25-03-2021, 01:10 PM
Chapitre 3.
Fin des vacances et séjour en classe de neige.
Une fois notre belle balade terminée nous étions rentrés à l’hôtel. René nous avait proposé de boire un verre ensemble avant de monter dans les chambres. Nous avions pris deux bouteilles d’asti, vin mousseux italien. Nous avions trinqué à nous et bien entendu à nos amours. J’avais embrassé Benoît qui était assis à côté de moi. Marie avait fait de même avec Isabelle. J’avais pu voir les sourires des parents de Marie, qui eux aussi s’étaient embrassés. J’avais alors adressé un compliment qui disait ceci :
Moi : « Merci, merci à vous tous d’être ici présent ce soir. Merci Henriette et merci René pour ce séjour inoubliable, merci Marie d’être mon amie et ma confidente et merci à Isabelle, amie de classe et maintenant amie de cœur et bien sûr merci Ben pour ton amour à mon égard. Je vais garder dans mon cœur tout ce que nous avons vécu de beau et de sincère durant ce séjour. Je me sens vraiment heureux et c’est grâce à vous !
Des larmes coulaient sur mes joues, mais des larmes de bonheur. Marie et Ben eux aussi avaient les larmes aux yeux. Henriette était elle aussi sur le point de pleurer. René avait pris la parole et avait dit :
Ren : Oh Phil c’est très touchant ce que tu viens de dire. Sache que la porte de notre maison te sera toujours ouverte ainsi qu’à Benoît. Je suis certain que tu es et que tu resteras un ami très, très, fidèle de notre fille, à ton amie Marie, et ça je le sais depuis que vous vous connaissez.
Mar : Oh Phil, je ne te savais pas si émotif et si cœur tendre, comme toi je souhaite que nous restions tous les quatre unis pour la vie. »
Marie s’était levée et était venue me prendre dans ses bras. Nous avions été rejoints par Isabelle et Benoît. J’avais vu Henriette écraser une larme, elle aussi avait compris que nous étions désormais unis, tous les quatre, pour la vie !
Nous avions souhaité une très bonne nuit aux parents de Marie, ensuite nous étions montés dans notre grande chambre.
Une fois installé sur nos lits, nous avions commencé à parler, à nous remémorer tout ce que nous avions vu durant toute cette très belle journée. Nous avions tous les quatre un large sourire. Puis nous avions décidé de nous faire un brin de toilette avant d’aller dormir. Nous avions laissé les filles les premières pour qu’elles puissent aller prendre leur douche. Nous avions emboîté le pas dès qu’elles étaient revenues, séchées et prêtes à aller au lit. Ben et moi avions pris une douche rapide, pour nous laisser plus de temps pour le reste de la soirée, avant de dormir.
Nous nous étions couchés, nus au-dessus de la couverture. Les filles elles aussi étaient nues sur leur lit. Elles s’embrassaient à pleine bouche et leurs mains virevoltaient sur leurs corps. Voyant ça, Ben avait pris l’initiative. Il avait posé délicatement ses lèvres sur les miennes. Nous nous faisions des petits bisous d’amoureux. Puis nos lèvres s’étaient ouvertes pour laisser le passage à nos langues qui attendaient de pouvoir danser entre elles ! Nos mains allaient sur nos bustes, nos fesses, elles caressaient le moindre centimètre de peau. Nos bouches allaient elles aussi dans nos cous, suçaient les lobes des oreilles, descendaient vers les tétons et puis nos lèvres se soudaient les unes aux autres. Nos membres érectiles n’étaient pas en reste, ils avaient pris de l’embonpoint, ils se dressaient vers nos nombrils. Nous ne faisions pas attention au lit des filles, nous nous concentrions sur nous, sur notre bienêtre. Parfois on entendait les filles râler de bonheur, mais pas une fois nous n’avions regardé en direction de leur nid d’amour !
