22-04-2021, 10:19 AM
Il était temps de reprendre le court de la nuit. Gaby était apaisé. Ben avait les yeux lourds de sommeil. Moi-même je voulais me rendormir. Gabriel me posa alors cette question :
Gab : « Phil, tu crois que je dois enlever mon slip et ainsi faire comme vous, c'est-à-dire être nu !
Moi : Tu sais Gaby, tu fais comme tu veux. C’est toi qui décide, je ne veux rien t’imposer. De toute façon nous allons dormir et non faire des galipettes si c’est ça qui te dérange !
Gab : Merci Phil, merci de ta réponse. »
Je m’étais retourné et je m’étais finalement très vite endormi tout comme Benoît par ailleurs. Je ne savais pas quelle décision Gaby avait pris, avait-il ôté ou pas son caleçon. Je n’en avais cure !
Au matin, je ne pouvais pas dire l’heure, j’avais ouvert un œil. Gaby était toujours de mon côté droit. Ben était lui à ma gauche. Gaby venait juste de se retourner. Directement j’avais senti son pénis bandé me toucher la cuisse droite ; il avait donc ôté son caleçon et il était à poil. Je ne voulais pas le réveiller, j’avais donc attendu qu’il se réveille ou alors que Benoît se réveille. J’étais entre mes deux comparses et j’avais donc les mouvements très limités. Cela ne me dérangeait pas de sentir ainsi le sexe bandé de Gaby contre mon corps, au contraire, ma queue prenait de plus en plus de volume. J’étais un peu gêné par rapport à Ben qui était à mes côtés. Je pense qu’il comprendrait que les hormones avaient eus de l’effet sur mon anatomie.
Un bon quart d’heure plus tard, Gaby s’est réveillé, il avait toujours la gaule et il était toujours collé à moi. Il me regarda dans les yeux et j’avais pu y voir comme une réaction de recul, son corps avait suivi le mouvement de recul avec quelques secondes de décalage ! J’avais alors susurré à Gaby que ce n’était rien, que c’était la nature qui avait pris le dessus et que je ne lui en voulais pas. Je lui avais dit que moi aussi j’avais une gaule d’enfer. Finalement Ben s’était lui aussi réveillé. On pouvait voir la bosse qui soulevait la couverture comme le mat de tente de cirque du chapiteau de Bouglione ! Nous avions l’air fin tous les trois avec la gaule du matin ! J’avais alors pris la parole :
Moi : « Oh les gars, je pense que nous sommes en pleine forme du côté de nos attributs. Je ne sais pas mais moi j’ai besoin de faire baisser la pression.
Ben : Phil, tu as raison, je suis bandé comme jamais.
Gab : Je ne sais pas, mais moi aussi j’ai tellement envie de me soulager, la pression est trop forte.
Moi : Je pense que je vais me lancer dans une masturbation matinale de derrière les fagots !
Ben : Moi aussi.
Gab : Vous me faites tellement envie. Je vous suis alors »
Nous étions trois à prendre notre pénis en main et nous avions entrepris une masturbation assez lascive au début de notre appendice génital. Nous nous donnions chacun du plaisir. De mon côté je pouvais voir Ben, dont je connaissais l’anatomie et également Gaby. Il avait un sexe étroit mais assez long. Son gland apparaissait et disparaissait au gré des mouvements appliqués. Nous semblions calquer nos mouvements les uns sur les autres. Il y avait des mouvements lents et après plus rapides. Nous pouvions entendre nos voisins émettre de temps à autre des râles de bonheur et de jouissance. Puis après une bonne dizaine de minutes c’est Gaby qui avait laisser échapper cinq jets de sperme sur ses abdominaux. Puis c’est Benoît qui avait suivi et puis moi-même j’avais laissé échapper en jets ma semence sur mon torse. Gaby était aux anges. Il était heureux d’avoir pu éprouver un moment de bonheur physique avec nous.
