15-05-2021, 09:18 AM
Il devait être seize heures, j’avais entendu du bruit. J’avais ouvert les yeux et je m’étais rendu compte que j’étais dans les bras de Benoît, dans son lit. A peine réveillé, j’avais entendu frapper à la porte de la chambre de Ben. A peine quinze secondes plus tard, la porte s’ouvrit, c’était Arlette qui passait sa tête par l’entrebâillement. Je lui avais fait un petit signe, elle avait compris. Elle savait que son fils Benoît dormait encore et que j’étais à ses côtés, nu tout comme lui. Arlette avait dû voir nos vêtements allant du hall d’entrée jusqu’à la chambre de Ben. Pour moi, je n’avais aucune honte à avoir. J’étais certain que la maman de Ben avait compris ce qui s’était passé. Bref Ben et moi nous nous étions aimés !
Nous allions passer le week-end ensemble. Une fois que Ben fut réveillé, je l’avais avisé de ce qui s’était passé avec sa maman, sa venue à la porte de la chambre et bien entendu nos vêtements étalés dans les escaliers et le hall. J’avais vu le visage de Ben changé mais je l’avais rassuré. Nous nous étions levés, nous étions allés voir Arlette qui était dans la cuisine. Nous étions nus, évidemment, car nos vêtements avaient été ramassés par Arlette. Elle nous avait demandé si nous nous étions bien retrouvés. Cette remarque était à double sens, oui nous nous étions retrouvés tant visuellement que physiquement. Elle le savait et elle ne nous avait fait aucun reproche. Finalement nous avions pris le gouter dans le plus simple appareil.
Après ce goûter, j’avais téléphoné à la maison pour avertir mes parents. Je savais qu’ils souhaitaient être au courant de mes allées et venues, non pour me surveiller, mais seulement en cas de souci avec des personnes mal intentionnées ! Ils savaient que j’étais en fin de compte encore assez fragile. Maman avait accepté que je reste dormir chez Ben mais que je devais être à la maison le lendemain pour midi au plus tard ; Ben était lui aussi le bienvenu. J’avais confirmé à maman que je serai présent vers les onze heures.
Nous avions passé la soirée ensemble avec la famille de Benoît. C’est d’ailleurs lors de cette soirée que la sœur de Ben, Christine, était revenue avec un garçon, son ami Denis. En fait c’était un gars que j’avais déjà vu à l’école, c’était un gars de rhéto de mon école. Dès qu’il fut entré, il m’avait bien entendu reconnu. Il avait d’ailleurs déjà vu Benoît lors d’un de ses visites. Nous nous étions salués.
Benoît m’avait présenté.
Ben : « Je te présente Phil. Je suppose que tu le connais !
Den : Oui, bonjour Phil, tu es dans la même école que moi.
Moi : Oui Denis. Je suis en poésie.
Den : Je m’en doute, j’ai entendu parler de toi.
Ben : Tu sais Denis, Phil est mon ami.
Den : Voilà, les choses sont claires. Pour moi, il n’y a pas de souci. Tu sais Phil, que tu sois hétéro, homo ou autre, peu m’importe, je n’en ai rien à faire.
Chri : Tu sais Denis, mon frère Benoît est tout pour moi. Tu le sais qu’il est homo et son petit ami c’est Phil. Je te dis tout de suite que Phil est un super gars, je l’apprécie car il fait partie de la famille.
Den : Mais pour moi cela n’est pas un problème. Je n’ai rien contre les homos. De plus si Ben et Phil sont homos, et bien je vais les accepter tels qu’ils sont.
Ben : Merci Denis, merci de ton ouverture d’esprit. Tu connais Phil et je peux te dire que c’est un gars génial ; et en plus je l’aime.
Den : Pas de souci Benoît. Je vous respecte.
Moi : Merci Denis. Je suis heureux de te connaître. Puis je suis heureux pour vous deux, Christine et toi.
Den : Merci Phil. Tu sais que tu es, selon ce que j’ai entendu, un gars super. Alors n’ait crainte, je suis heureux de te connaître. Je pense que nous allons nous revoir souvent.
Chri : Merci les gars, vous êtes géniaux. Cela me fait chaud au cœur. Vous êtes tous les trois importants pour moi.
