13-05-2021, 08:48 AM
La suite des cours et des révisions s’était très bien passée. Nous étions prêts pour la session d’examens. Nous étions donc le lundi 10 juin, premier jour des examens. Nous commencions par math. Monsieur Martin nous avait bien préparé et Lucas était venu à la maison trois soirs de suite pour être lui aussi au top. L’examen se déroulait en matinée. A midi nous devions remettre nos copies. L’après-midi était consacré à l’étude du cours de français. Puis après, pour le mercredi c’était histoire et néerlandais. Jeudi nous avions anglais et géo. Vendredi il n’y avait pas d’examens pour notre classe.
C’était Ben qui était venu à la maison le samedi pour aller à la dernière réunion chez les pionniers. Nous avions reçu un fascicule avec toutes les modalités pour le camp en Suisse. Nous étions allés faire un jeu de piste dans les bois en vue de nous délasser. C’était important de pouvoir ainsi avoir un moment où nous ne pensions pas aux examens. Nous étions heureux Ben, Gaby et moi de nous retrouver dans la même équipe et de plus nous avions gagné le jeu de piste.
En rentrant à la maison mes parents nous avaient accueilli en nous demandant de prendre une douche et de nous changer. Je me demandais ce que nous allions bien pouvoir faire. Bref nous étions allés nous doucher et nous avions enfilé un short et une blouse ; et aux pieds, des sandales. Nous étions redescendus au salon et nous avions vu que Anne et Jean étaient eux aussi apprêtés. Puis la sonnerie de la maison avait retenti. C’est maman qui était allée ouvrir. En fait c’était Arlette, Yves et Christine qui arrivaient. Ben avait lui aussi l’air étonné. Nous leur avions souhaité la bienvenue. Puis c’est papa qui avait pris la parole.
Papa : « Voilà, nous sommes réunis ce soir, nos deux familles pour vous Ben et Phil. Il fallait que nous trouvions un moment pour faire le point. C’est pour cela que nous allons d’abord aller manger un morceau à la pizzéria. Ensuite nous discuterons de ce que nous allons faire durant les vacances et d’éventuelles activités à suivre.
Moi : Merci Papa, mais je ne sais pas ce que vous avez prévus, en tout cas moi je n’y avais pas pensé. Je sais juste pour le camp.
Papa : Moi qui pensais que tu avais quelque chose en vue avec Benoît.
Moi : Non Papa, tu sais je n’ose plus trop faire de projets à long terme. Je suis heureux maintenant et je savoure le moment présent, je n’en demande pas plus !
Mam : Mais Phil tu as le droit d’avoir des projets ! Il le faut, il faut que tu ailles de l’avant.
Moi : Je sais Maman, mais c’est dur, il y a tellement de choses qui me reviennent.
Ben : Écoute Phil, je sais que ce n’est pas évident pour toi, mais il faut que tu puisses aller de l’avant, que tu puisses avoir des envies à long terme. Je sais que ce n’est pas facile, mais je serai à tes côtés. Je t’aime Phil, ait confiance en moi, ait confiance en nous !
Arl : Phil, je suis d’accord avec ce que Jacqueline et Ben t’ont dit. Tu dois pouvoir surmonter cette période. Nous sommes tous avec toi.
Moi : Merci. Je vais faire l’effort de faire des projets à plus long terme. Et je sais que Ben sera toujours auprès de moi. Merci à vous tous.
Jean : Tu sais Phil, je suis là aussi. Tu pourras toujours compter sur moi. Puis je t’aime mon grand frère, ne l’oublie jamais.
Moi : Merci Jean. »
J’avais été embrassé Jean ainsi que les quatre parents présents. Anne elle avait les larmes aux yeux. Elle était elle aussi très sensible. Puis j’avais embrassé mon Ben d’amour à pleine bouche. Puis j'avais affiché un très beau sourire en criant tout haut "Alea jacta est ». Ils s’étaient alors tous mis à rire avec moi bien entendu.
J’avais été dans la voiture de Yves avec Ben pour aller au restaurant italien. Je savais que papa avais en tête d’aller à la trattoria située au centre-ville où nous avions parfois fêté quelques événements. Cette sortie était un gage de bons présages. Je sentais que les choses allaient s’arranger, que je pourrais pouvoir vivre un peu plus sereinement. Je devais positiver d’autant plus que j’avais deux familles formidables qui étaient à mes côtés et également des amis sur qui je pouvais aussi compter.
