02-06-2021, 09:22 AM
Ma main droite sa balade sur le corps de mon chéri. Lui aussi de son côté vient poser sa main sur mon torse. Nous nous caressons doucement, légèrement, ce qui nous apporte une sensation de bien-être diffus. Je sens déjà que mon pénis se gorge de sang au fur et à mesure des caresses subtiles qui me sont procurées par Juju. Nous nous embrassons encore et encore. Nous entrons dans notre bulle, dans notre monde parallèle.
Mon autre main vient alors se poser sur le phallus de mon chéri. Inutile de dire qu’il est bien dressé et qu’il n’attend qu’une chose c’est que je m’occupe de lui. Je décalotte le gland en faisant descendre son prépuce entre mon index et mon pouce. Je sans alors la main de mon amant se poser sur mon pieu dur comme tout. Je sens qu’il s’occupe de décalotter mon gland tout comme je viens de le faire. Nous sommes maintenant au même point de la découverte de nos intimités.
Je commence alors à parcourir cette tige dressée allant des deux orphelines vers le gland majestueux de mon Julien. Mon pouce s’arrête un instant au niveau de gland et principalement du méat. Déjà je sens que cette partie de son anatomie est humide. C’est signe de l’excitation qui monte. Je ressens aussi mon gland s’humidifier, il se lubrifie pour faciliter ce qui va suivre. Nos mouvements se calquent les uns sur les autres et nous nous masturbons mutuellement pour notre plus grand plaisir. Les mouvements sont alternés, une fois rapides et par la suite nettement plus lents pour ne pas dire lascifs. Nous sommes vraiment en « communion ». Nos regards se recroisent une nouvelle fois. Nos yeux expriment le désir et la jouissance de nous donner l’un à l’autre. C’est alors, comme un déclic, nous nous positionnons têtes bêches afin de goûter aux délices du membre dressé de son partenaire. Une fois en place, mes lèvres se posent sur le gland de Julien, le pré-cum se dépose sur elles et ma langue lèche ce divin nectar. Puis, je laisse cet appendice entrer doucement, inexorablement dans ma bouche. Ma langue parcoure donc cette barre de chair chaude à souhait. Je ressens moi aussi les mêmes sensations que Julien peut ressentir sous les coups de langues appuyés que je donne tout le long de sa virilité. Nous sommes synchrones, nous adoptons un rythme déjà appliqué lors de nos relations antérieures.
Inutile de dire que nos râles en disent longs sur les sensations ressenties. Chacun de nous est concentré sur le bien apporté à l’autre, à son partenaire. Il n’y a pas ni dominant et ni dominé, nous sommes au même niveau, en partage, en communion.
Nous sentons l’un et l’autre que nous sommes sur le point d’arriver au point de non-retour. Afin de retarder le moment de la jouissance, nos bouches viennent s’occuper des deux petites pommes qui elles aussi attendent une caresse ou un suçon doux et suave. Je fais rouler ses billes dans ma bouche, sur ma langue. Je sens aussi que mes valseuses apprécient le traitement doux et bienvenu procuré par mon amant. Cet intermède nous fait du bien, c’est une pose dans la montée de la jouissance. Puis, l’appel à plus de sensations se fait entendre, nous reprenons alors nos sucions au niveau du sexe bandé de notre chéri. C’est d’abord la langue qui monte le long de l’engin palpitant, allant du bas vers le gland. J’ouvre grand les lèvres pour engloutir ce délicieux sucre d’orge que je m’empresse de lécher. J’entends Juju râler de bonheur. Moi-même je suis envahi de frissons rien qu’en sentant mon sexe si bien léché et sucé. Je sens bien que je ne vais pas trader à arriver au point de non-retour. Je sens alors que Julien me caresse les fesses de sa main libre, il se rapproche de ma raie. Doucement en poursuivant sa fellation, il laisse ses doigts se glisser pour frôler l’entrée de mon trou d’amour. Je fais de même avec mon chéri. Puis je sens qu’il entre un doigt dans ma grotte. Il se met à tourner dans mon antre jusqu’à titiller ma prostate, inutile de dire qu’il ne faut pas quinze secondes pour que mon corps se cabre et que je jouisse comme jamais, laissant ma semence se rependre dans la bouche de mon amour ! Mon doigt est aussi dans la grotte de Juju et je sens aussi qu’il se contracte et qu’il libère alors sa liqueur qui vient tapisser le fond de ma gorge.