Après avoir repris nos esprits, c’est Gaby qui avait dit :
Gab : « Merci pour ce très bon moment. J’ai déjà eu l’occasion de la faire quelques fois avec d’autres gars, même lors d’un camp scout. Mais c’était juste chacun sa queue !
Moi : Tu sais Gaby, pas de souci, je suppose que tu sais que Ben et moi on est allé plus loin. Mais ce n’est pas pour cela que nous imposons quoi que ce soit !
Gab : Tu sais Phil, pour toi et Ben, je sais que vous savez vous tenir. Puis si je peux ajouter, si vous voulez vous embrasser devant moi, cela ne me dérange pas, que du contraire, cela me ferait même plaisir car je ne suis pas homophobe comme on a peut-être pu vous le laisser croire !
Ben : Merci Gaby, c’est gentil ce que tu viens de dire.
Moi : Merci Gaby, mais on va rester calme.
Je m’étais rapproché de Benoît et j’avais juste posé mes lèvres sur les siennes, quelques secondes, sans plus. Puis j’avais ajouté :
Moi : Tu vois Gaby, ce petit baiser sur les lèvres nous suffit pour le moment. Ce n’est pas la peine d’en faire plus. De toute façon même quand nous sommes seuls, ce n’est pas pour cela que nous nous bécotons à tour de bras !
Gab : Je m’en doute Phil, je sais que vous savez vous tenir.
Moi : Allez hop, il est temps de se lever. »
Nous nous étions levé tous les trois pour aller prendre une bonne douche dans la salle de bain. Comme la douche italienne était assez grande nous nous étions tous les trois douchés ensemble. Trois minutes après nous avions été rejoint par Jean, mon frère, qui était content de voir d’autres têtes dans la maison à la fin de ces vacances de Pâques.
A l’arrivée de Jean dans la salle de bain, Ben et moi nous avions vite terminé notre douche pour laisser plus de place à Gabriel et à Jean. Jean avait le sexe à moitié bandé ce qui lui donnait l’air d’avoir un plus long sexe que nous. Il est vrai que nous nous étions masturbés un peu avant d’aller nous doucher. Une fois essuyés nous avions rejoint la chambre pour nous habiller avant d’aller déjeuner. Gabriel n’avait pas trainé lui non plus.
A table papa avait demandé comment la nuit s’était passée. Gabriel avait expliqué qu’il avait eu du mal à s’endormir et qu’il était venu me retrouver dans ma chambre pour encore discuter. Puis Gabriel avait expliqué qu’il serait bien là pour nous épauler en cas de besoin. Maman et Papa étaient heureux d’entendre cette proposition. Ils venaient de se rendre compte que Gabriel était en fait un jeune aussi très ouvert d’esprit et nullement homophobe. Mes parents avaient dit à Gaby qu’il était le bienvenu à la maison.
Nous nous sommes quittés après ce repas. Ben rentrait chez lui ainsi que Gaby. Avant de partir Gaby m’avait encore dit qu’il était désolé, mais qu’il ferait tout pour se racheter.
Les vacances étaient terminées. C’était la rentrée des classes après quinze jours de repos ! J’étais content de revenir au bahut, je pouvais revoir Marie et Isabelle. Elles étaient dans la cour de récréation, à l’endroit habituel. Ni une ni deux je m’étais approché d’elles. Nous nous étions fait la bise. De loin je voyais d’autre gars de notre classe qui nous regardais. Pour moi c’était l’occasion de me montrer auprès des filles et peut-être faire taire les rumeurs sur mon orientation sexuelle ! Une fois ensemble c’était l’occasion de raconter mes vacances, le camp scouts et ensuite les jours passés avec mon ami Benoît.
