31-05-2021, 09:32 AM
Nathan, Manu et Julien arrivent près de nous. Julien va dire bonjour à ma tante Françoise. Elle lui dit :
Fra : « Je trouve que tu as bien progressé, tu es presque prêt à aller et venir sans aide.
Jul : Merci c’est gentil. Je crois et j’en suis certain : c’est le bout du tunnel !
Fra : Tu peux être fier de toi Julien, ça me fait plaisir de te voir comme ça, prêt à aller de l’avant.
Jul : C’est grâce au soutien que j’ai eu.
Fra : Félicitations car c’est aussi dû à ta volonté !
Jul : Effectivement. Merci !
Fra : Alors Manu, tu es nu comme un ver, je vois que tu as adopté la tenue favorite de mes neveux et nièces !
Man : Oui, j’ai découvert que le nudité en public n’était pas si terrible. Et de plus je me sens bien. Je dois dire que Phil m’a mis à l’aise.
Fra : J’en suis ravie. Je pense que je vais moi aussi me mettre dans la même tenue. »
Ma tante, de même que mes parents se déshabillent pour profiter de cette belle journée, c’est peut-être une des dernières de cet été. Papa se rend près du barbecue où David et moi l’attendons. Il peut voir que le feu est juste comme il doit être, les braises sont abondantes et la surface du charbon de bois est « grise » ce qui est signe qu’on peut commencer la cuisson des viandes. Papa nous propose de cuire nous-même la viande en ajoutant qu’il nous fait entièrement confiance. Je suis assez honoré de pouvoir m’occuper de la cuisson, alors que c’est toujours papa qui s’en chargeait !
Il est certain qu’à force d’avoir vu comment s’y prendre, je commence par les morceaux qui ont besoin de plus de temps de cuisson pour terminer par les lards, car ils apportent beaucoup de graisse ; si on les met avec d’autres viandes cela risque de les brûler.
Tout est prêt, nous pouvons passer à table. Papa me remercie pour avoir pris le vin qu’il fallait au cellier. Il y a aussi de la limonade et de la grenadine pour ceux que ne prennent pas de boisson alcoolisée !
Le repas est pris dans une très bonne ambiance et dans la bonne humeur. Julien est entouré de personnes qui l’aiment et son sourire en dit long. Ma tante me regarde et m’observe. Elle voit que je n’ai d’yeux que pour mon chéri. Je sais, mais le voir si joyeux me fait énormément de bien. Je sais qu’il m’aime et que je l’aime. Maman et sa sœur parle à voix basse, je me doute bien qu’elles échangent des propos concernant notre relation et aussi celle de Nathan et Manu.
Après un très bon dessert, une macédoine de fruits, il est temps de débarrasser la table. Je me lève et je commence à empiler les assiettes. Nathan m’arrête et me demande de rester tranquille près de Julien et de David. Il dit qu’il s’en charge avec Manu et des deux filles.
Je n’en reviens pas, les deux tourtereaux ont décidé de prendre les choses en main. Les deux mamans ainsi que Papa restent sans voix. Il y a même un petit sourire en coin sur le visage des adultes qui semblent apprécier.
Je vois que mon Juju baille, il est fatigué. Il veut aller faire un petit somme dans la chambre du rez-de-chaussée. Il s’y rend sans aucune aide. David me dit qu’il trouve Julien très sûr de lui, qu’il est pratiquement rétabli. Je suis du même avis.
Le goûter est terminé. Il va être temps pour ma tante de rentrer chez elle. Elle prévient les jeunes pour qu’ils se préparent. Nathan et Manu se regardent, ils se sont concertés car Nathan demande à sa maman s’il peut rester loger avec Manu. Je vois le regard de ma tante qui s’interroge. Elle lui demande :
Fra : « Tu souhaites rester ici, je suppose que tu as une idée derrière la tête !
Nat : Je me sens bien et je souhaite pouvoir encore rester nu et profiter de la piscine. Manu est aussi partant !
Fra : Je vois que vous avez vécu quelque chose qui vous a apporté un bien être supplémentaire. Il est vrai que c’est plus difficile à la maison et nous n’avons pas de piscine. Demande à tante Fanny si elle est d’accord de vous garder pour loger !
