17-05-2021, 09:16 AM
Nous sommes descendus au rez-de-chaussée pour rejoindre le reste de la famille pour prendre le petit déjeuner. À voir la tête des deux filles ainsi que celle de maman, j’ai tout de suite compris qu’elles toutes avaient entendu nos ébats. Nous sommes, Julien et moi, devenus rouges comme des pivoines ! Nous faisons la bise à maman et aux filles et prenons place à table. Maman nous dit :
Mam : « Vous n’avez pas été discrets ce matin.
Moi : Désolé !
Mam : Bon, je veux bien prendre ça pour des excuses, mais essayez de faire attention la prochaine fois.
Jul : Nous sommes vraiment désolés ! Promis nous allons faire attention pour les autres fois.
Mam : J’y compte bien.
Nous sommes de plus en plus stressés, nous ne nous attendions pas à une telle réaction. Maman nous regarde et se met à rire ! Je regarde Juju, nous nous demandons ce qui se passe. Puis les filles elles aussi se mettent à rire. C’est enfin Delphine qui nous dit :
Del : On vous a bien eus. Nous vous avons entendu, mais cela ne nous a pas dérangés. Au moins on sait que vous vous aimez et que Julien est en meilleure forme qu’hier au soir !
Jul : Oh là, c’est malin !
Moi : Je me demandais ce qui se passait ! Vous nous avez effectivement bien eus !
Mam : Allez les garçons, c’est fini, c’était juste pour vous faire mousser.
Moi : C’est réussi maman. »
Je me lève et je lui fait un gros câlin. Julien me suit et fait de même. Nous nous rasseyons et enfin nous prenons notre petit-déjeuner. Une bonne tasse de café et des tartines à la confiture pour Julien, pour moi c’est du café et des tartines au fromage. Nous regardons l’heure et dans une bonne heure c’est l’arrivée de Martin le kiné.
Avant que Martin n’arrive, nous nous installons dans le salon et mettons un disque de Beatles, soit « Let It Be ». Je sais que maman aime bien ce groupe génial. Elle est allée le voir en concert avec papa quand ils étaient partis au Royaume Uni. Nous étions restés avec mon frère et ma sœur chez nos grand parents une huitaine de jours.
Voilà qu’on sonne à la porte. Je vais ouvrir, c’est bien entendu Martin qui est arrivé. Je le conduis auprès de Julien. Ils se rendent dans la chambre médicalisée pour débuter les exercices. Je pense qu’ils iront à la piscine un peu plus tard. Je vais près de maman qui est dans la cuisine. Elle prépare déjà le repas. En fait elle cuit déjà un pain de viande pour qu’il soit servi froid au souper. Pour midi c’est une salade césar accompagnée de toasts. Je m’occupe alors de la salade non sans avoir mis un autre disque de Beatles, « Abbey Road ». C’est très agréable de cuisiner en musique, maman est ravie tout comme moi d’ailleurs.
Après vingt minutes, Martin quitte la chambre et patiente un moment car Julien se prépare pour aller dans la piscine pour les exercices. Juju a préparé ce matin un bermuda assez large pour aller dans l’eau. Je ne sais pas si Martin aurait apprécié qu’il soit à poil pour sa rééducation. Je vois qu’ils se rendent au jardin. Julien entre dans l’eau et Martin y descends lui aussi vêtu d’un short.
Puis une bonne dizaine de minutes plus tard, j’entends Julien m’appeler. Je sors pour rejoindre mon chéri et voir ce qu’il veut. Lorsque j’arrive à la piscine je vois que Martin attend au bord tandis que Julien, toujours dans l’eau, tient son bermuda dont l’élastique a lâché. Je me mets à rire. Je dis alors :
Moi : « Hé bien Juju, tu as un souci avec ton bermuda !
Jul : Oui, il faudrait que tu ailles chercher un short pour moi.
Moi : OK, mais tu pourrais poursuivre sans rien, à moins que Martin y trouve à redire.
Mar : Si je comprends bien, Julien est d’accord pour poursuivre les exercices, nu !
Jul : Oui, à moins que ça vous dérange !
Mar : Pas le moins du monde. Vous faites du naturisme ?
Moi et Jul : Oui !
