21-06-2021, 10:35 AM
Je sens qu’on me caresse la tête et les cheveux, je me doute bien que c’est mon Juju. Il me réveille en douceur, ses caresses sont bienfaisantes et très agréables. J’ouvre les yeux et je vois mon chéri qui affiche un large sourire. Je ne peux résister et j’approche ma bouche de la sienne, nos lèvres se frôlent, elles s’éloignent pour revenir et enfin se toucher. Nous nous embrassons avec fougue, notre amour ne cesse de se renforcer.
Nous restons enlacés quelques minutes encore ayant soin de nous susurrer de jolis petits mots d’amour. Il est temps que je me lève car je suis pris d’envie pressante. Je sors du lit et vais me soulager. Je reviens dans la chambre et je vois que mon chéri m’attend, il reste couché sous les draps. Je me glisse auprès de lui. Il me regarde dans les yeux, je sens qu’il scrute mon regard à la recherche de la moindre expression. Je ne me lasse pas, moi non plus, de le regarder dans les yeux pour y voir le moindre changement.
Je sens la main de Juju se poser sur la mienne, il s’en empare et la placer sur son sexe érigé. Je savais que mon chéri bandait, il suffisait de voir la tente avec son mat qui marquait la couette à mon retour. Je sais donc qu’il souhaite que je m’occupe de faire tomber la pression. Rien que de savoir ma main sur son attribut, j’ai le mien prend aussi du volume. Julien s’en doute et il s’empare aussi de l’objet de son désir.
Nous nous masturbons mutuellement en nous regardant. Nous nous sourions l’un à l’autre, très heureux de vérifier que notre complicité amoureuse n’a aucune faille. Nous déchargeons pratiquement en même temps, maculant nos bas-ventres et nos doigts de nos divines liqueurs. Nos lèvres se retrouvent une nouvelles fois pour laisser alors nos langues débuter une folle farandole durant quelques minutes !
Nous sortons alors de notre « petit monde » car il va être temps de descendre pour le petit-déjeuner. Nous sortons du lit en nous rendant compte que nous n’avons pas essuyé les dernières traces de nos ébats. C’est trop tard pour faire quoi que ce soit, mais je pense qu’avec un linge humide je pourrai les enlever. J’espère seulement que maman ne viendra pas dans la chambre avant que j’aie pu réparer cet oubli. Je prends donc un linge dans la salle de bain et je frotte les taches qui maculent le drap.
Maman croyant que nous sommes sous la douche entre dans ma chambre et me voit en train de frotter le drap. Maman me dit que ce n’est pas un souci car elle avait l’intention de changer le lit. Je sens bien que mes pommettes sont écarlates, je ne sais pas où me mettre. Maman me dit alors, que comme tous les ados, nous profitons de la vie et de ses plaisirs partagés ! Inutile de dire que mon front prend très certainement de belles couleurs qui sont assorties à celles de mes joues !
Je rejoins Julien qui est déjà dans la douche. Il remarque que je suis troublé et que j’ai des couleurs au niveau du visage. Je rentre dans la douche et je prends du shampoing et commence à me laver les cheveux. Juju reste à me regarder sans rien dire. Une fois les cheveux lavés, je reste sous le jet d’eau tiède, soit l’eau ni trop chaude ni trop froide ! Julien me dit alors :
Jul : « Je vois que tu sembles un peu perturbé mon amour !
Moi : Pas de souci, c’est juste … juste que ma mère est entrée dans la chambre pour prendre les draps pour la lessive alors que je tentais de frotter les taches de sperme !
Jul : Oh oui, oups alors !
Moi : En fait elle pensait que nous étions tous les deux dans la salle de bain.
Jul : Je comprends alors la surprise pour toi de la voir arriver et pour elle de te voir en train de frotter nos traces de jouissance !
Moi : C’est bien ça et tu te doutes que j’ai eu un coup de chaud !
Jul : Je suis certain qu’elle est occupée à rire de t’avoir vu rouge comme une pivoine.
Moi : C’est vrai que je n’avais pas pensé à ça.
Jul : Tu sais, elle n’est pas née de la dernière pluie.
Moi : Ça je le sais très bien Juju. »
Julien s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche. Décidément il est incroyable mon Juju d’amour. Il n’est pas plus perturbé que ça par ce que je viens de lui apprendre. Je suppose qu’il s’est lui aussi fait griller plus d’une fois par Béatrice, sa maman ! Je préfère ne pas lui faire part de ma pensée !
