25-06-2021, 09:55 AM
Je prends peur, je me demande ce qu’il se passe. Je vois alors une personne entrer en trombe dans le refuge, directement suivie par une seconde personne. La bougie placée près de l’entrée est renversée et heureusement qu’elle se soit éteinte avant de toucher le sol. Il y a des fétus de paille qui jonchent le sol. Je suis là debout, près des sacs de couchages, près de mes deux compagnons, nu, surpris. Ben vient de crier, il a pris peur. Gaby n’a presque pas réagi. Je vois deux personnes vêtues de cape de pluie. La porte est vite refermée. Je suis pétrifié, je ne sais pas ce qu’il se passe en réalité. Puis enfin la première silhouette montre son visage après avoir remonté la capuche de la cape. C’est un jeune gars d’une bonne vingtaine d’année. Il a la tignasse blonde et porte une barbe toute aussi claire. Il dit alors :
Gars 1 : « Oh, pardon de vous avoir surpris. Je suis désolé.
Ce jeune à un accent valaisan. Il dégouline de partout. Puis il me dit :
Gars 1 : Tu sais, nous avons été pris dans l’orage et nous devons nous abriter.
Moi : Oh, oui, heu. Désolé pour ma tenue.
Gars 1 : Pas de soucis, tu sais je suis aussi souvent à poil. Au fait je te présente mon cousin, Hans. Moi c’est Justin.
Moi : Bonjour Justin, bonjour Hans.
Han : Bonjour, désolé de pénétrer comme ça, mais vu le temps. (Il a un accent suisse alémanique.)
Moi : Pas de soucis, moi c’est Philippe, ou Phil pour faire plus court.
Jus : Tu es belge, ça s’entend à ton accent.
Moi : Oui, nous sommes au camp international pionnier.
Han : Je m’en doute. Comment se fait-il que vous soyez ici en plein orage.
Moi : Bon, d’abord voici Ben et Gaby. Nous sommes en montagne pour trois jours. Demain nous rentrons au camp.
Jus : Vous avez de la chance d’être à l’abri, les orages en montagne sont très dangereux.
Moi : Oh oui, nous le savons.
Gaby frissonne de nouveau, Ben reprend ses massages pour réchauffer Gaby. Justin le remarque. Il dit alors :
Jus : Il n’a pas l’air en forme ton copain !
Moi : Effectivement, en redescendant pour revenir ici, Gaby est tombé dans le torrent, alors nous le réchauffons en nous mettant collé l’un à l’autre.
Jus : Tu sais que c’est la meilleure méthode. Vous avez besoin de quelque chose ?
Moi : Non, je pense que ça va aller.
Han : Je vois que vous avez trouvé les bougies. C’est une très bonne idée. C’est moi qui les avais apportées la dernière fois que je suis venu.
Moi : Désolé, je n’en avais qu’une.
Han : Pas de soucis. Je vais rallumer celle qui s’est éteinte lorsque nous sommes entrés.
Moi : Je crois qu’il y a encore un peu d’eau chaude, vous voulez un thé ?
Jus : Pas de refus Phil. Je vais mettre une autre bûche sur le feu.
Han : Je vais ôter mes vêtements, je suis trempé.
Hans se déshabille et reste nu, il étend les vêtements près du feu. Puis il prend une autre bougie pour y voir plus clair. Pendant que je prépare les deux thé, Justin ôte à son tour ses habits mouillés. Nous sommes tous nus. Cela ne me pose aucun problème étant naturiste. C’est Justin qui me pose alors la question suivante :
Jus : Dis-moi Phil, ça n’a pas l’aire de te déranger que nous soyons mon cousin et moi, nus devant vous.
Moi : Non, pas du tout, d’abord je suis naturiste et à la troupe nous avons l’habitude de nous voir nus.
Jus : OK. Pas de problème. Nous allons nous poser, pas loin de vous, c’est pour profiter aussi de la chaleur du feu.
Moi : Sans problème Justin. Il y a assez de place.
Han : (En s’adressant à Gaby) : Ça va mon gars, tu as l’air encore assez pâle.
