07-06-2021, 09:59 AM
Nous sommes tous les deux fatigués et décidons d’aller nous coucher. Nous embrasons les parents et les deux filles. Nous passons par la salle de bain pour prendre une bonne douche. Une fois propre comme des sous neufs, nous entrons dans la chambre et prenons place dans le lit, nus comme d’habitude. On entend l’orage gronder et il semble se rapprocher. La pluie tombe sur le carreau de la fenêtre et en entend siffler le vent dans les branches des arbres du jardin. Julien me regarde dans les yeux. Je remarque qu’il a des cernes qui soulignent ses beaux yeux. Il est très fatigué, je pense qu’il va bien dormir. Son regard pénètre le mien. Je sais qu’il veut me dire quelque chose et je suis certain que c’est à propos des cours de conduite automobile. Julien ouvre la bouche et dit :
Jul : « Je sais que tu m’aimes et tu sais que pour moi c’est la même chose.
Moi : Oui Juju, je t’aime et je sais que l’inverse est vrai !
Jul : Puis-je te demander si c’est toi qui a pris contact avec Didier et Xavier ?
Moi : Je ne vais pas te mentir, oui c’est moi qui ai pris contact avec Didier. Je pensais que ça t’aurait fait plaisir !
Jul : Tu as bien fait, ils sont tous les deux supers et une amitié est née entre eux et nous.
Moi : Oui, je l’ai remarqué. Il n’y a pas que ça je suppose mon amour ?
Jul : Je ne sais pas si j’aurai le courage de me mettre derrière un volant !
Moi : Je pense que tu devrais accepter, comme le préconise Didier, d’essayer. Si tu te sens bien, alors vas-y, tu fonces. Si tu n’es pas plus sûr que ça et bien tu reprendras les cours plus tard !
Jul : Puis-je te demander de m’accompagner dans deux jours ?
Moi : Bien entendu Juju, je ne vais pas te laisser seul. Si ça peut t’aider et bien je serai auprès de toi !
Jul : Merci Phil, je sais que tu veux que j’aille de l’avant et je commence à penser que reprendre les cours est peut-être une bonne chose.
Moi : Heureux de te l’entendre dire. »
Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent, elles se touchent et restent collées les unes aux autres. Il ne faut pas attendre longtemps avant qu’elles ne s’ouvrent pour laisser le passage libre à nos langues qui sont impatientes de se retrouver. Je caresse la chevelure de mon chéri elle est soyeuse et mes doigts s’y perdent dans son épaisseur. Je sens sa main dans ma nuque qui me caresse aussi. Nous commençons à nous chauffer l’un l’autre par avec nos mains qui nous caressent en s’attardant de-ci de-là sur nos corps pour ensuite se poser sur nos protubérances dressées !
Je délaisse la bouche de mon chéri pour descendre au niveau de son membre, mes lèvres se posent sur son gland déjà en partie décalotté. Ma langue s’en occupe, elle tourne autour de ce bouton rosé. Puis elle descend le long de ce bâton de chair pour arriver au niveau des deux petites pommes ensachées. Ma bouche les prend l’une après l’autre pour les faire rouler sur ma langue, déjà des râles se font entendre. Je remonte vers le dessus et tel un sucre d’orge, je fais coulisser ce sexe chaud et dur entre mes lèvres pour débuter des mouvements alternatifs. Je goûte déjà le pré-cum qui se libère du méat de mon amour. J’alterne les mouvements lents et rapides, la pression entre mes lèvres. Mon juju émet des râles et des gémissements de bonheur. Sa respiration s’accélère, signe qu’il va bientôt arriver au point de non-retour. Je sais que je vais recevoir sa liqueur au fond de ma bouche, qu’elle viendra tapisser mon palais tel un don d’amour. De fait, je sens qu’il se cabre, ses muscles se contractent et dans les secondes qui suivent mon amant joui en râlant de bonheur, son sperme s’étale par jets au fond de ma caverne buccale. J’avale une partie de ce don magique. Nos bouches se retrouvent alors pour échanger un baiser avec le reste de sa semence.
Jul : « Merci Phil, je t’aime mon amour !
Moi : Moi aussi mon chéri, je t’aime.
Jul : Merci d’être ce que tu es pour moi.