Je m’étais alors arrangé pour que nous nous trouvions Ben et moi tête bêche. Nous avions chacun le sexe de l’être aimé à portée de bouche. Le phallus de Ben était bandé au maximum. J’avais commencé par léchouillé son gland déjà humide. Ben de son côté s’appliquait à me suçoter le gland. Nous nous faisions plaisir l’un l’autre. Nous avions le temps de faire les choses avec volupté, sans empressement. J’avais englouti la queue dressée de Ben. J’entamais des mouvements d’aller et retour le long de sa protubérance, Ben commençait à émettre des râles de bienêtre et lui de son côté s’appliquait à me sucer profondément. Nous voulions donner un maximum de plaisir à notre partenaire. Puis l’ivresse du moment aidant nos râles se faisaient de plus en plus entendre. Puis nous poursuivions notre fellation d’enfer, nous étions comme hors du temps. Puis nos corps de braises s’étaient arqués, nos muscles se contractaient et puis dans un râle commun, nous arrivions à l’instant suprême, l’instant tant attendu, l’instant de jouir, de libérer sa semence et en même temps Ben et moi nous avions éjaculé dans la bouche de l’être aimé. J’avais avalé une partie du sperme de Ben, lui de son côté avait semble-t-il fait de même et ensuite nous nous étions embrassés en mélangeant nos semences de vie. Puis, comme des chevaux fourbus nous nous étions couchés l’un à côté de l’autre pour reprendre nos esprits.
Les filles nous regardaient. Après cinq minutes, le temps de nous reprendre, Isabelle avait dit :
Isa : « Alors là les mecs, vous nous avez scotché ! On voit que vous savez vous donner du plaisir !
Mar : Oh oui Phil, vous êtes incroyables, et on sait que vous vous aimez !
Moi : Désolé les filles, mais je n’ai pas regardé vers vous !
Isa :« Ce n’est pas grave Phil, on ne sait jamais, la prochaine fois !
Ben : Moi j’ai jeté un œil de temps en temps, mais Phil est un si bon amant que je suis resté concentré pour lui procurer un max de plaisir.
Mar : Oui Ben, ça je l’ai bien remarqué. »
Nous étions alors partis dans un grand fou-rire. Nous étions tous les quatre très heureux. Nous étions très complices et cela scellait notre amitié !
Nous nous étions couchés et nous étions tombés dans les bras de Morphée.
Nous nous étions levés assez tôt en vue de pouvoir une dernière fois visiter Venise. Le papa de Marie avait loué un bateau, un bateau en bois avec moteur pour voir Venise depuis les canaux. Nous avions vite pris notre petit-déjeuner et nous étions prêts sur le quai près de l’hôtel.
Quelle très belle visite de Venise par bateau, c’était extraordinaire. Les bâtiments étaient magnifiques ! Les palais eux aussi ressortaient autrement vu du bateau que par l’autre côté, soit celle des rues et des ruelles. Je ne m’imaginais pas que cette ville avait autant de trésors !
Puis il a bien fallu quitter cet endroit idyllique pour redescendre les pieds sur terre, façon de parler ! Oups !
Oui il était temps de rejoindre l’aéroport en vue de monter dans l’avion qui devait nous ramener en Belgique.
Le vol s’était très bien passé. J’avais eu nettement moins peur que lors du vol aller. Nous avions atterri sans encombre à Zaventem.
René avait commandé un taxi pour nous reconduire, Benoît et moi chez mes parents car la navette n’était pas présente. Marie et les autres avaient pris un autre taxi pour rentrer.
Une fois à la maison, nous avions été accueillis par mes parents, ma sœur et mon frère. Benoît et moi n’arrêtions pas de parler de tout ce que nous avions visité et vu durant notre séjour. Finalement Ben était resté souper à la maison avant que papa ne le reconduise chez lui.
Les deux – trois jours qui restaient avaient été consacrés à préparer mes bagages pour les classes de neige. Nous devions aller en Suisse, dans le Valais à Val D’Illiez.
Pour être certain d’avoir toutes mes affaires maman m’avait aidé à faire ma valise. Une liste avait été fournie par l’école. Nous y avions fait attention pour ne pas oublier l’une au l’autre chose.
Nous devions quitter Bruxelles en train couchettes le samedi soir vers vingt-deux heures trente. Il était donc temps que tout soit prêt.
Nous voilà dans le train. J’avais pris un compartiment dans lequel il y avait Romain, Emmanuel, Justin, Sébastien et Romuald. Il n’y avait pas de fille avec nous car elles étaient réparties dans d’autres compartiments. Marie et Isabelle étaient ensemble, j’étais content pour elle.
