13-04-2021, 02:20 PM
C’est juste avant de quitter la maison que Ben avait fait une proposition, c’est d’inviter Jean et sa sœur Christine à venir avec nous patiner. J’avais bien sûr accepté. J’avais téléphoné à la maison et maman avait décroché. Je lui avais fait part de la proposition d’inviter Jean à faire du patin à glace avec nous. Puis Maman m’a dit qu’Anne était revenue et qu’elle ne savait que faire cette après-midi. Je lui avais qu’elle était elle aussi la bienvenue. J’en avais fait part à Ben qui avait approuvé. Nous allions être cinq pour nous amuser sur la glace de la patinoire de Forest.
Nous nous étions donné rendez-vous devant les portes de la patinoire. Nous étions les premiers, Benoît, Christine et moi. C’est ensuite ma sœur et mon frère qui étaient arrivés. Nous étions entrés ensembles. Nous avions eu des entrées « groupe », nous avions dit être de la même famille. Une fois les patins placés aux pieds, nous nous étions élancés sur la glace. Il n’y avait pas trop de monde, nous pouvions donc patiner sans soucis.
Les filles étaient entre elles, elles préparaient des figures avec des pirouettes etc. Nous les garçons, de notre côté, nous faisions des concours pour celui qui allait le plus vite. Bref nous avions passés une excellente après-midi entre nous.
C’est vers dix-sept heures que nous avions repris nos chaussures pour sortir de la patinoire. Les filles s’étaient arrangées entre elles et Anne avait invité Christine à la maison pour la soirée et pour rester loger. Jean savait très bien que j’allais loger chez Benoît et bien entendu que nous allions en profiter pour nous faire des câlins. Il avait donc suivi les filles pour rentrer à la maison.
Benoît et moi avions repris un tram pour revenir chez lui. Dans ce transport en commun nous avions l’habitude de voyager, il est vrai que si nous avions un abonnement, nous pouvions avoir accès au réseau complet de trams et de bus, nous en profitions pour aller de temps en temps au centre-ville. C’est d’ailleurs au centre-ville que j’avais constitué ma collection de disques des Beatles !
Une fois arrivés chez Ben, c’est Arlette qui nous avait accueillis. Elle voyait que nous étions très heureux, nous avions le sourire aux lèvres. Elle été contente de voir que Benoît avait retrouvé la pêche. Elle nous avait demandé ce que nous voulions manger pour le souper. Je ne savais pas quoi répondre. Puis c’est Ben qui avait dit à sa maman :
Ben : « Et si nous mangions un bon steak !
Arl : Je ne sais pas si j’en ai au congélateur !
Moi : Si non, je vais avec Ben chercher de l’américain nature et nous ferons un américain préparé avec des frites et de la salade et des tomates !
Ben : Mais c’est une bonne idée !
Arl : Oui Phil, c’est une excellente idée. Bon les garçons, je vous propose d’aller chez le boucher du quartier et vous prenez environ 800 grammes d’américain nature. Puis si vous voulez, prenez aussi du boudin blanc pour manger à l’apéro. Tiens Ben voici un peu d’argent.
Ben : Merci maman, nous y allons de ce pas !
Moi : OK, super. On y va ! »
Nous étions en route vers la boucherie. Durant le trajet je faisais part de mes appréhensions d’avoir Gabriel avec nous aux pionniers. Ben m’avait rassuré en me disant qu’il était avec moi et que s’il y avait le moindre problème qu’il interviendrait. J’étais à moitié rassuré.
Une fois nos achats effectués, nous étions rentrés chez Ben. Nous avions préparé la table. Nous avions aidé Arlette à faire les frites maisons. C’est vrai que j’adorais les frites faites à la main aux frites industrielles. Ben était lui aussi d’accord avec moi.