Nous étions bien entendu arrivés à la trattoria. Papa avait réservé une grande table. Après un bon apéro nous avions mangé de succulentes pizzas, et pour clôturer le repas une bonne glace pleine de crème chantilly. Pour les parents il y avait en sus un amaretto avec le café.
Entre le repas et le dessert c’est Yves qui avait proposé que je l’accompagne avec sa famille en vacances au bord de la mer, dans le sud de la Bretagne. Bien entendu à l’issue du camp. J’étais super content de cette proposition. Je voyais Ben qui souriait, il le savait et il ne m’avait rien dit. Ensuite Papa m’avait dit que ma demande de travail en temps qu’étudient avait été acceptée pour les quinze premiers jours du mois d’août. J’étais encore plus content d’apprendre aussi cette bonne nouvelle. Puis c’est Maman qui avait alors ajouté que Ben avait lui aussi été repris dans le même magasin pour la même période comme étudiant jobiste.
Je n’avais jamais vu Ben sauter de joie comme il l’avait fait. Il ne s’y attendait pas, il pensait que sa demande avait été refusée. C’est Arlette qui avait expliqué que sa demande avait été rejetée mais que Jacqueline, maman, avait appris qu’il y avait encore une place libre pour un étudiant et elle l’avait réservée pour Ben. Il s’agissait du super marché où nous allions faire nos achats. Nous allions pouvoir être ensemble pour faire ce job d’étudiant. Je n’avais jamais vu Ben pleurer avant, mais cette fois c’était plus fort que lui. Non seulement nous allions au camp ensemble, puis en vacances avec sa famille et en plus, cerise sur le gâteau, nous allions travailler ensemble comme étudiants jobistes. Je voyais mon Ben si heureux. Moi aussi je voyais que je pouvais aller de l’avant, les vacances allaient être très spéciales avec mon Ben à mes côtés.
Les examens étaient terminés. Nous étions contents que cela finisse. Nous devions recevoir les résultats le lundi dans le courant de la matinée. Pour ma part j’étais confient, j’avais réussi mon année scolaire et j’allais pouvoir enter en dernière année d’humanité, soit en rhéto. J’allais pouvoir profiter des vacances car j’étais presque certain d’avoir eu au moins la moitié des points pour tous les examens. J’attendais des nouvelles de Benoît, car il lui restait encore un examen à passer.
C’est donc ce vendredi vers midi que Ben avait téléphoné à la maison. Il venait de passer enfin son dernier examen. Il m’avait dit qu’il était lui aussi assez confient et qu’il en saurait plus le mardi début d’après-midi après les délibérations. Nous allions nous retrouver l’après-midi même. J’avais demandé à Ben de venir à la maison, mais il préférait que je vienne chez lui. Vers quatorze heures, j’avais donc enfourché mon vélo pour me rendre chez mon amoureux. En fait c’était une bonne idée car il m’avait dit que sa sœur n’était pas présente, elle était chez une de ses amies et elle passerait la nuit chez elle.
Une fois arrivé chez Ben, je n’avais pas eu le temps de descendre de mon vélo que déjà il me sautait dessus. Il me couvrait de baisers. Puis une fois la porte d’entrée refermée, nous nous étions embrassés avec fougue. Une véritable pelle d’enfer. Nous avions dû attendre depuis la fin du week-end précédent. Ben m’avait pris la main, je savais qu’il allait me faire aller dans sa chambre. Je n’étais pas contre, mais je voulais prendre une bonne douche car j’avais sué en venant à vélo chez lui. Je lui avais donc demandé de venir d’abord avec moi prendre une bonne douche. Ben avait accepté. Nous nous étions dévêtus entre le hall d’entrée et la salle de bain à l’étage. Nous étions déjà entièrement nus dans le hall de nuit. Ben avait son sexe qui était déjà à l’horizontal. Pour ma part le mien était lui aussi semi bandé.
