23-03-2021, 12:48 PM
Quel défilé, c’était féérique. Plein de lumières, plein de couleurs chatoyantes, des acrobates, des cracheurs de feu, des personnages habillés à la vénitienne, des masques somptueux, nous avions des étoiles plein les yeux. Quelle splendeur, je n’avais jamais vu un défilé aussi beau. Nous étions tous en extase devant ce gigantesque spectacle.
Puis il était temps de retourner à l’hôtel pour y passer la nuit. Une fois arrivés dans le hall de ce bel hôtel, j’avais été trouvé Henriette et René pour leur dire bonsoir. J’en avais profité pour les remercier pour ce séjour majestueux à Venise. René et Henriette m’avaient pris dans leurs bras pour me faire un gros câlin. Ben et les deux filles m’avaient suivi pour étreindre les deux parents.
Nous étions donc dans notre grande chambre, chambre de quatre avec deux grands lits, et nous quatre, unis deux à deux, même sexe avec même sexe. Marie m’avait dit, lors de notre arrivée et à la suite du problème de chambres, qu’elle savait ce qu’il fallait dire pour que tout ce passe bien. Nous nous étions donc assis sur les deux lits, nous regardant. Marie avait pris la parole :
Mar : « Bon, Phil tu te souviens de l’après-midi où tu as pris en défaut Roland qui m’espionnait. Tu te souviens de ce que nous avions vécu avant ton action envers Roland.
Moi : Oui Marie, je vois où tu veux en venir. Je n’en ai parlé à personne, tu peux me croire !»
Mar : Mais je te crois Phil, je sais que je peux compter sur toi pour ta discrétion et gentillesse. Je suppose que tu vois où je veux en venir concrètement.
Moi :« Oui Marie, je ne sais pas si Isabelle sait de quoi on va parler, mais je puis te dire que Ben n’est au courant de rien.
Ben : Phil, qu’est-ce qu’il y a, je ne te suis pas.
Isa : Moi nous plus, je ne sais pas ce qui se passe, Marie tu m’as dit que ça allait s’arranger. Alors, dis-nous ce qui se passe et n’omet rien.
Moi : Ben, je laisse à Marie le soin de dire quoi, j’en assume ma responsabilité.
Mar : Bon, voilà, le jour où Phil est intervenu pour prendre Roland qui rôdait dans le jardin, nous avions passé le reste de l’après-midi à deux. Bref alors que j’étais dans ma chambre j’avais demandé à Phil de se montrer, tout bien tout honneur, de se montrer nu pour que je puisse voir son sexe. Par la suite je me suis montrée nue face à Phil pour qu’il puisse voir à quoi ressemblait le sexe d’une fille. Finalement de fil en aiguille nous nous sommes masturbés l’un devant l’autre. Je voulais voir un garçon éjaculer, en fait c’est la seule chose que je voulais voir en vrai.
Isa : Marie, mais je ne te reproche rien, c’était de la curiosité, c’était juste pour voir un garçon nu et voir son sexe et le voir éjaculer. Je puis te dire que j’ai déjà eu l’occasion de la voir aussi avec un cousin.
Ben : Phil, tu ne m’as rien dit, je suis sûr que tu l’avais juré à Marie et que tu as tenu ta promesse. Je ne t’en veux pas du tout.
Mar : Merci à vous. Donc si nous sommes en couples, Phil et Ben ensemble et bien sûr Isa et moi, n’ayons pas de complexe à nous voir nus et si nous batifolons en couple, que cela ne dérange pas l’autre couple. Il n’y a pas de paravent. Êtes-vous d’accord.
Isa : Marie, je vais faire l’effort, je crois que je ne vais pas en faire une maladie.
Ben : Marie, Isa et Phil, ce sera une première pour moi d’assister à une partie de jambes en l’air sur le lit à côté du notre, mais je vais m’y faire. J’ai déjà vu ma sœur nue, alors ça devrait aller.
Moi : Merci Marie, je ne t’en veux pas d’avoir tout raconté, Ben est au courant et cela ne change rien à l’amour que j’ai pour lui."
Je m’étais penché vers mon ami Ben et je lui avais roulé un de ses patins d’enfer avec salade de langues. Les filles elles aussi s’embrassaient. Finalement après cette mise au point, j’avais ajouté que Marie et moi étions amis depuis l’école primaire pour ne pas dire la maternelle.
Nous nous étions tous les quatre déshabillés, sans complexe, les choses ayant été clairement fixées entre nous.