Gab : Oui, ça va mieux, merci.
Han : Montre-moi ta tête. OK, je vois, le pansement est bien placé, c’est à peine gonflé. Si tu veux je te donne de l’aspirine pour la douleur.
Gab : Je ne veux pas abuser.
Han : Ne t’inquiète pas Gaby, je suis secouriste. Je peux te dire que tu as de la chance d’avoir tes deux copains avec toi. Si tu es tombé dans le torrent, avec la température de l’eau, tu as l’air déjà bien mieux maintenant.
Gab : Oui, je me sens déjà mieux, j’ai encore des frissons, mais ça va.
Han : Phil, c’est toi qui a pris l’initiative de réchauffer Gaby comme ça, en vous collant « corps à corps » ?
Moi : Oui, je l’avais déjà fait auparavant.
Han : Tu as très bien fait. C’est toi qui a mis le sparadrap sur la plaie de ton copain ?
Moi : Oui, dès que nous l’avons Ben et moi retiré du torrent, je l’ai désinfectée aussi. Pourquoi ?
Han : Parce que tu as très bien posé le pansement.
Moi : Merci Hans. J’ai suivi des cours de secourisme. Je crois que le thé est prêt !
Jus et Han : Merci Phil. Tu es super. Ne prends pas froid, va te coucher, on se charge de ranger.
Moi : Merci, je suis exténué. »
Je me suis couché auprès de Gaby, Ben lui est placé de l’autre côté. Je sens déjà que Gaby a moins froid. Dès que je me suis collé à lui, je le sens tressaillir. Je regarde Gaby, je vois qu’il esquisse un sourire, il ne sait que dire, il se sent si faible, à la merci de n’importe quoi, il éprouve un sentiment d’infériorité manifeste, il se sent comme un boulet qui est traîné parce qu’il le faut ! Je lui réponds par un large sourire. Gaby me dit tout bas : « Merci ».
Après avoir terminé son thé, Justin place les deux duvets qu’il a reliés entre eux près de nous. Il se couche, nu, en attendant Hans. L’orage est fini, il ne pleut presque plus. Il fait encore assez sombre dehors, les nuages sont encore accrochés aux sommets montagneux. Hans éteint deux des trois bougies. Il vérifie que tout est en ordre. Il vient se coucher auprès de Justin.
Han : « J’habite dans la région, je connais très bien cette partie de la montagne, c’est pour cela que je dépose ici régulièrement de quoi survivre dans ce refuge, en cas de soucis.
Moi : Merci à toi. Mais Justin, tu es le cousin de Hans, mais vous n’êtes pas du même coin !
Jus : Non Phil, moi je suis du Valais. Je viens souvent dans ce coin pour aller et venir en montagne avec Hans.
Ben : Vous avez l’air assez complice pour des cousins.
Han : Tu as raison Ben, nous sommes souvent ensemble et nous nous apprécions !
Jus : Je ne veux pas être indiscret, mais je trouve que vous vous entendez bien tous les trois.
Ben : Oui, nous sommes dans la même équipe aux pionniers.
Jus : Mais pas que ça Ben, quand je vois Phil qui est aux petits soins, il y a quelque chose de plus !
Moi : Tu veux dire quoi par « quelque chose de plus » !
Jus : Je veux dire que tu sembles aimer particulièrement bien ton ami Ben !
Ben : Ça se voit tant que ça ?
Jus : Je ne me suis pas trompé. Désolé, mais je suis, comment dire, très « sensible » et aussi, hum…, je suis gay !
Moi : Pour nous cela ne pose pas de problème. Oui tu as raison, Ben est mon petit ami !
Jus : Je m’en doutais. C’est comme moi avec Hans, oui, nous nous aimons !
Ben : Heureux de l’apprendre. Cela ne pose pas de problème dans vos familles ?
Han : Heu, oui et non ! Nos familles ne sont pas au courant. C’est assez compliqué. Nous ne nous voyons qu’en montagne, c’est plus sécurisant pour nous.
Jus : Et toi Gaby, tu es gay ?