Une fois sous la douche nous nous étions embrassés, nos langues s’étaient enfin retrouvées. Elles étaient entrées dans une belle sarabande. Elles se touchaient pour ensuite se séparer et sans attendre pour mieux se rejoindre. Nous nous étions bécotés plusieurs minutes, comme un peu hors du temps. Nous nous étions lavés mutuellement en n’oubliant pas l’anatomie de notre chéri.
C’est donc le sexe au garde à vous que nous avions rejoint la chambre de Ben. Une fois couchés sur le lit nous avions repris nos embrassades, nos langues étaient à la fête. Puis nos s’étaient aussi mise à nous prodiguer de subtiles caresses. Ma bouche allait d’un téton à l’autre sur le corps de mon Ben d’amour. Puis elle s’était attaquée à ses abdominaux et à son nombril. Curieusement mon Ben était assez passif, il m’avait laissé, carte blanche, pour s’occuper de lui. J’en profitais donc pour tourner autour de son attribut bandant. Je savais qu’il voulait que je le prenne entre mes lèvres, mais je voulais qu’il patiente un peu. Je souhaitais qu’il prenne beaucoup de plaisir, qu’il soit en demande de sensation. J’en étais devenu quelque peu « bourreau » de son plaisir.
Puis, n’y tenant plus et voulant goûter à son sucre d’orge, j’avais avancé ma bouche vers cet appendice qui n’attendait que ça. Ma langue avait titillé le gland semi découvert. Du liquide séminal perlait déjà au niveau du méat. Puis mes lèvres avaient alors entouré ce gland merveilleusement offert. Je pouvais goûter ce liquide avec délectation. J’avais ensuite décalotté ce dôme rougeoyant avec mes lèvres, pour enfin le saisir entre mes lèvres et le faire ainsi entrer dans ma bouche en demande. Ben râlait déjà de bonheur. Les sensations que je lui prodiguais avaient ouverts tous ses sens. Il haletait et commençait à respirer assez fort. Ma langue, bien en forme, s’était alors attaquée au frein de cette colonne de chair. Ben réagissait de plus en plus. Puis j’avais fini par engloutir littéralement le bâton d’amour de mon amant. J’avais alors entrepris des mouvements buccaux le long de son pénis en goûtant toujours son liquide séminal. Moi de mon côté, je continuais à bander, mon appendice commençait à me faire mal. Mon gland était à peine dévoilé, il voulait sortir de ce prépuce qui l’enserrait. J’avais alors senti la main secourable de Ben prendre enfin mon phallus et lui offrir un peu de sensation. De mon côté j’accentuais mes mouvements buccaux pour donner encore plus de sensations à mon amour. Je sentais que Ben appréciait le traitement que je lui imposais. Il haletait de plus en plus. Ben avait lâché mon phallus, il était comme hors de lui, hors du temps. Je savais que mon amoureux allait bientôt arriver au point de non-retour ; c’est ainsi que j’avais diminué l’intensité de mes mouvements buccaux. Il fallait faire baisser la pression. Ben devenait de plus en plus récepteur de mon traitement varié. Il avait les yeux fermés, un sourire béat aux lèvres. Puis cette tignasse blonde éparpillée sur l’oreiller, que du bonheur ! Ben commençait à suer, il avait de plus en plus chaud, je savais qu’il avait atteint un niveau de jouissance exceptionnel, jamais je n’avais pu le faire monter en jouissance comme à ce moment ci. Puis, enfin, j’avais repris ma masturbation buccale de manière prononcée, sachant que mon ami allait atteindre l’orgasme dans les secondes qui allaient suivre. Et ensuite, dans un râle sonore et très bestial, Benoît avait laissé échapper six jets de se semence au fond de ma gorge. Je n’avais jamais ressenti aussi fort une éjaculation aussi intense de la part de mon Ben. C’était incroyable. Ben était aux anges et moi aussi car j’avais su lui prodiguer énormément de sensation, de bonheur.
Nous nous étions embrassés, partageant sa semence. Et mon amour s’était affalé, fatigué du traitement qui lui avait été infligé. Moi aussi j’étais en sueur, le sexe toujours bandé. J’étais moi aussi en attente de caresses, d’attention, d’amour ! Je savais que je devais laisser à Ben le temps de se reprendre, avant de penser à moi.