Ben et moi nous nous étions éloignés. Et alors que nous allions passer la porte du salon, j’avais entendu Christine dire à Denis :
Chri : Je t’en dirai plus Denis, mais Ben et Phil sont des anges pour moi. Ce sont des êtres exceptionnels, remplis de sensibilité.
Den : Ne t’inquiètes pas, je me doute bien qu’ils sont très importants pour toi mon amour !
Chri : Merci mon Denis d’amour.
J’avais compris que Denis allait lui aussi être un allié pour nous. C’est à ce moment-là que la maman de Benoît était arrivée. Elle avait dit :
Arl : Bon les jeunes, je vous compte pour le souper, j’espère que vous restez manger. »
Denis et Christine avaient dit oui, Ben aussi bien entendu et moi également, j’allais rester loger. Puis c’est Yves qui venait de rentrer de son travail. Nous étions alors tous debout dans le salon. C’est Yves qui s’étant rendu compte que c’était la première fois que ses deux enfants étaient réunis, en famille, chacun avec son amoureux. Yves avait alors invité tout le monde à prendre l’apéritif.
Nous avions pris l’apéro ensemble ainsi que le souper. De plus Denis était resté logé. Il allait passer la nuit avec Christine. Ben et moi nous allions passer la nuit aussi ensemble. Je pense que Yves devait être heureux ainsi qu’Arlette. J’aimais bien mes « beaux-parents ».
Effectivement Arlette et Yves étaient heureux de voir leurs deux enfants bien entourés. Cela se voyait. Au dessert Arlette avait souhaité aux deux couples de s’aimer mais en faisant toujours attention au partenaire, de ne pas le contrarier et aussi de se parler, de dire ce qui n’allait pas et bien sûr de dire ce qui allait bien. Nous en étions très conscients. Puis nous étions restés en famille pour la soirée. Nous avions continué à papoter. Benoît revenait sur ce qui nous attendait durant les vacances. Puis il avait trouvé super génial de pouvoir faire le même job d’étudiant dans le même supermarché que moi. Il me disait encore de remercier maman.
A l’issue de cette soirée familiale nous étions montés dans les chambres. Nous nous étions tous souhaités une bonne nuit. Ben et moi nous étions passés par la salle de bain pour prendre une douche et nous laver les dents. Ensuite nous avions regagné la chambre. Une fois la porte refermée, il n’avait pas fallu dix secondes pour nous nous soyons mis à nous embrasser. Nos langues une nouvelle fois s’en donnaient à cœur joie. Elles y allaient de plus en plus belle. Nos mains n’étaient pas restées sans rien faire, je caressais les cheveux blonds de mon amour, j’allais dans sa nuque et ensuite dans son dos. Les mains de Ben s’attardaient au niveau de mes fesses. Mon pénis commençait à prendre de l’ampleur. Bref la température commençait à monter ! Nous étions partis pour nous donner l’un à l’autre. Ma bouche avait quitté celle de Ben pour redescendre vers son torse. J’aimais bien passer ma langue sur ce torse imberbe, cela me donnait des sensations assez spéciales. Puis ma bouche s’était arrêtée au niveau du pubis de mon Ben. De jolis poils blonds ornait le dessus de ce service trois pièce, de fort belle allure par ailleurs. L’élément le plus important pointait son gland vers le haut. Il n’en fallait pas plus pour ma bouche vienne se positionner au-dessus de cette hampe tant désirable. Mes lèvres s’étaient entrouvertes pour enfin se placer sur ce gland déjà luisant. L’attrait devenant de plus en plus précis et incontrôlable, mes lèvres s’étaient mises à enserrer cet appendice dressé. Ma bouche entamait alors des mouvements d’aller et retour.
