cous. Je tente alors un suçon. Julien émet un petit cri « aie ». J’arrête cette fantaisie que je voulais tenter depuis longtemps. De fait je vois que je n’y ai pas été de « main morte » (je pense « lèvres-mortes ») ce qui fait que je commence à rire.
Jul : « Je ne vois ce qu’il y a d’amusant !
Moi : Désolé, j’avais tellement envie.
Jul : Que tu es con !
Moi : Tu as mal ?
Jul : Non, ça va j’ai été saisi !
Moi : Oups, je vois, la trace est rouge et j’espère qu’on ne la verra plus demain matin !
Jul : Ne t’en fais pas Phil. Viens me faire un gros câlin pour t’excuser. »
Je prends mon chéri dans mes bras et lui dans les siens et nous nous câlinons un moment. Me savoir dans ses bras, mon sexe prend de l’ampleur. Je suppose que le sien est dans le même état. Je descends ma main vers son bas-ventre et je butte sur son appendice bandé. Avec mon pouce je caresse son gland et passe et repasse sur le méat. Julien réagit par de petits râles de bonheur à peine audible. Puis je fais quelques mouvement le long cette colonne de chair qui est déjà bien chaude. Je reviens au niveau du gland qui s’humidifie. Je caresse à nouveau le bouton rose de mon chéri. Les râles sont forts. Je sens alors qu’une main s’empare de mon pénis tendu, je ressens alors des caresses prononcées tout au long de celui-ci. Julien décalotte mon gland et s’occupe de lui comme je l’ai fait avec le sien : quelles sensations ! Nous nous donnons du plaisir tendrement, avec amour. Puis Juju me susurre à l’oreille qu’il souhaite me sucer. Comme réponse, je fais un tour à cent quatre-vingts degrés en vue de nous retrouver têtes bêches. Dans les secondes qui suivent j’engloutis l’objet de mes désirs dans ma bouche et je commence une fellation appuyée. De son côté mon amant s’occupe très justement de mon bâton d’amour. Ses sucions sont un véritable délice et un calvaire en même temps, car j’ai peur d’arriver trop rapidement à l’explosion. Je laisse un moment ce bout de chair que je suce sortir d’entre les lèvres pour demander à mon chéri de ralentir ses sucions car je ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme-là. Je sens alors que Julien y va plus doucement. De mon côté je calque mes mouvements buccaux sur les siens, question d’être en harmonie. Quelques minutes plus tard, je râle de plus en plus fort, tout comme Juju d’ailleurs. Nous arrivons à l’apogée, nous allons libérer notre liqueur d’amour. De fait je sens que tous les muscles de Julien se contractent, les miens aussi ! Nous nous libérons pratiquement en même temps, laissant nos sécrétions exploser dans la bouche de notre partenaire. Quel délice. J’en avale une partie, laissant l’autre pour notre habituel baiser de partage. Nos visages se rapprochent, nos bouches se rejoignent et s’ouvrent pour nous laisser l’occasion de mêler nos semences l’une l’autre pour notre plus grand bonheur.
Une fois notre baiser terminé, nous nous affalons l’un à côté de l’autre pour reprendre notre respiration et retrouver un peu de calme. Nous nous regardons les yeux dans les yeux. Puis en même temps nous nous disons : « je t’aime » !
Moi : Je le fais parce que c’est comme ça et qu’il a besoin de soutien !
Ale : Oui, mais mon frère t’a laissé en plan quand il est parti au Canada.
Moi : Je sais Alexis, nous en avons parlé et nous sommes finalement resté « amis » !
Ale : Je suis franchement heureux de voir que tu ne lui en tiens pas rigueur.
Moi : Merci, ça me touche ce que tu dis !
Ale : Je savais que tu es un gars super et qui n’est pas rancunier.
Moi : Je suis très heureux de rendre service quand je peux le faire, même si certains ne comprennent pas. On peut garder des liens d’amitié malgré ce qui s’est passé. Puis chacun suit son chemin.
Jac : Merci à toi mon frérot, merci Phil d’être resté ami avec moi !
Moi : Un ami c’est là pour soutenir, c’est ce que je fais, sans arrière-pensée.
Jul : Je connais l’histoire et je me doute bien que des amours à distance c’est souvent voué à l’échec ! Puis je sais que j’ai fait moi aussi souffrir Phil et lui m’a à nouveau refait confiance. Je peux te dire que c’est un chic type sur qui tu peux compter, je peux t’assurer qu’il est bien là quand tu as besoin de lui !
Jac : J’ai pu m’en rendre compte quand je passais vous voir durant les vacances.