Une fois remis de ses émotions, Ben s’était tourné vers moi, il avait laissé ses mains se balader sur mon corps. Puis sa bouche avait parcouru mon cou, mes joues, ma bouche, me tétons et elle s’était aventurée vers mon appendice mis bandé. Il avait suffi de quelques secondes pour lui donner du ressort, du volume. Ben avait alors entrepris une fellation douce et lascive de mon pénis. Puis il avait été pêcher dans le tiroir de sa table de nuit le tube de gel lubrifiant et une capote. Je savais que mon amoureux de Ben avait envie de me sentir en lui, de lui faire l’amour. Il allait donc s’offrir à moi. Il voulait poursuivre son rôle de passif et ainsi me laisser l’aimer. J’avais alors pris le gel pour ainsi préparer l’entrée de sa grotte d’amour. De son côté Ben m’avait déjà placé le préservatif sur mon anatomie bandée. Sans un mot, en toute confiance il me laissait libre l’entrée à son corps en attente. Je savais que j’allais pouvoir aimer mon amour de Ben. J’avais placé mon sexe à l’entrée de cette antre accueillante. Puis une fois mon gland dans le passage anal, j’avais entendu Ben crier « Oui, oui, vas-y ! » Cet appel avait été entendu et j’entrais alors dans cette caverne. J’y allais doucement, centimètres par centimètres. Puis une fois arrivé à la garde que j’avais entrepris des mouvements de va et vient. Mes bourses claquaient sur les fesses de Ben, le tout en rythme. J’étais super heureux d’avoir ainsi planté mon bâton d’amour dans ce fourreau si accueillant. Je continuais à limer le fondement de mon Ben avec application. Mes mouvements alternatifs avaient fait monter la pression, je savais que j’allais arriver au point crucial, au point de non-retour. J’avais alors ralenti mes mouvements. Puis ne pouvant plus attendre, sachant que j’allais arriver à la jouissance, j’avais accéléré mes mouvements pour ainsi éjaculer dans le préservatif, sic jets puissants. Ben de son côté criait de bonheur et moi je râlais, comblé par cette forte jouissance.
Le temps d’ôter le préservatif et de m’affaler sur le lit, mon Ben m’avait dit à l’oreille, « Merci ». Moi-même j’avais susurré à Ben, « Je t’aime. ». Nous nous étions endormis durant une bonne heure, dans les bras l’un de l’autre.
C’était Ben qui était venu à la maison le samedi pour aller à la dernière réunion chez les pionniers. Nous avions reçu un fascicule avec toutes les modalités pour le camp en Suisse. Nous étions allés faire un jeu de piste dans les bois en vue de nous délasser. C’était important de pouvoir ainsi avoir un moment où nous ne pensions pas aux examens. Nous étions heureux Ben, Gaby et moi de nous retrouver dans la même équipe et de plus nous avions gagné le jeu de piste.
En rentrant à la maison mes parents nous avaient accueilli en nous demandant de prendre une douche et de nous changer. Je me demandais ce que nous allions bien pouvoir faire. Bref nous étions allés nous doucher et nous avions enfilé un short et une blouse ; et aux pieds, des sandales. Nous étions redescendus au salon et nous avions vu que Anne et Jean étaient eux aussi apprêtés. Puis la sonnerie de la maison avait retenti. C’est maman qui était allée ouvrir. En fait c’était Arlette, Yves et Christine qui arrivaient. Ben avait lui aussi l’air étonné. Nous leur avions souhaité la bienvenue. Puis c’est papa qui avait pris la parole.
Papa : « Voilà, nous sommes réunis ce soir, nos deux familles pour vous Ben et Phil. Il fallait que nous trouvions un moment pour faire le point. C’est pour cela que nous allons d’abord aller manger un morceau à la pizzéria. Ensuite nous discuterons de ce que nous allons faire durant les vacances et d’éventuelles activités à suivre.
Moi : Merci Papa, mais je ne sais pas ce que vous avez prévus, en tout cas moi je n’y avais pas pensé. Je sais juste pour le camp.
Papa : Moi qui pensais que tu avais quelque chose en vue avec Benoît.