Les filles avaient raconté leurs vacances. Elles s’étaient retrouvées une semaine et elles en avaient profité pour s’amuser. Nous parlions de tout et de rien. Puis, une fois tranquille et un peu à l’écart j’avais raconté à Marie et à Isabelle la venue de Gabriel à la maison avec Benoît. Je lui avais expliqué que Gaby s’en voulait à mort du mal qu’il m’avait fait par l’intermédiaire d’Emmanuel. Puis j’avais raconté ce qui s’était passé lorsque Gaby et Emmanuel étaient au parc. La réaction de Gaby d’aller à la police pour dénoncer les faits. J’avais dit aux filles que je ne lui en voulais plus, qu’il était pardonné. Marie m’a dit que j’étais un mec super, ouvert et capable de discernement. Puis je me posais encore une question. J’en fis part à Marie et Isabelle :
Moi : « Les filles vous savez ce qui s’est passé en classe de neige. L’attitude d’Emmanuel et puis les propos qu’il a tenu à mon égard. Je suis certain que toute la classe sait quoi sur moi et que je suis gay ! Que vais-je faire. Comment les autres vont-ils réagir. Vous voyez les trois là-bas à quinze mètres qui ne font que nous regarder !
Mar : Ne t’inquiète pas Phil. Je ne sais pas quelle attitude ils vont adopter, mais je pense qu’ils vont rester sans réaction par la suite.
Moi : Je l’espère Marie, car je ne sais pas ce que je vais devoir encore subir comme attaques verbales !
Isa : Tu sais Phil, on est avec toi. Et puis il y a Romain et Justin qui sont eux aussi prêts à te défendre.
Moi : Je sais Isa, mais j’ai quand même la boule au ventre. Je sais qu’Emmanuel a été viré de l’école, mais j’ai toujours peur d’en prendre plein la gueule, si tu vois ce que je veux dire !
Mar : Je sais Phil, mais je te rassure, nous sommes avec toi. Tu peux être certain que s’il y en a un qui bouge il va s’en prendre une de derrière les fagots !
Moi : Merci Marie, mais je ne suis pas dans mon assiette. »
La sonnerie du début des cours venait de retentir. Nous nous dirigions vers notre classe, en rang. Nous avancions vers la classe et j’avais pu entendre très faiblement « voilà le PD ».
Gab : « Phil, tu crois que je dois enlever mon slip et ainsi faire comme vous, c'est-à-dire être nu !
Moi : Tu sais Gaby, tu fais comme tu veux. C’est toi qui décide, je ne veux rien t’imposer. De toute façon nous allons dormir et non faire des galipettes si c’est ça qui te dérange !
Gab : Merci Phil, merci de ta réponse. »
Je m’étais retourné et je m’étais finalement très vite endormi tout comme Benoît par ailleurs. Je ne savais pas quelle décision Gaby avait pris, avait-il ôté ou pas son caleçon. Je n’en avais cure !
Au matin, je ne pouvais pas dire l’heure, j’avais ouvert un œil. Gaby était toujours de mon côté droit. Ben était lui à ma gauche. Gaby venait juste de se retourner. Directement j’avais senti son pénis bandé me toucher la cuisse droite ; il avait donc ôté son caleçon et il était à poil. Je ne voulais pas le réveiller, j’avais donc attendu qu’il se réveille ou alors que Benoît se réveille. J’étais entre mes deux comparses et j’avais donc les mouvements très limités. Cela ne me dérangeait pas de sentir ainsi le sexe bandé de Gaby contre mon corps, au contraire, ma queue prenait de plus en plus de volume. J’étais un peu gêné par rapport à Ben qui était à mes côtés. Je pense qu’il comprendrait que les hormones avaient eus de l’effet sur mon anatomie.