Ben m’avait demandé de cesser mon activité pour me demander d’aller sur le lit. J’avais accepté à regret de laisser mon opération bénéfique en plan. Mais cela n’allait être que partie remise. Ben me demanda de nous sucer ensemble. Nous avions alors pris notre position tête bêche, position que nous n’avions plus prise depuis un certain temps. C’était une excellente idée. Nos sexes étaient tous les deux dans le même état. Nos glands étaient luisants et nos phallus n’attendaient plus que nous nous en n’occupions. Nous n’avons pas hésité une seconde. Nos bouches allaient et venaient sur la tige de notre partenaire. Nous savions comment nous y prendre, bien que nous ne voulions pas adopter tout à fait la même technique. Ben avait l’art de me donner des sensations toujours de plus en plus puissantes. Il savait y faire. Je n’étais plus dans mon état normal. J’étais comme déposé sur un nuage de bonheur. Je commençais à râler de bonheur et de satisfaction. Je tentais de rester concentré pour procurer le maximum de plaisir à mon Ben d’amour. Je sentais qu’il commençait à monter en jouissance. Mes lèvres alternaient la pression et la vitesse le long de sa colonne de chair. Ben râlait lui aussi de plus en plus fort. Il s’était aussi mis en tête de me donner encore plus de plaisir, plus de jouissance physique. Nous nous entendions bien à ce niveau-là. Nous cherchions chacun à donner un maximum de sensations à notre partenaire. Je sentais que Ben allait arriver au point culminant, proche du point de non-retour. J’avais ralenti et presque arrêté mes mouvements. Ben semblait approuver ce traitement, sachant que dans les secondes qui suivraient, j’allais reprendre ma fellation. Puis moi-même je sentais que j’allais moi aussi monter, monter dans les tours. Ben l’avait senti. Puis de comme un accord, sentant l’autre dans le même état, nous avions repris ce soixante-neuf brûlant. Nous savions que nous allions aller jusqu’au bout, aller jusqu’à la jouissance extrême, à l’orgasme tant attendu et désiré. Nos bouches allaient de plus en plus vite le long de nos bâtons, le long de nos virilités bandées. Puis j’avais senti que ma sève allait monter, qu’elle allait venir, qu’elle allait sortir telle un jet de lave brûlante pour venir s’écraser au fond de la gorge de Ben. De mon côté je sentais que Ben était au même stade, son sperme était lui aussi en ébullition et allait devoir trouver l’échappatoire le plus directe, soit le fond de ma gorge. Puis dans un énorme râle commun nous avions joui ensemble, nous avions laissé la soupape de sécurité faire son office et nous avions déchargé en même temps. Quelle jouissance partagée, attendue et tellement souhaitée. Le sperme de Ben était là dans ma bouche, j’en avais avalé une partie. Ben avait dû faire de même, comme à son habitude. Et enfin nous pouvions nous embrasser en mélangeant nos semences. Nous étions heureux !
Enfin revenu « sur terre », enfin plutôt sur le lit, nous nous regardions dans les yeux sans rien dire. Un large sourire ornait nos visages qui exhalaient la plénitude du moment passé. Je me laissais couler dans le bleu des yeux de mon Ben, de mon Ben d’amour. Lui aussi me fixait et semblait à la recherche de mes pensées. Puis voulant en savoir un peu plus, plus que les étincelles de ses yeux, j’avais demandé à Ben :
Moi : « Dis-moi Ben, tu pensais à quoi il y a quelques instants ?
Ben : Tu sais Phil je pensais à deux choses, la première c’est que je suis si heureux avec toi et du moment que nous venons de vivre, mais aussi que nous allons avoir beaucoup de temps à passer ensemble pour les vacances.
Moi : Oh merci mon Ben. Tu sais moi aussi j’ai pensé la même chose. Puis il y a encore une chose que je voudrais te dire, mais je ne sais pas si, enfin bon.
Ben : Mais tu peux me le dire Phil. Je crois savoir, mais c’est toi qui dois me le dire, c’est toi qui a commencé.
Moi : Tu sais Ben, ne te fout pas de moi, tu sais que j’ai envie de vivre toute ma vie avec toi !
Ben : Oh mon Philou d’amour, j’ai eu la même pensée. Je n’osais pas te le dire. Moi aussi j’ai envie de vivre ma vie avec toi.
Moi : Merci Ben. Je sais que tu me rendras heureux et que je ferais tout pour que toi aussi tu le sois, heureux !