Moi : Non Papa, tu sais je n’ose plus trop faire de projets à long terme. Je suis heureux maintenant et je savoure le moment présent, je n’en demande pas plus !
Mam : Mais Phil tu as le droit d’avoir des projets ! Il le faut, il faut que tu ailles de l’avant.
Moi : Je sais Maman, mais c’est dur, il y a tellement de choses qui me reviennent.
Ben : Écoute Phil, je sais que ce n’est pas évident pour toi, mais il faut que tu puisses aller de l’avant, que tu puisses avoir des envies à long terme. Je sais que ce n’est pas facile, mais je serai à tes côtés. Je t’aime Phil, ait confiance en moi, ait confiance en nous !
Arl : Phil, je suis d’accord avec ce que Jacqueline et Ben t’ont dit. Tu dois pouvoir surmonter cette période. Nous sommes tous avec toi.
Moi : Merci. Je vais faire l’effort de faire des projets à plus long terme. Et je sais que Ben sera toujours auprès de moi. Merci à vous tous.
Jean : Tu sais Phil, je suis là aussi. Tu pourras toujours compter sur moi. Puis je t’aime mon grand frère, ne l’oublie jamais.
Moi : Merci Jean. »
J’avais été embrassé Jean ainsi que les quatre parents présents. Anne elle avait les larmes aux yeux. Elle était elle aussi très sensible. Puis j’avais embrassé mon Ben d’amour à pleine bouche. Puis j'avais affiché un très beau sourire en criant tout haut "Alea jacta est ». Ils s’étaient alors tous mis à rire avec moi bien entendu.
J’avais été dans la voiture de Yves avec Ben pour aller au restaurant italien. Je savais que papa avais en tête d’aller à la trattoria située au centre-ville où nous avions parfois fêté quelques événements. Cette sortie était un gage de bons présages. Je sentais que les choses allaient s’arranger, que je pourrais pouvoir vivre un peu plus sereinement. Je devais positiver d’autant plus que j’avais deux familles formidables qui étaient à mes côtés et également des amis sur qui je pouvais aussi compter.
Nous étions bien entendu arrivés à la trattoria. Papa avait réservé une grande table. Après un bon apéro nous avions mangé de succulentes pizzas, et pour clôturer le repas une bonne glace pleine de crème chantilly. Pour les parents il y avait en sus un amaretto avec le café.
Entre le repas et le dessert c’est Yves qui avait proposé que je l’accompagne avec sa famille en vacances au bord de la mer, dans le sud de la Bretagne. Bien entendu à l’issue du camp. J’étais super content de cette proposition. Je voyais Ben qui souriait, il le savait et il ne m’avait rien dit. Ensuite Papa m’avait dit que ma demande de travail en temps qu’étudient avait été acceptée pour les quinze premiers jours du mois d’août. J’étais encore plus content d’apprendre aussi cette bonne nouvelle. Puis c’est Maman qui avait alors ajouté que Ben avait lui aussi été repris dans le même magasin pour la même période comme étudiant jobiste.
Je n’avais jamais vu Ben sauter de joie comme il l’avait fait. Il ne s’y attendait pas, il pensait que sa demande avait été refusée. C’est Arlette qui avait expliqué que sa demande avait été rejetée mais que Jacqueline, maman, avait appris qu’il y avait encore une place libre pour un étudiant et elle l’avait réservée pour Ben. Il s’agissait du super marché où nous allions faire nos achats. Nous allions pouvoir être ensemble pour faire ce job d’étudiant. Je n’avais jamais vu Ben pleurer avant, mais cette fois c’était plus fort que lui. Non seulement nous allions au camp ensemble, puis en vacances avec sa famille et en plus, cerise sur le gâteau, nous allions travailler ensemble comme étudiants jobistes. Je voyais mon Ben si heureux. Moi aussi je voyais que je pouvais aller de l’avant, les vacances allaient être très spéciales avec mon Ben à mes côtés.
Les examens étaient terminés. Nous étions contents que cela finisse. Nous devions recevoir les résultats le lundi dans le courant de la matinée. Pour ma part j’étais confient, j’avais réussi mon année scolaire et j’allais pouvoir enter en dernière année d’humanité, soit en rhéto. J’allais pouvoir profiter des vacances car j’étais presque certain d’avoir eu au moins la moitié des points pour tous les examens. J’attendais des nouvelles de Benoît, car il lui restait encore un examen à passer.
