20-05-2021, 09:11 AM
Ben et moi nous nous étions donné rendez-vous le lendemain vers dix heures devant chez Christophe. Nous allions voir comment il allait et s’il avait eu ses résultats d’examens. Nous l’avions promis à Jean-Pierre et nous tenions à respecter notre promesse.
Nous étions tous les deux arrivés dix minutes avant dix heures. J’avais l’habitude d’être en avance quand j’avais un rendez-vous. Je m’étais rendu compte que c’était la même chose pour Ben. Nous avions directement sonné à la porte de l’immeuble. C’était justement Christophe qui avait demandé qui c’était au parlophone. Nous nous étions présentés et il nous avait ouvert. Nous nous étions alors rendu au sixième étage. En sortant de l’ascenseur nous avions vu que Christophe nous attendait sur le pas de la porte de l’appartement. Il nous avait alors fait entrer. Il nous conduisit au salon et il nous avait proposé un verre de limonade.
Une fois installés avec notre limonade j’avais demandé à Chris comment s’était passé sa session d’examens. Il nous avait confié qu’il avait deux examens à représenter début septembre, soit math et histoire. Je lui avais proposé de l’aider pour les maths durant la dernière quinzaine du mois d’août. Il avait accepté. Par la suite Chris avait parlé de son attirance envers les garçons et en particulier d’un ami de sa classe. Ben et moi lui avons donné les conseils utiles tant pour lui que pour l’ami en question. Bref Chris avait été heureux de nous avoir vu. Il semblait plus apaisé que lors de notre première visite. Il nous avait demandé des nouvelles de Gaby en vue de savoir si notre amitié était toujours intacte vis-à-vis de lui. Il se demandait toujours comment un hétéro pouvait avoir un ou des amis homos. Nous lui avons dit que c’était dans l’ordre des choses et que cela se retrouvait aussi avec des filles. Certaines filles aiment bien avoir des amis homos, c’est en fait une question de sensibilité et d’atomes crochus.
Nous avions quitté Chris qui affichait un large sourire lorsque nous l’avions quitté. Nous étions ensuite allés rendre visite à nos amies Marie et Isabelle. Les deux filles étaient chez Marie. Nous avions papoté ensemble de nos activités prévues durant les grandes vacances. Puis nous avions décidé de nous retrouver durant deux ou trois jours vers la fin des vacances. Nous nous entendions bien et ce depuis le séjour à Venise. Les filles étaient emballées à l’idée de se retrouver durant deux semaines à elles deux avec les parents de Marie à la côte d’azur. Bref tout allait pour le mieux étant donné que nous n’avions pas de souci au niveau étude, nous avions tous réussi nos examens.
Henriette, la maman de Marie nous avait invité Ben et moi à rester dîner avec les filles. Nous avions bien entendu accepté cette belle invitation. J’avais averti maman par téléphone du changement de programme. Elle l’avait très bien accepté en précisant que j’avais été invité à rester loger chez Ben, Arlette ayant fait cette demande. J’étais heureux de l’apprendre à Ben. Le repas servi par Henriette était succulent. Nous avions tous très bien mangé. Nous avions d’ailleurs donné un coup de main pour faire la vaisselle. Nous avions ensuite passé l’après-midi entre nous quatre à blaguer et à écouter de la musique.
J’avais donc accompagné Ben jusque chez lui. Nous étions arrivés vers seize heures trente. C’était justement l’heure du goûter. Christine était là ainsi que Denis, son petit-ami. Nous avions mangé des crêpes qu’Arlette avait cuit en début d’après-midi. Nous étions tous très heureux d’apprendre que Christine et Denis avaient eux aussi réussis leurs examens. Nous allions pouvoir passer des vacances en toute tranquillité.
Nous avions tous mangé le souper préparé par Arlette. Yves était très heureux d’avoir ses deux enfants à table, chacun d’eux avec son compagnon. Nous avions parlé de beaucoup de choses, de nos futures études, des vacances, de l’actualité, etc. Finalement ce repas s’était terminé vers vingt et une heures. Nous avions ensuite été regarder la télévision où un spectacle de variété était diffusé sur la première chaîne.