Gab : Non, je suis juste leur ami. Je suis même très heureux de les avoir tous les deux comme amis. Je, je… je leur dois la vie ! Ils m’ont sauvé aujourd’hui ! (Des larmes coulent de ses yeux)
Moi : Arrête Gaby, nous t’avons fait le serment de t’aider durant ce camp et tu le sais très bien, nous sommes de parole tous les deux !
Gab : C’est pour ça que je pleure, vous êtes mes meilleurs amis.
Jus : Tu sais Gaby, tu peux être fier d’avoir tes deux amis auprès de toi. Puis tu les as acceptés tels qu’ils sont, des homos. Puis ils vont si bien ensemble.
Gab : Merci Justin. Si tu savais ce que je pensais d’eux au début de l’année ! Mais ils savent que les apprécie au plus haut point maintenant.
Han : Bon je crois qu’on va se reposer. Il est temps de nous mettre un peu au calme.
Ben : C’est une bonne idée. Bonne nuit à vous.
Jus : Bonne nuit les gars.
Moi et Gab : Bonne nuit.
Han : Bonne nuit et qu’elle soit aussi sensuelle ! »
Je me demande ce que Hans veut dire par une « nuit sensuelle ». Veut-il dire qu’il songe à avoir une relation intime avec Justin. C’est ce à quoi je songe immédiatement, de prime abord. Il n’a pas fallu trente seconde pour que mon sexe se redresse. Je tourne la tête vers Ben, qui lui aussi a compris la même chose que moi. Avec la dernière bougie allumée, nous pouvons nous voir sans problème. Je jette un coup œil vers Gaby, en même temps que Ben. Notre ami, collé entre nous, tourne la tête d’un côté et puis de l’autre en nous observant. Il nous sourit.
A côté de nous, nous entendons Justin et Hans s’embrasser. Ils semblent se caresser aussi. Mon sexe s’est encore durci un peu plus. Je me redresse un peu pour me placer au-dessus de Gaby, Ben fait de même. Nous regardons Gaby et devant lui nous nous embrassons ainsi à pleine bouche. Cela dure quelques minutes. Nous devons nous séparer car cette position n’est pas tenable.
Gaby nous donne alors un bisou sur la joue à chacun. Puis il vient poser sa main sur mon sexe dressé. Il fait de même avec son autre main, main qu’il pose sur le zizi de Ben. Il nous regarde. Je suis interloqué. Je me laisse faire, je laisse Gaby entreprendre sur ma queue une masturbation hésitante. Ben lui aussi laisse Gaby lui faire cette caresse au niveau du sexe. Je ne m’attendais pas à ça de la part de Gaby. Au bout de deux minutes, je me suis demandé si je peux aussi procurer un peu de plaisir à Gaby. Je pose alors une main sur son sexe bandé. Il est déjà tout humide de précum. Je m’applique donc à lui rendre ses caresses. Ma main est rejointe par celle de Ben. Nous nous mettons alors à deux pour donner du plaisir à Gaby. Nous alternons les mouvements lents et rapides sur la queue de notre ami. De son côté Gaby nous masturbe franchement. Il sait s’y prendre. Il est certain qu’il se branle régulièrement et donc il sait très bien appliquer les mouvements les plus appropriés pour arriver à ressentir du plaisir. Il caresse avec ses doigts mon gland très humide, il entoure mon pénis avec ses doigts pour remonter jusqu’au frein. C’est au bout de dix bonnes minutes de ce « petit travail » délicat et sensuel que je décharge six jets de sperme qui s’étalent sur mon ventre. Ben aussi jouit peu après moi. Nous poursuivons notre double branlette appliquée sur Gaby, je sens qu’il n’est pas loin de la délivrance, son corps se raidit et il jouit enfin sur nos doigts et son ventre.
J’embrasse Ben une nouvelle fois à pleine bouche. Nous sommes heureux de cette partie une peu chaude vécue avec Gaby. Nous reprenons notre position en vue de récupérer. Puis d’un coup Gaby se penche vers moi et me donne un bisou sur la joue. Je tourne la tête vers lui. Gaby s’avance vers moi et dépose ses lèvres sur les miennes. Cinq secondes plus tard il se tourne vers Ben. Il fait la même chose, d’abord un bisou sur la joue et ensuite il dépose ses lèvres cinq secondes sur celle de Ben.
