25-03-2021, 07:15 PM
Être haut placé dans l’entreprise et être entièrement libre de son emploi du temps étaient deux choses bien distinctes, je l’avais bien compris. Il y avait une certaine souplesse possible, mais aussi des obligations qui parfois le retenaient longtemps.
Nous arrivâmes au restaurant où on nous installa dans un endroit calme et le dîner commença. Il était comme je les aime: simple, bon, sans chichi. Je sentis mon téléphone vibrer dans ma veste, m’excusai, et ramassai mon sac à main pour prendre ma pilule. Je fus surprise de voir dans mon sac, à côté de ma plaquette, une autre solitaire, sans emballage. Je ne voyais pas du tout à quoi cela pouvait bien correspondre. J’étais en pleine réflexion quand Damien m’en sortit.
- ça, c’est un petit cadeau.
- qu’est-ce que c’est ?
- un prototype. Tu me fais confiance ?
- bah oui, mais…
- avale-la avec ta pilule… ou sans, mais je te conseille de prendre la tienne quand même.
Je ne pensais pas que cela puisse être une drogue : ce n’était pas le genre de Damien, et il n’avait pas besoin de ça pour coucher avec moi. Du GHB peut-être ? J’avais lu que certains en faisaient un usage récréatif, mais je doutais encore qu’il m’en donne. Je décidai de lui faire confiance et je l’avalai. Je regardai autour de moi pour voir des effets… aucun. J’étais comme tous ceux qui croient que le mal de tête disparaît trois secondes après avoir pris son aspirine.
Il refusa de m’en dire plus, et le dîner continua de façon très sympathique. L’alcool coula modérément, le dessert fut dégusté avec modération, mais peu après qu’on nous l’ai apporté, je sentis une sensation familière et très agréable : une envolée de papillons dans mon bas ventre.
Damien n’avait rien fait de spécial pour m’émoustiller, mais j’avais envie. J’ai un comportement assez prévisible, et ce genre d’envie n’est pas rare aux alentours de mon ovulation. On était en plein dedans, donc cela ne m’inquiéta pas outre mesure. Par contre le désir ne cessa de monter tout au long du dessert. Je ressentais plus fort l’odeur de Damien, cette délicieuse odeur un peu musquée, un peu poivrée. J’écoutais avec attention, je le suivais avec envie. J’aurais pu aller sous la table pour m’occuper de lui tout de suite. Je commençai même à y penser sérieusement. J’avais de plus en plus de mal à tenir en place lorsqu’il décida enfin d’aller payer pour nous ramener à la maison. Je piaffai d’impatience et lui tirai le bras, aussi discrètement que possible, pour le faire avancer plus vite. Cela semblait l’amuser.
- Louise ? Est-ce que ça va ?
- J’ai envie !
- Tu aurais du aller aux toilettes au restaurant.
- C’est de toi dont j’ai envie !
Il éclata de rire. Je commençais à comprendre.
- C’est ta pilule ?
- Touché.
- Mais qu’est-ce que c’est au juste ?
- C’est un prototype d’accélérateur et d’amplificateur de chaleurs pour les femelles mammifères.
- Mais c’est insoutenable !
- Tu comprends pourquoi les chattes miaulent à mort maintenant.
- Et ça va durer longtemps ?
- Ça, ça dépend de toi.
- Explique… et avance un peu !
- Normalement ça durera jusqu’à la fin de ta période de fécondité, ou jusqu’à ce que l’ovule soit fécondé.
- J’en ai pour des jours comme ça ? Ou alors… ça te dirait de me faire un enfant ?
La demande avait été faite, poussée par mes hormones. A ce moment là j’envisageais la chose très sérieusement.
- Je te rassure : les premiers tests sur les humains ont montré que ça ne durait pas plus d’une ou deux heures.