Mar : Oups, pas de souci, vous pouvez vous dévêtir, je suis aussi naturiste ! »
Julien ôte son bermuda, Martin hésite et enlève son short. Je fais la même chose et je rejoins mon chéri dans la piscine. Martin poursuit la rééducation de Juju en tenue d’Adam. J’aide Martin à maintenir par moment Julien pour certains exercices plus particuliers. Il est vrai que les mouvements dans l’eau sont différents que ceux faits en dehors. Je vois que Julien en veut, il s’applique et fait ce qu’il faut pour se réapproprier son corps et l’usage de ses membres. Martin est content de voir les progrès qu’il fait. Il va être temps de sortir de l’eau. Martin a prévu de faire cinq minutes de marche dans la pelouse. Il me demande s’il faut se rhabiller ou pas. Je lui dis que nous pouvons rester nus, car nous avons l’habitude d’être ainsi le plus souvent possible lorsqu’il fait beau.
Je retourne à la maison et je demande à Maman des draps de bain pour nous essuyer. En prenant les trois essuies, maman me dit que nous avons bien fait de nous mettre nus pour les exercices dans la piscine.
Julien termine sa séance de kiné moins fatigué que la veille. Martin le félicite des progrès qu’il réalise de jour en jour. Je suis moi-même étonné de voir la progression de mon chéri vers la guérison totale ! Bref nous nous sommes essuyés avec les draps de bain que maman m’a donnés. Martin se rhabille et reprend ses affaires. Il trouve maman et discute avec elle. Il semble impressionné par le volonté de Juju d’atteindre le but final, soit d’être à nouveau autonome. Puis il s’excuse de s’être mis nu pour la rééducation de Julien dans la piscine. Il dit qu’il est naturiste et que ça lui a semblé normal de se dévêtir sachant que Julien et Phil sont adeptes du naturisme ! Maman lui dit qu’elle a trouvé ça dans l’ordre des choses !
Une fois que Martin soit parti, maman nous demande de ne pas exagérer et de rester calme. Elle ajoute que Julien a aussi besoin de repos après cette séance de kiné. Juju et moi nous nous installons sur la pelouse à proximité du saule pleureur et nous discutons de tout et de rien. Je me souviens que Papa m’a demandé de sensibiliser mon chéri pour qu’il clôture le dossier d’inscription à la faculté de droit, je lui dis alors :
Moi : « Tu sais Juju que ton dossier pour la fac doit être rendu dans deux jours.
Jul : Oh, j’avais oublié. Tu sais Phil je n’ai plus la notion du temps. Je vais m’y atteler, il est presque complet !
Moi : Tu sais que c’est important pour ton avenir. Je vois que tu progresses pour être à nouveau d’attaque.
Jul : Merci, je fais ce qu’il faut, j’ai compris que c’est à moi de prendre les choses en main pour mon avenir.
Moi : Tu ne peux pas savoir comme j’en suis heureux !
Jul : Je m’en doute, tu es si attentif à moi et aux autres !
Moi : Ici, c’est que je t’aime Juju et que je veux que toi aussi tu puisses t’épanouir !
Jul : Merci pour tes gentilles paroles. Bon, dans une demi-heure on rentre et on finit mon dossier.
Moi : Super ! »
Je me penche vers mon chéri et je dépose mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassons avec fougue. Je reconnais bien là mon chéri. Il a décidé d’aller de l’avant et de mettre toutes ses chances de son côté. Nos mains s’égarent sur nos corps dénudés. Nos phallus eux aussi se sont dressés, mais je pense que ce n’est pas le moment ni même l’endroit idéal pour se donner du plaisir. J’en fais part à Julien et nous laissons retomber la pression. Je lui susurre à l’oreille qu’après le dîner, comme pendant la sieste, par exemple, nous pourrions peut-être en profiter pour nous rapprocher pour quelques câlins plus appuyés ! Juju affiche alors un sourire qui en dit long !
Il est temps de rentrer et de clôturer le dossier de mon chéri pour la rentrée académique à la Faculté de Droit. Julien met donc la touche finale à son dossier. Il devait y mentionner les référence de ses parents et il s’est attaqué à la case prévue pour mentionner les tuteurs légaux. Je m’en doute que ce n’est pas évident pour lui. Bref tout est complet. Julien ne ferme pas l’enveloppe, laissant à Papa l’occasion de bien vérifier et de voir si tout est en ordre.
Nous nous installons ensuite dans le salon et je mets un autre vinyle sur la platine, un disque de Deep Purple « Made In Japan ». Nous écoutons ce superbe condensé des concerts que ce groupe a réalisé au Japon. Nos sœurs rentrent et se joignent à nous pour écouter la fin de la face « B ». Dans quelques minutes il va être temps de passer à table et donc de donner un coup de main à maman.