Ben : C’est promis mon Philou, je te rendrai heureux, comme tu le feras pour moi. »
Nous nous étions fait un énorme câlin et ensuite nous nous étions embrassés, heureux d’être ensemble. Bien entendu il y avait encore beaucoup de chemin à parcourir avant de pouvoir vivre ensemble. Nous en étions conscients. Mais nous devions retenir ce moment particulier qui nous avait été offert, nous avions pu être en osmose tous les deux, nous voulions le meilleur pour notre amour. Il fallait donc prendre le temps d’encore mieux se connaître pour arriver à une entente harmonieuse entre nous.
Nous allions passer le week-end ensemble. Une fois que Ben fut réveillé, je l’avais avisé de ce qui s’était passé avec sa maman, sa venue à la porte de la chambre et bien entendu nos vêtements étalés dans les escaliers et le hall. J’avais vu le visage de Ben changé mais je l’avais rassuré. Nous nous étions levés, nous étions allés voir Arlette qui était dans la cuisine. Nous étions nus, évidemment, car nos vêtements avaient été ramassés par Arlette. Elle nous avait demandé si nous nous étions bien retrouvés. Cette remarque était à double sens, oui nous nous étions retrouvés tant visuellement que physiquement. Elle le savait et elle ne nous avait fait aucun reproche. Finalement nous avions pris le gouter dans le plus simple appareil.
Après ce goûter, j’avais téléphoné à la maison pour avertir mes parents. Je savais qu’ils souhaitaient être au courant de mes allées et venues, non pour me surveiller, mais seulement en cas de souci avec des personnes mal intentionnées ! Ils savaient que j’étais en fin de compte encore assez fragile. Maman avait accepté que je reste dormir chez Ben mais que je devais être à la maison le lendemain pour midi au plus tard ; Ben était lui aussi le bienvenu. J’avais confirmé à maman que je serai présent vers les onze heures.
Nous avions passé la soirée ensemble avec la famille de Benoît. C’est d’ailleurs lors de cette soirée que la sœur de Ben, Christine, était revenue avec un garçon, son ami Denis. En fait c’était un gars que j’avais déjà vu à l’école, c’était un gars de rhéto de mon école. Dès qu’il fut entré, il m’avait bien entendu reconnu. Il avait d’ailleurs déjà vu Benoît lors d’un de ses visites. Nous nous étions salués.
Benoît m’avait présenté.
Ben : « Je te présente Phil. Je suppose que tu le connais !
Den : Oui, bonjour Phil, tu es dans la même école que moi.
Moi : Oui Denis. Je suis en poésie.
Den : Je m’en doute, j’ai entendu parler de toi.
Ben : Tu sais Denis, Phil est mon ami.
Den : Voilà, les choses sont claires. Pour moi, il n’y a pas de souci. Tu sais Phil, que tu sois hétéro, homo ou autre, peu m’importe, je n’en ai rien à faire.
Chri : Tu sais Denis, mon frère Benoît est tout pour moi. Tu le sais qu’il est homo et son petit ami c’est Phil. Je te dis tout de suite que Phil est un super gars, je l’apprécie car il fait partie de la famille.
Den : Mais pour moi cela n’est pas un problème. Je n’ai rien contre les homos. De plus si Ben et Phil sont homos, et bien je vais les accepter tels qu’ils sont.
Ben : Merci Denis, merci de ton ouverture d’esprit. Tu connais Phil et je peux te dire que c’est un gars génial ; et en plus je l’aime.
Den : Pas de souci Benoît. Je vous respecte.
Moi : Merci Denis. Je suis heureux de te connaître. Puis je suis heureux pour vous deux, Christine et toi.
Den : Merci Phil. Tu sais que tu es, selon ce que j’ai entendu, un gars super. Alors n’ait crainte, je suis heureux de te connaître. Je pense que nous allons nous revoir souvent.
Chri : Merci les gars, vous êtes géniaux. Cela me fait chaud au cœur. Vous êtes tous les trois importants pour moi.
Ben et moi nous nous étions éloignés. Et alors que nous allions passer la porte du salon, j’avais entendu Christine dire à Denis :
Chri : Je t’en dirai plus Denis, mais Ben et Phil sont des anges pour moi. Ce sont des êtres exceptionnels, remplis de sensibilité.
Den : Ne t’inquiètes pas, je me doute bien qu’ils sont très importants pour toi mon amour !