Lorsque nous arrivons dans la salle à manger toute la famille est déjà attablée. Nous faisons la bise aux parents et aux deux filles et ensuite nous nous asseyons. Papa nous demande si nous avons bien dormi, il demande à Julien comment il se sent, il me demande ce que nous comptons faire de la journée. Pour ma part je sais que nous allons probablement faire un tour à vélo en forêt de Soignes.
Nous mangeons de bon cœur et maman ne dit rien concernant le drap. J’ai encore cette image en mémoire alors que je suis occupé à frotter les taches de sperme, nu comme un ver et que maman entre dans la chambre. Je sais qu’elle a très bien capté que nous nous sommes masturbés au réveil comme le font souvent tous les ados.
Je regarde maman et lui fais un clin d’œil, elle me répond aussi par un clin d’œil. Je lui fais un signe pour lui signaler que je vais faire à Julien la proposition de suivre des séances de musculation. Elle me refait un clin d’œil car elle sait que c’est important. Je me tourne vers Juju et je lui dis :
Moi : « Dis Juju, ça te dirais de faire de la musculation, ou plutôt de la remise en forme ?
Jul : Eh bien, heu … oui, pourquoi pas !
Moi : J’ai pris contact avec le service de sports de l’Université et comme nouveaux étudiants nous pouvons dès demain, si nous le voulons, participer à des séances de musculation guidées par un entraineur sportif agréé.
Jul : Je suis surpris, tu t’es renseigné pour que je puisse parfaire ma musculation à la suite de ce que j’ai subi.
Moi : Oui Julien, j’espère que ce ne te déranges pas, je pensais que ça serait une bonne idée. Maman m’a aussi convaincu.
Jul : J’ai bien compris Phil, tu as très bien fait. Je sais que tu veux le meilleur pour moi. Merci maman Fanny, je suis tellement choyé par vous tous. (La voix de Julien change, il a difficile à poursuivre, des larmes coulent sur ses joues.) Je sais que vous voulez que je sois au mieux après ce qui s’est passé. (Julien se mouche et les larmes coulent toujours). Phil, ce matin dans la douche, j’ai senti que tu n’osais pas me dire ta pensée à propos de ce que ma maman aurai probablement dit au sujet des traces de nos ébats sur les draps. Merci Fanny, je pense que maman aurait fait comme toi, le prendre avec le sourire. Je ressens beaucoup de choses et je sais que vous faites tous très attention à moi.
Mam : Julien, tu es comme mon fils, ou si tu veux comme mon beau-fils, je ne fais aucune différence entre toi et Phil, soit en certain. Je sais que Phil étais gêné ce matin, mais il ne doit l’être ni toi non plus.
Jul : Merci maman Fanny. Euh … Merci Phil, … merci à vous !
Moi : Je ne sais que te dire. Oui, une seule chose : je t’aime !
Jul : Oh Phil, moi aussi je t’aime !
Nous nous embrassons devant nos parents et nos sœurs. Je vois qu’elles ont aussi les larmes aux yeux. Papa nous regarde tour à tour, les garçons et les filles. Maman affiche un très large sourire. Puis elle se lève de sa chaise pour venir nous prendre dans ses bras, ça parait assez puéril, mais même à dix-huit ans les câlins maternels sont toujours les bienvenus.
Pap : Je ne savais pas que vous étiez si proches l’un de l’autre les garçons. Vous vous comprenez sans même devoir prononcer un mot. N’oubliez pas, vous êtes des rayons de soleil pour nous et pour les autres !
Moi : Merci papa.
Jul : Merci papa Alain.
Mam : Vous vous aimez et nous vous aimons aussi très fort !
Moi : Alors Juju, revenons à nos moutons, es-tu partant pour la musculation ?
Jul : Oui Phil, avec toi j’irai jusqu’au bout du monde si tu me le demandais ! »
J’approche mes lèvres de celles de Julien et nous nous embrassons un court instant. J’ai les larmes qui me viennent, mais ce sont des larmes de joie, de bonheur. Inutile de dire que nous pouvons voir le sourire sur les visages des parents et de nos sœurs, ils en disent long.
Nous poursuivons ce premier repas de la journée en parlant de choses et d’autres, mais principalement de ce qui s’est passé la veille au soir. Nous allons Juju et moi reprendre contact avec Jacques et Dimitri, il faut qu’ils sachent que nous sommes avec eux. Papa aussi est prêt à les aider. Je sais qu’il est très dévoué et je sais de quoi je parle.
Le repas terminé, la table débarrassée, je téléphone à Jacques. Je suis en contact avec Béatrice, sa maman. Elle me dit que Jacques vient de se lever et qu’il rappellera dans dix minutes. Je la remercie. Avant de raccrocher elle ajoute qu’elle sait ce qui s’est passé hier soir !