Moi : Et toi aussi tu es précieux pour moi. »
Nos bouches se retrouvent et nous nous embrassons à nouveau. Je sais que Julien va aussi me sucer et de fait, il descend vers mon attribut déjà dressé. Il dépose ses lèvres sur mon bouton rose et s’occupe de lécher les premières sécrétions qui s’échappent du méat. Puis il entame alors une fellation en bonne et due forme. Il sait aussi alterner les mouvements ainsi que les pressions qui font que je ressens toute l’intensité de son amour au travers de cette « sucette » tant appréciée. D’une main mon amour s’occupe de l’entrée de ma grotte d’amour. Il caresse doucement la collerette pour ensuite laisser un doigt prendre possession de cette entrée qui se dilate. Je ne sais pas s’il souhaite me posséder ou alors poursuivre la sucette buccale. Je sens qu’il accélère les mouvements le long de mon pénis et je sais donc qu’il veut que je jouisse moi aussi dans sa bouche. Je sens que je ne vais plus pouvoir tenir longtemps, déjà je sens les muscles de mon bas-ventre se contracter. De fait mon ventre est chaud, de plus en plus chaud et je sens que l’orgasme est tout proche. Ma sève monte dans mon membre dressé et je joui. Je laisse cinq ou six jets s’écraser au fond de la bouche de mon Juju d’amour. Nous échangeons alors un nouveau baiser en partageant ma semence.
Nous restons ensuite couchés, côte à côte, dans notre bulle d’amour. Nous sommes deux dans notre univers, sur notre nuage. Petit à petit nous reprenons conscience et revenons « sur terre ». Nous échangeons encore des mots d’amour susurrés à l’oreille de ce celui qui fait battre son cœur ! Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre et rejoignons le pays des rêves !
Chapitre 28.
Libération!
Nous sommes au matin du jour de la visite de contrôle chez le médecin de l’hôpital, soit le docteur Vandersteen. Accompagnés de Maman, Julien et moi nous nous y rendons tandis que Papa est à son travail. Nous sommes installés dans la salle d’attente du service de traumatologie. Julien a rendez-vous à dix heures et nous arrivons, une bonne demi-heure à l’avance. Il faut dire que dans la famille nous n’aimons pas être en retard, ça fait mauvais effet.
Julien est appelé par l’infirmière, il se lève et fait signe à maman de l’accompagner. Ils entrent dans le cabinet de consultation du docteur. Celui-ci dispose des radiographies reçues de l’hôpital de Charleroi. Il a le rapport du médecin traitant, le docteur Simon Delporte et celui du kiné, Martin Delporte. Le docteur Vandersteen demande alors à mon chéri :
Dr : « Bonjour jeune homme, comment allez-vous ?
Jul : Bonjour docteur, ça va, je me sens très bien, maintenant je suis capable de marcher seul et sans aide d’aucune sorte !
Dr : Nous allons donc vérifier, cela ne prendra que quelques minutes, juste le temps de faire deux ou trois exercices.
Jul : D’accord docteur.
Dr : Met toi à l’aise, garde juste ton slip et ton tee-shirt.
Jul : OK.
Julien est prêt à faire les exercices demandés par le praticien. Il s’agit de flexions des jambes, de torse, de faire quatre aller et retour au fond du cabinet, de faire encore deux ou trois exercices complémentaires. C’est évidemment en vue de voir comment Julien utilise ses membres et de vérifier le bon fonctionnement de ceux-ci, mais aussi les coordinations de l’ensemble de l’ossature et de la musculation. Bref après cinq minutes Julien reprend place devant le bureau.
Dr : Et bien Julien je suis agréablement surpris de voir que tu as l’air en forme et que tu as retrouvé une certaine autonomie. Bien entendu il te reste à développer ta musculature, mais je suis certain qu’en faisant de l’exercice physique régulièrement tu y arriveras dans quelques semaines.
Jul : Merci doc, je sais que je ne suis pas encore prêt à faire un cent mètres, quoi que si je voulais…
Dr : Très bien Julien, mais il faut y aller progressivement. Je pense que nous n’allons plus nous revoir. Cependant s’il y a un seul problème, n’hésite pas à en parler au docteur Delporte.
Mam : Merci docteur, nous voilà tous rassurés.
Dr : Au revoir Julien et puis bonne chance pour la suite de tes études.
Jul : Merci docteur. Bonne journée à vous.