Yves venait juste de rentrer de son travail. Il était venu salué Arlette en premier, ce qui était tout à fait normal, puis il était venu nous saluer Ben et moi. Yves avait trouvé que j’étais quelque peu transformé, il me trouvait plus sûr de moi. Il avait demandé à Ben d’aller chercher une bouteille de vin dans la cave. Puis en me regardant il me disait :
Yves : « Tu sais que je suis fier de toi. Ben m’a dit que tu avais passé un très bon camp. J’espère que nous en parlerons durant l’apéro.
Moi : Merci, oui j’ai passé un très bon camp, mais c’est dommage que Ben ait été malade, car je pense qu’il avait très envie d’y participer !
Yves : Je sais Phil, mais bon, on ne sait rien y changer.
Moi : Je pense que je vais tout faire pour que cela se passe au mieux pour la suite de notre vie scoute. J’en dirais un mot tantôt.
Yves : Je n’en doute pas Phil, je sais que tu aimes Benoît et je sais qu’il t’aime, alors je suis certain que ce que tu ferras pour lui ce sera au mieux de ses intérêts !
Moi : Mais justement mon intention, c’est de le rendre heureux.
Yves : Je le sais Phil. Tu sais que je t’adore, tu es comme mon fils, comme mon second fils !
Ben : Alors on a parlé de moi derrière mon dos !
Moi : Mais non Ben, c’est juste ton papa qui me posait des questions.»
Ben : Oui c’est cela !!!
Yves : Tu sais Benoît, Phil est très gentil, je suis certain qu’il n’aura jamais de mauvaises intentions vis-à-vis de toi !
Ben : Mais je le sais papa. Si tu savais comme je l’aime mon Philou ! »
Bon, assez plaisanté, je propose que nous prenions l’apéro. Ben va chercher ta maman, moi je prépare les verres et le mousseux. »
Voilà, nous étions tous ensembles autour de la table de salon. Un bon verre de mousseux et quelques chips en guise d’apéro. Puis je savais qu’Arlette et Yves mourraient d’envie de connaître le déroulement du camp de Pâques. J’avais alors dit à Ben que j’allais tout raconter, comme cela il n’y avait pas de mal entendu.
Une fois assis dans le divan avec Ben à mes côtés, j’avais raconté ce qui s’était passé au camp, la construction des ponts, le logement dans la grange, les douches, les repas et la réception donnée par les autorités. Puis il y avait eu les explications concernant la scission de la troupe.
C’est Yves qui était le plus embarrassé, je voyais qu’il se posait des questions sans vouloir en dire plus. Puis c’est Benoît qui avait lui aussi remarqué l’embarras de son papa. Je voyais bien que Benoît était un peu déboussolé par l’attitude de son papa. J’avais alors pris la parole :
Moi : « Yves, je vois que tu te poses des questions !
Yves : Oui Phil, je vois que tu es très attentif et j’ai vu que Ben lui aussi avait vu que je n’étais pas très en accord, j’étais très pensif ! C’est que je me demande comment cela va se passer pour vous deux !
Moi : Tu sais Yves, nous allons voir comment cela va évoluer. C’est Jean-Pierre qui sera le chef de troupe de pionniers, alors je suis certain que cela va bien se passer.
Ben : Oui papa, Phil a raison, nous en saurons plus lors de la prochaine réunion.
Yves : Oui, je veux bien, mais il reste le scout, je ne sais plus son prénom, celui qui avait révélé au copain de classe de Phil que Phil était gay !
Moi : C’est Gabriel. Je sais Yves, nous en avons parlé Ben et moi. Je verrai bien comment ça va se passer. Je sais que Jean-Pierre sera là pour nous.
Yves : J’espère pour toi Phil. Tu sais combien je souhaite que cela se passe au mieux pour vous deux et aussi, principalement pour toi ! Tu sais que je t’aime comme si tu étais mon second fils !
Ben : Arrête papa, Phil le sait très bien, il a seulement besoin d’avoir confiance en l’avenir. Puis je serai avec lui et je saurai très bien le protéger car moi aussi je tiens à lui, et tu le sais !