Nat : Tante Fanny, serais-tu d’accord de nous héberger pour que nous puissions encore profiter du beau temps et rester le plus souvent nus ?
Mam : Bien entendu mon cher neveu. Vous me faîtes rire, je vous adore !
Nat et Man : Merci, oui super, merci !
Fra : Je vous demande d’être sages et de faire ce qu’on vous dit !
Nat et Man : Oui, promis !
Fra ; Fanny, vous êtres invités pour le souper demain soir à la maison.
Mam : Parfais, j’apporte le dessert !
Fra : Merci, on fait comme ça. »
Nous disons au revoir à ma tante et à David. Demain en fin d’après-midi nous serons à Charleroi pour y passer la soirée. Je vois que Nathan et Manu sont aux anges, ils vont profiter de la joie d’être en tenue de peau dans le jardin et profiter de cette liberté et ressentir le plaisir de sentir la brise de cette fin d’été caresser leur corps, le soleil les réchauffer et même de sentir l’eau couler sur leur peau lorsqu’ils seront dans la piscine. Ce sont des sensations que Manu vient de découvrir et qu’il souhaite encore partager avec Nathan.
La fin de l’après-midi se passe bien entendu dans la piscine et dans le jardin. Nathan et Manu sont aux anges. Ils profitent de chaque moment avec nous. Juste avant le souper, nous sommes tous dans l’eau, même mes parents sont avec nous. Julien est lui aussi très heureux d’être entouré de cette façon. Des sourires montrent bien le bonheur partagé entre nous.
Le souper est très frugal, il s’agit d’un repas « pain, vin, fromage ». Un plateau est dressé avec six sortes de fromages. Il y a l’incontournable camembert, le bleu de Bresse, la bûche de chèvre, le Chimay, le Gruyère et le Herve. Le pain, c’est de la baguette et comme vin c’est un Côtes-du-Rhône. Nous sommes ravis et de plus il y a de l’ambiance. Comme dessert, il reste de la macédoine de fruits.
Nous quittons la terrasse et rentrons dans la maison, il fait déjà un peu plus frisquet en ce début de soirée. C’est l’occasion d’aller écouter de la musique dans ma chambre. Il y a bien entendu la collection complète des Beatles. Manu connaissait l’un ou l’autre morceau et il est super content que je lui fasse découvrir d’autres vinyles.
Delphine vient alors nous dire qu’il est vingt-trois heures bien passées et qu’il serait temps d’aller pioncer ! Je dis à Nathan et Manu d’aller dans la chambre d’ami qui est prête pour eux. Je fais un clin d’œil à Nathan qui a compris que j’avais tout prévu. Les deux ados passent par la salle de bain. Julien et moi attendons de passer après eux.
- Chambre des deux ados de passage.
Nathan a bien vu le petit paquet que j’avais préparé à son intention sur la table de nuit. Il l’ouvre devant Manu. Ils découvrent qu’il y a des préservatifs et du gel lubrifiant. Les deux garçons se regardent, ils savent très bien utiliser ces produits. Manu demande alors à Nathan :
Man : « Oh, il est super sympa ton cousin Phil d’avoir prévu de quoi nous faire plaisir !
Nat : Oui, il est génial.
Man : J’ai envie de te prendre et visiter ta grotte d’amour.
Nat : Je m’en doute, mais j’ai bien peur que cela ne réveille toute la maison. Je ne sais pas si ma tante Fanny aimerait entendre le bruit de nos ébats. Je suppose que tu te souviens de la fois où chez moi nous avons été rappelés à l’ordre à la maison car nous avions été trop bruyants !
Man : Oui c’est juste. D’ailleurs nous avons eu les mêmes remarques chez mes parents.
Nat : Oui, c’est juste. Je pense qu’on peut se donner du plaisir autrement. Qu’en penses-tu ?
Man : Je suis partant. »
Les deux garçons s’embrassent et leurs mains se baladent sur leur corps. Leurs attributs sont déjà dressés vers le ciel. Inutile de dire que chacun s’empare de celui de l’autre. Ils sont partis pour une masturbation partagée. Ils en ont l’habitude et savent qu’ils seront moins bruyants. Ils s’appliquent à donner un maximum de plaisir à l’être aimé. Il est certain qu’ils s’aiment ces deux-là. Bien heureusement Phil a prévu de quoi essuyer toute trace laissée par leurs ébats.
