12-04-2021, 03:16 PM
Voici une tentative, sous forme d'essai, pour essayer de sortir des récits traditionnels
4. Douceur (Essai)
Avez-vous déjà effleuré ou même caressé la peau d'un bébé de quelques semaines ? Existe-t-il quelque chose de plus délicat, de plus attendrissant que cette peau qui, il y a peu encore, baignait dans le sein maternel ? Non, répondront toutes les personnes questionnées et pourtant, moi, je vous dirais, sans hésiter ne serait-ce qu'une seconde, oui, il y a la peau de Matthias !
Bien sûr vous ne connaissez pas Matthias mais moi, je le connais, chaque particule, chaque grain de sa peau me sont familiers à un point que vous ne pouvez imaginer, chaque centimètre me rappelle une histoire proche ou lointaine, triste ou heureuse, tumultueuse ou toute de douceur. Vous devriez essayer de promener votre main sur son corps pour sentir la volupté de ses pores mais non, vous ne pourrez jamais essayer car Matthias, il est à moi, il m'appartient, mieux, il nous appartient à lui et à moi.
Matthias, il n'est pas seulement doux au toucher, il est doux par tous les sens que la nature nous donne, à la vue qui se complait à admirer et à rêver des formes de son corps, de son visage ; à l'ouïe lorsqu'il se met à parler d'une voix chaude et aimante ou, mieux encore, lorsqu'il se met à chanter sans vraiment réaliser qu'on croirait entendre une voix angélique. Il est doux lorsqu'on le dévore des yeux, lorsqu'on suce ses tétons ou même, si cela doit arriver, que l'on prenne en bouche les parties les plus délicates qu'il possède à la perfection.
Enfin, il y a son odeur, il n'y en a pas deux comme la sienne, ce n'est pas une odeur c'est un parfum, une effluve émanant d'une fleur magique encore à découvrir ou, non, c'est tout simplement SON odeur, qui n'appartient qu'à lui et que j'aime tant. Chaque fois que je me penche vers lui, je suis enivré par ses multiples senteurs qui, s'alliant les unes aux autres, font que c'est lui, tout simplement. Vous pouvez mettre votre nez où vous voulez, vous trouverez cette joie de respirer un garçon mature, le musc propre à tous les jeunes dans la force de leur jeunesse et qui fait chavirer les sentiments, qui fait perdre la tête, qui est comme un avant-goût d'une félicité promise à celui qui sait attendre. Son odeur, c'est aussi celle de sa transpiration qui suinte d'un corps palpitant et propre, recouvert d'une mince pellicule humide qui excite celui qui promène ses mains, ses lèvres sur ces formes si attirantes qu'on ne sait plus si ce sont celles d'une déesse grecque ou d'un très jeune dieu descendu de l'Olympe pour profiter, ne serait-ce qu'un seconde, du plaisir terrestre de l'amour, ce fruit défendu et auquel personne, absolument personne ne sait, ne veux ni ne peux résister tellement la douceur est nécessaire aux humains, mais peut-être encore plus aux hommes, qu'ils soient seuls, avec une femme ou avec un garçon.
La peau de Matthias, j'en rêve encore, je l'ai dit je la connais par cœur, dans ses moindres recoins, même, peut-être surtout dans les endroits les plus secrets et les plus intimes. Il y a deux endroits que j'aime tout particulièrement, non pas tant pour l'emplacement car tous les emplacements sont beaux et attirants chez un garçons, mais tout simplement car c'est là que la peau, pas n'importe quelle peau mais bien la sienne, est la plus douce, me procure un sentiment d'une extrême douceur qui prend possession de l'entier de mon propre corps.
Imaginez un peu qu'il a replié les jambes sur son torse et c'est tout son bas-ventre, ses fesses, son dos qui se déploient pour le plaisir des yeux, des yeux qui ne savent plus où ils doivent regarder afin de donner des instructions au cerveau. Cette raie des fesses dans sa profondeur où même le soleil n'a jamais accès se montre, se dévoile dans sa nature originelle : elle n'est pas fripée par les rayons de notre astre, elle est encore dans l'état où la nature l'a conçue, fraîche, blanche teintée d'une touche de pâleur.
Devant une telle splendeur, on a qu'une envie, la caresser avec tendresse et émotion avant de porter des lèvres déjà humides de désir de bas en haut, de haut en bas, encore et toujours. Au milieu de tout cela il y a la collerette d'une petite fleur, ultime protection devant l'abîme de la jouissance et de la félicité. Selon les moments, elle est parfaitement immobile, se laisse admirer, vous entraîne dans des rêves qui nourrissent l'imagination la plus folle, qui, sans en avoir l'air, attise les sens, tous les sens qu'un garçon possède, les miens comme les siens. D'immobile, la collerette se réveille insensiblement, la puissance du regard l'émeut, elle sait que son heure va venir tôt ou tard, peut-être pas aujourd'hui mais demain, mais son rôle va venir, inexorablement. Les yeux, mes yeux, ne se lassent pas de ce lent réveil qu'un doigt curieux caresse avec tendresse pour augmenter l'idée de l'envie réciproque. Cette petite peau qui, normalement, interdit toute entrée commence à s'agiter, elle se contracte pour ensuite mieux se dilater et se recontracter à la suite d'une caresse peut-être plus accentuée. Une certaine moiteur prend possession des lieux pour faciliter le glissement du doigt, le rythme augmente, c'est maintenant un mouvement ininterrompu qui, par moment, laisse entrevoir les bords d'un abîme de volupté et de promesses.
