11-05-2021, 09:15 PM
Je n’ai écrit que 500 mots ce soir, mais je ne vais pas vous faire languir plus longtemps. Un peu déjanté, je pense que vous avez pris l’habitude avec ce récit, et en plus improvisé, je n’avais pas prévu que cela se passerait ainsi.
Encore une modification : j’ai supprimé le personnage du directeur dans l’épisode précédent et n’ai gardé que le chorégraphe Kaito.
Chapitre 7 - Week-end japonais (2)
Samedi 8 août 1964, Landiwiese, Zurich
Le tambour reprit en accélérant la cadence. Les quatre spectateurs étaient comme hypnotisés par les vingt danseurs qui se branlaient. Ceux-ci étaient maintenant éclairés en rouge, à contre-jour, baignés de fumée. Ils ne se caressaient pas seulement le pénis, ils bougeaient aussi leur bassin en rythme.
Koen regretta le changement d’éclairage car il ne pouvait plus observer les bites. Celle de Frédéric était à l’étroit dans son jean, il aurait aimé la libérer pour accompagner les danseurs, mais il n’osait pas. Hiroshi n’eut pas cette pudeur, il ouvrit sa braguette, extirpa son pénis dressé de son fundoshi et se leva. Le tambour le vit, il ralentit la cadence pour lui laisser le temps de s’échauffer, les danseurs eurent des mouvements encore plus sensuels. Kaito fit signe à Koen, Frédéric et Laertes de se lever et de masturber, ils ne se firent pas prier.
Kaito regardait avec intérêt les trois gaijins, il n’avait jamais vu des queues d’occidentaux de si près, elles étaient belles. Ils n’avaient cependant pas la grâce et la technique de ses élèves, Hiroshi s’en sortait mieux.
Le tambour augmentait de nouveau imperceptiblement la cadence. Lorsqu’il sentit que les danseurs étaient prêts, Kaito leva le bras, la musique s’arrêta, les projecteurs éclairèrent violemment la scène, les danseurs poussèrent un cri en laissant gicler leur semence.
La salle fut ensuite plongée dans l’obscurité. Lorsque la lumière se ralluma, le plateau était vide. Il ne restait que les spectateurs, les pantalons sur les chevilles. Hiroshi avait joui au bon moment, il rit en voyant ses camarades qui finissaient de se branler. Kaito était en retrait, mais les matait toujours.
— Continuez, leur dit-il, ils attendront que vous ayez fini.
Koen se demanda si les danseurs avaient vraiment éjaculé, il n’avait pas vu car les projecteurs l’avaient ébloui. Il posa la question au chorégraphe qui répondit :
— Nous irons voir après s’il y a des traces.
Quant à eux, Koen, Frédéric et Laertes laissèrent des traces sur le sol. Huit danseurs étaient revenus, toujours nus, quatre d’entre eux portaient des coupelles en céramique remplies d’eau chaude et les quatre autres des serviettes. Avec des gestes très doux, ils nettoyèrent puis séchèrent les pénis des spectateurs qui avaient de la peine à débander et dont le méat suintait toujours.
Kaito montra ensuite à Koen les traces qu’avaient laissées les danseurs, la plupart avait effectivement joui au moment où le tambour s’était arrêté. Koen fut impressionné par le contrôle éjaculatoire de ces jeunes gens, il devrait absolument en parler au professeur Latte.
Hiroshi fit une courbette à Kaito en lui disant :
— Merci, Maître, d’avoir autorisé mes amis à faire don de leur semence alors qu’ils ne sont pas initiés au shudō. C’est un grand honneur.
— Nous en ferons une offrande à Fukurokuju, le dieu de la virilité protecteur de notre troupe. Tant pis s’ils n’ont pas été purifiés avant par un prêtre shintō, nous n’en avons pas avec nous.
