25-03-2021, 07:13 PM
- Louise, je te présente Sébastien. Sébastien, voici Louise, la jeune fille dont tu vas t’occuper.
S’occuper de moi ? Les choses commençaient à prendre une tournure intéressante. Mon esprit commençait déjà à préparer des scénarios.
- Sébastien est étudiant dans ta filière en troisième année. Il viendra tous les samedi après-midi de 14h à 16h pour t’aider à préparer tes cours, à réviser, et à s’assurer que tu ne décroches pas.
Là, ce fut le choc. Niveau libido, c’était la douche froide ; pourtant je sentis mon coeur fondre. Les larmes aux yeux, je sautai au cou de Damien pour l’embrasser.
- T’es génial, je t’adore !
Sébastien sourit en nous regardant, attendant que l’étreinte se défasse. Damien s’éclipsa vite et nous nous mîmes au travail. L’étudiant était sérieux, posé, calme, et plutôt pédagogue. Les deux heures passèrent comme un charme et Sébastien insista pour dépasser légèrement afin de finir une question que nous avions commencé. Je le raccompagnai à la porte et c’est là, en me saluant, qu’il me dit :
- Il est vraiment sympa ton père. Il a ratissé la fac pour trouver un prof particulier qui lui convenait.
- C’est pas mon père, c’est mon compagnon.
Je ne sais pas qui fut le plus gêné de Sébastien qui rougit de gêne devant cette méprise ou de moi qui me rendis compte que la réponse était venue sans même que je n’y pense. Il fallait que je remercie Damien, et j’attendis son retour : il avait fait coïncider les heures de cours avec celles de son tennis. Hélas, je le ratai. Je ne rentrerai pas dans les détails, mais j’étais dans un lieu très isolé de l’appartement au moment où il rentra et je n’avais pas envie de l’interpeller de là. Je l’entendis donc impuissante aller prendre sa douche. J’attendis patiemment qu’il ait fini et, à la sortie, alors qu’il était encore en peignoir, je me jetai sur lui pour l’embrasser tendrement.
- T’es vraiment génial. Tu fais toujours attention à moi, je crois que j’ai trouvé le petit copain idéal. Et tu sais quoi ? J’ai bien envie de te remercier !
J’avais eu tout le temps de sa douche pour penser à la forme du remerciement. Je me mis à genoux devant lui, ouvris son peignoir, et commençai à jouer avec son sexe. Il ne tarda pas à réagir. L’aidant avec mes mains, il devint ferme vraiment vite.
- Tu sais Louise, tu n’es pas obligée de…
- Shhh !
Je le fis taire tout de suite et le pris en bouche. Bon, je ne savais pas trop comment m’y prendre. Une recherche rapide sur internet m’avait donné quelques conseils : attention aux dents, utiliser aussi ses mains… mais pour l’essentiel, le plus important c’était la pratique, et j’en manquai !
Je me mis donc à sucer son membre, faisant aller et venir ma bouche dessus, tout en le branlant doucement de la main au même rythme. Cela sembla marcher, mais c’était beaucoup plus long que je ne le pensais. Il posa les mais sur ma tête, suivant le mouvement, et je l’entendis vite gémir de plaisir. Cela me fit plaisir, me donnant plus de cœur à l’ouvrage.
Ma mâchoire commençait à me faire un peu mal quand je sentis ses doigts se crisper. Peu de temps après, plusieurs jets vinrent s’écraser contre mon palet, le remplissant la bouche. Il était du genre généreux, et j’en eu vite la bouche pleine. Je pinçai bien les lèvres pour ne pas en mettre partout et continuai mon mouvement comme je l’avais lu. Il me fit signe d’arrêter et je me retirai. Je me sentais un peu comme une idiote, là, à genoux, la bouche pleine sans savoir quoi en faire. Devant mon air désemparé, il m’invita à aller cracher ça dans le lavabo de la salle de bain, chose que je fis bien vite. Il me suivi pour se nettoyer.
- Merci Louise, c’était…
- Ah non ! Stop !
- Bah quoi ?
- Tu ne vas pas me dire merci ! Et pourquoi pas me le dire après m’avoir tripotée d’ailleurs ?
- Je suis désolé, tu as raison.