Nous ne savons pas comment cela s’est terminé, toujours est-il que les ados se sont endormis, fatigués mais heureux !
- Retour dans la chambre de Phil.
Nous nous glissons dans les draps après avoir pris notre douche. Julien se rapproche de moi et nous nous embrassons. Je caresse le dos de mon chéri depuis quelques minutes. Julien de son côté commence lui aussi à me caresser le dos et l’épaule gauche. Puis j’ai l’impression que Julien ne s’applique pas comme à son habitude. Ses caresses sont si légères, elles sont parfois inexistantes. Finalement je m’aperçois qu’il s’est endormi !
Je n’ai pas encore sommeil. Je repense à cette journée chargée par toutes les activités. Il y a d’abord la kiné avec Martin, la venue des cousins, le repas barbecue ainsi que l’après-midi piscine. Après le goûter c’est ma tante est repartie avec David. Puis à nouveau c’était piscine et jardin jusqu’au souper et enfin une soirée à écouter les Beatles. Je comprends donc très bien que Julien soit claqué.
Je pense qu’il est temps que je me mette bientôt à prévoir une fête pour Julien quand celui-ci aura retrouvé toute sa mobilité ! Il faudra que je puisse aussi compter sur les deux filles, elles me seront très utiles pour concevoir, mettre sur pied et enfin assurer cette « journée spéciale Juju ». Je me laisse alors gagner par le sommeil et, doucement, je plonge moi aussi dans les bras de Morphée.
Je sens que Julien me caresse la joue droite. Je reconnais sa façon de placer sa main et ses doigts. J’ouvre les yeux, il fait clair, le soleil est au rendez-vous. Le mur de la chambre est éclairé par ses rayons qui passent au travers des persiennes.
Je me retourne vers mon chéri et je dépose mes lèvres sur les siennes. Nous nous bécotons ainsi, petits bisous après petits bisous. Nous finissons par nous embrasser plus profondément, nos langues se rejoignent enfin pour entrer dans la danse. Nous nous regardons ensuite, les yeux dans les yeux, découvrant les pensées les plus profondes de l’autre. Pas la peine de se dire « Je t’aime », ça se sent, ça se remarque à la lueur particulière de nos yeux.
Fra : « Je trouve que tu as bien progressé, tu es presque prêt à aller et venir sans aide.
Jul : Merci c’est gentil. Je crois et j’en suis certain : c’est le bout du tunnel !
Fra : Tu peux être fier de toi Julien, ça me fait plaisir de te voir comme ça, prêt à aller de l’avant.
Jul : C’est grâce au soutien que j’ai eu.
Fra : Félicitations car c’est aussi dû à ta volonté !
Jul : Effectivement. Merci !
Fra : Alors Manu, tu es nu comme un ver, je vois que tu as adopté la tenue favorite de mes neveux et nièces !
Man : Oui, j’ai découvert que le nudité en public n’était pas si terrible. Et de plus je me sens bien. Je dois dire que Phil m’a mis à l’aise.
Fra : J’en suis ravie. Je pense que je vais moi aussi me mettre dans la même tenue. »
Ma tante, de même que mes parents se déshabillent pour profiter de cette belle journée, c’est peut-être une des dernières de cet été. Papa se rend près du barbecue où David et moi l’attendons. Il peut voir que le feu est juste comme il doit être, les braises sont abondantes et la surface du charbon de bois est « grise » ce qui est signe qu’on peut commencer la cuisson des viandes. Papa nous propose de cuire nous-même la viande en ajoutant qu’il nous fait entièrement confiance. Je suis assez honoré de pouvoir m’occuper de la cuisson, alors que c’est toujours papa qui s’en chargeait !
Il est certain qu’à force d’avoir vu comment s’y prendre, je commence par les morceaux qui ont besoin de plus de temps de cuisson pour terminer par les lards, car ils apportent beaucoup de graisse ; si on les met avec d’autres viandes cela risque de les brûler.
Tout est prêt, nous pouvons passer à table. Papa me remercie pour avoir pris le vin qu’il fallait au cellier. Il y a aussi de la limonade et de la grenadine pour ceux que ne prennent pas de boisson alcoolisée !
