25-03-2021, 07:12 PM
A ce moment là j’aurais dit oui à tout : j’avais simplement trop envie. Je lui souris simplement et hochai la tête. Il vint se placer derrière moi et caressa mes fesses, semblant tout d’abord profiter de la vue. Il saisit son sexe, le positionna, et glissa sans mal en moi. Je grognais en le recevant : il était déjà gros mais là il semblait particulièrement en forme, il devait avoir une sacrée envie. Cela m’allait très bien. Il commença un lent vas et vient qui fit monter mon plaisir sans hâte, me laissant le temps de déguster chaque instant.
- Alors Louise, tu es ma petite chienne ?
- Oui Damien.
Il déposa une claque sur mes fesses. C’était étrangement excitant, mais sur le coup cela faisait aussi mal.
- Oui qui ?
Qu’est-ce qu’il voulait au juste ? Je cherchai et tentai une réponse.
- Oui maître ?
Je fus récompensée par un coup de hanches plus puissant qui vint frapper mon col, me coupant le souffle sur le moment mais faisant se propager en moi une vague de plaisir intense. Je compris très vite qu’il allait manier la carotte et le bâton.
- Et comment es-tu ?
- Soumise !
- Oui, mais en ce moment ?
- En chaleur ?
Nouveau coup de hanches. Je grognai de plaisir. C’était bon ! J’aimais ce petit jeu, et j’aimais y gagner surtout. L’orgasme était presque là, il était à deux doigts, mais Damien jouait à m’empêcher de l’atteindre. Il fit glisser une de ses mains sous moi, me caressant le bas ventre.
- Et pourquoi es-tu en chaleur ?
Je commençais à comprendre son fantasme.
- Je veux que vous m’engrossiez, maître.
La récompense fut immédiate : ses mouvements furent instantanément plus rapides, plus puissants, plus amples, et l’orgasme ne tarda pas. C’était délicieux, incroyablement intense. Il le fit durer puis ralenti à un petit mouvement, me laissant un peu de temps pour souffler mais ne laissant pas mon excitation se calmer.
- Alors Louise, tu aimes être une chienne ?
- Oh oui maître !
- Tu aimes être ma chienne ?
- J’aime vous appartenir, maître !
- Dis-moi, de quoi rêves-tu ?
- Je veux être votre objet maître ! Vous appartenir entièrement, que vous utilisiez mon ventre comme vous le désirez.
C’en était trop pour lui. Il y alla franchement. C’était fort, un peu trop, mais le plaisir fut vraiment intense. Il finit par jouir, planté tout au fond de moi, et m’arrachant un second orgasme. Nous restâmes plantés là, à reprendre notre souffle, lorsque enfin je le sentis désenfler un peu. C’est alors une petite voix, un peu timide, qui me demanda :
- Est-ce que ça va ? Je n’y suis pas allé trop fort ?
- C’était un peu violent sur la fin, mais la vache ! J’ai adoré !
- Mais pour mon fantasme, je ne voudrais pas…
- Ne t’en fais pas ! Ça ne me dérange pas. Je veux dire… ça paraît plus naturel que le collier et la laisse, et je les aime bien.
Je l’entendis soupirer. Il se retira pour se nettoyer, et je filai également à mon tour à la salle de bain. Je finissais de me sécher quand je le sentis se glisser dans mon dos pour me prendre dans ses bras. C’était très doux, très câlin, un côté nounours apaisant. Damien était bizarre : il pouvait passer de tout à tout en peu de temps, mais je sentais toujours chez lui cette attention, cette volonté de ne pas nuire et de faire plaisir. Le câlin finit par se transformer en pelotage. Il avait les mains baladeuses. J’aimais bien ça, cela me rassurait de voir que je lui plaisais autant. Il adorait particulièrement jouer avec mes seins.
- Tu sais que je les adore ? C’est du C ?
- Du D… enfin, je risque de passer au bonnet supérieur.
- C’est un peu de ma faute, et si je t’offrais ta nouvelle garde-robe en réparation ?
- Mais comment savoir si ça te plaira ?
- Et si j’assistais aux essayages ?
- Marché conclu !