Je me pose alors la question de savoir pourquoi Gaby a agi de la sorte. Je ne veux pas lui poser la question maintenant. Je ne veux pas briser ce moment particulier. Ben me regarde et semble avoir les mêmes pensées que moi.
Gars 1 : « Oh, pardon de vous avoir surpris. Je suis désolé.
Ce jeune à un accent valaisan. Il dégouline de partout. Puis il me dit :
Gars 1 : Tu sais, nous avons été pris dans l’orage et nous devons nous abriter.
Moi : Oh, oui, heu. Désolé pour ma tenue.
Gars 1 : Pas de soucis, tu sais je suis aussi souvent à poil. Au fait je te présente mon cousin, Hans. Moi c’est Justin.
Moi : Bonjour Justin, bonjour Hans.
Han : Bonjour, désolé de pénétrer comme ça, mais vu le temps. (Il a un accent suisse alémanique.)
Moi : Pas de soucis, moi c’est Philippe, ou Phil pour faire plus court.
Jus : Tu es belge, ça s’entend à ton accent.
Moi : Oui, nous sommes au camp international pionnier.
Han : Je m’en doute. Comment se fait-il que vous soyez ici en plein orage.
Moi : Bon, d’abord voici Ben et Gaby. Nous sommes en montagne pour trois jours. Demain nous rentrons au camp.
Jus : Vous avez de la chance d’être à l’abri, les orages en montagne sont très dangereux.
Moi : Oh oui, nous le savons.
Gaby frissonne de nouveau, Ben reprend ses massages pour réchauffer Gaby. Justin le remarque. Il dit alors :
Jus : Il n’a pas l’air en forme ton copain !
Moi : Effectivement, en redescendant pour revenir ici, Gaby est tombé dans le torrent, alors nous le réchauffons en nous mettant collé l’un à l’autre.
Jus : Tu sais que c’est la meilleure méthode. Vous avez besoin de quelque chose ?
Moi : Non, je pense que ça va aller.
Han : Je vois que vous avez trouvé les bougies. C’est une très bonne idée. C’est moi qui les avais apportées la dernière fois que je suis venu.
Moi : Désolé, je n’en avais qu’une.
Han : Pas de soucis. Je vais rallumer celle qui s’est éteinte lorsque nous sommes entrés.
Moi : Je crois qu’il y a encore un peu d’eau chaude, vous voulez un thé ?
Jus : Pas de refus Phil. Je vais mettre une autre bûche sur le feu.
Han : Je vais ôter mes vêtements, je suis trempé.
Hans se déshabille et reste nu, il étend les vêtements près du feu. Puis il prend une autre bougie pour y voir plus clair. Pendant que je prépare les deux thé, Justin ôte à son tour ses habits mouillés. Nous sommes tous nus. Cela ne me pose aucun problème étant naturiste. C’est Justin qui me pose alors la question suivante :
Jus : Dis-moi Phil, ça n’a pas l’aire de te déranger que nous soyons mon cousin et moi, nus devant vous.
Moi : Non, pas du tout, d’abord je suis naturiste et à la troupe nous avons l’habitude de nous voir nus.
Jus : OK. Pas de problème. Nous allons nous poser, pas loin de vous, c’est pour profiter aussi de la chaleur du feu.
Moi : Sans problème Justin. Il y a assez de place.
Han : (En s’adressant à Gaby) : Ça va mon gars, tu as l’air encore assez pâle.
Gab : Oui, ça va mieux, merci.
Han : Montre-moi ta tête. OK, je vois, le pansement est bien placé, c’est à peine gonflé. Si tu veux je te donne de l’aspirine pour la douleur.
Gab : Je ne veux pas abuser.
Han : Ne t’inquiète pas Gaby, je suis secouriste. Je peux te dire que tu as de la chance d’avoir tes deux copains avec toi. Si tu es tombé dans le torrent, avec la température de l’eau, tu as l’air déjà bien mieux maintenant.