Le voyage était assez long, nous avions très, très mal, dormis dans le train. Nous étions arrivés à Aigle, gare aux pieds du Valais et des stations de ski. Après le trajet en car jusqu’à Val d’Illiez, nous étions très contents de pouvoir déposer nos affaires dans l’hôtel qui avait été réservé par l’école. Nous étions accompagnés de trois profs. Bien entendu, sur place, nous avions fait la connaissance des deux monitrices qui devaient s’occuper de nous en dehors des heures de cours. Les heures de cours étaient données le matin et nous avions ski durant l’après-midi. Nous devions intégrer les chambres, en vue d’y déposer nos affaires. La liste avait été communiquée oralement dans le hall d’accueil. Finalement j’étais installé dans une chambre de quatre, j’étais avec Emmanuel, Romain et Justin.
Le tirage au sort était pour ma part assez mitigé. J’étais content d’avoir avec moi Romain, un gars qui était très ouvert et qui respectait les autres, puis le brave Justin, il était un peu taiseux et ensuite Emmanuel, je ne le sentais pas, je me posais des questions sur lui et sa façon de regarder les autres de haut. Je pouvais me tromper sur son compte. Nous devions être dans la même chambre durant plus de dix jours ! J’avais donc l’occasion de mieux le connaître.
J’étais super heureux de pouvoir faire du ski. Nous prenions chaque après-midi un bus pour aller dans la station de ski liée à la commune de Val D’Illiez. Nous avions de cours donnés par de moniteurs suisses. Le gars qui s’occupait de nous, les bons skieurs, c’était André. C’était un gars super sympa. Il nous expliquait certaines techniques. Les séances de ski nous semblaient trop courtes.
Dans la chambre, l’ambiance était mitigée. Je bavardais souvent avec Romain, parfois avec Justin. Emmanuel ne me parlait presque pas, il était fourré avec Romain quand je n’étais pas avec lui. Bon je ne m’en faisais pas trop. La chambre de Marie et Isabelle était située trois chambres plus loin dans le couloir. Cela me permettait de les voir un peu plus que sur les pistes ou lors des cours du matin. Nous parvenions à discuter entre nous et parfois avec Romain. Nous nous entendions bien. Évidemment nous ne parlions pas de nos orientations sexuelles, les filles ou moi. J’avais fait part de ma méfiance envers Emmanuel à mes deux amies, je n’avais rien dit à Romain. Je ne sentais pas Emmanuel, il me semblait faux, à la limite traitre qui va rapporter ce qu’il a vu ! Bref Marie m’avait dit de ne pas m’en faire.
Le troisième nuit, ou plus tôt le troisième soir, alors que nous étions dans la chambre Emmanuel discutait avec Romain de filles et de baisers échangés avec certaines d’entre elles lors de vacances à la mer. Puis Emmanuel avait dit tout haut qu’il commençait à bander. Justin lui avait dit :
Jus : « Si tu bandes, il ne te reste plus qu’à te branler.
Emm : Oui c’est ça, toi avec ton vermicelle tu n’en es même pas capable.
Jus : Chiche, et puis tu n’oserais pas monter ton petit spaghetti !
Emm : Oui c’est ça, regarde.
Emmanuel avait baisé son pantalon de pyjama et avait montré son sexe, environ seize centimètres ! Romain et Justin avaient dit :
Jus et Rom : Oui évidemment !
Emm : Alors les gars, ça vous en bouche un coin. Dis Phil, tu ne dis rien, tu n’as pas grand-chose entre les cuisses alors !
Moi : Oui c’est ça, tu veux la voir. Tiens ! »
Je baissais mon pantalon et je montrais mon sexe au repos de près de neuf centimètres. Bien sur ce n’était pas beaucoup, mais quand même !
Puis, l’atmosphère aidant nous commencions tous à bander. Emmanuel fut le premier à mettre sa main sur sa protubérance et à s’astiquer. J’avais aussi la gaule et j’avais suivi le mouvement, j’avais été excité par cette discussion qui avait été lancée par Emmanuel. Romain s’y était mis aussi et enfin suivi par Justin. Nous étions tous les quatre en train de nous masturber. C’était une scène assez amusante, je me doutais que cela allait arriver tôt ou tard lors de ce séjour. Nous avions éjaculé dans les cinq minutes. Une fois essuyés, nous nous étions couchés pour la nuit.