Nous nous embrassons pour partager nos spermes. C’est un moment de pur bonheur que nous venons de vivre. Nous nous couchons côte à côte pour reprendre notre souffle. Nous restons ainsi quelques minutes, toujours dans notre bulle, sur notre nuage de bonheur. Nous nous aimons, nous sommes très heureux d’être ensemble entourés de personnes qui nous aiment.
Martin est encore venu trois matinées pour faire de la kiné de revalidation avec Julien. Tout semble s’être bien passé et il est clair que Julien est enfin rétabli. Il doit seulement aller dans deux jours à l’hôpital pour une visite de contrôle. Julien est rayonnant, il sait qu’il peut enfin aller de l’avant. C’est le moment où Martin DELPORTE va quitter la maison. Pour cette dernière prestation maman le remercie et lui fait un présent. C’est un petit coffret en argent destiné à contenir quelques menus objets. On sent que Martin est touché par cette attention pour le remercier.
Nous allons bientôt passer à table et avant j’en profite pour m’éclipser en vue de prendre contact avec Didier en vue de l’aviser que Julien est maintenant apte à reprendre les cours de conduite ! Bien sûr je ne dis mot à personne.
Je sonne à l’auto-école et je demande à pouvoir parler à Xavier ou à Didier. On me signale que Didier est présent et qu’on me met en communication avec lui. J’entends une autre sonnerie puis :
Did : « Allo.
Moi : Bonjour Didier, c’est Phil, l’ami de Julien !
Did : Bonjour Phil, heureux de t’entendre. Que puis-je faire pour t’aider ?
Moi : Voilà, Julien a terminé sa revalidation et il pourra donc reprendre les cours de conduite !
Did : J’en suis vraiment ravi. Je suppose qu’il est partant !
Moi : Je suppose, il ne sait pas que je te téléphone, c’est pour lui faire une surprise.
Did : Tu as bien fait. Je regarde le planning, heu … j’ai un créneau de libre dans deux jours !
Moi : Je sais qu’il doit aller faire une visite de contrôle à l’hosto en matinée alors si c’est l’après-midi ça devrait le faire !
Did : Super, je réserve pour quatorze heures.
Moi : C’est génial.
Did : Dis-moi Phil, je compte passer le lui dire de vive voix si tu n’y vois pas d’inconvénient !
Moi : Non, tu es le bienvenu. Je ne dirai rien !
Did : OK, on fait comme ça. Je vais annoncer cette bonne nouvelle à Xavier !
Moi : A tantôt ! »
Je suis super heureux de savoir que Julien va pouvoir être pris pour poursuivre sa formation à la conduite. Je pense que tous les signaux sont au vert et que mon chéri va pouvoir aller de l’avant et laisser derrière lui les mauvaises choses. Il est sur ses deux jambes, prêt à commencer l’année universitaire dans quelques jours. Nous sommes tous les deux entourés de ma famille et de très bons et véritables amis !
J’en profite que Julien soit occupé pour prévenir maman de la bonne nouvelle et de la venue de Didier qui sera normalement accompagné de Xavier. Maman est très contente pour mon Juju d’amour. J’en profite pour lui donner un coup de main à la préparation de repas.
Julien vient nous trouver à la cuisine. Il affiche un très large sourire et remarque que nous aussi nous sourions. Julien nous regarde et dit :
Jul : « Vous riez de moi ?
Mam : Non Julien, nous sommes si contents de voir que tu es arrivé au bout du tunnel !
Moi : Oui et puis te voir ainsi heureux avec le sourire aux lèvres, il faut dire que ça nous comble de joie !
Jul : Oui je suis si content d’être enfin remis sur pied et d’être si choyé par vous tous !
Delphine et Stéphanie nous rejoignent. Elles se demandent pourquoi nous sommes tous avec le sourire qui illumine nos visages. Elles se rendent compte que Julien est heureux d’être arrivé au bout de sa revalidation. Stéphanie le prend dans ses bras et lui fait un super câlin en disant :
Sté : Tu ne peux pas savoir comme je suis si heureuse de te voir comme ça mon petit frère.
