03-05-2021, 09:32 AM
Il commence à se faire tard et nos amis souhaitent rentrer. Julien bâille aux corneilles, il est fatigué. Je me dis que c’est peut-être le moment de dévoiler ma surprise. Je me lève de mon siège et je dis :
Moi : « Avant que vous ne partiez, je voudrais vous remercier pour votre présence et votre amitié.
Ama : Merci Phil, mais tu le sais que c’est de bon cœur. Tu es mon ami de cœur et je suis le tiens, tout comme je le suis pour ton compagnon. Vous êtes deux garçons adorables, alors merci d’être mes amis !
Jul : Merci, votre soutient m’est précieux.
Ama : Je serai toujours là pour vous !
Moi : Merci Amandine. Je voudrais demander à mon frère Olivier un service.
Je vois que mon père me fait un clin d’œil, il sait ce que je vais demander à mon frangin. Il se tourne vers maman qui elle aussi semble au courant.
Oli : Je t’écoute Phil.
Moi : Olivier je voudrais que tu m’aides ce soir pour monter Julien avec moi dans ma chambre !
Oli : Bien sûr que je suis d’accord !
Jul : Oh Phil, je ne … je …
Julien éclate en sanglots. Il a les yeux brillants il affiche un beau sourire. Pour moi ça vaut un grand « oui » ! Je me dirige vers mon Juju, il me prend dans ses bras. Nous sommes réunis, enlacés et heureux.
Moi : Merci Oli.
Ama : Je vous souhaite une très bonne nuit les amoureux. À bientôt. Je vous aime !
Moi : À plus Amandine. Merci Joseph.
Jos : De rien mon pote, oups, mes potes !
Tout le monde se met à rire. Julien semble aller mieux. Je suis très content de voir que mon Juju accepte de dormir avec moi dans mon lit. Il y a déjà longtemps que nous n’y avons plus passé du temps.
Mam : Allez les enfants, au lit. Olivier s’il le faut appelle votre père qui se fera un plaisir de vous aider.
Les filles : Bonne nuit les garçons.
Moi : Bonne nuit les filles. A demain. Bonne nuit maman, tu es la meilleure. »
Nous montons à l’étage, Olivier et moi portant mon Julien d’amour. Tout se passe bien. C’est papa qui nous apporte les deux béquilles. Il est possible que son propriétaire en ait besoin pour aller aux toilettes durant la nuit. Julien entre dans la chambre, je le suis. Mon frère et papa nous souhaitent une très bonne nuit. Je ferme la porte et je prends mon chéri dans les bras. Je le dépose sur mon lit et, sans attendre, je l’embrasse !
Nos lèvres se séparent. Mon regard est plongé dans celui de mon Juju d’amour. Lui aussi a le sien planté dans le mien. Julien me dit : « Merci Phil pour ce beau cadeau ». Comme réponse, je place mon index devant sa bouche, il n’a pas besoin d’ajouter autre chose. Bien que la réponse ne soit pas verbale, des larmes coulent sur ses joues. Je prends mes pouces et les essuie. Je prends les mains de mon chéri et le positionne assis sur le lit. Je lui ôte doucement le tee-shirt découvrant son buste. Je passe mes mains sur sa poitrine en m’attardant au niveau de ses deux mamelons. Ils grossissent sous l’effet de mes caresses ! Julien fait de même avec moi, il m’enlève le polo et vient caresser mon poitrail.
Nous nous recouchons et sans attendre je retire son short. Il ne lui reste que son slip, un slip bleu ciel dont le devant est tendu, inutile de dire que mon amoureux bande déjà. Je subi le même sort de sa part. Juju voit lui aussi que mon sous-vêtement est tendu et qu’une petite auréole se dessine déjà, laissant supposer que du pré-cum perle déjà doucement au niveau de mon gland. Nous voilà donc en slip tous les deux. Nos lèvres se retrouvent et de ce fait nos langues partent à l’assaut l’une de l’autre dans une douce farandole nous permettant de profiter du moment présent.
Notre baiser appuyé devient de plus en plus frénétique, nos langues sont parties dans une danse endiablée, nous mettant chacun dans un état fébrile. Nous reprenons notre respiration. C’est un moment plus calme qui s’offre à nous et qui me permets de descendre le dernier rempart de tissus que porte encore mon amant. Je peux voir son phallus fièrement dressé vers le ciel. Sans attendre Julien procède de même avec mon slip, laissant apparaitre mon bâton d’amour dressé dont le gland est pratiquement entièrement décalotté, il est tout luisant !
