01-06-2021, 10:58 AM
(Modification du message : 01-06-2021, 11:06 AM par Philou0033.)
Une fois arrivés au camp, Jean-Pierre avait demandé à Ben et à Alex d’aller chercher dans le frigo placé à l’accueil du camp et marqué au nom du poste pionnier la nourriture pour le souper. C’est ainsi que nous avons appris que chaque unité disposait d’un frigo pour maintenir la nourriture périssable au frais. Il y avait donc sept frigos et deux congélateurs. Gaby et moi nous allions préparer le repas tous les pionniers, avec l’aide de Ben et d’Alex. Dans la tente intendance nous avions deux becs à gaz et des casseroles et des poêles pour préparer les repas ainsi qu’un tas d’accessoires.
Le repas était semble-t-il bon car nous avions tous mangé de bon appétit. Il faut qu’une journée de travail ça creuse. Nous avions préparé une salade fraîche avec des tomates, des haricots princesses et des betteraves rouges. Ensuite nous avions cuit des côtes de porc avec des pommes de terre vapeur et des épinards. Comme dessert nous avions droit à un yaourt. Comme boisson c’était de l’eau avec du sirop de grenadine ou de citron ou de menthe.
Une fois le repas terminé, Fabrice avait été trouver les pionniers Vaudois en vue de les inviter à venir à notre veillée. Ils avaient accepté. Nous nous étions retrouvés autour du feu de camp à une bonne trentaine. A la précédente veillée, nous étions pratiquement restés ensemble par poste pionnier. Ce soir nous nous étions mélangés. Fabrice avait sorti sa guitare et dans l’autre unité il y avait un banjo. Nous étions très heureux de pouvoir chanter ensemble. Les chants se succédaient avec des rires.
Durant la veillée, Ben qui m’avait fait remarquer que deux pionniers suisses se tenaient parfois par la main. Ils se regardaient souvent. J’étais convaincus qu’ils étaient gays. Nous les regardions discrètement et Ben avait trouvé qu’ils allaient bien ensemble. Nous nous étions ensuite concentrés sur les chants de cette belle veillée. Nous avions appris un chant que nous ne connaissions pas ; c’est « Il faut que je m’en aille » (Graene Allwright). Nos amis suisses le chantaient à merveille.
https://youtu.be/tvfZET096ug
Puis nous avions pu faire quelques jeux pour varier la soirée. A un moment Ben et moi avions été désignés pour jouer un jeu de mime. Nous devions choisir deux autres partenaires pour les joindre à notre équipe. Ben avait demandé aux deux pionniers suisses, que nous pensions être homos, de venir avec nous dans notre équipe. Jean-Pierre avait compris car il avait lui aussi remarqué les deux autres. Étant à côté de la chef responsable de la troupe valaisanne, ils ont échangé quelques mots en regardant en notre direction.
Nous avions discuté cinq minutes à l’écart avec les deux garçons suisses. J’avais dit que nous pouvions jouer un mime sur le rejet. Les trois autres avaient trouvé que c’était une chouette idée. Finalement nous avions l’intention de nous mélanger pour ce sketch. Ben était aux côtés de Raphaël tandis que moi j’étais aux côtés de Christian. Nous avions établi dans les grandes lignes ce que nous voulions faire.
Le moment de passer, devant les deux postes pionniers réunis, arrivait. Nous nous étions installés, face à face, par binôme. Puis c’était le mime proprement dit. Ben et Raphaël avançait vers Christian et moi. Christian avait salué les deux autres tandis que moi j’étais resté à l’écart. Puis peu de temps plus tard je m’étais rapproché du groupe. C’est à ce moment-là, en prenant contact avec eux que j’avais été repoussé par Christian. À la suite de cette situation Ben et Raphaël se joignirent à Christian pour accentuer le rejet. J’étais parti d’un côté tandis que les autres allaient dans l’autre direction. Voilà le sketch était terminé.
Nous avions été applaudis. Nous nous étions alors placé tous les quatre en face de l’assemblée pour saluer. Ensuite, j’avais pris l’initiative de faire une accolade à mes deux amis suisses. Ben voyant ça avait fait de même.
Ensuite les autres pionniers devaient trouver le titre du sketch et l’expliquer. Un tour des pionniers spectateurs a été fait. Puis c’est le thème du « rejet » qui avait eu le plus de voix. Nous avions bien entendu répondu que c’était effectivement ce thème-là. Nous avions repris nos places, assis autour du feu. Nous avions continué à chanter.