Nous apportons donc notre aide pour dresser la table. Nous mangeons la salade césar que j’avais préparée en matinée. Nous bavardons entre nous et Julien avertit maman que son dossier est complet pour son inscription définitive à la fac de droit. Maman est ravie de même que Stéphanie. Elle se lève et va donner un bisou sur sa joue. L’atmosphère est à la détente, à la respiration, à l’envie d’aller de l’avant et de faire abstraction du passé. Enfin rien que des pensées positives !
Nous débarrassons la table et ensuite nous montons Julien et moi à l’étage pour rejoindre ma chambre, non « notre chambre » !
Nous nous désapons et c’est nu que nous nous mettons sur le lit. Nos corps se serrent l’un contre l’autre. Nos mains voyagent la peau de l’être aimé, de l’être désiré ! Nous bouches se cherchent, nos lèvres se touchent doucement. Nous nous donnons de petits bisous répétés. Puis enfin elles se collent et notre baiser devient de plus en plus prononcé, c’est avec ardeur que nos langues se mélangent dans nos bouches, allant d’une à l’autre pour leur plus grand bonheur. On sent bien la chaleur de nos corps qui se touchent nous donner l’envie d’aller plus loin. Nos virilités ne sont pas en reste, elles sont dressées tels des mats de cocagne vers le plafond. Nos mains prennent possession de nos hampes dures et chaudes à la fois. Nous effectuons quelques mouvements de va et vient le long de celles-ci. Nos regards se croisent et sans rien dire, seulement au travers de ceux-ci, je me bouge et viens me placer tête bêche pour venir déposer mes lèvres sur le gland déjà luisant de mon Juju d’amour. Je sens aussi qu’il s’occupe de ma colonne de chair, la langue s’enroule sur le dessus de celle-ci et cette caresse buccale ne me laisse pas d’autre solution que de gémir de bonheur. C’est alors le moment venu de calquer nos mouvements en vue de nous donner un plaisir partagé par bouches interposées. Julien me suce divinement, sa langue est d’une adresse déconcertante, elle me procure véritablement beaucoup de frissons, des sensations délicates et à la fois insistantes. Julien lui aussi émets des râles de bonheur. Nous nous attaquons aussi par moment aux deux boules qui sont en attente d’être elles aussi sucées comme il se doit. C’est franchement divin, une alternance est mise en place pour que nos attributs soient cajolés et sucés comme des sucres d’orge !
Je sais que Julien n’est pas loin d’arriver au point de non-retour, je ralenti la pression et la vitesse de ma « sucette » ! De son côté Juju accélère la cadence car il sait que je suis loin d’être prêt à jouir. Je sens alors qu’un doigt de mon chéri s’aventure dans mon sillon fessier. Puis c’est à l’entrée de ma grotte qu’il s’arrête pour tourner autour d’elle. Ensuite il pénètre dans la cavité préparée ci qui me procure de belles sensations et me donne l’envie de crier de plaisir. Je sens que ma prostate est ensuite titillée ce qui a pour effet d’accentuer la montée du plaisir. Juju sait ce qu’il fait, il veut que je jouisse intensément. Je fais de même avec un doigt, je m’occupe de sa rosette que je caresse pour que je puisse entrer dans l’antre de mon chéri. Voilà que je palpe, au travers de son conduit anal, sa prostate. C’est alors le début de la jouissance pour Juju. Je sens que ses muscles se cabrent, ils se serrent et d’un coup, dans un cri de plaisir, il laisse sa semence s’étaler dans mon palais. Je ne perds aucune goute de ce nectar. Bien entendu je suis moi aussi au bord de lâcher les vannes. Juju le sens et il accentue encore la pression de sa langue au niveau de mon gland et le long de ma tige. Puis dans un râle de bonheur je laisse ma liqueur d’amour venir tapisser le font de la gorge de mon amour.
Nous nous embrassons en mélangeant un partie de nos semences. Nous échangeons des « Je t’aime » et c’est affalé, l’un à côté de l’autre, que nous récupérons et retrouvons tous nos sens en étant encore dans notre nuage. Nous avons difficile à en descendre. Nous y sommes sans doute restés un bon moment !
Nous sommes réveillés, quelqu’un frappe à la porte de la chambre. Nous nous étions endormis sans nous en rendre compte. Ma sœur Delphine ouvre et entre. A son regard on sent bien qu’elle semble très heureuse de nous voir ainsi couché sur mon lit. Elle sait très bien que nous n’avons pas fait que dormir, mais que nous nous sommes aimés. Elle affiche un large sourire et nous donne à chacun un bisou sur le front. Elle nous signale que le goûter va être servi !