Dès l’ascenseur je commençai à le déshabiller, et il était presque nu quand il entra dans l’appartement. Je jetai ma robe, mon sac, mes chaussures sans regarder où et le poussai à la renverse sur le lit. Là je n’allai pas attendre, j’en voulai ! Je m’accroupis au-dessus de lui et m’assis doucement sur ses hanches, le faisant glisser en moi. J’étais si trempée que j’en avais laissé une belle tâche d’humidité dans ma culotte. C’était ma première fois dans cette position, mais elle me semblait assez naturelle. J’étais énergique, excitée, et j’y allai vite. L’orgasme ne tarda pas, me soulageant sur le moment. Damien semblait assez fier de lui… jusqu’à ce que je recommence. Mais un peu comme avec la fellation, je le voyais se crisper, se tortiller sous le plaisir que je lui donnai. J’aimais jouer avec lui, être maîtresse de son plaisir, et en faire ce que je voulais.
- Arrête !
Je continuai, le regardant toujours dans les yeux et souriant.
- C’est sérieux, je ne vais plus tenir longtemps.
- C’est le but, non ?
- Avec cette nouvelle pilule, ta pilule contraceptive n’est peut-être plus effective !
- Et alors ? Si j’aime ça ?
- C’est dangereux, tu pourrais tomber enceinte !
Je repris mes mouvements de hanches, plus vigoureux.
- C’est pas toi qui parlait d’engrosser ta petite chienne ?
- Si mais…
- Hé bien elle est en chaleur à cause de toi !
Il voulu rétorquer mais son orgasme le fit taire. Je continuai jusqu’à ce qu’il me demande grâce. Je pris sa main et la plaquai sur mon pubis.
- Et voilà, là où ça doit être avais-tu dit.
CHAPITRE 16: Petite journée à la fac
Et voilà, la sève de Damien avaient enfin calmé mes ovaires en feu. J’avais un peu tué le pompier à la tâche, mais c’était un pompier pyromane alors je ne m’en voulais pas trop. Le pauvre, le visage rougi, reprenait son souffle de son mieux. Moi je le regardais, m’amusant à bouger les hanches par moment pour le voir grogner. C’était rigolo d’avoir le dessus en fait, autant que d’avoir le dessous. C’était avant tout une question d’état d’esprit sur le moment. Je me retirai pour aller me nettoyer et lui me suivit bientôt, marchant à petits pas.
- Tu n’y es pas allé de main morte !
- Et alors, quand je suis à quatre, est-ce que tu y vas avec douceur ?
- C’est pas faux, mais j’ai plus vingt ans.
- Et moi je ne les ai pas encore, mais qui au juste a passé une annonce pour se taper une petite jeune ?
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Nous arrivâmes au restaurant où on nous installa dans un endroit calme et le dîner commença. Il était comme je les aime: simple, bon, sans chichi. Je sentis mon téléphone vibrer dans ma veste, m’excusai, et ramassai mon sac à main pour prendre ma pilule. Je fus surprise de voir dans mon sac, à côté de ma plaquette, une autre solitaire, sans emballage. Je ne voyais pas du tout à quoi cela pouvait bien correspondre. J’étais en pleine réflexion quand Damien m’en sortit.
- ça, c’est un petit cadeau.
- qu’est-ce que c’est ?
- un prototype. Tu me fais confiance ?
- bah oui, mais…
- avale-la avec ta pilule… ou sans, mais je te conseille de prendre la tienne quand même.
Je ne pensais pas que cela puisse être une drogue : ce n’était pas le genre de Damien, et il n’avait pas besoin de ça pour coucher avec moi. Du GHB peut-être ? J’avais lu que certains en faisaient un usage récréatif, mais je doutais encore qu’il m’en donne. Je décidai de lui faire confiance et je l’avalai. Je regardai autour de moi pour voir des effets… aucun. J’étais comme tous ceux qui croient que le mal de tête disparaît trois secondes après avoir pris son aspirine.
Il refusa de m’en dire plus, et le dîner continua de façon très sympathique. L’alcool coula modérément, le dessert fut dégusté avec modération, mais peu après qu’on nous l’ai apporté, je sentis une sensation familière et très agréable : une envolée de papillons dans mon bas ventre.