Nous avions ensuite gagné les chambres à coucher pour la nuit. Une fois notre douche prise et nos dents lavées, Ben et moi avions pris place dans le lit. Nous nous étions embrassés, enfin. Il est vrai que nous ne voulions pas tout le temps nous montrer en train de nos bécoter. Nous laissions cela pour des moments où nous n’étions qu’à nous deux.
Notre baiser langoureux ayant pris fin, nous nous regardions les yeux dans les yeux. Ben avait toujours son regard bleu océan aux des reflets lumineux. Ses yeux brillaient et montraient tout le bonheur de me regarder. Enfin sa tignasse blonde lui donnait l’air d’un ange, d’un ange protecteur, qui de son regard avait l’art d’apaiser toutes les tensions. C’était ce Ben que j’aimais avec ce sourire qui illuminait lui aussi ce visage que je ne me lassais pas de regarder.
Ben : « Hello Phil, tu rêves !
Moi : Oh oui, je vis un rêve éveillé !
Ben : Ah bon, j’ai l’impression que tu es plongé dans mon regard et même dans mon visage en entier !
Moi : Tu as parfaitement raison Ben. Je ne me lasse pas de te regarder. Tu sais que tu es un ange pour moi et ce depuis que nous nous sommes rencontrés à l’hôpital.
Ben : A ce point-là !
Moi : Oui Ben, tu ne peux pas t’imaginer.
Ben : Tu sais que toi aussi j’adore te regarder. Ton regard un peu gris donne envie de regarder au-delà, d’aller plus profond et d’entrer dans ta tête pour savoir ce que tu penses, ce qui te fait peur ou rire, enfin regarder la profondeur de ton être !
Moi : Tu exagère Ben. C’est vrai que je suis un peu mystérieux et que je ne dis pas tout, mais je crois que tu lis à livre ouvert en moi au travers de mon regard.
Ben : Tu n’as pas tort. C’est d’ailleurs ça qui fait ton charme, c’est cette part de toi qui est un peu floue et qui mérite d’être découverte.
Après un moment sans parler, toujours en se regardant l’un l’autre dans les yeux :
Moi : Oh Ben si tu savais combien je t’aime !
Ben : Oui je le sais Phil. Puis je t’aime aussi et tu le mérites. »
Il fallait que nous arrêtions de nous dire toutes ces choses-là, car nous allions nous mettre à pleurer. Déjà mes yeux s’étaient humidifiés, tout comme ceux de Ben. J’avais alors embrassé une nouvelle fois mon ange blond. Nos langues avaient passé la barrière de nos lèvres et pouvaient donc danser entre elles. Nos salives se mêlaient, nos respirations s’étaient calquées l’une sur l’autre de même que nos cœurs. Nous entrions en communion. Nous avions déjà ressenti ce sentiment quelques fois, mais cela devenait de plus en plus courant. Alors nos pénis avaient eux aussi pris de l’ampleur. Ils s’étaient dressés tels des pieux vers le ciel. Nos glands étaient déjà tout humide. Puis nos mains venaient caresser le dos de l’être aimé. Elles allaient et venaient sur nos corps déjà brûlants, sur nos fesses. Nos doigts ensuite s’attardaient au niveau de nos tétons tandis que notre baiser se poursuivait de plus belle. Enfin, lorsque notre étreinte buccale s’était achevée, j’avais entrepris de mordiller tendrement le lobe de l’oreille gauche de Ben. Puis ma bouche et mes lèvres s’attardaient au niveau du cou de Ben. Ensuite c’est Ben qui avait pris le dessus. Sa bouche allait sur mon torse ainsi qu’au niveau de mon cou. Nos mains poursuivaient elles aussi leur ballet de caresses voluptueuses. Puis enfin, sexe contre sexe, les yeux dans les yeux, nos mains s’étaient placées sur nos protubérances bandées. Chacun de nous avions une main posée sur les deux bâtons d’amour réunis. Sans aucun mot nous avions entamé une lente masturbation mutuelle de nos phallus réunis. C’était divin. Cette sensation de chaleur qui montait au travers de nos appendices était merveilleuse. Nous étions concentrés afin de maintenir le rythme ni trop lent ni trop rapide pour avoir des sensations en pleines évolutions. Nos glands