Les sens des deux garçons se retrouvent de plus en plus dans une harmonie frôlant la magie, c'est tout le bas-ventre de Matthias qui est en feu, son sexe s'agite au diapason des contractions de son petit trou inondé de désir et d'excitation de ce doigt, peut-être y en a-t-il deux maintenant, qui entrent et sortent des entrailles, son sexe est dur et tendu à l'extrême, comme s'il s'offrait à la bouche du propriétaire des doigts coquins. Il y a longtemps que mes vêtements gisent par terre laissant étinceler mon propre sexe lui également prêt à l'ouvrage, il se familiarise avec les lieux en caressant toute la raie avec une attention particulière pour un certain endroit.
Les deux garçons sont en sueur, tous leurs organes sont maintenant parfaitement huilés, même leurs deux odeurs ne font plus qu'une comme leurs gémissements se confondent. Tout est prêt, la porte de l'intimité est grande couverte, le fourreau est disposé à accueillir son pendant, il est demandeur, il exige même l'intromission de ce morceau de chair qui veut, qui doit entrer en fonction, qui s'approche, qui touche, qui s'imprègne encore une fois des sérosités de Matthias avant… … c'est fait, l'union des deux corps est réalisée en même temps qu'un cri réciproque de bonheur, de jouissance jaillit des poitrines. Les garçons sont sidérés par ce qu'ils ont réussi, par cette fusion de leurs deux corps et par la béatitude qui s'empare d'eux, une béatitude qui surpasse tous les sentiments qu'ils avaient découverts ensemble, au fil des jours. Le sexe découvre la douceur de cet étui qui l'enferme, qui se module pour l'englober pleinement, contre les parois duquel il se frotte avec délectation.
Tout à leurs découvertes, ils ne prennent pas garde à cet ouragan qui se prépare à déferler en remontant de leurs testicules d'abord timidement puis en accélérant pour finir comme une double tornade qui s'abat sur eux et en eux.
Ah ! que la peau de Matthias est douce, toute la peau de son corps qui n'est que volupté.
F I N
4. Douceur (Essai)
Avez-vous déjà effleuré ou même caressé la peau d'un bébé de quelques semaines ? Existe-t-il quelque chose de plus délicat, de plus attendrissant que cette peau qui, il y a peu encore, baignait dans le sein maternel ? Non, répondront toutes les personnes questionnées et pourtant, moi, je vous dirais, sans hésiter ne serait-ce qu'une seconde, oui, il y a la peau de Matthias !
Bien sûr vous ne connaissez pas Matthias mais moi, je le connais, chaque particule, chaque grain de sa peau me sont familiers à un point que vous ne pouvez imaginer, chaque centimètre me rappelle une histoire proche ou lointaine, triste ou heureuse, tumultueuse ou toute de douceur. Vous devriez essayer de promener votre main sur son corps pour sentir la volupté de ses pores mais non, vous ne pourrez jamais essayer car Matthias, il est à moi, il m'appartient, mieux, il nous appartient à lui et à moi.
Matthias, il n'est pas seulement doux au toucher, il est doux par tous les sens que la nature nous donne, à la vue qui se complait à admirer et à rêver des formes de son corps, de son visage ; à l'ouïe lorsqu'il se met à parler d'une voix chaude et aimante ou, mieux encore, lorsqu'il se met à chanter sans vraiment réaliser qu'on croirait entendre une voix angélique. Il est doux lorsqu'on le dévore des yeux, lorsqu'on suce ses tétons ou même, si cela doit arriver, que l'on prenne en bouche les parties les plus délicates qu'il possède à la perfection.
Enfin, il y a son odeur, il n'y en a pas deux comme la sienne, ce n'est pas une odeur c'est un parfum, une effluve émanant d'une fleur magique encore à découvrir ou, non, c'est tout simplement SON odeur, qui n'appartient qu'à lui et que j'aime tant. Chaque fois que je me penche vers lui, je suis enivré par ses multiples senteurs qui, s'alliant les unes aux autres, font que c'est lui, tout simplement. Vous pouvez mettre votre nez où vous voulez, vous trouverez cette joie de respirer un garçon mature, le musc propre à tous les jeunes dans la force de leur jeunesse et qui fait chavirer les sentiments, qui fait perdre la tête, qui est comme un avant-goût d'une félicité promise à celui qui sait attendre. Son odeur, c'est aussi celle de sa transpiration qui suinte d'un corps palpitant et propre, recouvert d'une mince pellicule humide qui excite celui qui promène ses mains, ses lèvres sur ces formes si attirantes qu'on ne sait plus si ce sont celles d'une déesse grecque ou d'un très jeune dieu descendu de l'Olympe pour profiter, ne serait-ce qu'un seconde, du plaisir terrestre de l'amour, ce fruit défendu et auquel personne, absolument personne ne sait, ne veux ni ne peux résister tellement la douceur est nécessaire aux humains, mais peut-être encore plus aux hommes, qu'ils soient seuls, avec une femme ou avec un garçon.
