18-06-2021, 10:01 AM
Nous restons en attente devant la vision de cette porte d’accès à la cuisine du restaurant qui ne s’ouvre toujours pas. Plus personne ne rentre ni ne sort de ce lieu propice à la cuisson ! Je suis démangé par l’envie de me lever et d’aller voir ce qui se passe, car je sais que c’est Jacques et qu’il semble très mal. Oui il a entendu et vu la scène et a pris peur. Nous avons tous l’attention attirée par ce qui se passe « en coulisse », de même que les autres personnes présentes dans cette salle.
Enfin je vois papa qui sort avec Jacques. Papa tient Jacques par les épaules de même que le patron Giorgio. Je sais qu’il va falloir faire une place pour notre ami. Je prends une chaise à la table inoccupée à côté de la nôtre. De fait Jacques arrive. J’indique la place libre, soit à côté de moi. Julien a directement capté mon intention et me sourit. Jacques prend place à notre table, il est rouge pivoine, ses yeux sont gonflés et injectés de sang. Il a pleuré, il a eu peur, il n’est pas encore remis à la suite de la scène qu’il a vue. Moi de mon côté, j’ai la rage qui me monte, bien heureusement le gars est parti avec sa dame, mais il n’empêche qu’il a été plus que lourd et impoli !
Jacques ne sait plus trop où il en est. Giorgio est désolé et nous demande de prendre soin de Jacques. Je prends la main de mon ancien ami et je lui dit :
Moi : « Jacques, c’est fini ! Calme-toi !
Jac : J’ai eu peur de ce gars, il t’avait vu avec Julien vous tenir par la main.
Moi : Je sais et ensuite il a eu des propos très désagréables !
Jac : Oui mais tu sais j’ai peur moi aussi d’être pris à partie par un homophobe ou l’autre.
Moi : Mais, pourquoi Jacques ?
Jac : J’ai déjà eu quelques remarques sur ma démarche !
Moi : Mais ta démarche n’est pas si « empruntée » que ça !
Jac : Je porte une grande attention à tout ce que je fais. Tu sais Phil le patron est super car son fils lui aussi est gay. Il sait ce que c’est que d’être sous le feu du projecteur malgré le fait qu’on ne le veuille pas !
Moi : Je te comprends très bien.
Jac : Merci Phil, merci pour ton soutien !
Jul : Tu peux aussi compter sur moi Jacques. Je suis aussi impliqué que Phil !
Jac : Merci Julien ; vous êtes supers les gars !
Moi : Ça va être le moment des desserts, tu prends quoi ?
Jac : Tu n’y penses pas !
Moi : Non, je suis très sérieux ! Tu prends quoi !
Jac : Une dame blanche.
Moi : OK, super, je vais faire comme toi.
Jul : Vous avez raison ! Pour moi aussi c’est une dame blanche ! »
C’est l’autre serveur qui s’occupe de nous avec le patron. Nous prenons le dessert en compagnie de Jacques. Puis ce sont les cafés et les « pousses » qui arrivent. Giorgio vient s’asseoir avec nous. Il s’excuse encore pour ce qui s’est passé. Jacques remercie son patron, lequel lui dit qu’il doit se reposer et que son salaire lui sera payé rubis sur ongle.
Papa demande qu’on apporte deux nouvelles bouteilles de vin pour trinquer à l’amitié. Jacques va déjà mieux. Les clients quittent le restaurant au fur et à mesure en nous saluant avant de sortir. Finalement il ne reste plus que notre table. Papa remarque qu’un jeune-homme patiente à l’extérieur près de la porte d’entrée. Il se dit que c’est le petit-ami de Jacques, Dimitri. Papa se lève et va le voir. Ils rentrent ensemble. Jacques se lève et tombe en pleurs dans les bras de son ami. Je cherche une autre chaise pour que Dimitri prenne place à côté de son chéri.
Papa demande qu’une nouvelle bouteille de vin soit apportée à table ainsi que deux verres supplémentaires. L’un d’eux pour Dimitri et l’autre pour le serveur qui a poursuivi le service. Le serveur se prénomme Axel, il arrive avec deux bouteilles et trois verres. Il glisse à l’oreille de son patron deux mots. Giorgio opine de la tête et je vois qu’Axel va ouvrir la porte du restaurant à un jeune-homme de type africain. Immédiatement j’ai compris que c’est le copain d’Axel. Les deux garçons s’embrassent une fraction de seconde sur la bouche. Il semble que ce beau garçon soit d’origine congolaise et follement amoureux d’Axel ! Je dois dire qu’ils semblent bien s’accorder.