Gab : Oui, je me sens déjà mieux, j’ai encore des frissons, mais ça va.
Han : Phil, c’est toi qui a pris l’initiative de réchauffer Gaby comme ça, en vous collant « corps à corps » ?
Moi : Oui, je l’avais déjà fait auparavant.
Han : Tu as très bien fait. C’est toi qui a mis le sparadrap sur la plaie de ton copain ?
Moi : Oui, dès que nous l’avons Ben et moi retiré du torrent, je l’ai désinfectée aussi. Pourquoi ?
Han : Parce que tu as très bien posé le pansement.
Moi : Merci Hans. J’ai suivi des cours de secourisme. Je crois que le thé est prêt !
Jus et Han : Merci Phil. Tu es super. Ne prends pas froid, va te coucher, on se charge de ranger.
Moi : Merci, je suis exténué. »
Je me suis couché auprès de Gaby, Ben lui est placé de l’autre côté. Je sens déjà que Gaby a moins froid. Dès que je me suis collé à lui, je le sens tressaillir. Je regarde Gaby, je vois qu’il esquisse un sourire, il ne sait que dire, il se sent si faible, à la merci de n’importe quoi, il éprouve un sentiment d’infériorité manifeste, il se sent comme un boulet qui est traîné parce qu’il le faut ! Je lui réponds par un large sourire. Gaby me dit tout bas : « Merci ».
Après avoir terminé son thé, Justin place les deux duvets qu’il a reliés entre eux près de nous. Il se couche, nu, en attendant Hans. L’orage est fini, il ne pleut presque plus. Il fait encore assez sombre dehors, les nuages sont encore accrochés aux sommets montagneux. Hans éteint deux des trois bougies. Il vérifie que tout est en ordre. Il vient se coucher auprès de Justin.
Han : « J’habite dans la région, je connais très bien cette partie de la montagne, c’est pour cela que je dépose ici régulièrement de quoi survivre dans ce refuge, en cas de soucis.
Moi : Merci à toi. Mais Justin, tu es le cousin de Hans, mais vous n’êtes pas du même coin !
Jus : Non Phil, moi je suis du Valais. Je viens souvent dans ce coin pour aller et venir en montagne avec Hans.
Ben : Vous avez l’air assez complice pour des cousins.
Han : Tu as raison Ben, nous sommes souvent ensemble et nous nous apprécions !
Jus : Je ne veux pas être indiscret, mais je trouve que vous vous entendez bien tous les trois.
Ben : Oui, nous sommes dans la même équipe aux pionniers.
Jus : Mais pas que ça Ben, quand je vois Phil qui est aux petits soins, il y a quelque chose de plus !
Moi : Tu veux dire quoi par « quelque chose de plus » !
Jus : Je veux dire que tu sembles aimer particulièrement bien ton ami Ben !
Ben : Ça se voit tant que ça ?
Jus : Je ne me suis pas trompé. Désolé, mais je suis, comment dire, très « sensible » et aussi, hum…, je suis gay !
Moi : Pour nous cela ne pose pas de problème. Oui tu as raison, Ben est mon petit ami !
Jus : Je m’en doutais. C’est comme moi avec Hans, oui, nous nous aimons !
Ben : Heureux de l’apprendre. Cela ne pose pas de problème dans vos familles ?
Han : Heu, oui et non ! Nos familles ne sont pas au courant. C’est assez compliqué. Nous ne nous voyons qu’en montagne, c’est plus sécurisant pour nous.
Jus : Et toi Gaby, tu es gay ?
Gab : Non, je suis juste leur ami. Je suis même très heureux de les avoir tous les deux comme amis. Je, je… je leur dois la vie ! Ils m’ont sauvé aujourd’hui ! (Des larmes coulent de ses yeux)
Moi : Arrête Gaby, nous t’avons fait le serment de t’aider durant ce camp et tu le sais très bien, nous sommes de parole tous les deux !
Gab : C’est pour ça que je pleure, vous êtes mes meilleurs amis.