C’est donc ce vendredi vers midi que Ben avait téléphoné à la maison. Il venait de passer enfin son dernier examen. Il m’avait dit qu’il était lui aussi assez confient et qu’il en saurait plus le mardi début d’après-midi après les délibérations. Nous allions nous retrouver l’après-midi même. J’avais demandé à Ben de venir à la maison, mais il préférait que je vienne chez lui. Vers quatorze heures, j’avais donc enfourché mon vélo pour me rendre chez mon amoureux. En fait c’était une bonne idée car il m’avait dit que sa sœur n’était pas présente, elle était chez une de ses amies et elle passerait la nuit chez elle.
Une fois arrivé chez Ben, je n’avais pas eu le temps de descendre de mon vélo que déjà il me sautait dessus. Il me couvrait de baisers. Puis une fois la porte d’entrée refermée, nous nous étions embrassés avec fougue. Une véritable pelle d’enfer. Nous avions dû attendre depuis la fin du week-end précédent. Ben m’avait pris la main, je savais qu’il allait me faire aller dans sa chambre. Je n’étais pas contre, mais je voulais prendre une bonne douche car j’avais sué en venant à vélo chez lui. Je lui avais donc demandé de venir d’abord avec moi prendre une bonne douche. Ben avait accepté. Nous nous étions dévêtus entre le hall d’entrée et la salle de bain à l’étage. Nous étions déjà entièrement nus dans le hall de nuit. Ben avait son sexe qui était déjà à l’horizontal. Pour ma part le mien était lui aussi semi bandé.
Une fois sous la douche nous nous étions embrassés, nos langues s’étaient enfin retrouvées. Elles étaient entrées dans une belle sarabande. Elles se touchaient pour ensuite se séparer et sans attendre pour mieux se rejoindre. Nous nous étions bécotés plusieurs minutes, comme un peu hors du temps. Nous nous étions lavés mutuellement en n’oubliant pas l’anatomie de notre chéri.
C’est donc le sexe au garde à vous que nous avions rejoint la chambre de Ben. Une fois couchés sur le lit nous avions repris nos embrassades, nos langues étaient à la fête. Puis nos s’étaient aussi mise à nous prodiguer de subtiles caresses. Ma bouche allait d’un téton à l’autre sur le corps de mon Ben d’amour. Puis elle s’était attaquée à ses abdominaux et à son nombril. Curieusement mon Ben était assez passif, il m’avait laissé, carte blanche, pour s’occuper de lui. J’en profitais donc pour tourner autour de son attribut bandant. Je savais qu’il voulait que je le prenne entre mes lèvres, mais je voulais qu’il patiente un peu. Je souhaitais qu’il prenne beaucoup de plaisir, qu’il soit en demande de sensation. J’en étais devenu quelque peu « bourreau » de son plaisir.