Je raconte à maman la teneur de mon appel téléphonique. Elle sait que nous allons devoir remonter le moral de Jacques et aussi celui de Dimitri. Je reste planté à côté de l’appareil téléphonique, en attendant l’appel de mon ami.
Nous restons enlacés quelques minutes encore ayant soin de nous susurrer de jolis petits mots d’amour. Il est temps que je me lève car je suis pris d’envie pressante. Je sors du lit et vais me soulager. Je reviens dans la chambre et je vois que mon chéri m’attend, il reste couché sous les draps. Je me glisse auprès de lui. Il me regarde dans les yeux, je sens qu’il scrute mon regard à la recherche de la moindre expression. Je ne me lasse pas, moi non plus, de le regarder dans les yeux pour y voir le moindre changement.
Je sens la main de Juju se poser sur la mienne, il s’en empare et la placer sur son sexe érigé. Je savais que mon chéri bandait, il suffisait de voir la tente avec son mat qui marquait la couette à mon retour. Je sais donc qu’il souhaite que je m’occupe de faire tomber la pression. Rien que de savoir ma main sur son attribut, j’ai le mien prend aussi du volume. Julien s’en doute et il s’empare aussi de l’objet de son désir.
Nous nous masturbons mutuellement en nous regardant. Nous nous sourions l’un à l’autre, très heureux de vérifier que notre complicité amoureuse n’a aucune faille. Nous déchargeons pratiquement en même temps, maculant nos bas-ventres et nos doigts de nos divines liqueurs. Nos lèvres se retrouvent une nouvelles fois pour laisser alors nos langues débuter une folle farandole durant quelques minutes !
Nous sortons alors de notre « petit monde » car il va être temps de descendre pour le petit-déjeuner. Nous sortons du lit en nous rendant compte que nous n’avons pas essuyé les dernières traces de nos ébats. C’est trop tard pour faire quoi que ce soit, mais je pense qu’avec un linge humide je pourrai les enlever. J’espère seulement que maman ne viendra pas dans la chambre avant que j’aie pu réparer cet oubli. Je prends donc un linge dans la salle de bain et je frotte les taches qui maculent le drap.
Maman croyant que nous sommes sous la douche entre dans ma chambre et me voit en train de frotter le drap. Maman me dit que ce n’est pas un souci car elle avait l’intention de changer le lit. Je sens bien que mes pommettes sont écarlates, je ne sais pas où me mettre. Maman me dit alors, que comme tous les ados, nous profitons de la vie et de ses plaisirs partagés ! Inutile de dire que mon front prend très certainement de belles couleurs qui sont assorties à celles de mes joues !
Je rejoins Julien qui est déjà dans la douche. Il remarque que je suis troublé et que j’ai des couleurs au niveau du visage. Je rentre dans la douche et je prends du shampoing et commence à me laver les cheveux. Juju reste à me regarder sans rien dire. Une fois les cheveux lavés, je reste sous le jet d’eau tiède, soit l’eau ni trop chaude ni trop froide ! Julien me dit alors :
Jul : « Je vois que tu sembles un peu perturbé mon amour !
Moi : Pas de souci, c’est juste … juste que ma mère est entrée dans la chambre pour prendre les draps pour la lessive alors que je tentais de frotter les taches de sperme !
Jul : Oh oui, oups alors !
Moi : En fait elle pensait que nous étions tous les deux dans la salle de bain.
Jul : Je comprends alors la surprise pour toi de la voir arriver et pour elle de te voir en train de frotter nos traces de jouissance !
Moi : C’est bien ça et tu te doutes que j’ai eu un coup de chaud !
Jul : Je suis certain qu’elle est occupée à rire de t’avoir vu rouge comme une pivoine.
Moi : C’est vrai que je n’avais pas pensé à ça.
Jul : Tu sais, elle n’est pas née de la dernière pluie.
Moi : Ça je le sais très bien Juju. »
Julien s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche. Décidément il est incroyable mon Juju d’amour. Il n’est pas plus perturbé que ça par ce que je viens de lui apprendre. Je suppose qu’il s’est lui aussi fait griller plus d’une fois par Béatrice, sa maman ! Je préfère ne pas lui faire part de ma pensée !
Lorsque nous arrivons dans la salle à manger toute la famille est déjà attablée. Nous faisons la bise aux parents et aux deux filles et ensuite nous nous asseyons. Papa nous demande si nous avons bien dormi, il demande à Julien comment il se sent, il me demande ce que nous comptons faire de la journée. Pour ma part je sais que nous allons probablement faire un tour à vélo en forêt de Soignes.