Le repas est pris dans une très bonne ambiance et dans la bonne humeur. Julien est entouré de personnes qui l’aiment et son sourire en dit long. Ma tante me regarde et m’observe. Elle voit que je n’ai d’yeux que pour mon chéri. Je sais, mais le voir si joyeux me fait énormément de bien. Je sais qu’il m’aime et que je l’aime. Maman et sa sœur parle à voix basse, je me doute bien qu’elles échangent des propos concernant notre relation et aussi celle de Nathan et Manu.
Après un très bon dessert, une macédoine de fruits, il est temps de débarrasser la table. Je me lève et je commence à empiler les assiettes. Nathan m’arrête et me demande de rester tranquille près de Julien et de David. Il dit qu’il s’en charge avec Manu et des deux filles.
Je n’en reviens pas, les deux tourtereaux ont décidé de prendre les choses en main. Les deux mamans ainsi que Papa restent sans voix. Il y a même un petit sourire en coin sur le visage des adultes qui semblent apprécier.
Je vois que mon Juju baille, il est fatigué. Il veut aller faire un petit somme dans la chambre du rez-de-chaussée. Il s’y rend sans aucune aide. David me dit qu’il trouve Julien très sûr de lui, qu’il est pratiquement rétabli. Je suis du même avis.
Le goûter est terminé. Il va être temps pour ma tante de rentrer chez elle. Elle prévient les jeunes pour qu’ils se préparent. Nathan et Manu se regardent, ils se sont concertés car Nathan demande à sa maman s’il peut rester loger avec Manu. Je vois le regard de ma tante qui s’interroge. Elle lui demande :
Fra : « Tu souhaites rester ici, je suppose que tu as une idée derrière la tête !
Nat : Je me sens bien et je souhaite pouvoir encore rester nu et profiter de la piscine. Manu est aussi partant !
Fra : Je vois que vous avez vécu quelque chose qui vous a apporté un bien être supplémentaire. Il est vrai que c’est plus difficile à la maison et nous n’avons pas de piscine. Demande à tante Fanny si elle est d’accord de vous garder pour loger !
Nat : Tante Fanny, serais-tu d’accord de nous héberger pour que nous puissions encore profiter du beau temps et rester le plus souvent nus ?
Mam : Bien entendu mon cher neveu. Vous me faîtes rire, je vous adore !
Nat et Man : Merci, oui super, merci !
Fra : Je vous demande d’être sages et de faire ce qu’on vous dit !
Nat et Man : Oui, promis !
Fra ; Fanny, vous êtres invités pour le souper demain soir à la maison.
Mam : Parfais, j’apporte le dessert !
Fra : Merci, on fait comme ça. »
Nous disons au revoir à ma tante et à David. Demain en fin d’après-midi nous serons à Charleroi pour y passer la soirée. Je vois que Nathan et Manu sont aux anges, ils vont profiter de la joie d’être en tenue de peau dans le jardin et profiter de cette liberté et ressentir le plaisir de sentir la brise de cette fin d’été caresser leur corps, le soleil les réchauffer et même de sentir l’eau couler sur leur peau lorsqu’ils seront dans la piscine. Ce sont des sensations que Manu vient de découvrir et qu’il souhaite encore partager avec Nathan.
La fin de l’après-midi se passe bien entendu dans la piscine et dans le jardin. Nathan et Manu sont aux anges. Ils profitent de chaque moment avec nous. Juste avant le souper, nous sommes tous dans l’eau, même mes parents sont avec nous. Julien est lui aussi très heureux d’être entouré de cette façon. Des sourires montrent bien le bonheur partagé entre nous.
Le souper est très frugal, il s’agit d’un repas « pain, vin, fromage ». Un plateau est dressé avec six sortes de fromages. Il y a l’incontournable camembert, le bleu de Bresse, la bûche de chèvre, le Chimay, le Gruyère et le Herve. Le pain, c’est de la baguette et comme vin c’est un Côtes-du-Rhône. Nous sommes ravis et de plus il y a de l’ambiance. Comme dessert, il reste de la macédoine de fruits.
Nous quittons la terrasse et rentrons dans la maison, il fait déjà un peu plus frisquet en ce début de soirée. C’est l’occasion d’aller écouter de la musique dans ma chambre. Il y a bien entendu la collection complète des Beatles. Manu connaissait l’un ou l’autre morceau et il est super content que je lui fasse découvrir d’autres vinyles.