Nous sommes nus, face à face sur le lit. Nos regards en disent longs sur l’instant vécu, sur notre effeuillage langoureux. Puis, toujours sans un mot, je prends le flacon de gel et j’en mets sur mes doigts. Juju a compris, il se place au bord du lit pour me permettre de m’occuper de sa rondelle. C’est délicatement que j’introduis un premier doigt ; puis un second, et assoupli ainsi l’entrée de cette grotte, que je vais explorer dans quelques instants.
Mon amour de Julien est prêt, je place ses jambes de part et d’autre de mon cou. Puis je positionne mon sexe dur comme de la pierre de façon que le gland se présente devant l’entrée de l’antre d’amour de mon chéri. C’est sensuellement et en douceur que mon pénis pénètre dans l’anus tant convoité. Julien émet déjà un râle ou deux. Je me sens bien au chaud dans cette cavité si accueillante. Je fais alors l’amour avec la personne que j’aime par-dessus tout ! Nous sommes dans notre monde, dans notre bulle, sur notre nuage. Plus rien ne compte pour nous maintenant, nous sommes déconnectés de la réalité. Quelle joie, quel bonheur éprouvé ! Je sens que mon ventre chauffe de plus en plus, je sais que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, je vais jouir dans les intestins de mon amour. Je commence à râler plus fort, même si cela s’entend probablement dans le hall de nuit, je n’en ai cure. J’aime mon Julien et c’est le principal ! Puis je me cabre, mes muscles se serrent et ses desserrent, mon corps tout entier savoure l’orgasme que je ressens et Julien lui aussi émets des râles de bonheur. Je prends mon temps et me laisse m’affaler à côté du corps que je viens de conquérir et d’aimer !
Je reste un moment ainsi, le temps de me reprendre. Puis Julien se place sur le lit, il se positionne pour que je lui présente mon fondement. Il prend le gel et s’applique à enduire l’entrée de ma grotte. Une fois prêt, il me faire comprendre qu’il restera coucher sur le lit car il ne sait pas encore profiter de la mobilité normale de ses jambes. Je sais que je vais donc me placer en position « assise » sur son sexe dressé pour l’introduire dans mon antre préparée. C’est en fait une première, ce sera une nouvelle expérience dans la découverte de l’amour entre nous et « autrement » ! Julien a aussi enduit son pénis de gel ce qui facilite grandement cette façon de s’aimer sans avoir à forcer l’entrée de son boute-joie dans ma grotte. Cette position est aussi très sensuelle, cela me procure beaucoup de sensations quelque peu différentes. C’est mon corps qui travaille pour apporter le rythme voulu. Julien lui de son côté râle comme jamais, il semble donc que cette position lui fasse ressentir un maximum de sensations. Je m’applique pour bien rester en position. Les va et vient effectués de cette façon apporte une nouvelle dimension à notre étreinte d’amour. Julien se laisse aller, il peut se concentrer sur sa jouissance car c’est moi qui mène la danse. Les râles de mon amant sont de plus en plus sonores et se joignent aux miens. Je sens que Juju va arriver au point de non-retour. De fait je sens dans mon anus que son membre dressé est de plus en plus dur et que des palpitations se font sentir, signale que l’orgasme tant attendu va se produire dans les secondes qui viennent. De fait mon antre se rempli de la semence de l’être que j’aime le plus au monde. Je me retire doucement et viens me coucher à côté de mon amour. Je suis trempé de sueur, je suis fatigué de cette chevauchée sur le corps que j’ai aimé et qui m’a aimé. C’est Julien qui essuie les traces de spermes qui maculent son corps et le drap de lit.
Nous nous embrassons en nous tenant dans les bras l’un de l’autre. Nous sommes toujours comme en apesanteur, dans un autre monde. Il y a bien longtemps que nous n’avons pas ressenti autant de bonheur à nous aimer. C’était avant l’accident !
Jul : « Merci Phil, merci de m’aimer tel que je suis !
Moi : Je t’aime et je sais que toi aussi tu m’aimes !
Jul : Tu ne peux pas t’imaginer comme ça m’a fait plaisir de nous aimer comme on vient de le faire.
Moi : Et moi aussi j’ai grandement apprécié. Je t’ai retrouvé Juju, je suis si heureux avec toi !
Jul : Merci Phil, j’avais besoin de ton amour, j’ai besoin de toi pour vivre.
Je vois des larmes couler sur ses joues. Je ne dis rien, je les essuie avec mes pouces. Je dépose mes lèvres sur les siennes et y dépose deux ou trois bisous affectueux. Nos bras nous entourent et dans cette position, en silence, nous savourons encore le moment partagé peu avant. C’est dans notre bulle que nous nous endormons, heureux et rempli de bonheur. J’ai comme dernière image, « nous deux dans une course sur une plage de sable fin, au soleil, dans le vent chaud, main dans la main, pour enfin nous écrouler dans les vagues qui s’échouent à nos pieds, en riant. »
Moi : « Avant que vous ne partiez, je voudrais vous remercier pour votre présence et votre amitié.