Nous mangeons de bon cœur et maman ne dit rien concernant le drap. J’ai encore cette image en mémoire alors que je suis occupé à frotter les taches de sperme, nu comme un ver et que maman entre dans la chambre. Je sais qu’elle a très bien capté que nous nous sommes masturbés au réveil comme le font souvent tous les ados.
Je regarde maman et lui fais un clin d’œil, elle me répond aussi par un clin d’œil. Je lui fais un signe pour lui signaler que je vais faire à Julien la proposition de suivre des séances de musculation. Elle me refait un clin d’œil car elle sait que c’est important. Je me tourne vers Juju et je lui dis :
Moi : « Dis Juju, ça te dirais de faire de la musculation, ou plutôt de la remise en forme ?
Jul : Eh bien, heu … oui, pourquoi pas !
Moi : J’ai pris contact avec le service de sports de l’Université et comme nouveaux étudiants nous pouvons dès demain, si nous le voulons, participer à des séances de musculation guidées par un entraineur sportif agréé.
Jul : Je suis surpris, tu t’es renseigné pour que je puisse parfaire ma musculation à la suite de ce que j’ai subi.
Moi : Oui Julien, j’espère que ce ne te déranges pas, je pensais que ça serait une bonne idée. Maman m’a aussi convaincu.
Jul : J’ai bien compris Phil, tu as très bien fait. Je sais que tu veux le meilleur pour moi. Merci maman Fanny, je suis tellement choyé par vous tous. (La voix de Julien change, il a difficile à poursuivre, des larmes coulent sur ses joues.) Je sais que vous voulez que je sois au mieux après ce qui s’est passé. (Julien se mouche et les larmes coulent toujours). Phil, ce matin dans la douche, j’ai senti que tu n’osais pas me dire ta pensée à propos de ce que ma maman aurai probablement dit au sujet des traces de nos ébats sur les draps. Merci Fanny, je pense que maman aurait fait comme toi, le prendre avec le sourire. Je ressens beaucoup de choses et je sais que vous faites tous très attention à moi.
Mam : Julien, tu es comme mon fils, ou si tu veux comme mon beau-fils, je ne fais aucune différence entre toi et Phil, soit en certain. Je sais que Phil étais gêné ce matin, mais il ne doit l’être ni toi non plus.
Jul : Merci maman Fanny. Euh … Merci Phil, … merci à vous !
Moi : Je ne sais que te dire. Oui, une seule chose : je t’aime !
Jul : Oh Phil, moi aussi je t’aime !
Nous nous embrassons devant nos parents et nos sœurs. Je vois qu’elles ont aussi les larmes aux yeux. Papa nous regarde tour à tour, les garçons et les filles. Maman affiche un très large sourire. Puis elle se lève de sa chaise pour venir nous prendre dans ses bras, ça parait assez puéril, mais même à dix-huit ans les câlins maternels sont toujours les bienvenus.
Pap : Je ne savais pas que vous étiez si proches l’un de l’autre les garçons. Vous vous comprenez sans même devoir prononcer un mot. N’oubliez pas, vous êtes des rayons de soleil pour nous et pour les autres !
Moi : Merci papa.
Jul : Merci papa Alain.
Mam : Vous vous aimez et nous vous aimons aussi très fort !
Moi : Alors Juju, revenons à nos moutons, es-tu partant pour la musculation ?
Jul : Oui Phil, avec toi j’irai jusqu’au bout du monde si tu me le demandais ! »
J’approche mes lèvres de celles de Julien et nous nous embrassons un court instant. J’ai les larmes qui me viennent, mais ce sont des larmes de joie, de bonheur. Inutile de dire que nous pouvons voir le sourire sur les visages des parents et de nos sœurs, ils en disent long.
Nous poursuivons ce premier repas de la journée en parlant de choses et d’autres, mais principalement de ce qui s’est passé la veille au soir. Nous allons Juju et moi reprendre contact avec Jacques et Dimitri, il faut qu’ils sachent que nous sommes avec eux. Papa aussi est prêt à les aider. Je sais qu’il est très dévoué et je sais de quoi je parle.
Le repas terminé, la table débarrassée, je téléphone à Jacques. Je suis en contact avec Béatrice, sa maman. Elle me dit que Jacques vient de se lever et qu’il rappellera dans dix minutes. Je la remercie. Avant de raccrocher elle ajoute qu’elle sait ce qui s’est passé hier soir !
Je raconte à maman la teneur de mon appel téléphonique. Elle sait que nous allons devoir remonter le moral de Jacques et aussi celui de Dimitri. Je reste planté à côté de l’appareil téléphonique, en attendant l’appel de mon ami.