Chapitre 5 - Week-end de la Fête nationale suisse (9)
Dimanche 2 août 1964, chalet de Frédéric, Verbier
Dominique avait un côté dominateur qui bloquait Koen et qui lui rappelait qu’elle était infirmière, une main de fer dans un gant de velours. Lui, qui ne se gênait pas d’examiner tous les pénis qui passaient à sa portée, était beaucoup plus réticent lorsque c’était l’inverse.
Dominique respecta sa pudeur inhabituelle et le caressa sur l’étoffe de ses sous-vêtements bleus ciel, d’abord ses tétons, puis ses génitoires. Koen se relaxa et son pénis se tendit. Elle ne le libéra pas, se contentant d’augmenter la pression sur la hampe et le gland, elle effleurait également les couilles. Le slip s’humidifia.
Lorsque Dominique pensa que Koen allait bientôt jouir, elle lui demanda de se mettre à quatre pattes sur le lit, elle releva son débardeur et baissa son slip juste pour dégager les fesses. Elle enduisit la rosette de lubrifiant, les sphincters semblaient serrés, ce ne serait pas un problème, le membre de Dom n’était pas très gros. Elle passa un préservatif avant de forcer le passage.
Koen était toujours silencieux et soumis, Dom se demanda si elle était la première à l’enculer, elle n’osa pas lui poser la question, elle ne voulait pas être indiscrète. Elle débuta des va-et-vient, le tenant pas les hanches.
Koen jouit avant Dom, inondant son slip. Elle ressortit, enleva son préservatif et termina en se masturbant alors que Koen s’était recouché sur le dos. Il put voir les jets de sperme achever de souiller ses sous-vêtements.
— C’est quoi ça ? dit Dom en riant, petit cochon, que va dire la lavandière de l’école quand elle verra tes habits ?
— Euh… je les lave moi-même.
Dominique déshabilla Koen et le nettoya avec son débardeur, puis se coucha sur l’autre lit.
— Tu as aimé ? demanda-t-elle.
— Oui, j’ai même éjaculé sans me toucher.
— Ma technique ne doit pas être trop mauvaise.
— Ou c’est parce j’ai bien aimé que tu me domines.
— La prochaine fois je mettrai un habit en cuir noir et je prendrai une cravache, puisque tu aimes ça.
— Tu en as une ?
— Non, mais j’aimerais bien parfois en avoir une pour mettre au pas certains patients récalcitrants à la clinique.
Ils restèrent silencieux quelques instants, puis Dominique dit :
— Je pense que c’est mieux que nous gardions une certaine distance entre les deux lorsque nous aurons des relations. Je suis plus tendre avec Daniel.
— Il y aura une prochaine fois ? demanda Koen.
— Je ne sais pas, mais je pense que nos deux cousins auront envie de se revoir.
Demi-suite en demi-teinte ce soir, je voulais terminer la rencontre entre Dominique et Koen avant de continuer avec celle des cousins pour laquelle je n’ai pas encore d’inspiration.
Je ne sais pas si je serais en mesure d’écrire ces prochains jours puisque j’aurai une intervention médicale lundi (une ablation de fibrillation atriale, en résumé l’insertion de cathéters depuis la veine fémorale pour bricoler les circuits électriques à l’intérieur du cœur).
Ce ne sera pas Koen qui m’opérera, d’une part parce qu’il est à la retraite (il a 75 ans en 2021) et d’autre part parce qu’il préférait ablater les prostates (je vous parlerai de la mienne un autre jour). Espérons tout de même que j’aurai un bel infirmier pour m’inspirer un nouveau personnage.
Dimanche 2 août 1964, chalet de Frédéric, Verbier
Dominique avait un côté dominateur qui bloquait Koen et qui lui rappelait qu’elle était infirmière, une main de fer dans un gant de velours. Lui, qui ne se gênait pas d’examiner tous les pénis qui passaient à sa portée, était beaucoup plus réticent lorsque c’était l’inverse.
Dominique respecta sa pudeur inhabituelle et le caressa sur l’étoffe de ses sous-vêtements bleus ciel, d’abord ses tétons, puis ses génitoires. Koen se relaxa et son pénis se tendit. Elle ne le libéra pas, se contentant d’augmenter la pression sur la hampe et le gland, elle effleurait également les couilles. Le slip s’humidifia.
Lorsque Dominique pensa que Koen allait bientôt jouir, elle lui demanda de se mettre à quatre pattes sur le lit, elle releva son débardeur et baissa son slip juste pour dégager les fesses. Elle enduisit la rosette de lubrifiant, les sphincters semblaient serrés, ce ne serait pas un problème, le membre de Dom n’était pas très gros. Elle passa un préservatif avant de forcer le passage.
Koen était toujours silencieux et soumis, Dom se demanda si elle était la première à l’enculer, elle n’osa pas lui poser la question, elle ne voulait pas être indiscrète. Elle débuta des va-et-vient, le tenant pas les hanches.
Koen jouit avant Dom, inondant son slip. Elle ressortit, enleva son préservatif et termina en se masturbant alors que Koen s’était recouché sur le dos. Il put voir les jets de sperme achever de souiller ses sous-vêtements.
— C’est quoi ça ? dit Dom en riant, petit cochon, que va dire la lavandière de l’école quand elle verra tes habits ?
— Euh… je les lave moi-même.
Dominique déshabilla Koen et le nettoya avec son débardeur, puis se coucha sur l’autre lit.
— Tu as aimé ? demanda-t-elle.
— Oui, j’ai même éjaculé sans me toucher.
— Ma technique ne doit pas être trop mauvaise.
— Ou c’est parce j’ai bien aimé que tu me domines.
— La prochaine fois je mettrai un habit en cuir noir et je prendrai une cravache, puisque tu aimes ça.
— Tu en as une ?
— Non, mais j’aimerais bien parfois en avoir une pour mettre au pas certains patients récalcitrants à la clinique.
Ils restèrent silencieux quelques instants, puis Dominique dit :
— Je pense que c’est mieux que nous gardions une certaine distance entre les deux lorsque nous aurons des relations. Je suis plus tendre avec Daniel.
— Il y aura une prochaine fois ? demanda Koen.
— Je ne sais pas, mais je pense que nos deux cousins auront envie de se revoir.
Demi-suite en demi-teinte ce soir, je voulais terminer la rencontre entre Dominique et Koen avant de continuer avec celle des cousins pour laquelle je n’ai pas encore d’inspiration.
Je ne sais pas si je serais en mesure d’écrire ces prochains jours puisque j’aurai une intervention médicale lundi (une ablation de fibrillation atriale, en résumé l’insertion de cathéters depuis la veine fémorale pour bricoler les circuits électriques à l’intérieur du cœur).
Ce ne sera pas Koen qui m’opérera, d’une part parce qu’il est à la retraite (il a 75 ans en 2021) et d’autre part parce qu’il préférait ablater les prostates (je vous parlerai de la mienne un autre jour). Espérons tout de même que j’aurai un bel infirmier pour m’inspirer un nouveau personnage.
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Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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