Jul : Petit, petit, je suis plus grand que toi ! »
Eclats de rire général ! Il va être temps de s’occuper de préparer l’apéritif. En effet papa devrait arriver d’une minute à l’autre ! Maman me demande d’aller chercher du champagne à la cave pour fêter cet aboutissement, tandis que les filles préparent les flûtes et les zakouskis.
Mon autre main vient alors se poser sur le phallus de mon chéri. Inutile de dire qu’il est bien dressé et qu’il n’attend qu’une chose c’est que je m’occupe de lui. Je décalotte le gland en faisant descendre son prépuce entre mon index et mon pouce. Je sans alors la main de mon amant se poser sur mon pieu dur comme tout. Je sens qu’il s’occupe de décalotter mon gland tout comme je viens de le faire. Nous sommes maintenant au même point de la découverte de nos intimités.
Je commence alors à parcourir cette tige dressée allant des deux orphelines vers le gland majestueux de mon Julien. Mon pouce s’arrête un instant au niveau de gland et principalement du méat. Déjà je sens que cette partie de son anatomie est humide. C’est signe de l’excitation qui monte. Je ressens aussi mon gland s’humidifier, il se lubrifie pour faciliter ce qui va suivre. Nos mouvements se calquent les uns sur les autres et nous nous masturbons mutuellement pour notre plus grand plaisir. Les mouvements sont alternés, une fois rapides et par la suite nettement plus lents pour ne pas dire lascifs. Nous sommes vraiment en « communion ». Nos regards se recroisent une nouvelle fois. Nos yeux expriment le désir et la jouissance de nous donner l’un à l’autre. C’est alors, comme un déclic, nous nous positionnons têtes bêches afin de goûter aux délices du membre dressé de son partenaire. Une fois en place, mes lèvres se posent sur le gland de Julien, le pré-cum se dépose sur elles et ma langue lèche ce divin nectar. Puis, je laisse cet appendice entrer doucement, inexorablement dans ma bouche. Ma langue parcoure donc cette barre de chair chaude à souhait. Je ressens moi aussi les mêmes sensations que Julien peut ressentir sous les coups de langues appuyés que je donne tout le long de sa virilité. Nous sommes synchrones, nous adoptons un rythme déjà appliqué lors de nos relations antérieures.
Inutile de dire que nos râles en disent longs sur les sensations ressenties. Chacun de nous est concentré sur le bien apporté à l’autre, à son partenaire. Il n’y a pas ni dominant et ni dominé, nous sommes au même niveau, en partage, en communion.
Nous sentons l’un et l’autre que nous sommes sur le point d’arriver au point de non-retour. Afin de retarder le moment de la jouissance, nos bouches viennent s’occuper des deux petites pommes qui elles aussi attendent une caresse ou un suçon doux et suave. Je fais rouler ses billes dans ma bouche, sur ma langue. Je sens aussi que mes valseuses apprécient le traitement doux et bienvenu procuré par mon amant. Cet intermède nous fait du bien, c’est une pose dans la montée de la jouissance. Puis, l’appel à plus de sensations se fait entendre, nous reprenons alors nos sucions au niveau du sexe bandé de notre chéri. C’est d’abord la langue qui monte le long de l’engin palpitant, allant du bas vers le gland. J’ouvre grand les lèvres pour engloutir ce délicieux sucre d’orge que je m’empresse de lécher. J’entends Juju râler de bonheur. Moi-même je suis envahi de frissons rien qu’en sentant mon sexe si bien léché et sucé. Je sens bien que je ne vais pas trader à arriver au point de non-retour. Je sens alors que Julien me caresse les fesses de sa main libre, il se rapproche de ma raie. Doucement en poursuivant sa fellation, il laisse ses doigts se glisser pour frôler l’entrée de mon trou d’amour. Je fais de même avec mon chéri. Puis je sens qu’il entre un doigt dans ma grotte. Il se met à tourner dans mon antre jusqu’à titiller ma prostate, inutile de dire qu’il ne faut pas quinze secondes pour que mon corps se cabre et que je jouisse comme jamais, laissant ma semence se rependre dans la bouche de mon amour ! Mon doigt est aussi dans la grotte de Juju et je sens aussi qu’il se contracte et qu’il libère alors sa liqueur qui vient tapisser le fond de ma gorge.
