27-04-2021, 08:49 PM
Chapitre 5 - Week-end de la Fête nationale suisse (10)
Dimanche 2 août 1964, chalet de Frédéric, Verbier
Frédéric passa à la salle de bain. Pendant ce temps, Daniel se coucha sur l’un des lits contigus, sous le drap et la couverture, rejetant le duvet à ses pieds. Il avait mis un pyjama bleu ciel, son cousin s’en étonna lorsqu’il revint dans la chambre avec des capotes et du gel :
— Tu as mis un pyjama ce soir ?
— Il ne fait pas très chaud.
— Tu es très élégant. Modèle classique avec veste boutonnée.
— C’est ma grand-mère qui m’en envoie un chaque année pour Noël.
— Tu as de la chance, fit Frédéric, la mienne me tricote des pulls de laine trop chauds et bariolés. Tu as mis un slip dessous ?
— Devine ! Tu avais aussi mis un pyjama la première fois que nous avons couché ensemble, si je me souviens bien.
— Je te corrige, la première fois que nous avons dormi ensemble, pas couché. C’était parce qu’il y avait mes sœurs avec nous, elles sont très curieuses. Je ne l’ai d’ailleurs pas gardé longtemps…
— Dis plutôt que tu avais peur de bander devant elles, elles sont plus que curieuses, elles sont vicieuses, ce doit être de famille.
— Oui, nous devons avoir des gènes prédisposants.
Frédéric se déshabilla, éteignit le plafonnier, ne laissant allumées que les lampes de chevet, et se coucha, nu.
— Nous voici de nouveau ensemble pour dormir, dit-il, un mois après ton retour.
— Je me demande si nous n’avons pas raté une occasion la première fois, dit Daniel.
— Laquelle ?
— Nous aurions pu faire l’amour au lieu d’en rester au touche-pipi.
— Je te rappelle que tu prétendais ne pas être homosexuel, même si tu m’as sucé. En plus, tu ne m’avais pas encore raconté ton dépucelage à ton camp au Colorado avec d’autres garçons.
— Tu as raison, mais je ne sais pas si je suis vraiment homosexuel puisque Dom est une femme.
— Elle a une bite. Laissons de côté cette question philosophique pour ce soir. Tu regrettes ?
— Quoi ?
— Nous aurions pu découvrir que notre attirance était aussi sexuelle, et pas seulement… comment dire, fraternelle ? Avant que nous fassions la connaissance d’autres personnes.
Daniel réfléchit longuement avant de répondre :
— C’est déjà assez compliqué comme ça, si en plus nous avions dû dire que nous étions amoureux l’un de l’autre, deux cousins… Tu imagines ma mère, elle aurait fait une syncope.
— C’est mieux ainsi, en effet. Nous avons heureusement des partenaires très compréhensifs. Dom est-elle passive ?
— Pas seulement, nous partageons les rôles. Et toi ?
— Moi, je laisse faire Koen.
— Tu m’as dit que tu as eu un cours de Kāmasūtra avec un guru indien le week-end dernier.
— Oui, Krishna, un type bizarre. Ce n’était pas le seul, il y avait beaucoup de types bizarres à cette soirée. Il faudra que je propose aux architectes de vous inviter la prochaine fois.
— Avec Dom cela fera une femme bizarre… Une femme à barbe.
— Ce n’est pas ce que je voulais dire.
— Je plaisantais, fit Daniel.
Les deux cousins restèrent silencieux quelques instants. Daniel ferma les yeux.
— Tu es fatigué ? demanda Frédéric, tu veux dormir ?
— À moins que tu ne veuilles voir si j’ai mis un slip sous mon pyjama.
— Je suis très curieux, comme mes sœurs.
Frédéric écarta le drap et la couverture, exposant le corps offert de son cousin. Il déboutonna lentement la veste du pyjama, glissant ses doigts sur la poitrine, puis la langue. Il dégagea ensuite le nombril, il mit son doigt à l’intérieur.
— Tu mère a raison, tu as grossi, ton amie est une bonne cuisinière.
— C’est vrai, elle me fait des gâteries.
— Et ta queue, elle a aussi grossi depuis que tu l’utilises intensivement ? Ta mère n’en a pas parlé.
— Demande à Koen, c’est lui qui fait l’inventaire.
— Il est occupé si j’en crois les bruits dans la chambre d’à côté.