Ama : Merci Phil, mais tu le sais que c’est de bon cœur. Tu es mon ami de cœur et je suis le tiens, tout comme je le suis pour ton compagnon. Vous êtes deux garçons adorables, alors merci d’être mes amis !
Jul : Merci, votre soutient m’est précieux.
Ama : Je serai toujours là pour vous !
Moi : Merci Amandine. Je voudrais demander à mon frère Olivier un service.
Je vois que mon père me fait un clin d’œil, il sait ce que je vais demander à mon frangin. Il se tourne vers maman qui elle aussi semble au courant.
Oli : Je t’écoute Phil.
Moi : Olivier je voudrais que tu m’aides ce soir pour monter Julien avec moi dans ma chambre !
Oli : Bien sûr que je suis d’accord !
Jul : Oh Phil, je ne … je …
Julien éclate en sanglots. Il a les yeux brillants il affiche un beau sourire. Pour moi ça vaut un grand « oui » ! Je me dirige vers mon Juju, il me prend dans ses bras. Nous sommes réunis, enlacés et heureux.
Moi : Merci Oli.
Ama : Je vous souhaite une très bonne nuit les amoureux. À bientôt. Je vous aime !
Moi : À plus Amandine. Merci Joseph.
Jos : De rien mon pote, oups, mes potes !
Tout le monde se met à rire. Julien semble aller mieux. Je suis très content de voir que mon Juju accepte de dormir avec moi dans mon lit. Il y a déjà longtemps que nous n’y avons plus passé du temps.
Mam : Allez les enfants, au lit. Olivier s’il le faut appelle votre père qui se fera un plaisir de vous aider.
Les filles : Bonne nuit les garçons.
Moi : Bonne nuit les filles. A demain. Bonne nuit maman, tu es la meilleure. »
Nous montons à l’étage, Olivier et moi portant mon Julien d’amour. Tout se passe bien. C’est papa qui nous apporte les deux béquilles. Il est possible que son propriétaire en ait besoin pour aller aux toilettes durant la nuit. Julien entre dans la chambre, je le suis. Mon frère et papa nous souhaitent une très bonne nuit. Je ferme la porte et je prends mon chéri dans les bras. Je le dépose sur mon lit et, sans attendre, je l’embrasse !
Nos lèvres se séparent. Mon regard est plongé dans celui de mon Juju d’amour. Lui aussi a le sien planté dans le mien. Julien me dit : « Merci Phil pour ce beau cadeau ». Comme réponse, je place mon index devant sa bouche, il n’a pas besoin d’ajouter autre chose. Bien que la réponse ne soit pas verbale, des larmes coulent sur ses joues. Je prends mes pouces et les essuie. Je prends les mains de mon chéri et le positionne assis sur le lit. Je lui ôte doucement le tee-shirt découvrant son buste. Je passe mes mains sur sa poitrine en m’attardant au niveau de ses deux mamelons. Ils grossissent sous l’effet de mes caresses ! Julien fait de même avec moi, il m’enlève le polo et vient caresser mon poitrail.
Nous nous recouchons et sans attendre je retire son short. Il ne lui reste que son slip, un slip bleu ciel dont le devant est tendu, inutile de dire que mon amoureux bande déjà. Je subi le même sort de sa part. Juju voit lui aussi que mon sous-vêtement est tendu et qu’une petite auréole se dessine déjà, laissant supposer que du pré-cum perle déjà doucement au niveau de mon gland. Nous voilà donc en slip tous les deux. Nos lèvres se retrouvent et de ce fait nos langues partent à l’assaut l’une de l’autre dans une douce farandole nous permettant de profiter du moment présent.
Notre baiser appuyé devient de plus en plus frénétique, nos langues sont parties dans une danse endiablée, nous mettant chacun dans un état fébrile. Nous reprenons notre respiration. C’est un moment plus calme qui s’offre à nous et qui me permets de descendre le dernier rempart de tissus que porte encore mon amant. Je peux voir son phallus fièrement dressé vers le ciel. Sans attendre Julien procède de même avec mon slip, laissant apparaitre mon bâton d’amour dressé dont le gland est pratiquement entièrement décalotté, il est tout luisant !
Nous sommes nus, face à face sur le lit. Nos regards en disent longs sur l’instant vécu, sur notre effeuillage langoureux. Puis, toujours sans un mot, je prends le flacon de gel et j’en mets sur mes doigts. Juju a compris, il se place au bord du lit pour me permettre de m’occuper de sa rondelle. C’est délicatement que j’introduis un premier doigt ; puis un second, et assoupli ainsi l’entrée de cette grotte, que je vais explorer dans quelques instants.