Nous passons un très bon moment à discuter entre nous. Papa et Giorgio discutent avec maman. C’est l’habituelle discussion sur la politesse, l’ouverture aux autres et sur l’orientation sexuelle des jeunes qu’il faut respecter, … etc. Nous, nous discutons entre gars de choses et d’autres. Nous savons pertinemment bien que ce n’est pas facile de vivre en pleine lumière, car les risques de tomber sur un homophobe sont bien réels.
Je comprends mieux pourquoi Giorgio défend les homosexuels. Il semble qu’il ait comme habitude de prendre à son service des personnes « différentes » sans arrière-pensée, comme toute personne civilisée. Je comprends aussi pourquoi nous venons souvent dans ce restaurant, Giorgio est aussi un membre de l’association dans laquelle papa est aussi bénévole. Je sais que toute personne différente sera toujours la bienvenue ici, et qu’aucun ne pourra venir l’embêter !
Il va être temps de rentrer. Maman n’a pas bu, juste un verre. Papa demande à Giorgio de faire appel à un taxi pour rentrer à la maison, vu le nombre que nous sommes, car il est prévu de reconduire Jacques et Dimitri. Nous saluons le restaurateur en annonçant que nous reviendrons bientôt !
Le retour à la maison se fait donc en deux groupes, l’un avec la voiture de maman et l’autre en taxi avec papa. Les garçons, soit Jacques, Dimitri, Julien et moi, nous sommes avec maman et les deux filles avec papa. C’est Julien qui est assis à l’avant, sur la banquette arrière je vois que Dimitri prend Jacques dans ses bras. Nous ne disons plus rien, nous ne parlons pas de ce qui s’est passé, c’est déjà assez difficile comme ça pour Jacques.
Nous déposons Jacques et Dimitri en faisant un crochet par leur quartier. Nous revenons ensuite à la maison par le plus court chemin. Papa et les deux filles sont déjà rentrés et nous attendent dans le salon. Nous prenons place et avant de discuter, papa nous sert un dernier verre. Nous prenons un verre de vin, ce n’est pas la peine de faire des mélanges.
Une fois tous installés dans les fauteuils et les divans, nous parlons de ce qui s’est passé. Papa suggère que Jacques puisse venir à la maison, avec Dimitri s’il le faut, pour parler de ce qu’il a vécu et ressenti. Nous comprenons très bien de quoi il s’agit, c’est une façon d’aider Jacques et de lui faire prendre conscience qu’il va devoir relativiser les choses et prendre certaines dispositions pour réagir de la meilleure façon face à ce genre de problèmes qui tôt ou tard se reproduiront.
Nous finissons notre verre et après avoir fait une bise à chacun, Julien et moi montons à l’étage et passons par la salle de bain pour prendre une douche rapide. Une fois la douche terminée, nous croisons nos sœurs qui veulent aussi prendre une bonne douche. C’est donc nu, que nous gagnons la chambre.
Une fois la porte fermée, j’attrape Julien par le bras et l’attire vers moi, nos deux corps sont collés l’un à l’autre. J’avance mon visage vers le sien et nos lèvres se frôlent. Elles se posent sur celle de notre amour, nous nous embrassons à pleine bouche laissant nos langues s’insinuer au-delà de la barrière d’émail. Nos mains ne sont pas en reste, elles s’activent sur nos corps encore bien chaud après cette douche bienfaisante. Inutile de dire que nos attributs se sont eux aussi réveillés, ils se gonflent et se touchent, se frôlent. Nous laissons nos lèvres se séparer pour venir nous étendre sur le lit. Pas besoin de parler, nous savons très bien Julien et moi ce qui va se passer.
C’est Julien qui prend l’initiative, il enserre mon pénis entre ses doigts et fait coulisser mon gland dans le prépuce. Avec son pouce il caresse le méat qui déjà commence à suinter. Ma main elle aussi se glisse au niveau du pubis de mon chéri, elle s’empare de ce phallus tant désiré que je masturbe doucement.
Nos regards se croisent, je sens bien que Julien souhaite que nous passions à autre chose. Je pivote et me retrouve avec le visage au niveau de sa colonne de chair. Il en est de même pour Juju. Nous nous occupons à nous procurer un belle fellation synchronisée. En effet nous avons pris l’habitude de nous sucer et de savoir ce que l’être aimé souhaite lors de ce moment partagé. Ma langue va et vient sur l’objet de mon désir, je goûte déjà la saveur de ce liquide sortant du méat. Je sens que Julien s’attarde aussi au niveau du gland de mon petit monstre. Bref nous nous donnons tout le plaisir possible. Je sais que Julien va se vider au fond de mon palais, effectivement tout son corps se raidi et je sens les jets de semence s’étaler au fond de ma gorge. Cela me fait alors éjaculer moi aussi dans la bouche de mon chéri.