Moi : Arrêtez vos éloges, buvons à la santé de Jacques et de Dimitri, et à la nôtre aussi.
Tous : Santé ! »
Les parents n’ont rien dit. Ils ont observé cette scène qui explique que l’amitié peut subsister même après une séparation entre deux amants. Ils savent qu’Alexis aime bien Phil, car il était un « beau-frère » attentionné envers lui. C’est probablement pour cette raison qu’Alexis s’est exprimer sur ce qu’il ressentait.
Nous passons à table dans une atmosphère détendue. Je me remémore alors les bons moments connus autour de cette table. Je me tourne vers Julien et nous nous regardons les yeux dans les yeux. Je crois qu’il comprend ce que je pense. Il me fait un clin d’œil, sachant très bien que je l’aime et que la page est tournée depuis longtemps avec Jacques.
Le repas est délicieux, Béatrice est un véritable cordon bleu. Nous faisons attention et nous ne prenons qu’un seul verre de vin. Nous passons très vite à l’eau ou à la limonade. Les conversations vont bon train concernant nos futures études, les activités sportives, … etc.
Il se fait tard et c’est Alain qui va nous ramener à la maison. Julien et moi remercions Béatrice pour l’excellent repas. Puis nous saluons Jacques et Dimitri, nous nous promettons de nous revoir. Puis c’est Alexis qui vient nous dire au revoir. Il me fait un câlin ainsi qu’à Julien. Il nous regarde et nous dit : « Vous allez bien ensemble, soyez heureux. … Merci pour mon grand frère ! » Je sens qu’il est très ému. Nous restons un petit moment enlacés tous les trois, puis nous desserrons l’étreinte. Je vois qu’il a les yeux humides.
Lors du trajet de retour, Alain nous remercie une nouvelle fois de notre soutien envers Jacques. Il ajoute que nous sommes toujours les bienvenus chez lui. Nous arrivons à destination. Alain nous souhaite une bonne nuit et nous faisons de même à son égard.
Les deux filles nous demandent comment s’est passée la soirée. Nous leurs racontons notre visite dans la famille de Jacques en soulignant l’attitude de son jeune frère, Alexis. Maman qui est présente à côté de nous nous dit :
Mam : « Je sens bien que l’amitié entre vous est très forte. Vous avez raison de soutenir Jacques. Je comprends aussi l’attitude d’Alexis, il avait une entière confiance en toi Phil.
Moi : Oui maman, je sais et je pense que c’est toujours le cas.
Mam : Il y a parfois des liens qui se tissent entre certaines personnes et au-delà de ça, le lien peut tenir longtemps.
Moi : Si Alexis a besoin d’aide dans le futur, je serai là pour le soutenir, l’aider tout comme je l’ai fait pour Jacques.
Mam : C’est bien Phil, tu as un cœur en or.
Jul : Je le sais qu’il a un cœur en or mon chéri.
Julien s’avance vers moi et dépose ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons.
Mam : Vous êtes choux les garçons. »
Nous nous mettons à rire. Nous souhaitons une très bonne nuit à la famille et nous montons pour aller nous coucher. Un passage par la salle de bain pour une bonne douche et direction la chambre.
Nous nous couchons nus dans le lit. Je regarde mon chéri et j’approche ma tête de la sienne. Nos regards sont fixés l’un à l’autre. Je vois que Julien est serein, il a semble-t-il passé une bonne journée. Nos lèvres se rapprochent et elles finissent par s’épouser. Nous nous faisons de petits bisous très tendres. Nous nous reculons un peu question de bien nous caler l’un contre l’autre. Je me tourne vers Juju et je dis :
Moi : « Puis-je te demande quelque chose ? Je veux que tu sois franc et que tu me dises ce que tu penses !
Jul : Je veux bien, je te dirai la vérité, sans détour !
Moi : Voilà Julien, je veux savoir si tu es jaloux de Jacques car je le soutien après l’incident d’hier soir !
Jul : Que tu as bien l’air sérieux mon Phil d’amour. Mais non je ne suis pas jaloux de Jacques, que du contraire, je trouve que tu fais bien de l’aider.
Moi : Tu es certain, car papa semble prendre les choses en main et pour moi c’est terminé !
Jul : Mais non Phil, je te dis que je trouve ça normal. Bien entendu vous été ensemble, après c’est moi qui t’ai un peu laissé « tombé » ! Je dois reconnaitre que je n’en suis pas fier, mais Jacques était tout d’abord un copain de ta classe, vous vous êtes trouvés et la vie a fait qu’il a dû te quitter pour suivre ses parents.