Il avait l’air penaud. C’était mignon. Pas de doute : la domination c’était son fantasme, mais pas spécialement sa nature. Il devait sans doute pas mal prendre sur lui au boulot. Le mieux c’était sans doute de lui permettre de relâcher la pression une fois à la maison. Je me lavai les dents puis vins l’embrasser. Alors que je le quittai pour rejoindre ma chambre, il m’attrapa par les hanches et me colla contre lui, tout contre mon dos. J’adorais cette position. Il glissa une main sous mon haut pour aller attraper un sein, l’autre sous ma jupe alla se poser sur mon sexe.
- C’est super agréable, mais c’est là que je devrais venir… (sa main remonta vers mon bas ventre) pour que ma semence remonte là où elle devrait être, ma petite chienne rien qu’à moi.
Je ronronnai de plaisir et me blottis contre lui. Il n’était pas près de remettre ça, pas avant plusieurs heures, mais il était heureux, et c’est ça qui faisait mon bonheur.
CHAPITRE 15: Rôles inversés
Il m’invita le soir à manger dans son petit restaurant fétiche où il m’avait déjà invitée. Je me serais énervée si cela avait été pour lui une nouvelle façon de me remercier, mais visiblement il avait juste envie de sortir. Je me souviens encore de sa façon de taper du pied ce soir là et de bougonner parce que je nous mettais en retard. Il est vrai que je ne suis pas toujours la plus ponctuelle, mais là c’était pour la bonne cause : un peu de maquillage, jamais appuyé, des efforts pour discipliner mes cheveux, le choix d’une robe… tout cela n’était pas du genre à être fait à la va-vite, tout du moins si l’on ne veut pas se retrouver avec un résultat affreux. Le silence et le sourire avec lesquels ils m’accueillit à la sortie de ma chambre furent de très beaux compliments. Sans un mot il me donna le bras, que je pris bien volontiers, et nous sortîmes. Il me murmura, tout en marchant :
- dis, ce ne serait pas le genre de robe faite pour être portée sans soutien-gorge ?
- si, exactement. Je te rappelle que c’est un peu à cause de toi qu’il y a des restrictions à ce niveau là.
- nous sommes sortis de l’appartement, tu pouvais en mettre un.
- pas de soucis, dès que j’en trouve un qui me va.
Il se tut et prit un air penaud.
- ah oui, j’avais oublié. On aurait du le faire la semaine dernière.
- j’étais indisposée, ce n’était pas le meilleur moment pour cela.
- tu n’as pas tort. La semaine prochaine alors ?
- quand tu voudras.
- je te réserve un après-midi dans ce cas.
S’occuper de moi ? Les choses commençaient à prendre une tournure intéressante. Mon esprit commençait déjà à préparer des scénarios.
- Sébastien est étudiant dans ta filière en troisième année. Il viendra tous les samedi après-midi de 14h à 16h pour t’aider à préparer tes cours, à réviser, et à s’assurer que tu ne décroches pas.
Là, ce fut le choc. Niveau libido, c’était la douche froide ; pourtant je sentis mon coeur fondre. Les larmes aux yeux, je sautai au cou de Damien pour l’embrasser.
- T’es génial, je t’adore !
Sébastien sourit en nous regardant, attendant que l’étreinte se défasse. Damien s’éclipsa vite et nous nous mîmes au travail. L’étudiant était sérieux, posé, calme, et plutôt pédagogue. Les deux heures passèrent comme un charme et Sébastien insista pour dépasser légèrement afin de finir une question que nous avions commencé. Je le raccompagnai à la porte et c’est là, en me saluant, qu’il me dit :
- Il est vraiment sympa ton père. Il a ratissé la fac pour trouver un prof particulier qui lui convenait.
- C’est pas mon père, c’est mon compagnon.
Je ne sais pas qui fut le plus gêné de Sébastien qui rougit de gêne devant cette méprise ou de moi qui me rendis compte que la réponse était venue sans même que je n’y pense. Il fallait que je remercie Damien, et j’attendis son retour : il avait fait coïncider les heures de cours avec celles de son tennis. Hélas, je le ratai. Je ne rentrerai pas dans les détails, mais j’étais dans un lieu très isolé de l’appartement au moment où il rentra et je n’avais pas envie de l’interpeller de là. Je l’entendis donc impuissante aller prendre sa douche. J’attendis patiemment qu’il ait fini et, à la sortie, alors qu’il était encore en peignoir, je me jetai sur lui pour l’embrasser tendrement.
- T’es vraiment génial. Tu fais toujours attention à moi, je crois que j’ai trouvé le petit copain idéal. Et tu sais quoi ? J’ai bien envie de te remercier !