Jus : Tu sais Gaby, tu peux être fier d’avoir tes deux amis auprès de toi. Puis tu les as acceptés tels qu’ils sont, des homos. Puis ils vont si bien ensemble.
Gab : Merci Justin. Si tu savais ce que je pensais d’eux au début de l’année ! Mais ils savent que les apprécie au plus haut point maintenant.
Han : Bon je crois qu’on va se reposer. Il est temps de nous mettre un peu au calme.
Ben : C’est une bonne idée. Bonne nuit à vous.
Jus : Bonne nuit les gars.
Moi et Gab : Bonne nuit.
Han : Bonne nuit et qu’elle soit aussi sensuelle ! »
Je me demande ce que Hans veut dire par une « nuit sensuelle ». Veut-il dire qu’il songe à avoir une relation intime avec Justin. C’est ce à quoi je songe immédiatement, de prime abord. Il n’a pas fallu trente seconde pour que mon sexe se redresse. Je tourne la tête vers Ben, qui lui aussi a compris la même chose que moi. Avec la dernière bougie allumée, nous pouvons nous voir sans problème. Je jette un coup œil vers Gaby, en même temps que Ben. Notre ami, collé entre nous, tourne la tête d’un côté et puis de l’autre en nous observant. Il nous sourit.
A côté de nous, nous entendons Justin et Hans s’embrasser. Ils semblent se caresser aussi. Mon sexe s’est encore durci un peu plus. Je me redresse un peu pour me placer au-dessus de Gaby, Ben fait de même. Nous regardons Gaby et devant lui nous nous embrassons ainsi à pleine bouche. Cela dure quelques minutes. Nous devons nous séparer car cette position n’est pas tenable.
Gaby nous donne alors un bisou sur la joue à chacun. Puis il vient poser sa main sur mon sexe dressé. Il fait de même avec son autre main, main qu’il pose sur le zizi de Ben. Il nous regarde. Je suis interloqué. Je me laisse faire, je laisse Gaby entreprendre sur ma queue une masturbation hésitante. Ben lui aussi laisse Gaby lui faire cette caresse au niveau du sexe. Je ne m’attendais pas à ça de la part de Gaby. Au bout de deux minutes, je me suis demandé si je peux aussi procurer un peu de plaisir à Gaby. Je pose alors une main sur son sexe bandé. Il est déjà tout humide de précum. Je m’applique donc à lui rendre ses caresses. Ma main est rejointe par celle de Ben. Nous nous mettons alors à deux pour donner du plaisir à Gaby. Nous alternons les mouvements lents et rapides sur la queue de notre ami. De son côté Gaby nous masturbe franchement. Il sait s’y prendre. Il est certain qu’il se branle régulièrement et donc il sait très bien appliquer les mouvements les plus appropriés pour arriver à ressentir du plaisir. Il caresse avec ses doigts mon gland très humide, il entoure mon pénis avec ses doigts pour remonter jusqu’au frein. C’est au bout de dix bonnes minutes de ce « petit travail » délicat et sensuel que je décharge six jets de sperme qui s’étalent sur mon ventre. Ben aussi jouit peu après moi. Nous poursuivons notre double branlette appliquée sur Gaby, je sens qu’il n’est pas loin de la délivrance, son corps se raidit et il jouit enfin sur nos doigts et son ventre.
J’embrasse Ben une nouvelle fois à pleine bouche. Nous sommes heureux de cette partie une peu chaude vécue avec Gaby. Nous reprenons notre position en vue de récupérer. Puis d’un coup Gaby se penche vers moi et me donne un bisou sur la joue. Je tourne la tête vers lui. Gaby s’avance vers moi et dépose ses lèvres sur les miennes. Cinq secondes plus tard il se tourne vers Ben. Il fait la même chose, d’abord un bisou sur la joue et ensuite il dépose ses lèvres cinq secondes sur celle de Ben.
Je me pose alors la question de savoir pourquoi Gaby a agi de la sorte. Je ne veux pas lui poser la question maintenant. Je ne veux pas briser ce moment particulier. Ben me regarde et semble avoir les mêmes pensées que moi.