La peau de Matthias, j'en rêve encore, je l'ai dit je la connais par cœur, dans ses moindres recoins, même, peut-être surtout dans les endroits les plus secrets et les plus intimes. Il y a deux endroits que j'aime tout particulièrement, non pas tant pour l'emplacement car tous les emplacements sont beaux et attirants chez un garçons, mais tout simplement car c'est là que la peau, pas n'importe quelle peau mais bien la sienne, est la plus douce, me procure un sentiment d'une extrême douceur qui prend possession de l'entier de mon propre corps.
Imaginez un peu qu'il a replié les jambes sur son torse et c'est tout son bas-ventre, ses fesses, son dos qui se déploient pour le plaisir des yeux, des yeux qui ne savent plus où ils doivent regarder afin de donner des instructions au cerveau. Cette raie des fesses dans sa profondeur où même le soleil n'a jamais accès se montre, se dévoile dans sa nature originelle : elle n'est pas fripée par les rayons de notre astre, elle est encore dans l'état où la nature l'a conçue, fraîche, blanche teintée d'une touche de pâleur.
Devant une telle splendeur, on a qu'une envie, la caresser avec tendresse et émotion avant de porter des lèvres déjà humides de désir de bas en haut, de haut en bas, encore et toujours. Au milieu de tout cela il y a la collerette d'une petite fleur, ultime protection devant l'abîme de la jouissance et de la félicité. Selon les moments, elle est parfaitement immobile, se laisse admirer, vous entraîne dans des rêves qui nourrissent l'imagination la plus folle, qui, sans en avoir l'air, attise les sens, tous les sens qu'un garçon possède, les miens comme les siens. D'immobile, la collerette se réveille insensiblement, la puissance du regard l'émeut, elle sait que son heure va venir tôt ou tard, peut-être pas aujourd'hui mais demain, mais son rôle va venir, inexorablement. Les yeux, mes yeux, ne se lassent pas de ce lent réveil qu'un doigt curieux caresse avec tendresse pour augmenter l'idée de l'envie réciproque. Cette petite peau qui, normalement, interdit toute entrée commence à s'agiter, elle se contracte pour ensuite mieux se dilater et se recontracter à la suite d'une caresse peut-être plus accentuée. Une certaine moiteur prend possession des lieux pour faciliter le glissement du doigt, le rythme augmente, c'est maintenant un mouvement ininterrompu qui, par moment, laisse entrevoir les bords d'un abîme de volupté et de promesses.
Les sens des deux garçons se retrouvent de plus en plus dans une harmonie frôlant la magie, c'est tout le bas-ventre de Matthias qui est en feu, son sexe s'agite au diapason des contractions de son petit trou inondé de désir et d'excitation de ce doigt, peut-être y en a-t-il deux maintenant, qui entrent et sortent des entrailles, son sexe est dur et tendu à l'extrême, comme s'il s'offrait à la bouche du propriétaire des doigts coquins. Il y a longtemps que mes vêtements gisent par terre laissant étinceler mon propre sexe lui également prêt à l'ouvrage, il se familiarise avec les lieux en caressant toute la raie avec une attention particulière pour un certain endroit.
Les deux garçons sont en sueur, tous leurs organes sont maintenant parfaitement huilés, même leurs deux odeurs ne font plus qu'une comme leurs gémissements se confondent. Tout est prêt, la porte de l'intimité est grande couverte, le fourreau est disposé à accueillir son pendant, il est demandeur, il exige même l'intromission de ce morceau de chair qui veut, qui doit entrer en fonction, qui s'approche, qui touche, qui s'imprègne encore une fois des sérosités de Matthias avant… … c'est fait, l'union des deux corps est réalisée en même temps qu'un cri réciproque de bonheur, de jouissance jaillit des poitrines. Les garçons sont sidérés par ce qu'ils ont réussi, par cette fusion de leurs deux corps et par la béatitude qui s'empare d'eux, une béatitude qui surpasse tous les sentiments qu'ils avaient découverts ensemble, au fil des jours. Le sexe découvre la douceur de cet étui qui l'enferme, qui se module pour l'englober pleinement, contre les parois duquel il se frotte avec délectation.
Tout à leurs découvertes, ils ne prennent pas garde à cet ouragan qui se prépare à déferler en remontant de leurs testicules d'abord timidement puis en accélérant pour finir comme une double tornade qui s'abat sur eux et en eux.
Ah ! que la peau de Matthias est douce, toute la peau de son corps qui n'est que volupté.
F I N