Nous nous retrouvons ensuite côte à côte pour nous embrasser en mélangeant nos élixirs d’amour. Notre baiser est très appuyé et tendre à la fois. Nous sommes une nouvelle fois dans notre bulle, sur notre nuage. Nous restons alors couchés, main dans la main, les yeux plongés dans ceux de l’être aimé.
Enfin je vois papa qui sort avec Jacques. Papa tient Jacques par les épaules de même que le patron Giorgio. Je sais qu’il va falloir faire une place pour notre ami. Je prends une chaise à la table inoccupée à côté de la nôtre. De fait Jacques arrive. J’indique la place libre, soit à côté de moi. Julien a directement capté mon intention et me sourit. Jacques prend place à notre table, il est rouge pivoine, ses yeux sont gonflés et injectés de sang. Il a pleuré, il a eu peur, il n’est pas encore remis à la suite de la scène qu’il a vue. Moi de mon côté, j’ai la rage qui me monte, bien heureusement le gars est parti avec sa dame, mais il n’empêche qu’il a été plus que lourd et impoli !
Jacques ne sait plus trop où il en est. Giorgio est désolé et nous demande de prendre soin de Jacques. Je prends la main de mon ancien ami et je lui dit :
Moi : « Jacques, c’est fini ! Calme-toi !
Jac : J’ai eu peur de ce gars, il t’avait vu avec Julien vous tenir par la main.
Moi : Je sais et ensuite il a eu des propos très désagréables !
Jac : Oui mais tu sais j’ai peur moi aussi d’être pris à partie par un homophobe ou l’autre.
Moi : Mais, pourquoi Jacques ?
Jac : J’ai déjà eu quelques remarques sur ma démarche !
Moi : Mais ta démarche n’est pas si « empruntée » que ça !
Jac : Je porte une grande attention à tout ce que je fais. Tu sais Phil le patron est super car son fils lui aussi est gay. Il sait ce que c’est que d’être sous le feu du projecteur malgré le fait qu’on ne le veuille pas !
Moi : Je te comprends très bien.
Jac : Merci Phil, merci pour ton soutien !
Jul : Tu peux aussi compter sur moi Jacques. Je suis aussi impliqué que Phil !
Jac : Merci Julien ; vous êtes supers les gars !
Moi : Ça va être le moment des desserts, tu prends quoi ?
Jac : Tu n’y penses pas !
Moi : Non, je suis très sérieux ! Tu prends quoi !
Jac : Une dame blanche.
Moi : OK, super, je vais faire comme toi.
Jul : Vous avez raison ! Pour moi aussi c’est une dame blanche ! »
C’est l’autre serveur qui s’occupe de nous avec le patron. Nous prenons le dessert en compagnie de Jacques. Puis ce sont les cafés et les « pousses » qui arrivent. Giorgio vient s’asseoir avec nous. Il s’excuse encore pour ce qui s’est passé. Jacques remercie son patron, lequel lui dit qu’il doit se reposer et que son salaire lui sera payé rubis sur ongle.
Papa demande qu’on apporte deux nouvelles bouteilles de vin pour trinquer à l’amitié. Jacques va déjà mieux. Les clients quittent le restaurant au fur et à mesure en nous saluant avant de sortir. Finalement il ne reste plus que notre table. Papa remarque qu’un jeune-homme patiente à l’extérieur près de la porte d’entrée. Il se dit que c’est le petit-ami de Jacques, Dimitri. Papa se lève et va le voir. Ils rentrent ensemble. Jacques se lève et tombe en pleurs dans les bras de son ami. Je cherche une autre chaise pour que Dimitri prenne place à côté de son chéri.
Papa demande qu’une nouvelle bouteille de vin soit apportée à table ainsi que deux verres supplémentaires. L’un d’eux pour Dimitri et l’autre pour le serveur qui a poursuivi le service. Le serveur se prénomme Axel, il arrive avec deux bouteilles et trois verres. Il glisse à l’oreille de son patron deux mots. Giorgio opine de la tête et je vois qu’Axel va ouvrir la porte du restaurant à un jeune-homme de type africain. Immédiatement j’ai compris que c’est le copain d’Axel. Les deux garçons s’embrassent une fraction de seconde sur la bouche. Il semble que ce beau garçon soit d’origine congolaise et follement amoureux d’Axel ! Je dois dire qu’ils semblent bien s’accorder.
Nous passons un très bon moment à discuter entre nous. Papa et Giorgio discutent avec maman. C’est l’habituelle discussion sur la politesse, l’ouverture aux autres et sur l’orientation sexuelle des jeunes qu’il faut respecter, … etc. Nous, nous discutons entre gars de choses et d’autres. Nous savons pertinemment bien que ce n’est pas facile de vivre en pleine lumière, car les risques de tomber sur un homophobe sont bien réels.