Nous nous embrassons pour partager nos spermes. C’est un moment de pur bonheur que nous venons de vivre. Nous nous couchons côte à côte pour reprendre notre souffle. Nous restons ainsi quelques minutes, toujours dans notre bulle, sur notre nuage de bonheur. Nous nous aimons, nous sommes très heureux d’être ensemble entourés de personnes qui nous aiment.
Martin est encore venu trois matinées pour faire de la kiné de revalidation avec Julien. Tout semble s’être bien passé et il est clair que Julien est enfin rétabli. Il doit seulement aller dans deux jours à l’hôpital pour une visite de contrôle. Julien est rayonnant, il sait qu’il peut enfin aller de l’avant. C’est le moment où Martin DELPORTE va quitter la maison. Pour cette dernière prestation maman le remercie et lui fait un présent. C’est un petit coffret en argent destiné à contenir quelques menus objets. On sent que Martin est touché par cette attention pour le remercier.
Nous allons bientôt passer à table et avant j’en profite pour m’éclipser en vue de prendre contact avec Didier en vue de l’aviser que Julien est maintenant apte à reprendre les cours de conduite ! Bien sûr je ne dis mot à personne.
Je sonne à l’auto-école et je demande à pouvoir parler à Xavier ou à Didier. On me signale que Didier est présent et qu’on me met en communication avec lui. J’entends une autre sonnerie puis :
Did : « Allo.
Moi : Bonjour Didier, c’est Phil, l’ami de Julien !
Did : Bonjour Phil, heureux de t’entendre. Que puis-je faire pour t’aider ?
Moi : Voilà, Julien a terminé sa revalidation et il pourra donc reprendre les cours de conduite !
Did : J’en suis vraiment ravi. Je suppose qu’il est partant !
Moi : Je suppose, il ne sait pas que je te téléphone, c’est pour lui faire une surprise.
Did : Tu as bien fait. Je regarde le planning, heu … j’ai un créneau de libre dans deux jours !
Moi : Je sais qu’il doit aller faire une visite de contrôle à l’hosto en matinée alors si c’est l’après-midi ça devrait le faire !
Did : Super, je réserve pour quatorze heures.
Moi : C’est génial.
Did : Dis-moi Phil, je compte passer le lui dire de vive voix si tu n’y vois pas d’inconvénient !
Moi : Non, tu es le bienvenu. Je ne dirai rien !
Did : OK, on fait comme ça. Je vais annoncer cette bonne nouvelle à Xavier !
Moi : A tantôt ! »
Je suis super heureux de savoir que Julien va pouvoir être pris pour poursuivre sa formation à la conduite. Je pense que tous les signaux sont au vert et que mon chéri va pouvoir aller de l’avant et laisser derrière lui les mauvaises choses. Il est sur ses deux jambes, prêt à commencer l’année universitaire dans quelques jours. Nous sommes tous les deux entourés de ma famille et de très bons et véritables amis !
J’en profite que Julien soit occupé pour prévenir maman de la bonne nouvelle et de la venue de Didier qui sera normalement accompagné de Xavier. Maman est très contente pour mon Juju d’amour. J’en profite pour lui donner un coup de main à la préparation de repas.
Julien vient nous trouver à la cuisine. Il affiche un très large sourire et remarque que nous aussi nous sourions. Julien nous regarde et dit :
Jul : « Vous riez de moi ?
Mam : Non Julien, nous sommes si contents de voir que tu es arrivé au bout du tunnel !
Moi : Oui et puis te voir ainsi heureux avec le sourire aux lèvres, il faut dire que ça nous comble de joie !
Jul : Oui je suis si content d’être enfin remis sur pied et d’être si choyé par vous tous !
Delphine et Stéphanie nous rejoignent. Elles se demandent pourquoi nous sommes tous avec le sourire qui illumine nos visages. Elles se rendent compte que Julien est heureux d’être arrivé au bout de sa revalidation. Stéphanie le prend dans ses bras et lui fait un super câlin en disant :
Sté : Tu ne peux pas savoir comme je suis si heureuse de te voir comme ça mon petit frère.
Jul : Petit, petit, je suis plus grand que toi ! »
Eclats de rire général ! Il va être temps de s’occuper de préparer l’apéritif. En effet papa devrait arriver d’une minute à l’autre ! Maman me demande d’aller chercher du champagne à la cave pour fêter cet aboutissement, tandis que les filles préparent les flûtes et les zakouskis.