Mon amour de Julien est prêt, je place ses jambes de part et d’autre de mon cou. Puis je positionne mon sexe dur comme de la pierre de façon que le gland se présente devant l’entrée de l’antre d’amour de mon chéri. C’est sensuellement et en douceur que mon pénis pénètre dans l’anus tant convoité. Julien émet déjà un râle ou deux. Je me sens bien au chaud dans cette cavité si accueillante. Je fais alors l’amour avec la personne que j’aime par-dessus tout ! Nous sommes dans notre monde, dans notre bulle, sur notre nuage. Plus rien ne compte pour nous maintenant, nous sommes déconnectés de la réalité. Quelle joie, quel bonheur éprouvé ! Je sens que mon ventre chauffe de plus en plus, je sais que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, je vais jouir dans les intestins de mon amour. Je commence à râler plus fort, même si cela s’entend probablement dans le hall de nuit, je n’en ai cure. J’aime mon Julien et c’est le principal ! Puis je me cabre, mes muscles se serrent et ses desserrent, mon corps tout entier savoure l’orgasme que je ressens et Julien lui aussi émets des râles de bonheur. Je prends mon temps et me laisse m’affaler à côté du corps que je viens de conquérir et d’aimer !
Je reste un moment ainsi, le temps de me reprendre. Puis Julien se place sur le lit, il se positionne pour que je lui présente mon fondement. Il prend le gel et s’applique à enduire l’entrée de ma grotte. Une fois prêt, il me faire comprendre qu’il restera coucher sur le lit car il ne sait pas encore profiter de la mobilité normale de ses jambes. Je sais que je vais donc me placer en position « assise » sur son sexe dressé pour l’introduire dans mon antre préparée. C’est en fait une première, ce sera une nouvelle expérience dans la découverte de l’amour entre nous et « autrement » ! Julien a aussi enduit son pénis de gel ce qui facilite grandement cette façon de s’aimer sans avoir à forcer l’entrée de son boute-joie dans ma grotte. Cette position est aussi très sensuelle, cela me procure beaucoup de sensations quelque peu différentes. C’est mon corps qui travaille pour apporter le rythme voulu. Julien lui de son côté râle comme jamais, il semble donc que cette position lui fasse ressentir un maximum de sensations. Je m’applique pour bien rester en position. Les va et vient effectués de cette façon apporte une nouvelle dimension à notre étreinte d’amour. Julien se laisse aller, il peut se concentrer sur sa jouissance car c’est moi qui mène la danse. Les râles de mon amant sont de plus en plus sonores et se joignent aux miens. Je sens que Juju va arriver au point de non-retour. De fait je sens dans mon anus que son membre dressé est de plus en plus dur et que des palpitations se font sentir, signale que l’orgasme tant attendu va se produire dans les secondes qui viennent. De fait mon antre se rempli de la semence de l’être que j’aime le plus au monde. Je me retire doucement et viens me coucher à côté de mon amour. Je suis trempé de sueur, je suis fatigué de cette chevauchée sur le corps que j’ai aimé et qui m’a aimé. C’est Julien qui essuie les traces de spermes qui maculent son corps et le drap de lit.
Nous nous embrassons en nous tenant dans les bras l’un de l’autre. Nous sommes toujours comme en apesanteur, dans un autre monde. Il y a bien longtemps que nous n’avons pas ressenti autant de bonheur à nous aimer. C’était avant l’accident !
Jul : « Merci Phil, merci de m’aimer tel que je suis !
Moi : Je t’aime et je sais que toi aussi tu m’aimes !
Jul : Tu ne peux pas t’imaginer comme ça m’a fait plaisir de nous aimer comme on vient de le faire.
Moi : Et moi aussi j’ai grandement apprécié. Je t’ai retrouvé Juju, je suis si heureux avec toi !
Jul : Merci Phil, j’avais besoin de ton amour, j’ai besoin de toi pour vivre.
Je vois des larmes couler sur ses joues. Je ne dis rien, je les essuie avec mes pouces. Je dépose mes lèvres sur les siennes et y dépose deux ou trois bisous affectueux. Nos bras nous entourent et dans cette position, en silence, nous savourons encore le moment partagé peu avant. C’est dans notre bulle que nous nous endormons, heureux et rempli de bonheur. J’ai comme dernière image, « nous deux dans une course sur une plage de sable fin, au soleil, dans le vent chaud, main dans la main, pour enfin nous écrouler dans les vagues qui s’échouent à nos pieds, en riant. »