étaient déjà très humides et se montraient puis disparaissaient au fur et à mesure de nos mouvements, ainsi couverts et découverts par nos prépuces. Nos respirations s’accéléraient, nos râles se faisaient de plus en plus entendre, nos corps étaient toujours en accord et nos mouvements en harmonie. Une nouvelle fois nos bouches se rencontraient et se séparaient au grès des petits bisous échangés. Je sentais que Ben n’était pas loin de l’orgasme, il n’exerçait plus la même pression sur nos colonnes de chair, j’avais moi aussi calqué mes mouvements sur les siens en vue de retarder les éjaculations. Cela faisait déjà dix bonnes minutes que nous nous branlions de concert et d’un clignement de paupières nous avions repris un rythme plus soutenu en vue d’arriver à ce moment libératoire qu’est l’éjaculation. Nous commencions à nous cambrer, nos respirations s’étaient faites plus rapides et nos râles étaient de plus en plus sonores. Puis à un moment, en même temps, à l’unisson nous avions déchargé nos jets de semences en alternance. Nous n’avions pas encore connu d’orgasme comme celui que nous vivions ensemble, d’une telle intensité. Nos spermes étaient mêlés et dégoulinaient le long de nos membres encore dressés. Nous reprenions notre respiration doucement. J’avais alors laîché mes doigts avant de procéder au nettoyage de la verge de Ben. J’avais en bouche le goût mêlé de nos spermes. Ben lui aussi avait fait la même chose que moi. Nous étions restés unis durant ce moment magique ainsi partagé.
Nous nous étions ensuite affalés côte à côte sur le lit de Ben, heureux. Oui nous étions heureux d’avoir pu nous aimer comme nous venions de le faire. Heureux d’avoir des parents si aimants ainsi que des familles formidables. J’avais tourné la tête vers Ben et je lui avais dit :
Moi : « Merci Ben, merci pour ce merveilleux moment !
Ben : Merci à toi Phil. J’ai adoré, c’était divin. »
Nous nous étions mis à rire. Nous étions vraiment heureux et nous nous étions embrassés pour la x-ième fois sur ce lit qui avait accueilli nos ébats. Nous nous étions regardé les yeux dans les yeux le temps de trouver le sommeil.
Nous étions tous les deux arrivés dix minutes avant dix heures. J’avais l’habitude d’être en avance quand j’avais un rendez-vous. Je m’étais rendu compte que c’était la même chose pour Ben. Nous avions directement sonné à la porte de l’immeuble. C’était justement Christophe qui avait demandé qui c’était au parlophone. Nous nous étions présentés et il nous avait ouvert. Nous nous étions alors rendu au sixième étage. En sortant de l’ascenseur nous avions vu que Christophe nous attendait sur le pas de la porte de l’appartement. Il nous avait alors fait entrer. Il nous conduisit au salon et il nous avait proposé un verre de limonade.
Une fois installés avec notre limonade j’avais demandé à Chris comment s’était passé sa session d’examens. Il nous avait confié qu’il avait deux examens à représenter début septembre, soit math et histoire. Je lui avais proposé de l’aider pour les maths durant la dernière quinzaine du mois d’août. Il avait accepté. Par la suite Chris avait parlé de son attirance envers les garçons et en particulier d’un ami de sa classe. Ben et moi lui avons donné les conseils utiles tant pour lui que pour l’ami en question. Bref Chris avait été heureux de nous avoir vu. Il semblait plus apaisé que lors de notre première visite. Il nous avait demandé des nouvelles de Gaby en vue de savoir si notre amitié était toujours intacte vis-à-vis de lui. Il se demandait toujours comment un hétéro pouvait avoir un ou des amis homos. Nous lui avons dit que c’était dans l’ordre des choses et que cela se retrouvait aussi avec des filles. Certaines filles aiment bien avoir des amis homos, c’est en fait une question de sensibilité et d’atomes crochus.