Dr : Merci, à toi également. »
Maman et Julien me rejoignent dans la salle d’attente. Rien qu’à voir le sourire de mon chéri et le visage de maman, je sais que tout va bien, que le cauchemar est enfin fini. Je ne peux m’empêcher de prendre Juju dans mes bras pour lui faire un câlin. Quelques regards se sont fixés sur nous, mais peu importe, nous en avions tous les deux besoin.
De retour à la maison c’est une nouvelle fois une séance de câlins qui démarre avec Stéphanie et Delphine. Nous nous installons sur la terrasse et nous prenons une limonade tout en discutant. Nous mangeons du pain avec du jambon et du fromage. Nous mangerons chaud au soir avec papa. Je vois que julien stresse un peu à l’idée d’aller à cette séance de conduite. Je ne lui dis rien, ce n’est pas la peine de la braquer. Nous écoutons un disque des Beatles pour passer le temps.
Il est l’heure de partir. Comme je l’ai promis à mon amour, je l’accompagne jusqu’à l’auto-école. Nous arrivons dix minutes avant quatorze heures. Nous sommes accueillis par la secrétaire qui demande à Julien comment il va. Elle le félicite pour sa rééducation qui a porté ses fruits. Didier arrive alors avec un jeune qui vient de terminer sa leçon de conduite. Il discute avec son élève quelques minutes et nous rejoint.
Did : « Bonjour Julien, bonjour Phil !
Jul et Moi : Bonjour Didier.
Did : Alors Julien, prêt à reprendre ?
Jul : Je ne te garantis rien, mais je vais essayer.
Did : Très bien. Phil tu peux nous accompagner, la direction est d’accord mais tu ne dois pas intervenir !
Moi : Oui, je comprends très bien.
Did : On y va ! »
Nous suivons Didier, moniteur et ami. Julien prend place dans la voiture de l’auto-école, ajuste le siège et les rétroviseurs. Il met sa ceinture de sécurité tout comme Didier et moi. Puis il met le moteur en route. Il marque un temps d’arrêt, nous ne disons rien, il faut le laisser pour ne pas le braquer. Julien place le première vitesse et desserre le frein à main. Voilà qu’il débraye et quitte l’emplacement de stationnement en ayant mis le clignotant en fonctionnement et vérifié qu’il pouvait y aller. Mon chéri passe la seconde et poursuit sa route sur le boulevard. Pas de souci, il met la troisième et nous conduit vers le Bois de la Cambre.
Didier le regarde et est interloqué de voir comme Julien est appliqué. C’est presque comme si la dernière leçon avait été suivie la veille. Moi-même je suis bluffé par les aptitudes retrouvées par Juju. Didier lui fait quelques remarques mais dans l’ensemble c’est positif. Nous voilà maintenant le long de la drève de Lorraine et tout se passe bien.
Jul : « Je sais que tu m’aimes et tu sais que pour moi c’est la même chose.
Moi : Oui Juju, je t’aime et je sais que l’inverse est vrai !
Jul : Puis-je te demander si c’est toi qui a pris contact avec Didier et Xavier ?
Moi : Je ne vais pas te mentir, oui c’est moi qui ai pris contact avec Didier. Je pensais que ça t’aurait fait plaisir !
Jul : Tu as bien fait, ils sont tous les deux supers et une amitié est née entre eux et nous.
Moi : Oui, je l’ai remarqué. Il n’y a pas que ça je suppose mon amour ?
Jul : Je ne sais pas si j’aurai le courage de me mettre derrière un volant !
Moi : Je pense que tu devrais accepter, comme le préconise Didier, d’essayer. Si tu te sens bien, alors vas-y, tu fonces. Si tu n’es pas plus sûr que ça et bien tu reprendras les cours plus tard !
Jul : Puis-je te demander de m’accompagner dans deux jours ?
Moi : Bien entendu Juju, je ne vais pas te laisser seul. Si ça peut t’aider et bien je serai auprès de toi !
Jul : Merci Phil, je sais que tu veux que j’aille de l’avant et je commence à penser que reprendre les cours est peut-être une bonne chose.
Moi : Heureux de te l’entendre dire. »
Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent, elles se touchent et restent collées les unes aux autres. Il ne faut pas attendre longtemps avant qu’elles ne s’ouvrent pour laisser le passage libre à nos langues qui sont impatientes de se retrouver. Je caresse la chevelure de mon chéri elle est soyeuse et mes doigts s’y perdent dans son épaisseur. Je sens sa main dans ma nuque qui me caresse aussi. Nous commençons à nous chauffer l’un l’autre par avec nos mains qui nous caressent en s’attardant de-ci de-là sur nos corps pour ensuite se poser sur nos protubérances dressées !