Fin des vacances et séjour en classe de neige.
Une fois notre belle balade terminée nous étions rentrés à l’hôtel. René nous avait proposé de boire un verre ensemble avant de monter dans les chambres. Nous avions pris deux bouteilles d’asti, vin mousseux italien. Nous avions trinqué à nous et bien entendu à nos amours. J’avais embrassé Benoît qui était assis à côté de moi. Marie avait fait de même avec Isabelle. J’avais pu voir les sourires des parents de Marie, qui eux aussi s’étaient embrassés. J’avais alors adressé un compliment qui disait ceci :
Moi : « Merci, merci à vous tous d’être ici présent ce soir. Merci Henriette et merci René pour ce séjour inoubliable, merci Marie d’être mon amie et ma confidente et merci à Isabelle, amie de classe et maintenant amie de cœur et bien sûr merci Ben pour ton amour à mon égard. Je vais garder dans mon cœur tout ce que nous avons vécu de beau et de sincère durant ce séjour. Je me sens vraiment heureux et c’est grâce à vous !
Des larmes coulaient sur mes joues, mais des larmes de bonheur. Marie et Ben eux aussi avaient les larmes aux yeux. Henriette était elle aussi sur le point de pleurer. René avait pris la parole et avait dit :
Ren : Oh Phil c’est très touchant ce que tu viens de dire. Sache que la porte de notre maison te sera toujours ouverte ainsi qu’à Benoît. Je suis certain que tu es et que tu resteras un ami très, très, fidèle de notre fille, à ton amie Marie, et ça je le sais depuis que vous vous connaissez.
Mar : Oh Phil, je ne te savais pas si émotif et si cœur tendre, comme toi je souhaite que nous restions tous les quatre unis pour la vie. »
Marie s’était levée et était venue me prendre dans ses bras. Nous avions été rejoints par Isabelle et Benoît. J’avais vu Henriette écraser une larme, elle aussi avait compris que nous étions désormais unis, tous les quatre, pour la vie !
Nous avions souhaité une très bonne nuit aux parents de Marie, ensuite nous étions montés dans notre grande chambre.
Une fois installé sur nos lits, nous avions commencé à parler, à nous remémorer tout ce que nous avions vu durant toute cette très belle journée. Nous avions tous les quatre un large sourire. Puis nous avions décidé de nous faire un brin de toilette avant d’aller dormir. Nous avions laissé les filles les premières pour qu’elles puissent aller prendre leur douche. Nous avions emboîté le pas dès qu’elles étaient revenues, séchées et prêtes à aller au lit. Ben et moi avions pris une douche rapide, pour nous laisser plus de temps pour le reste de la soirée, avant de dormir.
Nous nous étions couchés, nus au-dessus de la couverture. Les filles elles aussi étaient nues sur leur lit. Elles s’embrassaient à pleine bouche et leurs mains virevoltaient sur leurs corps. Voyant ça, Ben avait pris l’initiative. Il avait posé délicatement ses lèvres sur les miennes. Nous nous faisions des petits bisous d’amoureux. Puis nos lèvres s’étaient ouvertes pour laisser le passage à nos langues qui attendaient de pouvoir danser entre elles ! Nos mains allaient sur nos bustes, nos fesses, elles caressaient le moindre centimètre de peau. Nos bouches allaient elles aussi dans nos cous, suçaient les lobes des oreilles, descendaient vers les tétons et puis nos lèvres se soudaient les unes aux autres. Nos membres érectiles n’étaient pas en reste, ils avaient pris de l’embonpoint, ils se dressaient vers nos nombrils. Nous ne faisions pas attention au lit des filles, nous nous concentrions sur nous, sur notre bienêtre. Parfois on entendait les filles râler de bonheur, mais pas une fois nous n’avions regardé en direction de leur nid d’amour !
