26-05-2021, 09:46 AM
Alors que nous buvons ce bon thé froid, on sonne à la porte. C’est maman qui va voir qui peut bien venir à la maison. Deux minutes plus tard nous voyons Amandine et Joseph arriver sur la terrasse. Ils nous font la bise et sans complexe ils se dévêtent pour se retrouver dans la même tenue que nous. Maman apporte deux verres supplémentaires mais aussi un cake aux pommes en guise de goûter. Elle ajoute que le gâteau est l’œuvre de Delphine et Stéphanie.
Justement elles déboulent sur la terrasse elles aussi. Elles sont déjà en tenue de peau et viennent saluer les deux nouveaux venus ! Finalement il ne manque que papa, il est allé voir un client pour le boulot !
C’est l’occasion de raconter à Amandine et à Joseph la matinée consacrée à l’inscription de Julien à la FAC de droit et notre visite à celle des Sciences. Nous n’oublions pas de mentionner la rencontre avec Axel et Thomas. Puis le verre de l’amitié pris avec les deux garçons et les parents d’Axel. Les deux familles s’entendent bien ensemble. Maman dit alors :
Mam : « Effectivement les parents d’Axel sont très sympas et je pense que nous allons nous revoir.
Moi : C’est une très bonne idée, on pourrait les inviter pour un barbecue !
Mam : Je pensais à ça aussi Phil, nous n’allons pas attendre trop longtemps car la belle saison va toucher à sa fin.
Ama : Cet Axel, c’est celui qui était dans notre classe ?
Moi : Oui, c’est bien lui.
Ama : Je ne le connais pas plus que ça, il est gentil et il ne fait pas de vagues !
Moi : Je pense la même chose que toi.
Ama : Son copain Thomas, tu le connaissais ?
Moi : Non, il est sympa mais aussi assez taiseux, il n’a pas dit grand-chose. Puis je ne vous l’ai pas encore dit, Axel est gay et en couple avec Thomas !
Jos : Alors là, il a bien caché son jeu l’Axel !
Ama : Tu sais que j’avais déjà eu un doute l’année dernière. Il avait changé de comportement, c’était peu de chose, mais je l’ai senti quand même.
Moi : Comme vous connaissez Axel, si je peux maman, Aman et Jos pourraient aussi venir pour le barbecue avec nous !
Mam : Oui Phil, pourquoi pas. C’est à voir avec papa, mais pour moi c’est une bonne idée.
Moi : Merci maman.
Ama : C’est nous qui devons vous remercier Fanny.
Mam : C’est tout naturel Amandine, vous faîtes presque partie de la famille Joseph et toi.
Jos : Merci, ça me fait chaud au cœur. Tu sais Phil, tu es un super copain, je dirais un ami pour nous. Puis je sais qu’Amandine est ton amie de cœur et ça je me dois de le respecter.
Moi : Merci Jos pour tes belles paroles. Bon, si on continue on va finir par pleurer. Hop, tout le monde à l’eau.
Tous : Oui génial. »
Nous nous ruons vers la piscine, Joseph reste auprès de moi pour aider Julien si besoin est. Nous sommes très heureux tous ensemble et nous nous éclaboussons en riant. C’est une très bon moment de détente et je sais que nous formons un groupe d’amis unis par un sens profond de l’amitié et de respect envers les autres. Il n’y a que des sourires sur les lèvres. Je suis convaincu que le plus difficile est derrière nous. Julien va pouvoir enfin vivre !
Maman nous appelle pour venir souper. Nous sortons tous de l’eau et arrivons sur la terrasse. Nous voyons qu’il y a six pizzas sur la table et deux bouteilles de Chianti. Je regarde Maman et Papa, ils ont le sourire aux lèvres. Je vois qu’ils sont heureux de nous voir nous aussi si heureux. J’ai des parents formidables, uniques et tellement aimants ! Je m’avance près d’eux et je les prends dans mes bras en leur disant : « Merci, je vous aime ! ». Comme réponse je reçoit un bisou sur chaque joue. Mes yeux s’humidifient et une larme coule sur chaque joue.