Yves : Oui tu as raison Ben. Excuse-moi Phil, mais tu sais bien que je tiens à toi !
Moi : Merci Yves, mais ça devait très bien se passer. Je sais très bien que je suis bien accepté dans la famille et j’en suis le premier très heureux. Il faut que je puisse aussi savoir me défendre et pour cela je t’assure j’ai pris du poil de la bête !
Yves : Je suis très heureux de te l’entendre dire. S’il y a le moindre problème, tu sais que je suis là.
Moi : Oui je le sais. Merci Yves, je t’aime aussi comme mon second père !
Ben : Arrête Phil, tu vas nous faire pleurer. Je sais que mon papa t’aime, que toute la famille nous aime. Bon viens me donner un gros bisous mon Philou d’amour ! »
Ben était venu vers moi et nous nous sommes embrassés devant ses parents. Nous étions heureux et de plus sur la même longueur d’onde. Je pouvais être très heureux de mon côté, d’être ainsi aimé et choyé par les parents de mon amour !
Nous avions presque terminé l’apéro quand Yves m’avait demandé de l’accompagner pour prendre une bouteille de vin au cellier. Arlette avait demandé à Benoît de lui donner un coup de main dans cuisine. Lorsque j’étais avec Yves au cellier, je lui ai signalé que j’avais pris contact avec Bruno le chef de troupe en vue de savoir si Benoît pouvait prétendre lui aussi à recevoir le brevet scout. Bruno m’avait signalé qu’il en avait parlé avec les autres chefs et que c’était prévu. Yves semblait très heureux d’apprendre cela. J’avais ajouté que cela devait rester pour Ben une surprise. Puis Yves m’avait glissé à l’oreille qu’il me reconnaissait bien là comme ami et toujours soucieux des autres. Il m’avait donné un bisou sur le front et nous étions remontés comme de rien n’était !
Une fois passés à table nous avions poursuivi en discutant de tout et de rien. J’étais content qu’on ne parle plus de Gabriel. Il restait une petite semaine pour en profiter avant de reprendre les cours et les réunions chez les scouts, ou plus tôt chez les pionniers ! Nous mangions de bon appétit, les frites étaient excellentes, elles avaient été précuites à la graisse de bœuf et ensuite repassée dans cette même graisse, ce qui leur donnaient ce gout si caractéristique. Le filet américain avait été préparé minute par Arlette et Ben lorsque j’étais avec Yves occupé à chercher du vin ! Le vin choisi par Yves était lui aussi délicieux, bref nous étions très heureux de ce repas que nous avions choisi Ben et moi !
Nous avions débarrassé la table et mis la vaisselle dans le lave-vaisselle pour donner un coup de main à Arlette. Ensuite nous avions regardé la télévision en famille. La soirée s’annonçait assez calme mais honnêtement j’attendais qu’il soit l’heure d’aller dormir, enfin dormir était pour moi un terme qui n’aurait peut-être pas le sens attendu par les parents de Ben !
Nous étions montés à l’étage et sur le palier Benoît m’avait saisi par la taille. Il avait plaqué ensuite ses mains sur mes fesses. Puis j’avais rapproché mes lèvres des siennes, nos bouches se touchaient, nos lèvres se faisaient plus hardies et puis elles s’étaient enfin ouvertes pour laisser nos langues entrer dans la danse. Nous étions comme entrés dans un cocon d’où nous n’avions plus de notion du temps et de ce qui se passait autour de nous. Nous nous étions retrouvés, nous nous cajolions. Je sentais déjà que nos sexes étaient nettement plus proéminents qu’il y avait quelques minutes.