Je m’étais alors arrangé pour que nous nous trouvions Ben et moi tête bêche. Nous avions chacun le sexe de l’être aimé à portée de bouche. Le phallus de Ben était bandé au maximum. J’avais commencé par léchouillé son gland déjà humide. Ben de son côté s’appliquait à me suçoter le gland. Nous nous faisions plaisir l’un l’autre. Nous avions le temps de faire les choses avec volupté, sans empressement. J’avais englouti la queue dressée de Ben. J’entamais des mouvements d’aller et retour le long de sa protubérance, Ben commençait à émettre des râles de bienêtre et lui de son côté s’appliquait à me sucer profondément. Nous voulions donner un maximum de plaisir à notre partenaire. Puis l’ivresse du moment aidant nos râles se faisaient de plus en plus entendre. Puis nous poursuivions notre fellation d’enfer, nous étions comme hors du temps. Puis nos corps de braises s’étaient arqués, nos muscles se contractaient et puis dans un râle commun, nous arrivions à l’instant suprême, l’instant tant attendu, l’instant de jouir, de libérer sa semence et en même temps Ben et moi nous avions éjaculé dans la bouche de l’être aimé. J’avais avalé une partie du sperme de Ben, lui de son côté avait semble-t-il fait de même et ensuite nous nous étions embrassés en mélangeant nos semences de vie. Puis, comme des chevaux fourbus nous nous étions couchés l’un à côté de l’autre pour reprendre nos esprits.
Les filles nous regardaient. Après cinq minutes, le temps de nous reprendre, Isabelle avait dit :
Isa : « Alors là les mecs, vous nous avez scotché ! On voit que vous savez vous donner du plaisir !
Mar : Oh oui Phil, vous êtes incroyables, et on sait que vous vous aimez !
Moi : Désolé les filles, mais je n’ai pas regardé vers vous !
Isa :« Ce n’est pas grave Phil, on ne sait jamais, la prochaine fois !
Ben : Moi j’ai jeté un œil de temps en temps, mais Phil est un si bon amant que je suis resté concentré pour lui procurer un max de plaisir.
Mar : Oui Ben, ça je l’ai bien remarqué. »
Nous étions alors partis dans un grand fou-rire. Nous étions tous les quatre très heureux. Nous étions très complices et cela scellait notre amitié !
Nous nous étions couchés et nous étions tombés dans les bras de Morphée.
Nous nous étions levés assez tôt en vue de pouvoir une dernière fois visiter Venise. Le papa de Marie avait loué un bateau, un bateau en bois avec moteur pour voir Venise depuis les canaux. Nous avions vite pris notre petit-déjeuner et nous étions prêts sur le quai près de l’hôtel.
Quelle très belle visite de Venise par bateau, c’était extraordinaire. Les bâtiments étaient magnifiques ! Les palais eux aussi ressortaient autrement vu du bateau que par l’autre côté, soit celle des rues et des ruelles. Je ne m’imaginais pas que cette ville avait autant de trésors !
Puis il a bien fallu quitter cet endroit idyllique pour redescendre les pieds sur terre, façon de parler ! Oups !
Oui il était temps de rejoindre l’aéroport en vue de monter dans l’avion qui devait nous ramener en Belgique.
Le vol s’était très bien passé. J’avais eu nettement moins peur que lors du vol aller. Nous avions atterri sans encombre à Zaventem.
René avait commandé un taxi pour nous reconduire, Benoît et moi chez mes parents car la navette n’était pas présente. Marie et les autres avaient pris un autre taxi pour rentrer.
Une fois à la maison, nous avions été accueillis par mes parents, ma sœur et mon frère. Benoît et moi n’arrêtions pas de parler de tout ce que nous avions visité et vu durant notre séjour. Finalement Ben était resté souper à la maison avant que papa ne le reconduise chez lui.
Les deux – trois jours qui restaient avaient été consacrés à préparer mes bagages pour les classes de neige. Nous devions aller en Suisse, dans le Valais à Val D’Illiez.
Pour être certain d’avoir toutes mes affaires maman m’avait aidé à faire ma valise. Une liste avait été fournie par l’école. Nous y avions fait attention pour ne pas oublier l’une au l’autre chose.
Nous devions quitter Bruxelles en train couchettes le samedi soir vers vingt-deux heures trente. Il était donc temps que tout soit prêt.
Nous voilà dans le train. J’avais pris un compartiment dans lequel il y avait Romain, Emmanuel, Justin, Sébastien et Romuald. Il n’y avait pas de fille avec nous car elles étaient réparties dans d’autres compartiments. Marie et Isabelle étaient ensemble, j’étais content pour elle.