Mam : « Vous n’avez pas été discrets ce matin.
Moi : Désolé !
Mam : Bon, je veux bien prendre ça pour des excuses, mais essayez de faire attention la prochaine fois.
Jul : Nous sommes vraiment désolés ! Promis nous allons faire attention pour les autres fois.
Mam : J’y compte bien.
Nous sommes de plus en plus stressés, nous ne nous attendions pas à une telle réaction. Maman nous regarde et se met à rire ! Je regarde Juju, nous nous demandons ce qui se passe. Puis les filles elles aussi se mettent à rire. C’est enfin Delphine qui nous dit :
Del : On vous a bien eus. Nous vous avons entendu, mais cela ne nous a pas dérangés. Au moins on sait que vous vous aimez et que Julien est en meilleure forme qu’hier au soir !
Jul : Oh là, c’est malin !
Moi : Je me demandais ce qui se passait ! Vous nous avez effectivement bien eus !
Mam : Allez les garçons, c’est fini, c’était juste pour vous faire mousser.
Moi : C’est réussi maman. »
Je me lève et je lui fait un gros câlin. Julien me suit et fait de même. Nous nous rasseyons et enfin nous prenons notre petit-déjeuner. Une bonne tasse de café et des tartines à la confiture pour Julien, pour moi c’est du café et des tartines au fromage. Nous regardons l’heure et dans une bonne heure c’est l’arrivée de Martin le kiné.
Avant que Martin n’arrive, nous nous installons dans le salon et mettons un disque de Beatles, soit « Let It Be ». Je sais que maman aime bien ce groupe génial. Elle est allée le voir en concert avec papa quand ils étaient partis au Royaume Uni. Nous étions restés avec mon frère et ma sœur chez nos grand parents une huitaine de jours.
Voilà qu’on sonne à la porte. Je vais ouvrir, c’est bien entendu Martin qui est arrivé. Je le conduis auprès de Julien. Ils se rendent dans la chambre médicalisée pour débuter les exercices. Je pense qu’ils iront à la piscine un peu plus tard. Je vais près de maman qui est dans la cuisine. Elle prépare déjà le repas. En fait elle cuit déjà un pain de viande pour qu’il soit servi froid au souper. Pour midi c’est une salade césar accompagnée de toasts. Je m’occupe alors de la salade non sans avoir mis un autre disque de Beatles, « Abbey Road ». C’est très agréable de cuisiner en musique, maman est ravie tout comme moi d’ailleurs.
Après vingt minutes, Martin quitte la chambre et patiente un moment car Julien se prépare pour aller dans la piscine pour les exercices. Juju a préparé ce matin un bermuda assez large pour aller dans l’eau. Je ne sais pas si Martin aurait apprécié qu’il soit à poil pour sa rééducation. Je vois qu’ils se rendent au jardin. Julien entre dans l’eau et Martin y descends lui aussi vêtu d’un short.
Puis une bonne dizaine de minutes plus tard, j’entends Julien m’appeler. Je sors pour rejoindre mon chéri et voir ce qu’il veut. Lorsque j’arrive à la piscine je vois que Martin attend au bord tandis que Julien, toujours dans l’eau, tient son bermuda dont l’élastique a lâché. Je me mets à rire. Je dis alors :
Moi : « Hé bien Juju, tu as un souci avec ton bermuda !
Jul : Oui, il faudrait que tu ailles chercher un short pour moi.
Moi : OK, mais tu pourrais poursuivre sans rien, à moins que Martin y trouve à redire.
Mar : Si je comprends bien, Julien est d’accord pour poursuivre les exercices, nu !
Jul : Oui, à moins que ça vous dérange !
Mar : Pas le moins du monde. Vous faites du naturisme ?
Moi et Jul : Oui !
Mar : Oups, pas de souci, vous pouvez vous dévêtir, je suis aussi naturiste ! »
Julien ôte son bermuda, Martin hésite et enlève son short. Je fais la même chose et je rejoins mon chéri dans la piscine. Martin poursuit la rééducation de Juju en tenue d’Adam. J’aide Martin à maintenir par moment Julien pour certains exercices plus particuliers. Il est vrai que les mouvements dans l’eau sont différents que ceux faits en dehors. Je vois que Julien en veut, il s’applique et fait ce qu’il faut pour se réapproprier son corps et l’usage de ses membres. Martin est content de voir les progrès qu’il fait. Il va être temps de sortir de l’eau. Martin a prévu de faire cinq minutes de marche dans la pelouse. Il me demande s’il faut se rhabiller ou pas. Je lui dis que nous pouvons rester nus, car nous avons l’habitude d’être ainsi le plus souvent possible lorsqu’il fait beau.