Profitant qu’un autre groupe soit en préparation d’un mime, j’avais dit à Ben qu’il serait bien de rejoindre nos deux amis Raphaël et Christian. Nous nous étions assis à côté d’eux. Nous avons discuté ensemble entre les chants et les mimes. Enfin je m’étais lancé, j’avais demandé à Christian :
Moi : « Dit Christian, Raphaël c’est ton ami ?
Chr : Pourquoi tu demandes ça Phil ?
Moi : Tu sais j’ai remarqué qui vous étiez très proche. Je ne te cache pas que cela ne me dérange pas, car Ben est mon petit ami !
Chr : Ah, tu vois je l’avais dit à Raph. Je sentais que vous aussi vous étiez homos.
Moi : Tu as raison. Mais comment cela se passe chez vous, dans votre poste pionnier, vous avez été acceptés sans problème ?
Chr : Nous avons tout de suite été acceptés. Et vous ?
Moi : Je dois dire que nous sommes acceptés tel que nous sommes, ils savaient que nous étions gays, mais nous tachons quand même de ne pas trop nous exposer.
Chr : Tu vois, au début ça n’a pas été évident, nous avons dû faire face à des critiques et par la suite, avec l’aide, entre autres des filles, ça s’est arrangé.
Moi : Tu vois chez nous, comme nous ne sommes que des garçons, ils étaient déjà au courant pour Ben et moi quand nous étions chez à la troupe avant la formation du poste pionnier, donc cela s’est déroulé sans problème.
Chr : Ça ne fait pas longtemps qu’il y a un poste pionnier chez vous alors !
Moi : Non depuis Pâques !
Chr : C’est votre premier camp en tant que pionniers alors !
Moi : Oui, et je trouve que nous sommes bien tombés. Puis on découvre d’autres postes pionniers avec d’autres jeunes de notre âge.
Chr : Pour moi aussi c’est une expérience que je ne regretterai surement pas. »
Nous avions discuté ensemble jusqu’au moment du dernier chant, « le cantique des patrouilles ». Nous nous sommes alors tous salués, un par un. La chef des pionniers du Valais, m’avait dit qu’elle avait apprécié notre ouverture en ajoutant qu’elle savait que Ben et moi étions gays. Puis c’est Jean-Pierre qui nous avait aussi félicité pour notre sketch et notre ouverture envers les autres. Sur ces belles paroles, tandis que le reste des pionniers valaisans partaient en direction de leur campement, nous avions regagné la tente en compagnie de Gaby.
https://youtu.be/zY_p6D07lQk
Nous nous étions déshabillés sans nous poser de question. Nous étions tous les trois nus. Nous étions assez fatigués. Nous étions entrés dans sac de couchage. Nous avions encore discuté entre nous de cette journée, du travail sur ce chantier, de la fermière et de ses enfants. J’avais dit à mes deux compagnons de tente que j’étais très heureux de pouvoir apporter un peu de bonheur à cette famille par le travail fourni. Mes compagnons étaient eux aussi d’accord. Puis nous avions parlé de cette veillée. Nous avions chanté de bon cœur avec les pionniers valaisans. Puis j’avais posé cette question à Gaby :
Moi : « Dit Gaby, tu as remarqué comment Raphaël et Christian se comportaient lors de la veillée ?
Gab : Je les ai trouvés très proche, tu ne penses pas qu’ils sont gays ?
Moi : Oui Gaby, ils sont gays et ils sont ensemble. Nous avons discuté Christian et moi.
Gab : Et ça n’a pas l’air de poser de problème dans leur section.
Moi : Non, il m’a dit que les filles étaient tellement plus tolérantes que les garçons, et que c’étaient-elles qui les avaient acceptés tels qu’ils sont.
Gab : Tu m’étonnes, j’avais déjà entendu cette réflexion concernant la faculté d’acceptation par les filles de l’homosexualité.
Ben : Moi aussi je me suis rendu compte de ça aussi.
Moi : Rien que d’en parler ça me fait penser à Marie, tu sais Gaby, c’est mon amie, ma confidente.
Gab : Ah, je vois. Et je suis certain que ta sœur est aussi un peu complice avec toi.