Le voyage était assez long, nous avions très, très mal, dormis dans le train. Nous étions arrivés à Aigle, gare aux pieds du Valais et des stations de ski. Après le trajet en car jusqu’à Val d’Illiez, nous étions très contents de pouvoir déposer nos affaires dans l’hôtel qui avait été réservé par l’école. Nous étions accompagnés de trois profs. Bien entendu, sur place, nous avions fait la connaissance des deux monitrices qui devaient s’occuper de nous en dehors des heures de cours. Les heures de cours étaient données le matin et nous avions ski durant l’après-midi. Nous devions intégrer les chambres, en vue d’y déposer nos affaires. La liste avait été communiquée oralement dans le hall d’accueil. Finalement j’étais installé dans une chambre de quatre, j’étais avec Emmanuel, Romain et Justin.
Le tirage au sort était pour ma part assez mitigé. J’étais content d’avoir avec moi Romain, un gars qui était très ouvert et qui respectait les autres, puis le brave Justin, il était un peu taiseux et ensuite Emmanuel, je ne le sentais pas, je me posais des questions sur lui et sa façon de regarder les autres de haut. Je pouvais me tromper sur son compte. Nous devions être dans la même chambre durant plus de dix jours ! J’avais donc l’occasion de mieux le connaître.
J’étais super heureux de pouvoir faire du ski. Nous prenions chaque après-midi un bus pour aller dans la station de ski liée à la commune de Val D’Illiez. Nous avions de cours donnés par de moniteurs suisses. Le gars qui s’occupait de nous, les bons skieurs, c’était André. C’était un gars super sympa. Il nous expliquait certaines techniques. Les séances de ski nous semblaient trop courtes.
Dans la chambre, l’ambiance était mitigée. Je bavardais souvent avec Romain, parfois avec Justin. Emmanuel ne me parlait presque pas, il était fourré avec Romain quand je n’étais pas avec lui. Bon je ne m’en faisais pas trop. La chambre de Marie et Isabelle était située trois chambres plus loin dans le couloir. Cela me permettait de les voir un peu plus que sur les pistes ou lors des cours du matin. Nous parvenions à discuter entre nous et parfois avec Romain. Nous nous entendions bien. Évidemment nous ne parlions pas de nos orientations sexuelles, les filles ou moi. J’avais fait part de ma méfiance envers Emmanuel à mes deux amies, je n’avais rien dit à Romain. Je ne sentais pas Emmanuel, il me semblait faux, à la limite traitre qui va rapporter ce qu’il a vu ! Bref Marie m’avait dit de ne pas m’en faire.
Le troisième nuit, ou plus tôt le troisième soir, alors que nous étions dans la chambre Emmanuel discutait avec Romain de filles et de baisers échangés avec certaines d’entre elles lors de vacances à la mer. Puis Emmanuel avait dit tout haut qu’il commençait à bander. Justin lui avait dit :
Jus : « Si tu bandes, il ne te reste plus qu’à te branler.
Emm : Oui c’est ça, toi avec ton vermicelle tu n’en es même pas capable.
Jus : Chiche, et puis tu n’oserais pas monter ton petit spaghetti !
Emm : Oui c’est ça, regarde.
Emmanuel avait baisé son pantalon de pyjama et avait montré son sexe, environ seize centimètres ! Romain et Justin avaient dit :
Jus et Rom : Oui évidemment !
Emm : Alors les gars, ça vous en bouche un coin. Dis Phil, tu ne dis rien, tu n’as pas grand-chose entre les cuisses alors !
Moi : Oui c’est ça, tu veux la voir. Tiens ! »
Je baissais mon pantalon et je montrais mon sexe au repos de près de neuf centimètres. Bien sur ce n’était pas beaucoup, mais quand même !
Puis, l’atmosphère aidant nous commencions tous à bander. Emmanuel fut le premier à mettre sa main sur sa protubérance et à s’astiquer. J’avais aussi la gaule et j’avais suivi le mouvement, j’avais été excité par cette discussion qui avait été lancée par Emmanuel. Romain s’y était mis aussi et enfin suivi par Justin. Nous étions tous les quatre en train de nous masturber. C’était une scène assez amusante, je me doutais que cela allait arriver tôt ou tard lors de ce séjour. Nous avions éjaculé dans les cinq minutes. Une fois essuyés, nous nous étions couchés pour la nuit.