Je retourne à la maison et je demande à Maman des draps de bain pour nous essuyer. En prenant les trois essuies, maman me dit que nous avons bien fait de nous mettre nus pour les exercices dans la piscine.
Julien termine sa séance de kiné moins fatigué que la veille. Martin le félicite des progrès qu’il réalise de jour en jour. Je suis moi-même étonné de voir la progression de mon chéri vers la guérison totale ! Bref nous nous sommes essuyés avec les draps de bain que maman m’a donnés. Martin se rhabille et reprend ses affaires. Il trouve maman et discute avec elle. Il semble impressionné par le volonté de Juju d’atteindre le but final, soit d’être à nouveau autonome. Puis il s’excuse de s’être mis nu pour la rééducation de Julien dans la piscine. Il dit qu’il est naturiste et que ça lui a semblé normal de se dévêtir sachant que Julien et Phil sont adeptes du naturisme ! Maman lui dit qu’elle a trouvé ça dans l’ordre des choses !
Une fois que Martin soit parti, maman nous demande de ne pas exagérer et de rester calme. Elle ajoute que Julien a aussi besoin de repos après cette séance de kiné. Juju et moi nous nous installons sur la pelouse à proximité du saule pleureur et nous discutons de tout et de rien. Je me souviens que Papa m’a demandé de sensibiliser mon chéri pour qu’il clôture le dossier d’inscription à la faculté de droit, je lui dis alors :
Moi : « Tu sais Juju que ton dossier pour la fac doit être rendu dans deux jours.
Jul : Oh, j’avais oublié. Tu sais Phil je n’ai plus la notion du temps. Je vais m’y atteler, il est presque complet !
Moi : Tu sais que c’est important pour ton avenir. Je vois que tu progresses pour être à nouveau d’attaque.
Jul : Merci, je fais ce qu’il faut, j’ai compris que c’est à moi de prendre les choses en main pour mon avenir.
Moi : Tu ne peux pas savoir comme j’en suis heureux !
Jul : Je m’en doute, tu es si attentif à moi et aux autres !
Moi : Ici, c’est que je t’aime Juju et que je veux que toi aussi tu puisses t’épanouir !
Jul : Merci pour tes gentilles paroles. Bon, dans une demi-heure on rentre et on finit mon dossier.
Moi : Super ! »
Je me penche vers mon chéri et je dépose mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassons avec fougue. Je reconnais bien là mon chéri. Il a décidé d’aller de l’avant et de mettre toutes ses chances de son côté. Nos mains s’égarent sur nos corps dénudés. Nos phallus eux aussi se sont dressés, mais je pense que ce n’est pas le moment ni même l’endroit idéal pour se donner du plaisir. J’en fais part à Julien et nous laissons retomber la pression. Je lui susurre à l’oreille qu’après le dîner, comme pendant la sieste, par exemple, nous pourrions peut-être en profiter pour nous rapprocher pour quelques câlins plus appuyés ! Juju affiche alors un sourire qui en dit long !
Il est temps de rentrer et de clôturer le dossier de mon chéri pour la rentrée académique à la Faculté de Droit. Julien met donc la touche finale à son dossier. Il devait y mentionner les référence de ses parents et il s’est attaqué à la case prévue pour mentionner les tuteurs légaux. Je m’en doute que ce n’est pas évident pour lui. Bref tout est complet. Julien ne ferme pas l’enveloppe, laissant à Papa l’occasion de bien vérifier et de voir si tout est en ordre.
Nous nous installons ensuite dans le salon et je mets un autre vinyle sur la platine, un disque de Deep Purple « Made In Japan ». Nous écoutons ce superbe condensé des concerts que ce groupe a réalisé au Japon. Nos sœurs rentrent et se joignent à nous pour écouter la fin de la face « B ». Dans quelques minutes il va être temps de passer à table et donc de donner un coup de main à maman.