Puis, n’y tenant plus et voulant goûter à son sucre d’orge, j’avais avancé ma bouche vers cet appendice qui n’attendait que ça. Ma langue avait titillé le gland semi découvert. Du liquide séminal perlait déjà au niveau du méat. Puis mes lèvres avaient alors entouré ce gland merveilleusement offert. Je pouvais goûter ce liquide avec délectation. J’avais ensuite décalotté ce dôme rougeoyant avec mes lèvres, pour enfin le saisir entre mes lèvres et le faire ainsi entrer dans ma bouche en demande. Ben râlait déjà de bonheur. Les sensations que je lui prodiguais avaient ouverts tous ses sens. Il haletait et commençait à respirer assez fort. Ma langue, bien en forme, s’était alors attaquée au frein de cette colonne de chair. Ben réagissait de plus en plus. Puis j’avais fini par engloutir littéralement le bâton d’amour de mon amant. J’avais alors entrepris des mouvements buccaux le long de son pénis en goûtant toujours son liquide séminal. Moi de mon côté, je continuais à bander, mon appendice commençait à me faire mal. Mon gland était à peine dévoilé, il voulait sortir de ce prépuce qui l’enserrait. J’avais alors senti la main secourable de Ben prendre enfin mon phallus et lui offrir un peu de sensation. De mon côté j’accentuais mes mouvements buccaux pour donner encore plus de sensations à mon amour. Je sentais que Ben appréciait le traitement que je lui imposais. Il haletait de plus en plus. Ben avait lâché mon phallus, il était comme hors de lui, hors du temps. Je savais que mon amoureux allait bientôt arriver au point de non-retour ; c’est ainsi que j’avais diminué l’intensité de mes mouvements buccaux. Il fallait faire baisser la pression. Ben devenait de plus en plus récepteur de mon traitement varié. Il avait les yeux fermés, un sourire béat aux lèvres. Puis cette tignasse blonde éparpillée sur l’oreiller, que du bonheur ! Ben commençait à suer, il avait de plus en plus chaud, je savais qu’il avait atteint un niveau de jouissance exceptionnel, jamais je n’avais pu le faire monter en jouissance comme à ce moment ci. Puis, enfin, j’avais repris ma masturbation buccale de manière prononcée, sachant que mon ami allait atteindre l’orgasme dans les secondes qui allaient suivre. Et ensuite, dans un râle sonore et très bestial, Benoît avait laissé échapper six jets de se semence au fond de ma gorge. Je n’avais jamais ressenti aussi fort une éjaculation aussi intense de la part de mon Ben. C’était incroyable. Ben était aux anges et moi aussi car j’avais su lui prodiguer énormément de sensation, de bonheur.
Nous nous étions embrassés, partageant sa semence. Et mon amour s’était affalé, fatigué du traitement qui lui avait été infligé. Moi aussi j’étais en sueur, le sexe toujours bandé. J’étais moi aussi en attente de caresses, d’attention, d’amour ! Je savais que je devais laisser à Ben le temps de se reprendre, avant de penser à moi.
Une fois remis de ses émotions, Ben s’était tourné vers moi, il avait laissé ses mains se balader sur mon corps. Puis sa bouche avait parcouru mon cou, mes joues, ma bouche, me tétons et elle s’était aventurée vers mon appendice mis bandé. Il avait suffi de quelques secondes pour lui donner du ressort, du volume. Ben avait alors entrepris une fellation douce et lascive de mon pénis. Puis il avait été pêcher dans le tiroir de sa table de nuit le tube de gel lubrifiant et une capote. Je savais que mon amoureux de Ben avait envie de me sentir en lui, de lui faire l’amour. Il allait donc s’offrir à moi. Il voulait poursuivre son rôle de passif et ainsi me laisser l’aimer. J’avais alors pris le gel pour ainsi préparer l’entrée de sa grotte d’amour. De son côté Ben m’avait déjà placé le préservatif sur mon anatomie bandée. Sans un mot, en toute confiance il me laissait libre l’entrée à son corps en attente. Je savais que j’allais pouvoir aimer mon amour de Ben. J’avais placé mon sexe à l’entrée de cette antre accueillante. Puis une fois mon gland dans le passage anal, j’avais entendu Ben crier « Oui, oui, vas-y ! » Cet appel avait été entendu et j’entrais alors dans cette caverne. J’y allais doucement, centimètres par centimètres. Puis une fois arrivé à la garde que j’avais entrepris des mouvements de va et vient. Mes bourses claquaient sur les fesses de Ben, le tout en rythme. J’étais super heureux d’avoir ainsi planté mon bâton d’amour dans ce fourreau si accueillant. Je continuais à limer le fondement de mon Ben avec application. Mes mouvements alternatifs avaient fait monter la pression, je savais que j’allais arriver au point crucial, au point de non-retour. J’avais alors ralenti mes mouvements. Puis ne pouvant plus attendre, sachant que j’allais arriver à la jouissance, j’avais accéléré mes mouvements pour ainsi éjaculer dans le préservatif, sic jets puissants. Ben de son côté criait de bonheur et moi je râlais, comblé par cette forte jouissance.
Le temps d’ôter le préservatif et de m’affaler sur le lit, mon Ben m’avait dit à l’oreille, « Merci ». Moi-même j’avais susurré à Ben, « Je t’aime. ». Nous nous étions endormis durant une bonne heure, dans les bras l’un de l’autre.