Un bon quart d’heure plus tard, Gaby s’est réveillé, il avait toujours la gaule et il était toujours collé à moi. Il me regarda dans les yeux et j’avais pu y voir comme une réaction de recul, son corps avait suivi le mouvement de recul avec quelques secondes de décalage ! J’avais alors susurré à Gaby que ce n’était rien, que c’était la nature qui avait pris le dessus et que je ne lui en voulais pas. Je lui avais dit que moi aussi j’avais une gaule d’enfer. Finalement Ben s’était lui aussi réveillé. On pouvait voir la bosse qui soulevait la couverture comme le mat de tente de cirque du chapiteau de Bouglione ! Nous avions l’air fin tous les trois avec la gaule du matin ! J’avais alors pris la parole :
Moi : « Oh les gars, je pense que nous sommes en pleine forme du côté de nos attributs. Je ne sais pas mais moi j’ai besoin de faire baisser la pression.
Ben : Phil, tu as raison, je suis bandé comme jamais.
Gab : Je ne sais pas, mais moi aussi j’ai tellement envie de me soulager, la pression est trop forte.
Moi : Je pense que je vais me lancer dans une masturbation matinale de derrière les fagots !
Ben : Moi aussi.
Gab : Vous me faites tellement envie. Je vous suis alors »
Nous étions trois à prendre notre pénis en main et nous avions entrepris une masturbation assez lascive au début de notre appendice génital. Nous nous donnions chacun du plaisir. De mon côté je pouvais voir Ben, dont je connaissais l’anatomie et également Gaby. Il avait un sexe étroit mais assez long. Son gland apparaissait et disparaissait au gré des mouvements appliqués. Nous semblions calquer nos mouvements les uns sur les autres. Il y avait des mouvements lents et après plus rapides. Nous pouvions entendre nos voisins émettre de temps à autre des râles de bonheur et de jouissance. Puis après une bonne dizaine de minutes c’est Gaby qui avait laisser échapper cinq jets de sperme sur ses abdominaux. Puis c’est Benoît qui avait suivi et puis moi-même j’avais laissé échapper en jets ma semence sur mon torse. Gaby était aux anges. Il était heureux d’avoir pu éprouver un moment de bonheur physique avec nous.
Après avoir repris nos esprits, c’est Gaby qui avait dit :
Gab : « Merci pour ce très bon moment. J’ai déjà eu l’occasion de la faire quelques fois avec d’autres gars, même lors d’un camp scout. Mais c’était juste chacun sa queue !
Moi : Tu sais Gaby, pas de souci, je suppose que tu sais que Ben et moi on est allé plus loin. Mais ce n’est pas pour cela que nous imposons quoi que ce soit !
Gab : Tu sais Phil, pour toi et Ben, je sais que vous savez vous tenir. Puis si je peux ajouter, si vous voulez vous embrasser devant moi, cela ne me dérange pas, que du contraire, cela me ferait même plaisir car je ne suis pas homophobe comme on a peut-être pu vous le laisser croire !
Ben : Merci Gaby, c’est gentil ce que tu viens de dire.
Moi : Merci Gaby, mais on va rester calme.
Je m’étais rapproché de Benoît et j’avais juste posé mes lèvres sur les siennes, quelques secondes, sans plus. Puis j’avais ajouté :
Moi : Tu vois Gaby, ce petit baiser sur les lèvres nous suffit pour le moment. Ce n’est pas la peine d’en faire plus. De toute façon même quand nous sommes seuls, ce n’est pas pour cela que nous nous bécotons à tour de bras !
Gab : Je m’en doute Phil, je sais que vous savez vous tenir.
Moi : Allez hop, il est temps de se lever. »
Nous nous étions levé tous les trois pour aller prendre une bonne douche dans la salle de bain. Comme la douche italienne était assez grande nous nous étions tous les trois douchés ensemble. Trois minutes après nous avions été rejoint par Jean, mon frère, qui était content de voir d’autres têtes dans la maison à la fin de ces vacances de Pâques.
A l’arrivée de Jean dans la salle de bain, Ben et moi nous avions vite terminé notre douche pour laisser plus de place à Gabriel et à Jean. Jean avait le sexe à moitié bandé ce qui lui donnait l’air d’avoir un plus long sexe que nous. Il est vrai que nous nous étions masturbés un peu avant d’aller nous doucher. Une fois essuyés nous avions rejoint la chambre pour nous habiller avant d’aller déjeuner. Gabriel n’avait pas trainé lui non plus.