Benoît desserrait alors l’étreinte et me prenait par la main pour rentrer dans sa chambre. Une fois la porte fermée nous avions repris notre baiser où nous l’avions laissé. Nous langues dansaient, elles se taquinaient et se tournaient l’une autour de l’autre. Nous étions très heureux. J’avais ensuite commencé à défaire les boutons de la chemise de Ben. Lui aussi de son côté fit de même, mais assez vite. J’avais convaincu Ben d’y aller doucement, que nous avions le temps de profiter de chaque instant. Je défaisais ensuite la ceinture du pantalon de mon amour, tandis qu’il calquait se mouvements sur les miens. Une fois torse nu, je m’étais attaché à baisser le pantalon après avoir défait la braguette. Je pouvais sentir le vit de Ben déjà très tendu. Ben en profitait aussi pour s’attaquer à mon pantalon, au passage il avait passé sa main sur la bosse bien développée qui ornait l’avant de mon slip. Une fois en slips et toujours en chaussettes, nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Nos sexes avaient encore pris plus d’ampleur.
Déjà une tache d’humidité auréolait le devant de notre slip. Nous étions bien entendu très excités par ce déshabillage très lent et assez lascif. Une fois assis sur le lit de Ben, j’avais ôté ses chaussettes, de son côté, il fit de même. Nous nous étions couchés sur le lit, nos mains caressaient nos corps avec volupté, elles s’attardaient au niveau de nos pectoraux, de nos épaules et du dos. Puis elles se posaient sur les fesses encore couvertes de ce mince tissu qu’offrait le slip. Puis c’étaient nos langues qui avaient repris du service, elles passaient de nos bouches vers le cou, le tétons, et le haut du buste. Elles se faisaient de la concurrence, elles allaient jusque sous les aisselles, elles descendaient ensuite vers le nombril de l’être tant désiré. Puis, une fois à proximité de nos attributs bandés, elles parcouraient le vit bandé au travers du tissu du slip. Puis nos mains s’étaient elles aussi attaquées à ce tissu pour pouvoir enfin libérer nos bites gorgées de sang. Le gland de nos sexes était très humide, il n’attendait qu’une chose c’est que nous nous occupions de lui. Puis tête bêche nous avions commencé à lécher la barre de chair de notre amour. Puis comme par magie, nos bouches avaient pris le relais. Nous pouvions gouter au sexe de l’être aimé. Nous étions partis dans une fellation tout en délicatesse et en douceur.
Il était important de faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il était hors de question d’aller trop vite pour arriver à une relation emprunte de bestialité. Raison pour laquelle nous voulions rester dans un cocon où nous étions nous deux, hors du temps et de toute pression extérieure. Je salivais et de ce coup la queue de Ben coulissait d’autant mieux entre mes lèvres qui l’enserraient. Je sentais que Ben s’appliquait lui aussi à donner le plus de sensations, mais des sensations à chaque fois remplies de douceur et aussi de fermeté. Je commençais à sentir que ma sève allait bientôt monter dans ma verge dressée et bien au chaude dans la bouche de Ben. De son côté Ben commençait lui aussi à gémir, il devait lui aussi se trouver près de l’extase. Nous poursuivions langoureusement cette fellation en vue de nous donner un maximum de plaisir. Étant arrivé à un point de non-retour, Ben s’en était aperçut et s’était préparé à recevoir ma semence. Je pensais qu’il allait laisser ma queue sortir de sa bouche, mais dès le premier jet, il s’était arrangé pour qu’elle reste en entre ses lèvres, il avait quand même laissé mon sexe sortir après le troisième jet pour que j’inondasse son menton et sa figure !
Ben lui aussi était arrivé à la tension maximum, et j’avais fait comme lui, j’avais gardé son membre viril dans ma bouche et j’avais senti au moins six jets de sperme inonder mon palais. Je m’étais alors couché aux côtés de Ben et nous avions alors ensuite échangé un baiser avec son sperme et une partie du mien.
Je devais avouer que je trouvais que la semence de Ben avait très bon gout, et puis avec la mienne mêlée, j’adorais.