Chri : Merci mon Denis d’amour.
J’avais compris que Denis allait lui aussi être un allié pour nous. C’est à ce moment-là que la maman de Benoît était arrivée. Elle avait dit :
Arl : Bon les jeunes, je vous compte pour le souper, j’espère que vous restez manger. »
Denis et Christine avaient dit oui, Ben aussi bien entendu et moi également, j’allais rester loger. Puis c’est Yves qui venait de rentrer de son travail. Nous étions alors tous debout dans le salon. C’est Yves qui s’étant rendu compte que c’était la première fois que ses deux enfants étaient réunis, en famille, chacun avec son amoureux. Yves avait alors invité tout le monde à prendre l’apéritif.
Nous avions pris l’apéro ensemble ainsi que le souper. De plus Denis était resté logé. Il allait passer la nuit avec Christine. Ben et moi nous allions passer la nuit aussi ensemble. Je pense que Yves devait être heureux ainsi qu’Arlette. J’aimais bien mes « beaux-parents ».
Effectivement Arlette et Yves étaient heureux de voir leurs deux enfants bien entourés. Cela se voyait. Au dessert Arlette avait souhaité aux deux couples de s’aimer mais en faisant toujours attention au partenaire, de ne pas le contrarier et aussi de se parler, de dire ce qui n’allait pas et bien sûr de dire ce qui allait bien. Nous en étions très conscients. Puis nous étions restés en famille pour la soirée. Nous avions continué à papoter. Benoît revenait sur ce qui nous attendait durant les vacances. Puis il avait trouvé super génial de pouvoir faire le même job d’étudiant dans le même supermarché que moi. Il me disait encore de remercier maman.
A l’issue de cette soirée familiale nous étions montés dans les chambres. Nous nous étions tous souhaités une bonne nuit. Ben et moi nous étions passés par la salle de bain pour prendre une douche et nous laver les dents. Ensuite nous avions regagné la chambre. Une fois la porte refermée, il n’avait pas fallu dix secondes pour nous nous soyons mis à nous embrasser. Nos langues une nouvelle fois s’en donnaient à cœur joie. Elles y allaient de plus en plus belle. Nos mains n’étaient pas restées sans rien faire, je caressais les cheveux blonds de mon amour, j’allais dans sa nuque et ensuite dans son dos. Les mains de Ben s’attardaient au niveau de mes fesses. Mon pénis commençait à prendre de l’ampleur. Bref la température commençait à monter ! Nous étions partis pour nous donner l’un à l’autre. Ma bouche avait quitté celle de Ben pour redescendre vers son torse. J’aimais bien passer ma langue sur ce torse imberbe, cela me donnait des sensations assez spéciales. Puis ma bouche s’était arrêtée au niveau du pubis de mon Ben. De jolis poils blonds ornait le dessus de ce service trois pièce, de fort belle allure par ailleurs. L’élément le plus important pointait son gland vers le haut. Il n’en fallait pas plus pour ma bouche vienne se positionner au-dessus de cette hampe tant désirable. Mes lèvres s’étaient entrouvertes pour enfin se placer sur ce gland déjà luisant. L’attrait devenant de plus en plus précis et incontrôlable, mes lèvres s’étaient mises à enserrer cet appendice dressé. Ma bouche entamait alors des mouvements d’aller et retour.