A table papa avait demandé comment la nuit s’était passée. Gabriel avait expliqué qu’il avait eu du mal à s’endormir et qu’il était venu me retrouver dans ma chambre pour encore discuter. Puis Gabriel avait expliqué qu’il serait bien là pour nous épauler en cas de besoin. Maman et Papa étaient heureux d’entendre cette proposition. Ils venaient de se rendre compte que Gabriel était en fait un jeune aussi très ouvert d’esprit et nullement homophobe. Mes parents avaient dit à Gaby qu’il était le bienvenu à la maison.
Nous nous sommes quittés après ce repas. Ben rentrait chez lui ainsi que Gaby. Avant de partir Gaby m’avait encore dit qu’il était désolé, mais qu’il ferait tout pour se racheter.
Les vacances étaient terminées. C’était la rentrée des classes après quinze jours de repos ! J’étais content de revenir au bahut, je pouvais revoir Marie et Isabelle. Elles étaient dans la cour de récréation, à l’endroit habituel. Ni une ni deux je m’étais approché d’elles. Nous nous étions fait la bise. De loin je voyais d’autre gars de notre classe qui nous regardais. Pour moi c’était l’occasion de me montrer auprès des filles et peut-être faire taire les rumeurs sur mon orientation sexuelle ! Une fois ensemble c’était l’occasion de raconter mes vacances, le camp scouts et ensuite les jours passés avec mon ami Benoît.
Les filles avaient raconté leurs vacances. Elles s’étaient retrouvées une semaine et elles en avaient profité pour s’amuser. Nous parlions de tout et de rien. Puis, une fois tranquille et un peu à l’écart j’avais raconté à Marie et à Isabelle la venue de Gabriel à la maison avec Benoît. Je lui avais expliqué que Gaby s’en voulait à mort du mal qu’il m’avait fait par l’intermédiaire d’Emmanuel. Puis j’avais raconté ce qui s’était passé lorsque Gaby et Emmanuel étaient au parc. La réaction de Gaby d’aller à la police pour dénoncer les faits. J’avais dit aux filles que je ne lui en voulais plus, qu’il était pardonné. Marie m’a dit que j’étais un mec super, ouvert et capable de discernement. Puis je me posais encore une question. J’en fis part à Marie et Isabelle :
Moi : « Les filles vous savez ce qui s’est passé en classe de neige. L’attitude d’Emmanuel et puis les propos qu’il a tenu à mon égard. Je suis certain que toute la classe sait quoi sur moi et que je suis gay ! Que vais-je faire. Comment les autres vont-ils réagir. Vous voyez les trois là-bas à quinze mètres qui ne font que nous regarder !
Mar : Ne t’inquiète pas Phil. Je ne sais pas quelle attitude ils vont adopter, mais je pense qu’ils vont rester sans réaction par la suite.
Moi : Je l’espère Marie, car je ne sais pas ce que je vais devoir encore subir comme attaques verbales !
Isa : Tu sais Phil, on est avec toi. Et puis il y a Romain et Justin qui sont eux aussi prêts à te défendre.
Moi : Je sais Isa, mais j’ai quand même la boule au ventre. Je sais qu’Emmanuel a été viré de l’école, mais j’ai toujours peur d’en prendre plein la gueule, si tu vois ce que je veux dire !
Mar : Je sais Phil, mais je te rassure, nous sommes avec toi. Tu peux être certain que s’il y en a un qui bouge il va s’en prendre une de derrière les fagots !
Moi : Merci Marie, mais je ne suis pas dans mon assiette. »
La sonnerie du début des cours venait de retentir. Nous nous dirigions vers notre classe, en rang. Nous avancions vers la classe et j’avais pu entendre très faiblement « voilà le PD ».