C’est Amandine qui me rejoint ensuite. Elle a vu ce qui s’est passé. Elle me prend la main et m’attire sur le côté libre de la terrasse. Puis elle prend mes deux mains dans les siennes et plonge son regard dans le mien. Elle me dit alors :
Ama : « Je t’ai vu Phil, tu es si attentif à ce qui se passe autour de toi, que tu remercies tes parents pour ce qu’ils font pour toi, pour Julien, enfin pour vous tous !
Moi : Tu sais Amandine, ils sont incroyables de bonté et je me devais de le leur dire simplement en disant merci et que je les aime.
Ama : Tu es un être si sensible que je comprends qu’on ne puisse que t’aimer.
Moi : C’est trop d’honneur pour moi.
Ama : Non Phil, ne te sous-estimes pas !
Moi : Tu sais qu’au début mon père m’avait rejeté et tu vois comme il est maintenant, si ouvert aux autres, non seulement avec l’association mais aussi avec sa famille. Je n’en reviens pas de ce que mes parents font pour nous mais aussi pour Stéphanie et Julien.
Ama : Je le sais très bien Phil. Tu peux être fier de ta famille, de tes parents. Ils sont un exemple pour beaucoup !
Moi : Merci Aman, tu trouves toujours les mots justes pour me donner le moral. Tu ne peux t’imaginer comme je suis heureux avec Julien. La seule ombre au tableau c’est qu’il a perdu ses parents, qui eux aussi étaient très ouverts !
Ama : J’en suis consciente et c’est leur rendre hommage que de vous aimer très fort comme vous le faîtes maintenant. Je suis certaine qu’ils sont heureux de vous voir de là où ils sont.
Moi : Merci, on va manger un bout ?
Ama : Oui, volontiers ! »
Je donne un bisou sur la joue gauche de mon amie de cœur. Nous rejoignons les autres et c’est le sourire aux lèvres que nous levons nos verres en trinquant à « l’Amitié » ! Il est clair que nous allons passer à la vitesse supérieur et aller de l’avant, tous ensemble. Rien ne pourra ternir cette belle amitié entre notre famille et nos amis, Amandine et Joseph.
Il se fait tard, Aman et Jos nous quittent en nous souhaitant un très bonne nuit. Je range la table avec l’aide de Stéphanie. Delphine s’occupe de la cuisine qui mérite un petit coup de rangement. Nos parents se sont installés dans les fauteuils en sirotant leur verre de vin. Ils prennent un peu de temps pour eux, ils le méritent !
Une fois que tout est en ordre, je retrouve mon Julien d’amour qui est assis sur le banc près de la piscine. J’apporte deux verres de vin, question de boire à notre santé. Je vois que ma « moitié » est pensive. Je lui donne un bisou sur les lèvres. Puis ce bisou devient un baiser de plus en plus appuyé. Nos langues s’y mettent et nos corps se réchauffent eux aussi. Nous arrêtons là, car nous n’avons pas envie d’aller plus loin devant la famille.
Nous sirotons nos verres en parlant de cette journée. Julien me dit qu’il très content de voir que l’amitié qui règne entre nous et nos deux amis soit si forte. Il ajoute qu’Amandine est extra, qu’elle sait aider et accompagner quelqu’un sans juger, mais en rassurant et encourageant celui qui l’écoute et qui partage un moment avec elle en toute amitié. Je sais que Julien est lui aussi assez sensible à ce genre de chose.
Nous rentrons dans la maison car il fait maintenant assez frisquet, le soleil est couché depuis un moment déjà. Nous embrassons nos parents en leur souhaitant une très bonne nuit. Nous montons à l’étage, Julien arrive à monter sans problème, marche par marche, en se tenant à la balustrade. Nous passons par la salle de bain pour nous rafraîchir.