Ben m’avait demandé de cesser mon activité pour me demander d’aller sur le lit. J’avais accepté à regret de laisser mon opération bénéfique en plan. Mais cela n’allait être que partie remise. Ben me demanda de nous sucer ensemble. Nous avions alors pris notre position tête bêche, position que nous n’avions plus prise depuis un certain temps. C’était une excellente idée. Nos sexes étaient tous les deux dans le même état. Nos glands étaient luisants et nos phallus n’attendaient plus que nous nous en n’occupions. Nous n’avons pas hésité une seconde. Nos bouches allaient et venaient sur la tige de notre partenaire. Nous savions comment nous y prendre, bien que nous ne voulions pas adopter tout à fait la même technique. Ben avait l’art de me donner des sensations toujours de plus en plus puissantes. Il savait y faire. Je n’étais plus dans mon état normal. J’étais comme déposé sur un nuage de bonheur. Je commençais à râler de bonheur et de satisfaction. Je tentais de rester concentré pour procurer le maximum de plaisir à mon Ben d’amour. Je sentais qu’il commençait à monter en jouissance. Mes lèvres alternaient la pression et la vitesse le long de sa colonne de chair. Ben râlait lui aussi de plus en plus fort. Il s’était aussi mis en tête de me donner encore plus de plaisir, plus de jouissance physique. Nous nous entendions bien à ce niveau-là. Nous cherchions chacun à donner un maximum de sensations à notre partenaire. Je sentais que Ben allait arriver au point culminant, proche du point de non-retour. J’avais ralenti et presque arrêté mes mouvements. Ben semblait approuver ce traitement, sachant que dans les secondes qui suivraient, j’allais reprendre ma fellation. Puis moi-même je sentais que j’allais moi aussi monter, monter dans les tours. Ben l’avait senti. Puis de comme un accord, sentant l’autre dans le même état, nous avions repris ce soixante-neuf brûlant. Nous savions que nous allions aller jusqu’au bout, aller jusqu’à la jouissance extrême, à l’orgasme tant attendu et désiré. Nos bouches allaient de plus en plus vite le long de nos bâtons, le long de nos virilités bandées. Puis j’avais senti que ma sève allait monter, qu’elle allait venir, qu’elle allait sortir telle un jet de lave brûlante pour venir s’écraser au fond de la gorge de Ben. De mon côté je sentais que Ben était au même stade, son sperme était lui aussi en ébullition et allait devoir trouver l’échappatoire le plus directe, soit le fond de ma gorge. Puis dans un énorme râle commun nous avions joui ensemble, nous avions laissé la soupape de sécurité faire son office et nous avions déchargé en même temps. Quelle jouissance partagée, attendue et tellement souhaitée. Le sperme de Ben était là dans ma bouche, j’en avais avalé une partie. Ben avait dû faire de même, comme à son habitude. Et enfin nous pouvions nous embrasser en mélangeant nos semences. Nous étions heureux !
Enfin revenu « sur terre », enfin plutôt sur le lit, nous nous regardions dans les yeux sans rien dire. Un large sourire ornait nos visages qui exhalaient la plénitude du moment passé. Je me laissais couler dans le bleu des yeux de mon Ben, de mon Ben d’amour. Lui aussi me fixait et semblait à la recherche de mes pensées. Puis voulant en savoir un peu plus, plus que les étincelles de ses yeux, j’avais demandé à Ben :
Moi : « Dis-moi Ben, tu pensais à quoi il y a quelques instants ?
Ben : Tu sais Phil je pensais à deux choses, la première c’est que je suis si heureux avec toi et du moment que nous venons de vivre, mais aussi que nous allons avoir beaucoup de temps à passer ensemble pour les vacances.
Moi : Oh merci mon Ben. Tu sais moi aussi j’ai pensé la même chose. Puis il y a encore une chose que je voudrais te dire, mais je ne sais pas si, enfin bon.
Ben : Mais tu peux me le dire Phil. Je crois savoir, mais c’est toi qui dois me le dire, c’est toi qui a commencé.
Moi : Tu sais Ben, ne te fout pas de moi, tu sais que j’ai envie de vivre toute ma vie avec toi !
Ben : Oh mon Philou d’amour, j’ai eu la même pensée. Je n’osais pas te le dire. Moi aussi j’ai envie de vivre ma vie avec toi.
Moi : Merci Ben. Je sais que tu me rendras heureux et que je ferais tout pour que toi aussi tu le sois, heureux !
Ben : C’est promis mon Philou, je te rendrai heureux, comme tu le feras pour moi. »
Nous nous étions fait un énorme câlin et ensuite nous nous étions embrassés, heureux d’être ensemble. Bien entendu il y avait encore beaucoup de chemin à parcourir avant de pouvoir vivre ensemble. Nous en étions conscients. Mais nous devions retenir ce moment particulier qui nous avait été offert, nous avions pu être en osmose tous les deux, nous voulions le meilleur pour notre amour. Il fallait donc prendre le temps d’encore mieux se connaître pour arriver à une entente harmonieuse entre nous.