Nous nous étions tous retrouvés dans la salle de bain. Les filles avaient fait couler un bain, il faut dire que la baignoire était assez grande avec des jets. Nous les garçons nous avions investi la douche. Nous nous amusions avec les pommeaux de douche, ouvrant ou fermant l’eau. Puis à un moment alors que nous nous embrassions, j’avais senti quelque chose de chaud qui inondait mes parties génitales, j’avais jeté un coup d’œil et je pouvais voir que c’était Ben qui me pissait dessus, oh le dégelasse ! Nous étions dans la douche pour nous laver, alors je m’étais moi aussi laissé aller en lui rendant la monnaie de sa pièce ! J’inondais à mon tour son sexe et ses bijoux de famille. Nous étions partis dans une grande rigolade. Les filles se demandaient ce qui se passait. C’est Ben qui leur avait expliqué le pourquoi de notre hilarité. Elles s’étaient elles aussi mises à rire. Nous nous étions quand même lavés, après avoir fait couler l’eau ; c’était normalement le but quand on prend une douche.
Une fois séchés nous nous étions mis au lit. Marie et Isabelle s’embrassaient, Ben s’était rapproché de moi et commençait à m’embrasser. Nous nous étions embrassés avec volupté, nos langues dansaient entre elles et nos corps étaient collés l’un à l’autre. Nous commencions à avoir chaud. Pour être plus à l’aise nous étions au-dessus des couvertures. Nous bandions déjà Ben et moi. Nous nous caressions en nous embrassant. Je jetais parfois un coup d’œil vers le lit des filles, je voyais qu’elles se caressaient les seins en s’embrassant. De notre côté Ben et moi nous nous caressions le dos, les fesses, les tétons et nous arrivions à nous donner quelques sensations. Nos mains s’étaient alors dirigées vers nos membres dressés. Elles caressaient nos bourses et remontaient vers le gland. Puis j’avais pris le sexe de Ben à pleine main et j’entamais des mouvements masturbatoires le long de cette tige engorgée de sang. Ben de son côté avait entamé une masturbation plus voluptueuse de mon sexe. Je ne regardais plus vers le lit des filles, seul le bien procuré à mon amour comptait. Je m’appliquais à lui procurer bien des sensations en alternant la pression ainsi que le rythme des va et vient. Ben lui aussi de son côté avait affiné sa technique et s’attardait depuis quelques minutes au niveau du frein. Nous commencions à émettre des râles de bonheur, c’était d’ailleurs la même chose du côté de nos amies. Nous nous embrassions de temps à autre et nous étions concentrés sur le plaisir procuré à l’être aimé. Nous commencions à arriver à un point très subtil, proche du point de non-retour, nous avions d’un commun accord suspendu quelques minutes nos masturbations que nous reprenions pour aller jusqu’au point limite une nouvelle fois. Nous ralentissions encore une fois nos caresses masturbatoires. Puis ne pouvant plus attendre, nous avions entrepris chacun la masturbation sensuelle du sexe de l’être aimé pour finalement arriver au bord de l’orgasme. Nos corps s’étaient raidis, nos râles étaient plus prononcés, nous nous étions cambrés et sous l’effet du bien-être qui montait, montait en nous nous avions éjaculé pratiquement en même temps, Ben laissant partir cinq jets de sperme sur son torse et moi aussi cinq jets qui s’étaient étalés sur mes abdos et un sur la figure.
Ben m’avait alors embrassé en léchant au passage le sperme qui était sur ma figure.
Une fois remis de nos émotions, nous étions restés couché côte à côte. J’avais tourné la tête vers le lit des filles, elles étaient elles aussi couchées. C’est Isabelle qui avait pris la parole :
Isa : « Alors là les mecs, vous savez vous procurer du plaisir, je n’avais jamais vu ça, merci à vous !
Mar : Oh oui Phil, quand deux garçons se branlent, c’est assez particulier et on voit que vous savez vous y prendre.
Moi : Merci les filles. Je dois vous avouer que je n’ai pas trop regardé de votre côté !
Mar : Oui, je m’en étais rendue compte.»
Ben : Je dois dire que c’est la première fois que j’ai vu deux filles se donner du plaisir, c’est pas mal non plus. Je n’ai pas raté grand-chose, du moins je le pense.
Isa : Je dois dire que je ne regrette pas cette situation, c’est même assez excitant !