Delphine vient alors nous dire qu’il est vingt-trois heures bien passées et qu’il serait temps d’aller pioncer ! Je dis à Nathan et Manu d’aller dans la chambre d’ami qui est prête pour eux. Je fais un clin d’œil à Nathan qui a compris que j’avais tout prévu. Les deux ados passent par la salle de bain. Julien et moi attendons de passer après eux.
- Chambre des deux ados de passage.
Nathan a bien vu le petit paquet que j’avais préparé à son intention sur la table de nuit. Il l’ouvre devant Manu. Ils découvrent qu’il y a des préservatifs et du gel lubrifiant. Les deux garçons se regardent, ils savent très bien utiliser ces produits. Manu demande alors à Nathan :
Man : « Oh, il est super sympa ton cousin Phil d’avoir prévu de quoi nous faire plaisir !
Nat : Oui, il est génial.
Man : J’ai envie de te prendre et visiter ta grotte d’amour.
Nat : Je m’en doute, mais j’ai bien peur que cela ne réveille toute la maison. Je ne sais pas si ma tante Fanny aimerait entendre le bruit de nos ébats. Je suppose que tu te souviens de la fois où chez moi nous avons été rappelés à l’ordre à la maison car nous avions été trop bruyants !
Man : Oui c’est juste. D’ailleurs nous avons eu les mêmes remarques chez mes parents.
Nat : Oui, c’est juste. Je pense qu’on peut se donner du plaisir autrement. Qu’en penses-tu ?
Man : Je suis partant. »
Les deux garçons s’embrassent et leurs mains se baladent sur leur corps. Leurs attributs sont déjà dressés vers le ciel. Inutile de dire que chacun s’empare de celui de l’autre. Ils sont partis pour une masturbation partagée. Ils en ont l’habitude et savent qu’ils seront moins bruyants. Ils s’appliquent à donner un maximum de plaisir à l’être aimé. Il est certain qu’ils s’aiment ces deux-là. Bien heureusement Phil a prévu de quoi essuyer toute trace laissée par leurs ébats.
Nous ne savons pas comment cela s’est terminé, toujours est-il que les ados se sont endormis, fatigués mais heureux !
- Retour dans la chambre de Phil.
Nous nous glissons dans les draps après avoir pris notre douche. Julien se rapproche de moi et nous nous embrassons. Je caresse le dos de mon chéri depuis quelques minutes. Julien de son côté commence lui aussi à me caresser le dos et l’épaule gauche. Puis j’ai l’impression que Julien ne s’applique pas comme à son habitude. Ses caresses sont si légères, elles sont parfois inexistantes. Finalement je m’aperçois qu’il s’est endormi !
Je n’ai pas encore sommeil. Je repense à cette journée chargée par toutes les activités. Il y a d’abord la kiné avec Martin, la venue des cousins, le repas barbecue ainsi que l’après-midi piscine. Après le goûter c’est ma tante est repartie avec David. Puis à nouveau c’était piscine et jardin jusqu’au souper et enfin une soirée à écouter les Beatles. Je comprends donc très bien que Julien soit claqué.
Je pense qu’il est temps que je me mette bientôt à prévoir une fête pour Julien quand celui-ci aura retrouvé toute sa mobilité ! Il faudra que je puisse aussi compter sur les deux filles, elles me seront très utiles pour concevoir, mettre sur pied et enfin assurer cette « journée spéciale Juju ». Je me laisse alors gagner par le sommeil et, doucement, je plonge moi aussi dans les bras de Morphée.
Je sens que Julien me caresse la joue droite. Je reconnais sa façon de placer sa main et ses doigts. J’ouvre les yeux, il fait clair, le soleil est au rendez-vous. Le mur de la chambre est éclairé par ses rayons qui passent au travers des persiennes.
Je me retourne vers mon chéri et je dépose mes lèvres sur les siennes. Nous nous bécotons ainsi, petits bisous après petits bisous. Nous finissons par nous embrasser plus profondément, nos langues se rejoignent enfin pour entrer dans la danse. Nous nous regardons ensuite, les yeux dans les yeux, découvrant les pensées les plus profondes de l’autre. Pas la peine de se dire « Je t’aime », ça se sent, ça se remarque à la lueur particulière de nos yeux.