Nous étions restés ainsi sans bouger, le temps de redescendre de notre petit nuage. Nous avions joui comme jamais. Nous étions franchement à l’unisson, en harmonie, sur la même longueur d’onde. Ce n’est que près de dix minutes plus tard que nous étions enfin revenus sur « terre ».
Nous nous étions donné rendez-vous devant les portes de la patinoire. Nous étions les premiers, Benoît, Christine et moi. C’est ensuite ma sœur et mon frère qui étaient arrivés. Nous étions entrés ensembles. Nous avions eu des entrées « groupe », nous avions dit être de la même famille. Une fois les patins placés aux pieds, nous nous étions élancés sur la glace. Il n’y avait pas trop de monde, nous pouvions donc patiner sans soucis.
Les filles étaient entre elles, elles préparaient des figures avec des pirouettes etc. Nous les garçons, de notre côté, nous faisions des concours pour celui qui allait le plus vite. Bref nous avions passés une excellente après-midi entre nous.
C’est vers dix-sept heures que nous avions repris nos chaussures pour sortir de la patinoire. Les filles s’étaient arrangées entre elles et Anne avait invité Christine à la maison pour la soirée et pour rester loger. Jean savait très bien que j’allais loger chez Benoît et bien entendu que nous allions en profiter pour nous faire des câlins. Il avait donc suivi les filles pour rentrer à la maison.
Benoît et moi avions repris un tram pour revenir chez lui. Dans ce transport en commun nous avions l’habitude de voyager, il est vrai que si nous avions un abonnement, nous pouvions avoir accès au réseau complet de trams et de bus, nous en profitions pour aller de temps en temps au centre-ville. C’est d’ailleurs au centre-ville que j’avais constitué ma collection de disques des Beatles !
Une fois arrivés chez Ben, c’est Arlette qui nous avait accueillis. Elle voyait que nous étions très heureux, nous avions le sourire aux lèvres. Elle été contente de voir que Benoît avait retrouvé la pêche. Elle nous avait demandé ce que nous voulions manger pour le souper. Je ne savais pas quoi répondre. Puis c’est Ben qui avait dit à sa maman :
Ben : « Et si nous mangions un bon steak !
Arl : Je ne sais pas si j’en ai au congélateur !
Moi : Si non, je vais avec Ben chercher de l’américain nature et nous ferons un américain préparé avec des frites et de la salade et des tomates !
Ben : Mais c’est une bonne idée !
Arl : Oui Phil, c’est une excellente idée. Bon les garçons, je vous propose d’aller chez le boucher du quartier et vous prenez environ 800 grammes d’américain nature. Puis si vous voulez, prenez aussi du boudin blanc pour manger à l’apéro. Tiens Ben voici un peu d’argent.
Ben : Merci maman, nous y allons de ce pas !
Moi : OK, super. On y va ! »
Nous étions en route vers la boucherie. Durant le trajet je faisais part de mes appréhensions d’avoir Gabriel avec nous aux pionniers. Ben m’avait rassuré en me disant qu’il était avec moi et que s’il y avait le moindre problème qu’il interviendrait. J’étais à moitié rassuré.
Une fois nos achats effectués, nous étions rentrés chez Ben. Nous avions préparé la table. Nous avions aidé Arlette à faire les frites maisons. C’est vrai que j’adorais les frites faites à la main aux frites industrielles. Ben était lui aussi d’accord avec moi.
Yves venait juste de rentrer de son travail. Il était venu salué Arlette en premier, ce qui était tout à fait normal, puis il était venu nous saluer Ben et moi. Yves avait trouvé que j’étais quelque peu transformé, il me trouvait plus sûr de moi. Il avait demandé à Ben d’aller chercher une bouteille de vin dans la cave. Puis en me regardant il me disait :
Yves : « Tu sais que je suis fier de toi. Ben m’a dit que tu avais passé un très bon camp. J’espère que nous en parlerons durant l’apéro.