Moi : Oui Gaby, mais mon petit frère Jean, petit, non il a seize ans depuis peu, c’est lui qui me défend, qui me comprend, qui a peur qu’il m’arrive quelque chose !
Gab : Je ne le savais pas. Tu peux être fier de ta famille Phil. Et toi aussi Ben, car je sais que tu peux compter sur eux.
Ben : Oui Gaby, nous avons Phil et moi deux familles formidables.
Gab : Je croix qu’il est grand temps de dormir, car demain c’est une nouvelle journée chantier. Bonne nuit les gars.
Ben et moi : Bonne nuit Gaby. »
J’avais embrassé mon Benoît d’amour avant de rejoindre les bras de Morphée. Nous nous étions tous les trois endormis très vite. Il était très facile de s’endormir, aucun bruit à l’horizon. Puis nous étions morts de fatigue.
C’est vers sept heures que j’avais ouvert les yeux. J’avais pu voir la tête de Ben, il me regardait. Une fois qu’il m’avait vu ouvrir les yeux j’ai eu droit à son sourire ravageur. Sa tignasse blonde tout ébouriffée lui donnait l’air d’un beau petit diable sorti de sa boîte. Son regard bleu me transperçait et me ravissait. Il était quand même beau mon amoureux. Ben m’avait déposé un baiser sur les lèvres. Puis il m’avait fait signe pour que je regarde de l’autre côté, soit vers Gaby. Mon regard s’était alors tourné vers lui, il commençait à ouvrir les yeux. Puis je lui avais un large sourire de même que Ben qui s’était mis sur les coudes pour se montrer à la hauteur de vue de Gaby. Il nous avait dit :
Gab : « Bonjour les gars. Bien dormi !
Moi : Oui, et toi ?
Gab : Oui ça va, mais tu sais Phil que tu as ronflé un peu durant la nuit !
Moi : Bon, désolé.
Gab : Non cela ne m’a pas empêché de m’endormir.
Nous avions pu voir que Gaby avait mis sa main dans son sac de couchage au niveau de la protubérance bien visible. Ben et moi étions aussi dans le même état, nous bandions. Gaby avait bien vu que nous le regardions. Puis il nous avait dit :
Gab : Bon, je pense qu’on peut faire baisser la pression, du moins moi je compte me branler.
Moi : Je pense que je vais faire de même.
Gab : Je peux vous dire aussi que si vous voulez vous pouvez le faire ensemble, mutuellement. Cela ne me dérange pas. Vous savez, je l’ai déjà fait avec mon cousin lors des dernières vacances, juste trois fois, pour rigoler.
Ben : Je ne te connaissais pas comme ça Gaby.
Gab : Tu vois Ben on en apprend tous les jours ! »
Nous nous étions mis à rire. Puis sans retenue, sans contrainte et avec la bénédiction de Gaby, Ben et moi nous nous étions mis à nous masturber mutuellement. Nous y allions doucement avec volupté. Gaby nous regardait faire, je voyais bien qu’il bandait un maximum. Ben l’avait aussi remarqué. Nous nous embrassions aussi, et Ben souriait de nous voir. Je ne m’attendais pas à cette réaction de sa part, mais nous pouvions voir que finalement il était assez large d’esprit.
Notre main libre parcourait le corps de l’être aimé tandis que l’autre s’attachait à procurer du plaisir à son partenaire. Nous nous étions branlés durant près de huit minutes, nous sentions que notre semence allait bientôt vouloir s’épandre sur nos abdominaux. Nous alternions les mouvements lents et rapides. Du côté de Gaby, il était si excité qu’il avait déjà joui depuis un moment. Il avait repris sa masturbation toujours en nous regardant. Son pénis avait repris de l’ampleur. Ben et moi continuions à nous faire plaisir. Puis sachant que le point de non-retour était proche, nous avions terminé cette masturbation mutuelle en rythme. Puis, enfin, nous nous étions cambrés pour ensuite déverser nos jets de sperme sur nos ventres. Gaby voyant ça avait lui aussi éjaculé sur son ventre. Il avait joui deux fois en l’espace d’un quart d’heure. Nous nous étions mis à rire Ben et moi. Gaby lui reprenait ses esprits. Nous nous étions essuyés avec de l’essuie tout. Quel sublime moment. J’étais heureux d’avoir pu faire jouir mon Ben d’amour, et moi qu’il m’ait fait jouir.