Nous apportons donc notre aide pour dresser la table. Nous mangeons la salade césar que j’avais préparée en matinée. Nous bavardons entre nous et Julien avertit maman que son dossier est complet pour son inscription définitive à la fac de droit. Maman est ravie de même que Stéphanie. Elle se lève et va donner un bisou sur sa joue. L’atmosphère est à la détente, à la respiration, à l’envie d’aller de l’avant et de faire abstraction du passé. Enfin rien que des pensées positives !
Nous débarrassons la table et ensuite nous montons Julien et moi à l’étage pour rejoindre ma chambre, non « notre chambre » !
Nous nous désapons et c’est nu que nous nous mettons sur le lit. Nos corps se serrent l’un contre l’autre. Nos mains voyagent la peau de l’être aimé, de l’être désiré ! Nous bouches se cherchent, nos lèvres se touchent doucement. Nous nous donnons de petits bisous répétés. Puis enfin elles se collent et notre baiser devient de plus en plus prononcé, c’est avec ardeur que nos langues se mélangent dans nos bouches, allant d’une à l’autre pour leur plus grand bonheur. On sent bien la chaleur de nos corps qui se touchent nous donner l’envie d’aller plus loin. Nos virilités ne sont pas en reste, elles sont dressées tels des mats de cocagne vers le plafond. Nos mains prennent possession de nos hampes dures et chaudes à la fois. Nous effectuons quelques mouvements de va et vient le long de celles-ci. Nos regards se croisent et sans rien dire, seulement au travers de ceux-ci, je me bouge et viens me placer tête bêche pour venir déposer mes lèvres sur le gland déjà luisant de mon Juju d’amour. Je sens aussi qu’il s’occupe de ma colonne de chair, la langue s’enroule sur le dessus de celle-ci et cette caresse buccale ne me laisse pas d’autre solution que de gémir de bonheur. C’est alors le moment venu de calquer nos mouvements en vue de nous donner un plaisir partagé par bouches interposées. Julien me suce divinement, sa langue est d’une adresse déconcertante, elle me procure véritablement beaucoup de frissons, des sensations délicates et à la fois insistantes. Julien lui aussi émets des râles de bonheur. Nous nous attaquons aussi par moment aux deux boules qui sont en attente d’être elles aussi sucées comme il se doit. C’est franchement divin, une alternance est mise en place pour que nos attributs soient cajolés et sucés comme des sucres d’orge !
Je sais que Julien n’est pas loin d’arriver au point de non-retour, je ralenti la pression et la vitesse de ma « sucette » ! De son côté Juju accélère la cadence car il sait que je suis loin d’être prêt à jouir. Je sens alors qu’un doigt de mon chéri s’aventure dans mon sillon fessier. Puis c’est à l’entrée de ma grotte qu’il s’arrête pour tourner autour d’elle. Ensuite il pénètre dans la cavité préparée ci qui me procure de belles sensations et me donne l’envie de crier de plaisir. Je sens que ma prostate est ensuite titillée ce qui a pour effet d’accentuer la montée du plaisir. Juju sait ce qu’il fait, il veut que je jouisse intensément. Je fais de même avec un doigt, je m’occupe de sa rosette que je caresse pour que je puisse entrer dans l’antre de mon chéri. Voilà que je palpe, au travers de son conduit anal, sa prostate. C’est alors le début de la jouissance pour Juju. Je sens que ses muscles se cabrent, ils se serrent et d’un coup, dans un cri de plaisir, il laisse sa semence s’étaler dans mon palais. Je ne perds aucune goute de ce nectar. Bien entendu je suis moi aussi au bord de lâcher les vannes. Juju le sens et il accentue encore la pression de sa langue au niveau de mon gland et le long de ma tige. Puis dans un râle de bonheur je laisse ma liqueur d’amour venir tapisser le font de la gorge de mon amour.
Nous nous embrassons en mélangeant un partie de nos semences. Nous échangeons des « Je t’aime » et c’est affalé, l’un à côté de l’autre, que nous récupérons et retrouvons tous nos sens en étant encore dans notre nuage. Nous avons difficile à en descendre. Nous y sommes sans doute restés un bon moment !
Nous sommes réveillés, quelqu’un frappe à la porte de la chambre. Nous nous étions endormis sans nous en rendre compte. Ma sœur Delphine ouvre et entre. A son regard on sent bien qu’elle semble très heureuse de nous voir ainsi couché sur mon lit. Elle sait très bien que nous n’avons pas fait que dormir, mais que nous nous sommes aimés. Elle affiche un large sourire et nous donne à chacun un bisou sur le front. Elle nous signale que le goûter va être servi !