Moi : Merci, oui j’ai passé un très bon camp, mais c’est dommage que Ben ait été malade, car je pense qu’il avait très envie d’y participer !
Yves : Je sais Phil, mais bon, on ne sait rien y changer.
Moi : Je pense que je vais tout faire pour que cela se passe au mieux pour la suite de notre vie scoute. J’en dirais un mot tantôt.
Yves : Je n’en doute pas Phil, je sais que tu aimes Benoît et je sais qu’il t’aime, alors je suis certain que ce que tu ferras pour lui ce sera au mieux de ses intérêts !
Moi : Mais justement mon intention, c’est de le rendre heureux.
Yves : Je le sais Phil. Tu sais que je t’adore, tu es comme mon fils, comme mon second fils !
Ben : Alors on a parlé de moi derrière mon dos !
Moi : Mais non Ben, c’est juste ton papa qui me posait des questions.»
Ben : Oui c’est cela !!!
Yves : Tu sais Benoît, Phil est très gentil, je suis certain qu’il n’aura jamais de mauvaises intentions vis-à-vis de toi !
Ben : Mais je le sais papa. Si tu savais comme je l’aime mon Philou ! »
Bon, assez plaisanté, je propose que nous prenions l’apéro. Ben va chercher ta maman, moi je prépare les verres et le mousseux. »
Voilà, nous étions tous ensembles autour de la table de salon. Un bon verre de mousseux et quelques chips en guise d’apéro. Puis je savais qu’Arlette et Yves mourraient d’envie de connaître le déroulement du camp de Pâques. J’avais alors dit à Ben que j’allais tout raconter, comme cela il n’y avait pas de mal entendu.
Une fois assis dans le divan avec Ben à mes côtés, j’avais raconté ce qui s’était passé au camp, la construction des ponts, le logement dans la grange, les douches, les repas et la réception donnée par les autorités. Puis il y avait eu les explications concernant la scission de la troupe.
C’est Yves qui était le plus embarrassé, je voyais qu’il se posait des questions sans vouloir en dire plus. Puis c’est Benoît qui avait lui aussi remarqué l’embarras de son papa. Je voyais bien que Benoît était un peu déboussolé par l’attitude de son papa. J’avais alors pris la parole :
Moi : « Yves, je vois que tu te poses des questions !
Yves : Oui Phil, je vois que tu es très attentif et j’ai vu que Ben lui aussi avait vu que je n’étais pas très en accord, j’étais très pensif ! C’est que je me demande comment cela va se passer pour vous deux !
Moi : Tu sais Yves, nous allons voir comment cela va évoluer. C’est Jean-Pierre qui sera le chef de troupe de pionniers, alors je suis certain que cela va bien se passer.
Ben : Oui papa, Phil a raison, nous en saurons plus lors de la prochaine réunion.
Yves : Oui, je veux bien, mais il reste le scout, je ne sais plus son prénom, celui qui avait révélé au copain de classe de Phil que Phil était gay !
Moi : C’est Gabriel. Je sais Yves, nous en avons parlé Ben et moi. Je verrai bien comment ça va se passer. Je sais que Jean-Pierre sera là pour nous.
Yves : J’espère pour toi Phil. Tu sais combien je souhaite que cela se passe au mieux pour vous deux et aussi, principalement pour toi ! Tu sais que je t’aime comme si tu étais mon second fils !
Ben : Arrête papa, Phil le sait très bien, il a seulement besoin d’avoir confiance en l’avenir. Puis je serai avec lui et je saurai très bien le protéger car moi aussi je tiens à lui, et tu le sais !
Yves : Oui tu as raison Ben. Excuse-moi Phil, mais tu sais bien que je tiens à toi !
Moi : Merci Yves, mais ça devait très bien se passer. Je sais très bien que je suis bien accepté dans la famille et j’en suis le premier très heureux. Il faut que je puisse aussi savoir me défendre et pour cela je t’assure j’ai pris du poil de la bête !