Nous nous étions habillés d’un short pour aller nous doucher. Pour ne pas faire jaser les autres pionniers, j’avais pris ma douche avec Alex tandis que Ben avait été la prendre avec Gaby. Ensuite nous avions pris notre petit-déjeuner tous ensemble au milieu de notre emplacement. Avant de partir, nous avions pris de quoi nous changer pour cette journée de travail, car il avait annoncé une journée encore plus chaude que la veille.
Le repas était semble-t-il bon car nous avions tous mangé de bon appétit. Il faut qu’une journée de travail ça creuse. Nous avions préparé une salade fraîche avec des tomates, des haricots princesses et des betteraves rouges. Ensuite nous avions cuit des côtes de porc avec des pommes de terre vapeur et des épinards. Comme dessert nous avions droit à un yaourt. Comme boisson c’était de l’eau avec du sirop de grenadine ou de citron ou de menthe.
Une fois le repas terminé, Fabrice avait été trouver les pionniers Vaudois en vue de les inviter à venir à notre veillée. Ils avaient accepté. Nous nous étions retrouvés autour du feu de camp à une bonne trentaine. A la précédente veillée, nous étions pratiquement restés ensemble par poste pionnier. Ce soir nous nous étions mélangés. Fabrice avait sorti sa guitare et dans l’autre unité il y avait un banjo. Nous étions très heureux de pouvoir chanter ensemble. Les chants se succédaient avec des rires.
Durant la veillée, Ben qui m’avait fait remarquer que deux pionniers suisses se tenaient parfois par la main. Ils se regardaient souvent. J’étais convaincus qu’ils étaient gays. Nous les regardions discrètement et Ben avait trouvé qu’ils allaient bien ensemble. Nous nous étions ensuite concentrés sur les chants de cette belle veillée. Nous avions appris un chant que nous ne connaissions pas ; c’est « Il faut que je m’en aille » (Graene Allwright). Nos amis suisses le chantaient à merveille.
https://youtu.be/tvfZET096ug
Puis nous avions pu faire quelques jeux pour varier la soirée. A un moment Ben et moi avions été désignés pour jouer un jeu de mime. Nous devions choisir deux autres partenaires pour les joindre à notre équipe. Ben avait demandé aux deux pionniers suisses, que nous pensions être homos, de venir avec nous dans notre équipe. Jean-Pierre avait compris car il avait lui aussi remarqué les deux autres. Étant à côté de la chef responsable de la troupe valaisanne, ils ont échangé quelques mots en regardant en notre direction.
Nous avions discuté cinq minutes à l’écart avec les deux garçons suisses. J’avais dit que nous pouvions jouer un mime sur le rejet. Les trois autres avaient trouvé que c’était une chouette idée. Finalement nous avions l’intention de nous mélanger pour ce sketch. Ben était aux côtés de Raphaël tandis que moi j’étais aux côtés de Christian. Nous avions établi dans les grandes lignes ce que nous voulions faire.
Le moment de passer, devant les deux postes pionniers réunis, arrivait. Nous nous étions installés, face à face, par binôme. Puis c’était le mime proprement dit. Ben et Raphaël avançait vers Christian et moi. Christian avait salué les deux autres tandis que moi j’étais resté à l’écart. Puis peu de temps plus tard je m’étais rapproché du groupe. C’est à ce moment-là, en prenant contact avec eux que j’avais été repoussé par Christian. À la suite de cette situation Ben et Raphaël se joignirent à Christian pour accentuer le rejet. J’étais parti d’un côté tandis que les autres allaient dans l’autre direction. Voilà le sketch était terminé.
Nous avions été applaudis. Nous nous étions alors placé tous les quatre en face de l’assemblée pour saluer. Ensuite, j’avais pris l’initiative de faire une accolade à mes deux amis suisses. Ben voyant ça avait fait de même.
Ensuite les autres pionniers devaient trouver le titre du sketch et l’expliquer. Un tour des pionniers spectateurs a été fait. Puis c’est le thème du « rejet » qui avait eu le plus de voix. Nous avions bien entendu répondu que c’était effectivement ce thème-là. Nous avions repris nos places, assis autour du feu. Nous avions continué à chanter.
Profitant qu’un autre groupe soit en préparation d’un mime, j’avais dit à Ben qu’il serait bien de rejoindre nos deux amis Raphaël et Christian. Nous nous étions assis à côté d’eux. Nous avons discuté ensemble entre les chants et les mimes. Enfin je m’étais lancé, j’avais demandé à Christian :
Moi : « Dit Christian, Raphaël c’est ton ami ?