Moi : Oui tu as raison. Tu sais que j’ai de l’amitié pour lui, il a toujours été loyal et nous nous sommes perdus à cause de l’éloignement.
Jul : Je sais Phil, nous nous sommes ensuite retrouvés pour rester ensemble.
Moi : Merci Juju.
Jul : Je dois dire que je suis heureux de voir que tu aies encore de l’amitié pour lui. Je pense que lui aussi en a toujours pour toi. Puis il est avec Dimitri et j’ai pu voir combien ils s’aiment !
Moi : Merci Juju, merci pour ce que tu viens de me dire. Je t’aime !
Jul : Et moi alors, je t’aime mon cœur. »
Nos visages se rapprochent une nouvelle fois, nos lèvres se rencontrent et elles s’ouvrent pour laisser enfin à nos langues le passage pour qu’elles entament une nouvelle farandole endiablée. Les mains de mon chéri viennent ébouriffer ma chevelure, les miennes prennent aussi sa chevelure, mes doigts viennent s’y perdre. Je laisse une main caresser son torse, mes doigts s’attardent sur les mamelons qui grossissent sous la pression. Nos bouches s’éloignent et laissent alors nos lèvres se balader sur nos cous. Je tente alors un suçon. Julien émet un petit cri « aie ». J’arrête cette fantaisie que je voulais tenter depuis longtemps. De fait je vois que je n’y ai pas été de « main morte » (je pense « lèvres-mortes ») ce qui fait que je commence à rire.
Jul : « Je ne vois ce qu’il y a d’amusant !
Moi : Désolé, j’avais tellement envie.
Jul : Que tu es con !
Moi : Tu as mal ?
Jul : Non, ça va j’ai été saisi !
Moi : Oups, je vois, la trace est rouge et j’espère qu’on ne la verra plus demain matin !
Jul : Ne t’en fais pas Phil. Viens me faire un gros câlin pour t’excuser. »
Je prends mon chéri dans mes bras et lui dans les siens et nous nous câlinons un moment. Me savoir dans ses bras, mon sexe prend de l’ampleur. Je suppose que le sien est dans le même état. Je descends ma main vers son bas-ventre et je butte sur son appendice bandé. Avec mon pouce je caresse son gland et passe et repasse sur le méat. Julien réagit par de petits râles de bonheur à peine audible. Puis je fais quelques mouvement le long cette colonne de chair qui est déjà bien chaude. Je reviens au niveau du gland qui s’humidifie. Je caresse à nouveau le bouton rose de mon chéri. Les râles sont forts. Je sens alors qu’une main s’empare de mon pénis tendu, je ressens alors des caresses prononcées tout au long de celui-ci. Julien décalotte mon gland et s’occupe de lui comme je l’ai fait avec le sien : quelles sensations ! Nous nous donnons du plaisir tendrement, avec amour. Puis Juju me susurre à l’oreille qu’il souhaite me sucer. Comme réponse, je fais un tour à cent quatre-vingts degrés en vue de nous retrouver têtes bêches. Dans les secondes qui suivent j’engloutis l’objet de mes désirs dans ma bouche et je commence une fellation appuyée. De son côté mon amant s’occupe très justement de mon bâton d’amour. Ses sucions sont un véritable délice et un calvaire en même temps, car j’ai peur d’arriver trop rapidement à l’explosion. Je laisse un moment ce bout de chair que je suce sortir d’entre les lèvres pour demander à mon chéri de ralentir ses sucions car je ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme-là. Je sens alors que Julien y va plus doucement. De mon côté je calque mes mouvements buccaux sur les siens, question d’être en harmonie. Quelques minutes plus tard, je râle de plus en plus fort, tout comme Juju d’ailleurs. Nous arrivons à l’apogée, nous allons libérer notre liqueur d’amour. De fait je sens que tous les muscles de Julien se contractent, les miens aussi ! Nous nous libérons pratiquement en même temps, laissant nos sécrétions exploser dans la bouche de notre partenaire. Quel délice. J’en avale une partie, laissant l’autre pour notre habituel baiser de partage. Nos visages se rapprochent, nos bouches se rejoignent et s’ouvrent pour nous laisser l’occasion de mêler nos semences l’une l’autre pour notre plus grand bonheur.
Une fois notre baiser terminé, nous nous affalons l’un à côté de l’autre pour reprendre notre respiration et retrouver un peu de calme. Nous nous regardons les yeux dans les yeux. Puis en même temps nous nous disons : « je t’aime » !