Nous nous glissons sous les draps, nus comme d’habitude. Nous nous lovons dans les bras l’un de l’autre. Nos regards se croisent et nous nous regardons ainsi un moment. Pas besoin de parole, le langage des yeux suffit pour se comprendre, pour se dire : « je t’aime et que je veux passer ma vie avec toi ». Morphée faisant bien son office, nous nous endormons ainsi collés l’un à l’autre.
Justement elles déboulent sur la terrasse elles aussi. Elles sont déjà en tenue de peau et viennent saluer les deux nouveaux venus ! Finalement il ne manque que papa, il est allé voir un client pour le boulot !
C’est l’occasion de raconter à Amandine et à Joseph la matinée consacrée à l’inscription de Julien à la FAC de droit et notre visite à celle des Sciences. Nous n’oublions pas de mentionner la rencontre avec Axel et Thomas. Puis le verre de l’amitié pris avec les deux garçons et les parents d’Axel. Les deux familles s’entendent bien ensemble. Maman dit alors :
Mam : « Effectivement les parents d’Axel sont très sympas et je pense que nous allons nous revoir.
Moi : C’est une très bonne idée, on pourrait les inviter pour un barbecue !
Mam : Je pensais à ça aussi Phil, nous n’allons pas attendre trop longtemps car la belle saison va toucher à sa fin.
Ama : Cet Axel, c’est celui qui était dans notre classe ?
Moi : Oui, c’est bien lui.
Ama : Je ne le connais pas plus que ça, il est gentil et il ne fait pas de vagues !
Moi : Je pense la même chose que toi.
Ama : Son copain Thomas, tu le connaissais ?
Moi : Non, il est sympa mais aussi assez taiseux, il n’a pas dit grand-chose. Puis je ne vous l’ai pas encore dit, Axel est gay et en couple avec Thomas !
Jos : Alors là, il a bien caché son jeu l’Axel !
Ama : Tu sais que j’avais déjà eu un doute l’année dernière. Il avait changé de comportement, c’était peu de chose, mais je l’ai senti quand même.
Moi : Comme vous connaissez Axel, si je peux maman, Aman et Jos pourraient aussi venir pour le barbecue avec nous !
Mam : Oui Phil, pourquoi pas. C’est à voir avec papa, mais pour moi c’est une bonne idée.
Moi : Merci maman.
Ama : C’est nous qui devons vous remercier Fanny.
Mam : C’est tout naturel Amandine, vous faîtes presque partie de la famille Joseph et toi.
Jos : Merci, ça me fait chaud au cœur. Tu sais Phil, tu es un super copain, je dirais un ami pour nous. Puis je sais qu’Amandine est ton amie de cœur et ça je me dois de le respecter.
Moi : Merci Jos pour tes belles paroles. Bon, si on continue on va finir par pleurer. Hop, tout le monde à l’eau.
Tous : Oui génial. »
Nous nous ruons vers la piscine, Joseph reste auprès de moi pour aider Julien si besoin est. Nous sommes très heureux tous ensemble et nous nous éclaboussons en riant. C’est une très bon moment de détente et je sais que nous formons un groupe d’amis unis par un sens profond de l’amitié et de respect envers les autres. Il n’y a que des sourires sur les lèvres. Je suis convaincu que le plus difficile est derrière nous. Julien va pouvoir enfin vivre !
Maman nous appelle pour venir souper. Nous sortons tous de l’eau et arrivons sur la terrasse. Nous voyons qu’il y a six pizzas sur la table et deux bouteilles de Chianti. Je regarde Maman et Papa, ils ont le sourire aux lèvres. Je vois qu’ils sont heureux de nous voir nous aussi si heureux. J’ai des parents formidables, uniques et tellement aimants ! Je m’avance près d’eux et je les prends dans mes bras en leur disant : « Merci, je vous aime ! ». Comme réponse je reçoit un bisou sur chaque joue. Mes yeux s’humidifient et une larme coule sur chaque joue.