Frédéric défit les boutons de la braguette du pyjama, il contempla la bite de son cousin qui reposait encore sagement sur les couilles.
— Bon point, dit-il, tu n’as pas mis de slip.
— Je n’ai pas suivi les conseils de ma grand-mère, dit Daniel en riant.
Frédéric prit délicatement le pénis dans sa main et le caressa, Daniel banda.
— Tu me permets d’être actif ce soir comme c’est toi qui m’a enculé dans la forêt ? demanda Frédéric.
— Je ne peux rien refuser à mon cousin préféré.
Frédéric finit d’enlever le pyjama, ils se caressèrent et s’embrassèrent pour faire monter l’excitation. Daniel était toujours couché sur le dos, Frédéric lui dit de se mettre sur le côté, il enduisit son doigt de gel et prépara la rosette, tout en le branlant de l’autre main.
Le pénis très dur de Frédéric n’eut aucune peine à pénétrer dans les entrailles de son cousin qui était très détendu. Il fit quelques va-et-vient prudents pour trouver ses marques.
Daniel gémissait doucement. Frédéric chuchota :
— Ça va ? Je le fais aussi bien que Dom ?
— Je ne réponds pas à cette question.
Frédéric caressait son cousin tout en gardant un rythme assez lent, enfonçant à chaque fois son pénis le plus profondément possible.
Les deux cousins jouirent presque en même temps. Frédéric se retira, enleva sa capote, Daniel se retourna pour être en face de lui, leurs sexes étaient encore légèrement dressés et luisants de sperme et de précum. Ils se regardèrent en souriant.
— Voilà, dit Frédéric, 1-1, nous sommes à égalité maintenant.
— Oui, chacun son tour.
— Il y aura une prochaine fois ?
— Je ne sais pas, mais je pense que nos voisins auront envie de se revoir.
— On finira peut-être par vivre ensemble en communauté.
— Oui, mais si l’on compte sur Koen et toi, je doute que nous aurons des enfants.
— Koen est un génie, il trouvera sûrement un truc pour en avoir.
Frédéric nettoya le sexe de Daniel avec un mouchoir en étoffe, remit le pyjama, le borda et lui offrit un dernier bisou. Frédéric resta nu. Ils s’endormirent rapidement.
Dimanche 2 août 1964, chalet de Frédéric, Verbier
Frédéric passa à la salle de bain. Pendant ce temps, Daniel se coucha sur l’un des lits contigus, sous le drap et la couverture, rejetant le duvet à ses pieds. Il avait mis un pyjama bleu ciel, son cousin s’en étonna lorsqu’il revint dans la chambre avec des capotes et du gel :
— Tu as mis un pyjama ce soir ?
— Il ne fait pas très chaud.
— Tu es très élégant. Modèle classique avec veste boutonnée.
— C’est ma grand-mère qui m’en envoie un chaque année pour Noël.
— Tu as de la chance, fit Frédéric, la mienne me tricote des pulls de laine trop chauds et bariolés. Tu as mis un slip dessous ?
— Devine ! Tu avais aussi mis un pyjama la première fois que nous avons couché ensemble, si je me souviens bien.
— Je te corrige, la première fois que nous avons dormi ensemble, pas couché. C’était parce qu’il y avait mes sœurs avec nous, elles sont très curieuses. Je ne l’ai d’ailleurs pas gardé longtemps…
— Dis plutôt que tu avais peur de bander devant elles, elles sont plus que curieuses, elles sont vicieuses, ce doit être de famille.
— Oui, nous devons avoir des gènes prédisposants.
Frédéric se déshabilla, éteignit le plafonnier, ne laissant allumées que les lampes de chevet, et se coucha, nu.
— Nous voici de nouveau ensemble pour dormir, dit-il, un mois après ton retour.
— Je me demande si nous n’avons pas raté une occasion la première fois, dit Daniel.
— Laquelle ?
— Nous aurions pu faire l’amour au lieu d’en rester au touche-pipi.
— Je te rappelle que tu prétendais ne pas être homosexuel, même si tu m’as sucé. En plus, tu ne m’avais pas encore raconté ton dépucelage à ton camp au Colorado avec d’autres garçons.
— Tu as raison, mais je ne sais pas si je suis vraiment homosexuel puisque Dom est une femme.
— Elle a une bite. Laissons de côté cette question philosophique pour ce soir. Tu regrettes ?