CHAPITRE 14: Cours particuliers
Cette nuit là à nouveau nous allâmes dormir ensemble. Cela commençait à devenir une habitude. Ma chambre finissait à plus me servir de bureau que de lieu de repos. La semaine suivante fut des plus calmes. La première raison était que je n’avais pas oublié la raison de ma venue à Paris : étudier. Les cours avançaient et les attentions de Damien n’étaient pas vraiment du genre à m’aider dan ce sens. Il y avait une autre raison, plus prosaïque : j’étais indisposée. Je sais que ça n’en dérange pas certaines, mais dans ces moments là, le cœur n’y est pas. Au débarquement des anglais, je fus partagée entre l’agacement à l’idée de faire ceinture pendant une semaine et le soulagement de voir l’efficacité de la pilule. C’est aussi à cette période que je sentis les douleurs dans ma poitrine se calmer: au moins n’allai-je pas gonfler comme une baudruche.
Cette période n’est pas non plus la plus propice à l’achat de sous-vêtements, donc je fis avec les anciens. Le bas, le plus stratégique, m’allait toujours bien, donc c’était plus un inconfort qu’une gêne vraiment grave. La semaine fut assez routinière, mais cela aussi avait son intérêt : je commençais à profiter d’une vraie petite vie avec Damien. C’était confortable et apaisant. Il me faisait toujours des bisous et des câlins et n’insistait pas pour plus. Je pense que lui aussi ça ne le tentait pas.
Les anglais remballèrent leurs affaires le vendredi, toujours aussi ponctuels, et le samedi en début d’après-midi j’entendis toquer à ma porte. C’est Damien qui entra, le sourire aux lèvres.
- J’ai une surprise pour toi.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Un petit cadeau qui devrait te faire plaisir. Suis-moi au salon.
Je m’imaginais déjà une ballade, un sex-toy, quelque chose d’original. L’envie était déjà revenue et comme j’avais préféré laisser la soirée d’hier passer pour être sûre que tout était bien fini, je commençais à ronger mon frein. Je luis emboîtai le pas et fus surprise de rencontrer dans le salon un jeune homme, légèrement plus âgé que moi. Sans être un canon, il était d’aspect agréable, le genre étudiant calme, la barbe courte, brun, en chemise et pantalon de toile. C’était ça mon sex-toy ? J’aurais préféré le faire avec Damien, mais je n’allais pas dire non…
- Alors Louise, tu es ma petite chienne ?
- Oui Damien.
Il déposa une claque sur mes fesses. C’était étrangement excitant, mais sur le coup cela faisait aussi mal.
- Oui qui ?
Qu’est-ce qu’il voulait au juste ? Je cherchai et tentai une réponse.
- Oui maître ?
Je fus récompensée par un coup de hanches plus puissant qui vint frapper mon col, me coupant le souffle sur le moment mais faisant se propager en moi une vague de plaisir intense. Je compris très vite qu’il allait manier la carotte et le bâton.
- Et comment es-tu ?
- Soumise !
- Oui, mais en ce moment ?
- En chaleur ?
Nouveau coup de hanches. Je grognai de plaisir. C’était bon ! J’aimais ce petit jeu, et j’aimais y gagner surtout. L’orgasme était presque là, il était à deux doigts, mais Damien jouait à m’empêcher de l’atteindre. Il fit glisser une de ses mains sous moi, me caressant le bas ventre.
- Et pourquoi es-tu en chaleur ?
Je commençais à comprendre son fantasme.
- Je veux que vous m’engrossiez, maître.
La récompense fut immédiate : ses mouvements furent instantanément plus rapides, plus puissants, plus amples, et l’orgasme ne tarda pas. C’était délicieux, incroyablement intense. Il le fit durer puis ralenti à un petit mouvement, me laissant un peu de temps pour souffler mais ne laissant pas mon excitation se calmer.
- Alors Louise, tu aimes être une chienne ?
- Oh oui maître !
- Tu aimes être ma chienne ?
- J’aime vous appartenir, maître !
- Dis-moi, de quoi rêves-tu ?
- Je veux être votre objet maître ! Vous appartenir entièrement, que vous utilisiez mon ventre comme vous le désirez.