Je comprends mieux pourquoi Giorgio défend les homosexuels. Il semble qu’il ait comme habitude de prendre à son service des personnes « différentes » sans arrière-pensée, comme toute personne civilisée. Je comprends aussi pourquoi nous venons souvent dans ce restaurant, Giorgio est aussi un membre de l’association dans laquelle papa est aussi bénévole. Je sais que toute personne différente sera toujours la bienvenue ici, et qu’aucun ne pourra venir l’embêter !
Il va être temps de rentrer. Maman n’a pas bu, juste un verre. Papa demande à Giorgio de faire appel à un taxi pour rentrer à la maison, vu le nombre que nous sommes, car il est prévu de reconduire Jacques et Dimitri. Nous saluons le restaurateur en annonçant que nous reviendrons bientôt !
Le retour à la maison se fait donc en deux groupes, l’un avec la voiture de maman et l’autre en taxi avec papa. Les garçons, soit Jacques, Dimitri, Julien et moi, nous sommes avec maman et les deux filles avec papa. C’est Julien qui est assis à l’avant, sur la banquette arrière je vois que Dimitri prend Jacques dans ses bras. Nous ne disons plus rien, nous ne parlons pas de ce qui s’est passé, c’est déjà assez difficile comme ça pour Jacques.
Nous déposons Jacques et Dimitri en faisant un crochet par leur quartier. Nous revenons ensuite à la maison par le plus court chemin. Papa et les deux filles sont déjà rentrés et nous attendent dans le salon. Nous prenons place et avant de discuter, papa nous sert un dernier verre. Nous prenons un verre de vin, ce n’est pas la peine de faire des mélanges.
Une fois tous installés dans les fauteuils et les divans, nous parlons de ce qui s’est passé. Papa suggère que Jacques puisse venir à la maison, avec Dimitri s’il le faut, pour parler de ce qu’il a vécu et ressenti. Nous comprenons très bien de quoi il s’agit, c’est une façon d’aider Jacques et de lui faire prendre conscience qu’il va devoir relativiser les choses et prendre certaines dispositions pour réagir de la meilleure façon face à ce genre de problèmes qui tôt ou tard se reproduiront.
Nous finissons notre verre et après avoir fait une bise à chacun, Julien et moi montons à l’étage et passons par la salle de bain pour prendre une douche rapide. Une fois la douche terminée, nous croisons nos sœurs qui veulent aussi prendre une bonne douche. C’est donc nu, que nous gagnons la chambre.
Une fois la porte fermée, j’attrape Julien par le bras et l’attire vers moi, nos deux corps sont collés l’un à l’autre. J’avance mon visage vers le sien et nos lèvres se frôlent. Elles se posent sur celle de notre amour, nous nous embrassons à pleine bouche laissant nos langues s’insinuer au-delà de la barrière d’émail. Nos mains ne sont pas en reste, elles s’activent sur nos corps encore bien chaud après cette douche bienfaisante. Inutile de dire que nos attributs se sont eux aussi réveillés, ils se gonflent et se touchent, se frôlent. Nous laissons nos lèvres se séparer pour venir nous étendre sur le lit. Pas besoin de parler, nous savons très bien Julien et moi ce qui va se passer.
C’est Julien qui prend l’initiative, il enserre mon pénis entre ses doigts et fait coulisser mon gland dans le prépuce. Avec son pouce il caresse le méat qui déjà commence à suinter. Ma main elle aussi se glisse au niveau du pubis de mon chéri, elle s’empare de ce phallus tant désiré que je masturbe doucement.
Nos regards se croisent, je sens bien que Julien souhaite que nous passions à autre chose. Je pivote et me retrouve avec le visage au niveau de sa colonne de chair. Il en est de même pour Juju. Nous nous occupons à nous procurer un belle fellation synchronisée. En effet nous avons pris l’habitude de nous sucer et de savoir ce que l’être aimé souhaite lors de ce moment partagé. Ma langue va et vient sur l’objet de mon désir, je goûte déjà la saveur de ce liquide sortant du méat. Je sens que Julien s’attarde aussi au niveau du gland de mon petit monstre. Bref nous nous donnons tout le plaisir possible. Je sais que Julien va se vider au fond de mon palais, effectivement tout son corps se raidi et je sens les jets de semence s’étaler au fond de ma gorge. Cela me fait alors éjaculer moi aussi dans la bouche de mon chéri.
Nous nous retrouvons ensuite côte à côte pour nous embrasser en mélangeant nos élixirs d’amour. Notre baiser est très appuyé et tendre à la fois. Nous sommes une nouvelle fois dans notre bulle, sur notre nuage. Nous restons alors couchés, main dans la main, les yeux plongés dans ceux de l’être aimé.