— Quoi ?
— Nous aurions pu découvrir que notre attirance était aussi sexuelle, et pas seulement… comment dire, fraternelle ? Avant que nous fassions la connaissance d’autres personnes.
Daniel réfléchit longuement avant de répondre :
— C’est déjà assez compliqué comme ça, si en plus nous avions dû dire que nous étions amoureux l’un de l’autre, deux cousins… Tu imagines ma mère, elle aurait fait une syncope.
— C’est mieux ainsi, en effet. Nous avons heureusement des partenaires très compréhensifs. Dom est-elle passive ?
— Pas seulement, nous partageons les rôles. Et toi ?
— Moi, je laisse faire Koen.
— Tu m’as dit que tu as eu un cours de Kāmasūtra avec un guru indien le week-end dernier.
— Oui, Krishna, un type bizarre. Ce n’était pas le seul, il y avait beaucoup de types bizarres à cette soirée. Il faudra que je propose aux architectes de vous inviter la prochaine fois.
— Avec Dom cela fera une femme bizarre… Une femme à barbe.
— Ce n’est pas ce que je voulais dire.
— Je plaisantais, fit Daniel.
Les deux cousins restèrent silencieux quelques instants. Daniel ferma les yeux.
— Tu es fatigué ? demanda Frédéric, tu veux dormir ?
— À moins que tu ne veuilles voir si j’ai mis un slip sous mon pyjama.
— Je suis très curieux, comme mes sœurs.
Frédéric écarta le drap et la couverture, exposant le corps offert de son cousin. Il déboutonna lentement la veste du pyjama, glissant ses doigts sur la poitrine, puis la langue. Il dégagea ensuite le nombril, il mit son doigt à l’intérieur.
— Tu mère a raison, tu as grossi, ton amie est une bonne cuisinière.
— C’est vrai, elle me fait des gâteries.
— Et ta queue, elle a aussi grossi depuis que tu l’utilises intensivement ? Ta mère n’en a pas parlé.
— Demande à Koen, c’est lui qui fait l’inventaire.
— Il est occupé si j’en crois les bruits dans la chambre d’à côté.
Frédéric défit les boutons de la braguette du pyjama, il contempla la bite de son cousin qui reposait encore sagement sur les couilles.
— Bon point, dit-il, tu n’as pas mis de slip.
— Je n’ai pas suivi les conseils de ma grand-mère, dit Daniel en riant.
Frédéric prit délicatement le pénis dans sa main et le caressa, Daniel banda.
— Tu me permets d’être actif ce soir comme c’est toi qui m’a enculé dans la forêt ? demanda Frédéric.
— Je ne peux rien refuser à mon cousin préféré.
Frédéric finit d’enlever le pyjama, ils se caressèrent et s’embrassèrent pour faire monter l’excitation. Daniel était toujours couché sur le dos, Frédéric lui dit de se mettre sur le côté, il enduisit son doigt de gel et prépara la rosette, tout en le branlant de l’autre main.
Le pénis très dur de Frédéric n’eut aucune peine à pénétrer dans les entrailles de son cousin qui était très détendu. Il fit quelques va-et-vient prudents pour trouver ses marques.
Daniel gémissait doucement. Frédéric chuchota :
— Ça va ? Je le fais aussi bien que Dom ?
— Je ne réponds pas à cette question.
Frédéric caressait son cousin tout en gardant un rythme assez lent, enfonçant à chaque fois son pénis le plus profondément possible.
Les deux cousins jouirent presque en même temps. Frédéric se retira, enleva sa capote, Daniel se retourna pour être en face de lui, leurs sexes étaient encore légèrement dressés et luisants de sperme et de précum. Ils se regardèrent en souriant.
— Voilà, dit Frédéric, 1-1, nous sommes à égalité maintenant.
— Oui, chacun son tour.
— Il y aura une prochaine fois ?
— Je ne sais pas, mais je pense que nos voisins auront envie de se revoir.
— On finira peut-être par vivre ensemble en communauté.
— Oui, mais si l’on compte sur Koen et toi, je doute que nous aurons des enfants.
— Koen est un génie, il trouvera sûrement un truc pour en avoir.
Frédéric nettoya le sexe de Daniel avec un mouchoir en étoffe, remit le pyjama, le borda et lui offrit un dernier bisou. Frédéric resta nu. Ils s’endormirent rapidement.
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