Moi : Bon, c’est vrai que ça met un peu de piment. Je ferai plus attention la prochaine fois, si prochaine fois il y a ! »
Nous avions alors tous éclaté de rire. Nous étions allés reprendre une douche, couple après couple. Je ne regrettais pas cette expérience. J’avais demandé à Ben et lui aussi avait trouvé ça assez excitant. Il avait ajouté qu’il préférait quand même voir le sexe entre garçons !
Après une bonne nuit, nous nous étions levés. Petite douche et habillage pour la journée. Nous avions été retrouvés les parents de Marie pour prendre ensemble le petit-déjeuner. Nous avions mangé de bon appétit et prendre ainsi des forces pour aller voir le défilé du carnaval.
Nous étions partis nous installer près du pont Rialto. Avant cela nous avions fait un passage pas loin du pont des soupirs. Nous pouvions voir le pont des soupirs dont on dit qu’il était le passage des prisonniers qui allaient être présentés aux juges et qui pouvaient voir une dernière fois Venise et le soleil, par les petites fenêtres avant d’être condamnés. C’était pour eux la dernière image de « liberté » avant des années.
Dans les rues et ruelles nous avions croisés nombre de personnes en costume noir et porteuses d’un masque blanc. Certains masques étaient plus colorés. Les dames avaient des robes chatoyantes et des masques multicolores. C’était grandiose. Nous étions arrivés près du pont. Nous avions une belle place pour bien voir le passage des barques et ainsi je pouvais faire de très belles photos.
La première barque était celle du Lion Ailé, blanc et or. C’était majestueux. Les autres barques débordaient de personnages hauts en couleurs, c’était féérique. Je ne savais plus par où poser mon regard, j’oubliais parfois de prendre l’un ou l’autre cliché. J’avais, tout comme les autres, des étoiles dans les yeux. Henriette était elle aussi émerveillée par le spectacle, mais aussi de nous voir si heureux en compagnie de Marie, sa fille ! C’était un grand moment de bonheur entre quatre amis, unis, semble-t-il pour la vie. Puis Ben m’avait pris par la main, j’étais comblé, mon amour me prenait par la main, j’en avais les larmes aux yeux, surtout dans un décor comme celui que j’avais sous les yeux. J’avais attiré Ben vers moi et je l’avais embrassé. Peu importe le monde autour de nous, c’était mon alter ego, mon amour, j’espère pour la Vie, avec un grand « V ». Le reste du défilé était bien entendu au-delà de ce que j’avais pu imaginer. C’était d’une splendeur, d’une élégance incroyable, j’étais subjugué par tant de belles choses.
A l’issue du ce spectacle grandiose nous étions allés nous promener sur la Place Saint Marc. Il y avait de pigeons partout.
Sur la place Saint-Marc le spectacle était lui aussi au rendez-vous. Même dans les airs il y avait des personnages qui virevoltaient. Il y avait de la couleur partout, il y avait des rires et des applaudissements. Oh que nous étions contents et heureux d’être présent pour regarder ces myriades de choses plus belles les unes que les autres ! Nous avions toujours des étoiles dans les yeux. C’était majestueux !
Venise était une très belle ville mais, malheureusement, sujette à la montée des eaux qui commençait de plus en plus à détériorer les bâtiments.
Le repas du soir avait été pris non loin du grand canal. Nous avions mangé une excellente pizza. Nous étions encore tous sous l’influence de cette très belle cavalcade aquatique. J’avais quant à moi énormément d’images dans la tête. J’étais certains que les autres eux aussi étaient encore sous le charme. J’étais vraiment content d’avoir pris mon appareil photo en vue de garder des souvenirs.
Nous avions ensuite une nouvelle fois arpenté les rues et ruelles de cette belle cité lacustre. Le spectacle de cette ville la nuit en valait lui aussi bien le détour. C’était une nouvelle fois féérique. Nous étions tous comme sur un nuage, heureux d’être là, ensemble, quatre jeunes que le destin avait réunis au gré de bons et des mauvais moments de notre simple vie d’ados face à notre devenir en construction. J’avais le sentiment que nous serions à tout jamais unis.
Oui nous étions faits pour nous rencontrer, pour nous soutenir, pour nous aimer ! Quel pied de nez fait à nos détracteurs de tous poils, à tous ces homophobes qui voulaient nous séparer. Ici c’était la ville de l’amour, l’amour avec un grand « A » et c’est ici que nous avions tacitement fait pacte d’amitié et d’amour.