Nous avions quitté Chris qui affichait un large sourire lorsque nous l’avions quitté. Nous étions ensuite allés rendre visite à nos amies Marie et Isabelle. Les deux filles étaient chez Marie. Nous avions papoté ensemble de nos activités prévues durant les grandes vacances. Puis nous avions décidé de nous retrouver durant deux ou trois jours vers la fin des vacances. Nous nous entendions bien et ce depuis le séjour à Venise. Les filles étaient emballées à l’idée de se retrouver durant deux semaines à elles deux avec les parents de Marie à la côte d’azur. Bref tout allait pour le mieux étant donné que nous n’avions pas de souci au niveau étude, nous avions tous réussi nos examens.
Henriette, la maman de Marie nous avait invité Ben et moi à rester dîner avec les filles. Nous avions bien entendu accepté cette belle invitation. J’avais averti maman par téléphone du changement de programme. Elle l’avait très bien accepté en précisant que j’avais été invité à rester loger chez Ben, Arlette ayant fait cette demande. J’étais heureux de l’apprendre à Ben. Le repas servi par Henriette était succulent. Nous avions tous très bien mangé. Nous avions d’ailleurs donné un coup de main pour faire la vaisselle. Nous avions ensuite passé l’après-midi entre nous quatre à blaguer et à écouter de la musique.
J’avais donc accompagné Ben jusque chez lui. Nous étions arrivés vers seize heures trente. C’était justement l’heure du goûter. Christine était là ainsi que Denis, son petit-ami. Nous avions mangé des crêpes qu’Arlette avait cuit en début d’après-midi. Nous étions tous très heureux d’apprendre que Christine et Denis avaient eux aussi réussis leurs examens. Nous allions pouvoir passer des vacances en toute tranquillité.
Nous avions tous mangé le souper préparé par Arlette. Yves était très heureux d’avoir ses deux enfants à table, chacun d’eux avec son compagnon. Nous avions parlé de beaucoup de choses, de nos futures études, des vacances, de l’actualité, etc. Finalement ce repas s’était terminé vers vingt et une heures. Nous avions ensuite été regarder la télévision où un spectacle de variété était diffusé sur la première chaîne.
Nous avions ensuite gagné les chambres à coucher pour la nuit. Une fois notre douche prise et nos dents lavées, Ben et moi avions pris place dans le lit. Nous nous étions embrassés, enfin. Il est vrai que nous ne voulions pas tout le temps nous montrer en train de nos bécoter. Nous laissions cela pour des moments où nous n’étions qu’à nous deux.
Notre baiser langoureux ayant pris fin, nous nous regardions les yeux dans les yeux. Ben avait toujours son regard bleu océan aux des reflets lumineux. Ses yeux brillaient et montraient tout le bonheur de me regarder. Enfin sa tignasse blonde lui donnait l’air d’un ange, d’un ange protecteur, qui de son regard avait l’art d’apaiser toutes les tensions. C’était ce Ben que j’aimais avec ce sourire qui illuminait lui aussi ce visage que je ne me lassais pas de regarder.
Ben : « Hello Phil, tu rêves !
Moi : Oh oui, je vis un rêve éveillé !
Ben : Ah bon, j’ai l’impression que tu es plongé dans mon regard et même dans mon visage en entier !
Moi : Tu as parfaitement raison Ben. Je ne me lasse pas de te regarder. Tu sais que tu es un ange pour moi et ce depuis que nous nous sommes rencontrés à l’hôpital.
Ben : A ce point-là !
Moi : Oui Ben, tu ne peux pas t’imaginer.
Ben : Tu sais que toi aussi j’adore te regarder. Ton regard un peu gris donne envie de regarder au-delà, d’aller plus profond et d’entrer dans ta tête pour savoir ce que tu penses, ce qui te fait peur ou rire, enfin regarder la profondeur de ton être !
Moi : Tu exagère Ben. C’est vrai que je suis un peu mystérieux et que je ne dis pas tout, mais je crois que tu lis à livre ouvert en moi au travers de mon regard.
Ben : Tu n’as pas tort. C’est d’ailleurs ça qui fait ton charme, c’est cette part de toi qui est un peu floue et qui mérite d’être découverte.
Après un moment sans parler, toujours en se regardant l’un l’autre dans les yeux :
Moi : Oh Ben si tu savais combien je t’aime !