Yves : Je suis très heureux de te l’entendre dire. S’il y a le moindre problème, tu sais que je suis là.
Moi : Oui je le sais. Merci Yves, je t’aime aussi comme mon second père !
Ben : Arrête Phil, tu vas nous faire pleurer. Je sais que mon papa t’aime, que toute la famille nous aime. Bon viens me donner un gros bisous mon Philou d’amour ! »
Ben était venu vers moi et nous nous sommes embrassés devant ses parents. Nous étions heureux et de plus sur la même longueur d’onde. Je pouvais être très heureux de mon côté, d’être ainsi aimé et choyé par les parents de mon amour !
Nous avions presque terminé l’apéro quand Yves m’avait demandé de l’accompagner pour prendre une bouteille de vin au cellier. Arlette avait demandé à Benoît de lui donner un coup de main dans cuisine. Lorsque j’étais avec Yves au cellier, je lui ai signalé que j’avais pris contact avec Bruno le chef de troupe en vue de savoir si Benoît pouvait prétendre lui aussi à recevoir le brevet scout. Bruno m’avait signalé qu’il en avait parlé avec les autres chefs et que c’était prévu. Yves semblait très heureux d’apprendre cela. J’avais ajouté que cela devait rester pour Ben une surprise. Puis Yves m’avait glissé à l’oreille qu’il me reconnaissait bien là comme ami et toujours soucieux des autres. Il m’avait donné un bisou sur le front et nous étions remontés comme de rien n’était !
Une fois passés à table nous avions poursuivi en discutant de tout et de rien. J’étais content qu’on ne parle plus de Gabriel. Il restait une petite semaine pour en profiter avant de reprendre les cours et les réunions chez les scouts, ou plus tôt chez les pionniers ! Nous mangions de bon appétit, les frites étaient excellentes, elles avaient été précuites à la graisse de bœuf et ensuite repassée dans cette même graisse, ce qui leur donnaient ce gout si caractéristique. Le filet américain avait été préparé minute par Arlette et Ben lorsque j’étais avec Yves occupé à chercher du vin ! Le vin choisi par Yves était lui aussi délicieux, bref nous étions très heureux de ce repas que nous avions choisi Ben et moi !
Nous avions débarrassé la table et mis la vaisselle dans le lave-vaisselle pour donner un coup de main à Arlette. Ensuite nous avions regardé la télévision en famille. La soirée s’annonçait assez calme mais honnêtement j’attendais qu’il soit l’heure d’aller dormir, enfin dormir était pour moi un terme qui n’aurait peut-être pas le sens attendu par les parents de Ben !
Nous étions montés à l’étage et sur le palier Benoît m’avait saisi par la taille. Il avait plaqué ensuite ses mains sur mes fesses. Puis j’avais rapproché mes lèvres des siennes, nos bouches se touchaient, nos lèvres se faisaient plus hardies et puis elles s’étaient enfin ouvertes pour laisser nos langues entrer dans la danse. Nous étions comme entrés dans un cocon d’où nous n’avions plus de notion du temps et de ce qui se passait autour de nous. Nous nous étions retrouvés, nous nous cajolions. Je sentais déjà que nos sexes étaient nettement plus proéminents qu’il y avait quelques minutes.