Au même moment, quelques danseurs revinrent avec des bols et des cuillères, il nettoyèrent le plancher sans laisser une seule goutte de sperme. Le dieu serait satisfait et les ferait bander jusqu’à cent ans.
Encore une modification : j’ai supprimé le personnage du directeur dans l’épisode précédent et n’ai gardé que le chorégraphe Kaito.
Chapitre 7 - Week-end japonais (2)
Samedi 8 août 1964, Landiwiese, Zurich
Le tambour reprit en accélérant la cadence. Les quatre spectateurs étaient comme hypnotisés par les vingt danseurs qui se branlaient. Ceux-ci étaient maintenant éclairés en rouge, à contre-jour, baignés de fumée. Ils ne se caressaient pas seulement le pénis, ils bougeaient aussi leur bassin en rythme.
Koen regretta le changement d’éclairage car il ne pouvait plus observer les bites. Celle de Frédéric était à l’étroit dans son jean, il aurait aimé la libérer pour accompagner les danseurs, mais il n’osait pas. Hiroshi n’eut pas cette pudeur, il ouvrit sa braguette, extirpa son pénis dressé de son fundoshi et se leva. Le tambour le vit, il ralentit la cadence pour lui laisser le temps de s’échauffer, les danseurs eurent des mouvements encore plus sensuels. Kaito fit signe à Koen, Frédéric et Laertes de se lever et de masturber, ils ne se firent pas prier.
Kaito regardait avec intérêt les trois gaijins, il n’avait jamais vu des queues d’occidentaux de si près, elles étaient belles. Ils n’avaient cependant pas la grâce et la technique de ses élèves, Hiroshi s’en sortait mieux.
Le tambour augmentait de nouveau imperceptiblement la cadence. Lorsqu’il sentit que les danseurs étaient prêts, Kaito leva le bras, la musique s’arrêta, les projecteurs éclairèrent violemment la scène, les danseurs poussèrent un cri en laissant gicler leur semence.
La salle fut ensuite plongée dans l’obscurité. Lorsque la lumière se ralluma, le plateau était vide. Il ne restait que les spectateurs, les pantalons sur les chevilles. Hiroshi avait joui au bon moment, il rit en voyant ses camarades qui finissaient de se branler. Kaito était en retrait, mais les matait toujours.
— Continuez, leur dit-il, ils attendront que vous ayez fini.
Koen se demanda si les danseurs avaient vraiment éjaculé, il n’avait pas vu car les projecteurs l’avaient ébloui. Il posa la question au chorégraphe qui répondit :
— Nous irons voir après s’il y a des traces.
Quant à eux, Koen, Frédéric et Laertes laissèrent des traces sur le sol. Huit danseurs étaient revenus, toujours nus, quatre d’entre eux portaient des coupelles en céramique remplies d’eau chaude et les quatre autres des serviettes. Avec des gestes très doux, ils nettoyèrent puis séchèrent les pénis des spectateurs qui avaient de la peine à débander et dont le méat suintait toujours.
Kaito montra ensuite à Koen les traces qu’avaient laissées les danseurs, la plupart avait effectivement joui au moment où le tambour s’était arrêté. Koen fut impressionné par le contrôle éjaculatoire de ces jeunes gens, il devrait absolument en parler au professeur Latte.
Hiroshi fit une courbette à Kaito en lui disant :
— Merci, Maître, d’avoir autorisé mes amis à faire don de leur semence alors qu’ils ne sont pas initiés au shudō. C’est un grand honneur.
— Nous en ferons une offrande à Fukurokuju, le dieu de la virilité protecteur de notre troupe. Tant pis s’ils n’ont pas été purifiés avant par un prêtre shintō, nous n’en avons pas avec nous.
Au même moment, quelques danseurs revinrent avec des bols et des cuillères, il nettoyèrent le plancher sans laisser une seule goutte de sperme. Le dieu serait satisfait et les ferait bander jusqu’à cent ans.
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Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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