C’est Amandine qui me rejoint ensuite. Elle a vu ce qui s’est passé. Elle me prend la main et m’attire sur le côté libre de la terrasse. Puis elle prend mes deux mains dans les siennes et plonge son regard dans le mien. Elle me dit alors :
Ama : « Je t’ai vu Phil, tu es si attentif à ce qui se passe autour de toi, que tu remercies tes parents pour ce qu’ils font pour toi, pour Julien, enfin pour vous tous !
Moi : Tu sais Amandine, ils sont incroyables de bonté et je me devais de le leur dire simplement en disant merci et que je les aime.
Ama : Tu es un être si sensible que je comprends qu’on ne puisse que t’aimer.
Moi : C’est trop d’honneur pour moi.
Ama : Non Phil, ne te sous-estimes pas !
Moi : Tu sais qu’au début mon père m’avait rejeté et tu vois comme il est maintenant, si ouvert aux autres, non seulement avec l’association mais aussi avec sa famille. Je n’en reviens pas de ce que mes parents font pour nous mais aussi pour Stéphanie et Julien.
Ama : Je le sais très bien Phil. Tu peux être fier de ta famille, de tes parents. Ils sont un exemple pour beaucoup !
Moi : Merci Aman, tu trouves toujours les mots justes pour me donner le moral. Tu ne peux t’imaginer comme je suis heureux avec Julien. La seule ombre au tableau c’est qu’il a perdu ses parents, qui eux aussi étaient très ouverts !
Ama : J’en suis consciente et c’est leur rendre hommage que de vous aimer très fort comme vous le faîtes maintenant. Je suis certaine qu’ils sont heureux de vous voir de là où ils sont.
Moi : Merci, on va manger un bout ?
Ama : Oui, volontiers ! »
Je donne un bisou sur la joue gauche de mon amie de cœur. Nous rejoignons les autres et c’est le sourire aux lèvres que nous levons nos verres en trinquant à « l’Amitié » ! Il est clair que nous allons passer à la vitesse supérieur et aller de l’avant, tous ensemble. Rien ne pourra ternir cette belle amitié entre notre famille et nos amis, Amandine et Joseph.
Il se fait tard, Aman et Jos nous quittent en nous souhaitant un très bonne nuit. Je range la table avec l’aide de Stéphanie. Delphine s’occupe de la cuisine qui mérite un petit coup de rangement. Nos parents se sont installés dans les fauteuils en sirotant leur verre de vin. Ils prennent un peu de temps pour eux, ils le méritent !
Une fois que tout est en ordre, je retrouve mon Julien d’amour qui est assis sur le banc près de la piscine. J’apporte deux verres de vin, question de boire à notre santé. Je vois que ma « moitié » est pensive. Je lui donne un bisou sur les lèvres. Puis ce bisou devient un baiser de plus en plus appuyé. Nos langues s’y mettent et nos corps se réchauffent eux aussi. Nous arrêtons là, car nous n’avons pas envie d’aller plus loin devant la famille.
Nous sirotons nos verres en parlant de cette journée. Julien me dit qu’il très content de voir que l’amitié qui règne entre nous et nos deux amis soit si forte. Il ajoute qu’Amandine est extra, qu’elle sait aider et accompagner quelqu’un sans juger, mais en rassurant et encourageant celui qui l’écoute et qui partage un moment avec elle en toute amitié. Je sais que Julien est lui aussi assez sensible à ce genre de chose.
Nous rentrons dans la maison car il fait maintenant assez frisquet, le soleil est couché depuis un moment déjà. Nous embrassons nos parents en leur souhaitant une très bonne nuit. Nous montons à l’étage, Julien arrive à monter sans problème, marche par marche, en se tenant à la balustrade. Nous passons par la salle de bain pour nous rafraîchir.
Nous nous glissons sous les draps, nus comme d’habitude. Nous nous lovons dans les bras l’un de l’autre. Nos regards se croisent et nous nous regardons ainsi un moment. Pas besoin de parole, le langage des yeux suffit pour se comprendre, pour se dire : « je t’aime et que je veux passer ma vie avec toi ». Morphée faisant bien son office, nous nous endormons ainsi collés l’un à l’autre.