Ben : Oui je le sais Phil. Puis je t’aime aussi et tu le mérites. »
Il fallait que nous arrêtions de nous dire toutes ces choses-là, car nous allions nous mettre à pleurer. Déjà mes yeux s’étaient humidifiés, tout comme ceux de Ben. J’avais alors embrassé une nouvelle fois mon ange blond. Nos langues avaient passé la barrière de nos lèvres et pouvaient donc danser entre elles. Nos salives se mêlaient, nos respirations s’étaient calquées l’une sur l’autre de même que nos cœurs. Nous entrions en communion. Nous avions déjà ressenti ce sentiment quelques fois, mais cela devenait de plus en plus courant. Alors nos pénis avaient eux aussi pris de l’ampleur. Ils s’étaient dressés tels des pieux vers le ciel. Nos glands étaient déjà tout humide. Puis nos mains venaient caresser le dos de l’être aimé. Elles allaient et venaient sur nos corps déjà brûlants, sur nos fesses. Nos doigts ensuite s’attardaient au niveau de nos tétons tandis que notre baiser se poursuivait de plus belle. Enfin, lorsque notre étreinte buccale s’était achevée, j’avais entrepris de mordiller tendrement le lobe de l’oreille gauche de Ben. Puis ma bouche et mes lèvres s’attardaient au niveau du cou de Ben. Ensuite c’est Ben qui avait pris le dessus. Sa bouche allait sur mon torse ainsi qu’au niveau de mon cou. Nos mains poursuivaient elles aussi leur ballet de caresses voluptueuses. Puis enfin, sexe contre sexe, les yeux dans les yeux, nos mains s’étaient placées sur nos protubérances bandées. Chacun de nous avions une main posée sur les deux bâtons d’amour réunis. Sans aucun mot nous avions entamé une lente masturbation mutuelle de nos phallus réunis. C’était divin. Cette sensation de chaleur qui montait au travers de nos appendices était merveilleuse. Nous étions concentrés afin de maintenir le rythme ni trop lent ni trop rapide pour avoir des sensations en pleines évolutions. Nos glands étaient déjà très humides et se montraient puis disparaissaient au fur et à mesure de nos mouvements, ainsi couverts et découverts par nos prépuces. Nos respirations s’accéléraient, nos râles se faisaient de plus en plus entendre, nos corps étaient toujours en accord et nos mouvements en harmonie. Une nouvelle fois nos bouches se rencontraient et se séparaient au grès des petits bisous échangés. Je sentais que Ben n’était pas loin de l’orgasme, il n’exerçait plus la même pression sur nos colonnes de chair, j’avais moi aussi calqué mes mouvements sur les siens en vue de retarder les éjaculations. Cela faisait déjà dix bonnes minutes que nous nous branlions de concert et d’un clignement de paupières nous avions repris un rythme plus soutenu en vue d’arriver à ce moment libératoire qu’est l’éjaculation. Nous commencions à nous cambrer, nos respirations s’étaient faites plus rapides et nos râles étaient de plus en plus sonores. Puis à un moment, en même temps, à l’unisson nous avions déchargé nos jets de semences en alternance. Nous n’avions pas encore connu d’orgasme comme celui que nous vivions ensemble, d’une telle intensité. Nos spermes étaient mêlés et dégoulinaient le long de nos membres encore dressés. Nous reprenions notre respiration doucement. J’avais alors laîché mes doigts avant de procéder au nettoyage de la verge de Ben. J’avais en bouche le goût mêlé de nos spermes. Ben lui aussi avait fait la même chose que moi. Nous étions restés unis durant ce moment magique ainsi partagé.
Nous nous étions ensuite affalés côte à côte sur le lit de Ben, heureux. Oui nous étions heureux d’avoir pu nous aimer comme nous venions de le faire. Heureux d’avoir des parents si aimants ainsi que des familles formidables. J’avais tourné la tête vers Ben et je lui avais dit :
Moi : « Merci Ben, merci pour ce merveilleux moment !
Ben : Merci à toi Phil. J’ai adoré, c’était divin. »
Nous nous étions mis à rire. Nous étions vraiment heureux et nous nous étions embrassés pour la x-ième fois sur ce lit qui avait accueilli nos ébats. Nous nous étions regardé les yeux dans les yeux le temps de trouver le sommeil.