Je délaisse la bouche de mon chéri pour descendre au niveau de son membre, mes lèvres se posent sur son gland déjà en partie décalotté. Ma langue s’en occupe, elle tourne autour de ce bouton rosé. Puis elle descend le long de ce bâton de chair pour arriver au niveau des deux petites pommes ensachées. Ma bouche les prend l’une après l’autre pour les faire rouler sur ma langue, déjà des râles se font entendre. Je remonte vers le dessus et tel un sucre d’orge, je fais coulisser ce sexe chaud et dur entre mes lèvres pour débuter des mouvements alternatifs. Je goûte déjà le pré-cum qui se libère du méat de mon amour. J’alterne les mouvements lents et rapides, la pression entre mes lèvres. Mon juju émet des râles et des gémissements de bonheur. Sa respiration s’accélère, signe qu’il va bientôt arriver au point de non-retour. Je sais que je vais recevoir sa liqueur au fond de ma bouche, qu’elle viendra tapisser mon palais tel un don d’amour. De fait, je sens qu’il se cabre, ses muscles se contractent et dans les secondes qui suivent mon amant joui en râlant de bonheur, son sperme s’étale par jets au fond de ma caverne buccale. J’avale une partie de ce don magique. Nos bouches se retrouvent alors pour échanger un baiser avec le reste de sa semence.
Jul : « Merci Phil, je t’aime mon amour !
Moi : Moi aussi mon chéri, je t’aime.
Jul : Merci d’être ce que tu es pour moi.
Moi : Et toi aussi tu es précieux pour moi. »
Nos bouches se retrouvent et nous nous embrassons à nouveau. Je sais que Julien va aussi me sucer et de fait, il descend vers mon attribut déjà dressé. Il dépose ses lèvres sur mon bouton rose et s’occupe de lécher les premières sécrétions qui s’échappent du méat. Puis il entame alors une fellation en bonne et due forme. Il sait aussi alterner les mouvements ainsi que les pressions qui font que je ressens toute l’intensité de son amour au travers de cette « sucette » tant appréciée. D’une main mon amour s’occupe de l’entrée de ma grotte d’amour. Il caresse doucement la collerette pour ensuite laisser un doigt prendre possession de cette entrée qui se dilate. Je ne sais pas s’il souhaite me posséder ou alors poursuivre la sucette buccale. Je sens qu’il accélère les mouvements le long de mon pénis et je sais donc qu’il veut que je jouisse moi aussi dans sa bouche. Je sens que je ne vais plus pouvoir tenir longtemps, déjà je sens les muscles de mon bas-ventre se contracter. De fait mon ventre est chaud, de plus en plus chaud et je sens que l’orgasme est tout proche. Ma sève monte dans mon membre dressé et je joui. Je laisse cinq ou six jets s’écraser au fond de la bouche de mon Juju d’amour. Nous échangeons alors un nouveau baiser en partageant ma semence.
Nous restons ensuite couchés, côte à côte, dans notre bulle d’amour. Nous sommes deux dans notre univers, sur notre nuage. Petit à petit nous reprenons conscience et revenons « sur terre ». Nous échangeons encore des mots d’amour susurrés à l’oreille de ce celui qui fait battre son cœur ! Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre et rejoignons le pays des rêves !
Chapitre 28.
Libération!
Nous sommes au matin du jour de la visite de contrôle chez le médecin de l’hôpital, soit le docteur Vandersteen. Accompagnés de Maman, Julien et moi nous nous y rendons tandis que Papa est à son travail. Nous sommes installés dans la salle d’attente du service de traumatologie. Julien a rendez-vous à dix heures et nous arrivons, une bonne demi-heure à l’avance. Il faut dire que dans la famille nous n’aimons pas être en retard, ça fait mauvais effet.
Julien est appelé par l’infirmière, il se lève et fait signe à maman de l’accompagner. Ils entrent dans le cabinet de consultation du docteur. Celui-ci dispose des radiographies reçues de l’hôpital de Charleroi. Il a le rapport du médecin traitant, le docteur Simon Delporte et celui du kiné, Martin Delporte. Le docteur Vandersteen demande alors à mon chéri :
Dr : « Bonjour jeune homme, comment allez-vous ?
Jul : Bonjour docteur, ça va, je me sens très bien, maintenant je suis capable de marcher seul et sans aide d’aucune sorte !