Damien n’avait rien fait de spécial pour m’émoustiller, mais j’avais envie. J’ai un comportement assez prévisible, et ce genre d’envie n’est pas rare aux alentours de mon ovulation. On était en plein dedans, donc cela ne m’inquiéta pas outre mesure. Par contre le désir ne cessa de monter tout au long du dessert. Je ressentais plus fort l’odeur de Damien, cette délicieuse odeur un peu musquée, un peu poivrée. J’écoutais avec attention, je le suivais avec envie. J’aurais pu aller sous la table pour m’occuper de lui tout de suite. Je commençai même à y penser sérieusement. J’avais de plus en plus de mal à tenir en place lorsqu’il décida enfin d’aller payer pour nous ramener à la maison. Je piaffai d’impatience et lui tirai le bras, aussi discrètement que possible, pour le faire avancer plus vite. Cela semblait l’amuser.
- Louise ? Est-ce que ça va ?
- J’ai envie !
- Tu aurais du aller aux toilettes au restaurant.
- C’est de toi dont j’ai envie !
Il éclata de rire. Je commençais à comprendre.
- C’est ta pilule ?
- Touché.
- Mais qu’est-ce que c’est au juste ?
- C’est un prototype d’accélérateur et d’amplificateur de chaleurs pour les femelles mammifères.
- Mais c’est insoutenable !
- Tu comprends pourquoi les chattes miaulent à mort maintenant.
- Et ça va durer longtemps ?
- Ça, ça dépend de toi.
- Explique… et avance un peu !
- Normalement ça durera jusqu’à la fin de ta période de fécondité, ou jusqu’à ce que l’ovule soit fécondé.
- J’en ai pour des jours comme ça ? Ou alors… ça te dirait de me faire un enfant ?
La demande avait été faite, poussée par mes hormones. A ce moment là j’envisageais la chose très sérieusement.
- Je te rassure : les premiers tests sur les humains ont montré que ça ne durait pas plus d’une ou deux heures.
Dès l’ascenseur je commençai à le déshabiller, et il était presque nu quand il entra dans l’appartement. Je jetai ma robe, mon sac, mes chaussures sans regarder où et le poussai à la renverse sur le lit. Là je n’allai pas attendre, j’en voulai ! Je m’accroupis au-dessus de lui et m’assis doucement sur ses hanches, le faisant glisser en moi. J’étais si trempée que j’en avais laissé une belle tâche d’humidité dans ma culotte. C’était ma première fois dans cette position, mais elle me semblait assez naturelle. J’étais énergique, excitée, et j’y allai vite. L’orgasme ne tarda pas, me soulageant sur le moment. Damien semblait assez fier de lui… jusqu’à ce que je recommence. Mais un peu comme avec la fellation, je le voyais se crisper, se tortiller sous le plaisir que je lui donnai. J’aimais jouer avec lui, être maîtresse de son plaisir, et en faire ce que je voulais.
- Arrête !
Je continuai, le regardant toujours dans les yeux et souriant.
- C’est sérieux, je ne vais plus tenir longtemps.
- C’est le but, non ?
- Avec cette nouvelle pilule, ta pilule contraceptive n’est peut-être plus effective !
- Et alors ? Si j’aime ça ?
- C’est dangereux, tu pourrais tomber enceinte !
Je repris mes mouvements de hanches, plus vigoureux.
- C’est pas toi qui parlait d’engrosser ta petite chienne ?
- Si mais…
- Hé bien elle est en chaleur à cause de toi !
Il voulu rétorquer mais son orgasme le fit taire. Je continuai jusqu’à ce qu’il me demande grâce. Je pris sa main et la plaquai sur mon pubis.
- Et voilà, là où ça doit être avais-tu dit.
CHAPITRE 16: Petite journée à la fac
Et voilà, la sève de Damien avaient enfin calmé mes ovaires en feu. J’avais un peu tué le pompier à la tâche, mais c’était un pompier pyromane alors je ne m’en voulais pas trop. Le pauvre, le visage rougi, reprenait son souffle de son mieux. Moi je le regardais, m’amusant à bouger les hanches par moment pour le voir grogner. C’était rigolo d’avoir le dessus en fait, autant que d’avoir le dessous. C’était avant tout une question d’état d’esprit sur le moment. Je me retirai pour aller me nettoyer et lui me suivit bientôt, marchant à petits pas.
- Tu n’y es pas allé de main morte !
- Et alors, quand je suis à quatre, est-ce que tu y vas avec douceur ?
- C’est pas faux, mais j’ai plus vingt ans.
- Et moi je ne les ai pas encore, mais qui au juste a passé une annonce pour se taper une petite jeune ?
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