Benoît desserrait alors l’étreinte et me prenait par la main pour rentrer dans sa chambre. Une fois la porte fermée nous avions repris notre baiser où nous l’avions laissé. Nous langues dansaient, elles se taquinaient et se tournaient l’une autour de l’autre. Nous étions très heureux. J’avais ensuite commencé à défaire les boutons de la chemise de Ben. Lui aussi de son côté fit de même, mais assez vite. J’avais convaincu Ben d’y aller doucement, que nous avions le temps de profiter de chaque instant. Je défaisais ensuite la ceinture du pantalon de mon amour, tandis qu’il calquait se mouvements sur les miens. Une fois torse nu, je m’étais attaché à baisser le pantalon après avoir défait la braguette. Je pouvais sentir le vit de Ben déjà très tendu. Ben en profitait aussi pour s’attaquer à mon pantalon, au passage il avait passé sa main sur la bosse bien développée qui ornait l’avant de mon slip. Une fois en slips et toujours en chaussettes, nous nous étions une nouvelle fois embrassés. Nos sexes avaient encore pris plus d’ampleur.
Déjà une tache d’humidité auréolait le devant de notre slip. Nous étions bien entendu très excités par ce déshabillage très lent et assez lascif. Une fois assis sur le lit de Ben, j’avais ôté ses chaussettes, de son côté, il fit de même. Nous nous étions couchés sur le lit, nos mains caressaient nos corps avec volupté, elles s’attardaient au niveau de nos pectoraux, de nos épaules et du dos. Puis elles se posaient sur les fesses encore couvertes de ce mince tissu qu’offrait le slip. Puis c’étaient nos langues qui avaient repris du service, elles passaient de nos bouches vers le cou, le tétons, et le haut du buste. Elles se faisaient de la concurrence, elles allaient jusque sous les aisselles, elles descendaient ensuite vers le nombril de l’être tant désiré. Puis, une fois à proximité de nos attributs bandés, elles parcouraient le vit bandé au travers du tissu du slip. Puis nos mains s’étaient elles aussi attaquées à ce tissu pour pouvoir enfin libérer nos bites gorgées de sang. Le gland de nos sexes était très humide, il n’attendait qu’une chose c’est que nous nous occupions de lui. Puis tête bêche nous avions commencé à lécher la barre de chair de notre amour. Puis comme par magie, nos bouches avaient pris le relais. Nous pouvions gouter au sexe de l’être aimé. Nous étions partis dans une fellation tout en délicatesse et en douceur.
Il était important de faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il était hors de question d’aller trop vite pour arriver à une relation emprunte de bestialité. Raison pour laquelle nous voulions rester dans un cocon où nous étions nous deux, hors du temps et de toute pression extérieure. Je salivais et de ce coup la queue de Ben coulissait d’autant mieux entre mes lèvres qui l’enserraient. Je sentais que Ben s’appliquait lui aussi à donner le plus de sensations, mais des sensations à chaque fois remplies de douceur et aussi de fermeté. Je commençais à sentir que ma sève allait bientôt monter dans ma verge dressée et bien au chaude dans la bouche de Ben. De son côté Ben commençait lui aussi à gémir, il devait lui aussi se trouver près de l’extase. Nous poursuivions langoureusement cette fellation en vue de nous donner un maximum de plaisir. Étant arrivé à un point de non-retour, Ben s’en était aperçut et s’était préparé à recevoir ma semence. Je pensais qu’il allait laisser ma queue sortir de sa bouche, mais dès le premier jet, il s’était arrangé pour qu’elle reste en entre ses lèvres, il avait quand même laissé mon sexe sortir après le troisième jet pour que j’inondasse son menton et sa figure !
Ben lui aussi était arrivé à la tension maximum, et j’avais fait comme lui, j’avais gardé son membre viril dans ma bouche et j’avais senti au moins six jets de sperme inonder mon palais. Je m’étais alors couché aux côtés de Ben et nous avions alors ensuite échangé un baiser avec son sperme et une partie du mien.
Je devais avouer que je trouvais que la semence de Ben avait très bon gout, et puis avec la mienne mêlée, j’adorais.
Nous étions restés ainsi sans bouger, le temps de redescendre de notre petit nuage. Nous avions joui comme jamais. Nous étions franchement à l’unisson, en harmonie, sur la même longueur d’onde. Ce n’est que près de dix minutes plus tard que nous étions enfin revenus sur « terre ».