J’avais eu tout le temps de sa douche pour penser à la forme du remerciement. Je me mis à genoux devant lui, ouvris son peignoir, et commençai à jouer avec son sexe. Il ne tarda pas à réagir. L’aidant avec mes mains, il devint ferme vraiment vite.
- Tu sais Louise, tu n’es pas obligée de…
- Shhh !
Je le fis taire tout de suite et le pris en bouche. Bon, je ne savais pas trop comment m’y prendre. Une recherche rapide sur internet m’avait donné quelques conseils : attention aux dents, utiliser aussi ses mains… mais pour l’essentiel, le plus important c’était la pratique, et j’en manquai !
Je me mis donc à sucer son membre, faisant aller et venir ma bouche dessus, tout en le branlant doucement de la main au même rythme. Cela sembla marcher, mais c’était beaucoup plus long que je ne le pensais. Il posa les mais sur ma tête, suivant le mouvement, et je l’entendis vite gémir de plaisir. Cela me fit plaisir, me donnant plus de cœur à l’ouvrage.
Ma mâchoire commençait à me faire un peu mal quand je sentis ses doigts se crisper. Peu de temps après, plusieurs jets vinrent s’écraser contre mon palet, le remplissant la bouche. Il était du genre généreux, et j’en eu vite la bouche pleine. Je pinçai bien les lèvres pour ne pas en mettre partout et continuai mon mouvement comme je l’avais lu. Il me fit signe d’arrêter et je me retirai. Je me sentais un peu comme une idiote, là, à genoux, la bouche pleine sans savoir quoi en faire. Devant mon air désemparé, il m’invita à aller cracher ça dans le lavabo de la salle de bain, chose que je fis bien vite. Il me suivi pour se nettoyer.
- Merci Louise, c’était…
- Ah non ! Stop !
- Bah quoi ?
- Tu ne vas pas me dire merci ! Et pourquoi pas me le dire après m’avoir tripotée d’ailleurs ?
- Je suis désolé, tu as raison.
Il avait l’air penaud. C’était mignon. Pas de doute : la domination c’était son fantasme, mais pas spécialement sa nature. Il devait sans doute pas mal prendre sur lui au boulot. Le mieux c’était sans doute de lui permettre de relâcher la pression une fois à la maison. Je me lavai les dents puis vins l’embrasser. Alors que je le quittai pour rejoindre ma chambre, il m’attrapa par les hanches et me colla contre lui, tout contre mon dos. J’adorais cette position. Il glissa une main sous mon haut pour aller attraper un sein, l’autre sous ma jupe alla se poser sur mon sexe.
- C’est super agréable, mais c’est là que je devrais venir… (sa main remonta vers mon bas ventre) pour que ma semence remonte là où elle devrait être, ma petite chienne rien qu’à moi.
Je ronronnai de plaisir et me blottis contre lui. Il n’était pas près de remettre ça, pas avant plusieurs heures, mais il était heureux, et c’est ça qui faisait mon bonheur.
CHAPITRE 15: Rôles inversés
Il m’invita le soir à manger dans son petit restaurant fétiche où il m’avait déjà invitée. Je me serais énervée si cela avait été pour lui une nouvelle façon de me remercier, mais visiblement il avait juste envie de sortir. Je me souviens encore de sa façon de taper du pied ce soir là et de bougonner parce que je nous mettais en retard. Il est vrai que je ne suis pas toujours la plus ponctuelle, mais là c’était pour la bonne cause : un peu de maquillage, jamais appuyé, des efforts pour discipliner mes cheveux, le choix d’une robe… tout cela n’était pas du genre à être fait à la va-vite, tout du moins si l’on ne veut pas se retrouver avec un résultat affreux. Le silence et le sourire avec lesquels ils m’accueillit à la sortie de ma chambre furent de très beaux compliments. Sans un mot il me donna le bras, que je pris bien volontiers, et nous sortîmes. Il me murmura, tout en marchant :
- dis, ce ne serait pas le genre de robe faite pour être portée sans soutien-gorge ?
- si, exactement. Je te rappelle que c’est un peu à cause de toi qu’il y a des restrictions à ce niveau là.
- nous sommes sortis de l’appartement, tu pouvais en mettre un.
- pas de soucis, dès que j’en trouve un qui me va.
Il se tut et prit un air penaud.
- ah oui, j’avais oublié. On aurait du le faire la semaine dernière.
- j’étais indisposée, ce n’était pas le meilleur moment pour cela.
- tu n’as pas tort. La semaine prochaine alors ?
- quand tu voudras.
- je te réserve un après-midi dans ce cas.