Chr : Pourquoi tu demandes ça Phil ?
Moi : Tu sais j’ai remarqué qui vous étiez très proche. Je ne te cache pas que cela ne me dérange pas, car Ben est mon petit ami !
Chr : Ah, tu vois je l’avais dit à Raph. Je sentais que vous aussi vous étiez homos.
Moi : Tu as raison. Mais comment cela se passe chez vous, dans votre poste pionnier, vous avez été acceptés sans problème ?
Chr : Nous avons tout de suite été acceptés. Et vous ?
Moi : Je dois dire que nous sommes acceptés tel que nous sommes, ils savaient que nous étions gays, mais nous tachons quand même de ne pas trop nous exposer.
Chr : Tu vois, au début ça n’a pas été évident, nous avons dû faire face à des critiques et par la suite, avec l’aide, entre autres des filles, ça s’est arrangé.
Moi : Tu vois chez nous, comme nous ne sommes que des garçons, ils étaient déjà au courant pour Ben et moi quand nous étions chez à la troupe avant la formation du poste pionnier, donc cela s’est déroulé sans problème.
Chr : Ça ne fait pas longtemps qu’il y a un poste pionnier chez vous alors !
Moi : Non depuis Pâques !
Chr : C’est votre premier camp en tant que pionniers alors !
Moi : Oui, et je trouve que nous sommes bien tombés. Puis on découvre d’autres postes pionniers avec d’autres jeunes de notre âge.
Chr : Pour moi aussi c’est une expérience que je ne regretterai surement pas. »
Nous avions discuté ensemble jusqu’au moment du dernier chant, « le cantique des patrouilles ». Nous nous sommes alors tous salués, un par un. La chef des pionniers du Valais, m’avait dit qu’elle avait apprécié notre ouverture en ajoutant qu’elle savait que Ben et moi étions gays. Puis c’est Jean-Pierre qui nous avait aussi félicité pour notre sketch et notre ouverture envers les autres. Sur ces belles paroles, tandis que le reste des pionniers valaisans partaient en direction de leur campement, nous avions regagné la tente en compagnie de Gaby.
https://youtu.be/zY_p6D07lQk
Nous nous étions déshabillés sans nous poser de question. Nous étions tous les trois nus. Nous étions assez fatigués. Nous étions entrés dans sac de couchage. Nous avions encore discuté entre nous de cette journée, du travail sur ce chantier, de la fermière et de ses enfants. J’avais dit à mes deux compagnons de tente que j’étais très heureux de pouvoir apporter un peu de bonheur à cette famille par le travail fourni. Mes compagnons étaient eux aussi d’accord. Puis nous avions parlé de cette veillée. Nous avions chanté de bon cœur avec les pionniers valaisans. Puis j’avais posé cette question à Gaby :
Moi : « Dit Gaby, tu as remarqué comment Raphaël et Christian se comportaient lors de la veillée ?
Gab : Je les ai trouvés très proche, tu ne penses pas qu’ils sont gays ?
Moi : Oui Gaby, ils sont gays et ils sont ensemble. Nous avons discuté Christian et moi.
Gab : Et ça n’a pas l’air de poser de problème dans leur section.
Moi : Non, il m’a dit que les filles étaient tellement plus tolérantes que les garçons, et que c’étaient-elles qui les avaient acceptés tels qu’ils sont.
Gab : Tu m’étonnes, j’avais déjà entendu cette réflexion concernant la faculté d’acceptation par les filles de l’homosexualité.
Ben : Moi aussi je me suis rendu compte de ça aussi.
Moi : Rien que d’en parler ça me fait penser à Marie, tu sais Gaby, c’est mon amie, ma confidente.
Gab : Ah, je vois. Et je suis certain que ta sœur est aussi un peu complice avec toi.
Moi : Oui Gaby, mais mon petit frère Jean, petit, non il a seize ans depuis peu, c’est lui qui me défend, qui me comprend, qui a peur qu’il m’arrive quelque chose !
Gab : Je ne le savais pas. Tu peux être fier de ta famille Phil. Et toi aussi Ben, car je sais que tu peux compter sur eux.
Ben : Oui Gaby, nous avons Phil et moi deux familles formidables.