C’en était trop pour lui. Il y alla franchement. C’était fort, un peu trop, mais le plaisir fut vraiment intense. Il finit par jouir, planté tout au fond de moi, et m’arrachant un second orgasme. Nous restâmes plantés là, à reprendre notre souffle, lorsque enfin je le sentis désenfler un peu. C’est alors une petite voix, un peu timide, qui me demanda :
- Est-ce que ça va ? Je n’y suis pas allé trop fort ?
- C’était un peu violent sur la fin, mais la vache ! J’ai adoré !
- Mais pour mon fantasme, je ne voudrais pas…
- Ne t’en fais pas ! Ça ne me dérange pas. Je veux dire… ça paraît plus naturel que le collier et la laisse, et je les aime bien.
Je l’entendis soupirer. Il se retira pour se nettoyer, et je filai également à mon tour à la salle de bain. Je finissais de me sécher quand je le sentis se glisser dans mon dos pour me prendre dans ses bras. C’était très doux, très câlin, un côté nounours apaisant. Damien était bizarre : il pouvait passer de tout à tout en peu de temps, mais je sentais toujours chez lui cette attention, cette volonté de ne pas nuire et de faire plaisir. Le câlin finit par se transformer en pelotage. Il avait les mains baladeuses. J’aimais bien ça, cela me rassurait de voir que je lui plaisais autant. Il adorait particulièrement jouer avec mes seins.
- Tu sais que je les adore ? C’est du C ?
- Du D… enfin, je risque de passer au bonnet supérieur.
- C’est un peu de ma faute, et si je t’offrais ta nouvelle garde-robe en réparation ?
- Mais comment savoir si ça te plaira ?
- Et si j’assistais aux essayages ?
- Marché conclu !
CHAPITRE 14: Cours particuliers
Cette nuit là à nouveau nous allâmes dormir ensemble. Cela commençait à devenir une habitude. Ma chambre finissait à plus me servir de bureau que de lieu de repos. La semaine suivante fut des plus calmes. La première raison était que je n’avais pas oublié la raison de ma venue à Paris : étudier. Les cours avançaient et les attentions de Damien n’étaient pas vraiment du genre à m’aider dan ce sens. Il y avait une autre raison, plus prosaïque : j’étais indisposée. Je sais que ça n’en dérange pas certaines, mais dans ces moments là, le cœur n’y est pas. Au débarquement des anglais, je fus partagée entre l’agacement à l’idée de faire ceinture pendant une semaine et le soulagement de voir l’efficacité de la pilule. C’est aussi à cette période que je sentis les douleurs dans ma poitrine se calmer: au moins n’allai-je pas gonfler comme une baudruche.
Cette période n’est pas non plus la plus propice à l’achat de sous-vêtements, donc je fis avec les anciens. Le bas, le plus stratégique, m’allait toujours bien, donc c’était plus un inconfort qu’une gêne vraiment grave. La semaine fut assez routinière, mais cela aussi avait son intérêt : je commençais à profiter d’une vraie petite vie avec Damien. C’était confortable et apaisant. Il me faisait toujours des bisous et des câlins et n’insistait pas pour plus. Je pense que lui aussi ça ne le tentait pas.
Les anglais remballèrent leurs affaires le vendredi, toujours aussi ponctuels, et le samedi en début d’après-midi j’entendis toquer à ma porte. C’est Damien qui entra, le sourire aux lèvres.
- J’ai une surprise pour toi.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Un petit cadeau qui devrait te faire plaisir. Suis-moi au salon.
Je m’imaginais déjà une ballade, un sex-toy, quelque chose d’original. L’envie était déjà revenue et comme j’avais préféré laisser la soirée d’hier passer pour être sûre que tout était bien fini, je commençais à ronger mon frein. Je luis emboîtai le pas et fus surprise de rencontrer dans le salon un jeune homme, légèrement plus âgé que moi. Sans être un canon, il était d’aspect agréable, le genre étudiant calme, la barbe courte, brun, en chemise et pantalon de toile. C’était ça mon sex-toy ? J’aurais préféré le faire avec Damien, mais je n’allais pas dire non…