Dr : Nous allons donc vérifier, cela ne prendra que quelques minutes, juste le temps de faire deux ou trois exercices.
Jul : D’accord docteur.
Dr : Met toi à l’aise, garde juste ton slip et ton tee-shirt.
Jul : OK.
Julien est prêt à faire les exercices demandés par le praticien. Il s’agit de flexions des jambes, de torse, de faire quatre aller et retour au fond du cabinet, de faire encore deux ou trois exercices complémentaires. C’est évidemment en vue de voir comment Julien utilise ses membres et de vérifier le bon fonctionnement de ceux-ci, mais aussi les coordinations de l’ensemble de l’ossature et de la musculation. Bref après cinq minutes Julien reprend place devant le bureau.
Dr : Et bien Julien je suis agréablement surpris de voir que tu as l’air en forme et que tu as retrouvé une certaine autonomie. Bien entendu il te reste à développer ta musculature, mais je suis certain qu’en faisant de l’exercice physique régulièrement tu y arriveras dans quelques semaines.
Jul : Merci doc, je sais que je ne suis pas encore prêt à faire un cent mètres, quoi que si je voulais…
Dr : Très bien Julien, mais il faut y aller progressivement. Je pense que nous n’allons plus nous revoir. Cependant s’il y a un seul problème, n’hésite pas à en parler au docteur Delporte.
Mam : Merci docteur, nous voilà tous rassurés.
Dr : Au revoir Julien et puis bonne chance pour la suite de tes études.
Jul : Merci docteur. Bonne journée à vous.
Dr : Merci, à toi également. »
Maman et Julien me rejoignent dans la salle d’attente. Rien qu’à voir le sourire de mon chéri et le visage de maman, je sais que tout va bien, que le cauchemar est enfin fini. Je ne peux m’empêcher de prendre Juju dans mes bras pour lui faire un câlin. Quelques regards se sont fixés sur nous, mais peu importe, nous en avions tous les deux besoin.
De retour à la maison c’est une nouvelle fois une séance de câlins qui démarre avec Stéphanie et Delphine. Nous nous installons sur la terrasse et nous prenons une limonade tout en discutant. Nous mangeons du pain avec du jambon et du fromage. Nous mangerons chaud au soir avec papa. Je vois que julien stresse un peu à l’idée d’aller à cette séance de conduite. Je ne lui dis rien, ce n’est pas la peine de la braquer. Nous écoutons un disque des Beatles pour passer le temps.
Il est l’heure de partir. Comme je l’ai promis à mon amour, je l’accompagne jusqu’à l’auto-école. Nous arrivons dix minutes avant quatorze heures. Nous sommes accueillis par la secrétaire qui demande à Julien comment il va. Elle le félicite pour sa rééducation qui a porté ses fruits. Didier arrive alors avec un jeune qui vient de terminer sa leçon de conduite. Il discute avec son élève quelques minutes et nous rejoint.
Did : « Bonjour Julien, bonjour Phil !
Jul et Moi : Bonjour Didier.
Did : Alors Julien, prêt à reprendre ?
Jul : Je ne te garantis rien, mais je vais essayer.
Did : Très bien. Phil tu peux nous accompagner, la direction est d’accord mais tu ne dois pas intervenir !
Moi : Oui, je comprends très bien.
Did : On y va ! »
Nous suivons Didier, moniteur et ami. Julien prend place dans la voiture de l’auto-école, ajuste le siège et les rétroviseurs. Il met sa ceinture de sécurité tout comme Didier et moi. Puis il met le moteur en route. Il marque un temps d’arrêt, nous ne disons rien, il faut le laisser pour ne pas le braquer. Julien place le première vitesse et desserre le frein à main. Voilà qu’il débraye et quitte l’emplacement de stationnement en ayant mis le clignotant en fonctionnement et vérifié qu’il pouvait y aller. Mon chéri passe la seconde et poursuit sa route sur le boulevard. Pas de souci, il met la troisième et nous conduit vers le Bois de la Cambre.
Didier le regarde et est interloqué de voir comme Julien est appliqué. C’est presque comme si la dernière leçon avait été suivie la veille. Moi-même je suis bluffé par les aptitudes retrouvées par Juju. Didier lui fait quelques remarques mais dans l’ensemble c’est positif. Nous voilà maintenant le long de la drève de Lorraine et tout se passe bien.