Gab : Je croix qu’il est grand temps de dormir, car demain c’est une nouvelle journée chantier. Bonne nuit les gars.
Ben et moi : Bonne nuit Gaby. »
J’avais embrassé mon Benoît d’amour avant de rejoindre les bras de Morphée. Nous nous étions tous les trois endormis très vite. Il était très facile de s’endormir, aucun bruit à l’horizon. Puis nous étions morts de fatigue.
C’est vers sept heures que j’avais ouvert les yeux. J’avais pu voir la tête de Ben, il me regardait. Une fois qu’il m’avait vu ouvrir les yeux j’ai eu droit à son sourire ravageur. Sa tignasse blonde tout ébouriffée lui donnait l’air d’un beau petit diable sorti de sa boîte. Son regard bleu me transperçait et me ravissait. Il était quand même beau mon amoureux. Ben m’avait déposé un baiser sur les lèvres. Puis il m’avait fait signe pour que je regarde de l’autre côté, soit vers Gaby. Mon regard s’était alors tourné vers lui, il commençait à ouvrir les yeux. Puis je lui avais un large sourire de même que Ben qui s’était mis sur les coudes pour se montrer à la hauteur de vue de Gaby. Il nous avait dit :
Gab : « Bonjour les gars. Bien dormi !
Moi : Oui, et toi ?
Gab : Oui ça va, mais tu sais Phil que tu as ronflé un peu durant la nuit !
Moi : Bon, désolé.
Gab : Non cela ne m’a pas empêché de m’endormir.
Nous avions pu voir que Gaby avait mis sa main dans son sac de couchage au niveau de la protubérance bien visible. Ben et moi étions aussi dans le même état, nous bandions. Gaby avait bien vu que nous le regardions. Puis il nous avait dit :
Gab : Bon, je pense qu’on peut faire baisser la pression, du moins moi je compte me branler.
Moi : Je pense que je vais faire de même.
Gab : Je peux vous dire aussi que si vous voulez vous pouvez le faire ensemble, mutuellement. Cela ne me dérange pas. Vous savez, je l’ai déjà fait avec mon cousin lors des dernières vacances, juste trois fois, pour rigoler.
Ben : Je ne te connaissais pas comme ça Gaby.
Gab : Tu vois Ben on en apprend tous les jours ! »
Nous nous étions mis à rire. Puis sans retenue, sans contrainte et avec la bénédiction de Gaby, Ben et moi nous nous étions mis à nous masturber mutuellement. Nous y allions doucement avec volupté. Gaby nous regardait faire, je voyais bien qu’il bandait un maximum. Ben l’avait aussi remarqué. Nous nous embrassions aussi, et Ben souriait de nous voir. Je ne m’attendais pas à cette réaction de sa part, mais nous pouvions voir que finalement il était assez large d’esprit.
Notre main libre parcourait le corps de l’être aimé tandis que l’autre s’attachait à procurer du plaisir à son partenaire. Nous nous étions branlés durant près de huit minutes, nous sentions que notre semence allait bientôt vouloir s’épandre sur nos abdominaux. Nous alternions les mouvements lents et rapides. Du côté de Gaby, il était si excité qu’il avait déjà joui depuis un moment. Il avait repris sa masturbation toujours en nous regardant. Son pénis avait repris de l’ampleur. Ben et moi continuions à nous faire plaisir. Puis sachant que le point de non-retour était proche, nous avions terminé cette masturbation mutuelle en rythme. Puis, enfin, nous nous étions cambrés pour ensuite déverser nos jets de sperme sur nos ventres. Gaby voyant ça avait lui aussi éjaculé sur son ventre. Il avait joui deux fois en l’espace d’un quart d’heure. Nous nous étions mis à rire Ben et moi. Gaby lui reprenait ses esprits. Nous nous étions essuyés avec de l’essuie tout. Quel sublime moment. J’étais heureux d’avoir pu faire jouir mon Ben d’amour, et moi qu’il m’ait fait jouir.
Nous nous étions habillés d’un short pour aller nous doucher. Pour ne pas faire jaser les autres pionniers, j’avais pris ma douche avec Alex tandis que Ben avait été la prendre avec Gaby. Ensuite nous avions pris notre petit-déjeuner tous ensemble au milieu de notre emplacement. Avant de partir, nous avions pris de quoi nous changer pour cette journée de travail, car il avait annoncé une journée encore plus chaude que la veille.