Puis il était temps de retourner à l’hôtel pour y passer la nuit. Une fois arrivés dans le hall de ce bel hôtel, j’avais été trouvé Henriette et René pour leur dire bonsoir. J’en avais profité pour les remercier pour ce séjour majestueux à Venise. René et Henriette m’avaient pris dans leurs bras pour me faire un gros câlin. Ben et les deux filles m’avaient suivi pour étreindre les deux parents.
Nous étions donc dans notre grande chambre, chambre de quatre avec deux grands lits, et nous quatre, unis deux à deux, même sexe avec même sexe. Marie m’avait dit, lors de notre arrivée et à la suite du problème de chambres, qu’elle savait ce qu’il fallait dire pour que tout ce passe bien. Nous nous étions donc assis sur les deux lits, nous regardant. Marie avait pris la parole :
Mar : « Bon, Phil tu te souviens de l’après-midi où tu as pris en défaut Roland qui m’espionnait. Tu te souviens de ce que nous avions vécu avant ton action envers Roland.
Moi : Oui Marie, je vois où tu veux en venir. Je n’en ai parlé à personne, tu peux me croire !»
Mar : Mais je te crois Phil, je sais que je peux compter sur toi pour ta discrétion et gentillesse. Je suppose que tu vois où je veux en venir concrètement.
Moi :« Oui Marie, je ne sais pas si Isabelle sait de quoi on va parler, mais je puis te dire que Ben n’est au courant de rien.
Ben : Phil, qu’est-ce qu’il y a, je ne te suis pas.
Isa : Moi nous plus, je ne sais pas ce qui se passe, Marie tu m’as dit que ça allait s’arranger. Alors, dis-nous ce qui se passe et n’omet rien.
Moi : Ben, je laisse à Marie le soin de dire quoi, j’en assume ma responsabilité.
Mar : Bon, voilà, le jour où Phil est intervenu pour prendre Roland qui rôdait dans le jardin, nous avions passé le reste de l’après-midi à deux. Bref alors que j’étais dans ma chambre j’avais demandé à Phil de se montrer, tout bien tout honneur, de se montrer nu pour que je puisse voir son sexe. Par la suite je me suis montrée nue face à Phil pour qu’il puisse voir à quoi ressemblait le sexe d’une fille. Finalement de fil en aiguille nous nous sommes masturbés l’un devant l’autre. Je voulais voir un garçon éjaculer, en fait c’est la seule chose que je voulais voir en vrai.
Isa : Marie, mais je ne te reproche rien, c’était de la curiosité, c’était juste pour voir un garçon nu et voir son sexe et le voir éjaculer. Je puis te dire que j’ai déjà eu l’occasion de la voir aussi avec un cousin.
Ben : Phil, tu ne m’as rien dit, je suis sûr que tu l’avais juré à Marie et que tu as tenu ta promesse. Je ne t’en veux pas du tout.
Mar : Merci à vous. Donc si nous sommes en couples, Phil et Ben ensemble et bien sûr Isa et moi, n’ayons pas de complexe à nous voir nus et si nous batifolons en couple, que cela ne dérange pas l’autre couple. Il n’y a pas de paravent. Êtes-vous d’accord.
Isa : Marie, je vais faire l’effort, je crois que je ne vais pas en faire une maladie.
Ben : Marie, Isa et Phil, ce sera une première pour moi d’assister à une partie de jambes en l’air sur le lit à côté du notre, mais je vais m’y faire. J’ai déjà vu ma sœur nue, alors ça devrait aller.
Moi : Merci Marie, je ne t’en veux pas d’avoir tout raconté, Ben est au courant et cela ne change rien à l’amour que j’ai pour lui."
Je m’étais penché vers mon ami Ben et je lui avais roulé un de ses patins d’enfer avec salade de langues. Les filles elles aussi s’embrassaient. Finalement après cette mise au point, j’avais ajouté que Marie et moi étions amis depuis l’école primaire pour ne pas dire la maternelle.
Nous nous étions tous les quatre déshabillés, sans complexe, les choses ayant été clairement fixées entre nous.
Nous nous étions tous retrouvés dans la salle de bain. Les filles avaient fait couler un bain, il faut dire que la baignoire était assez grande avec des jets. Nous les garçons nous avions investi la douche. Nous nous amusions avec les pommeaux de douche, ouvrant ou fermant l’eau. Puis à un moment alors que nous nous embrassions, j’avais senti quelque chose de chaud qui inondait mes parties génitales, j’avais jeté un coup d’œil et je pouvais voir que c’était Ben qui me pissait dessus, oh le dégelasse ! Nous étions dans la douche pour nous laver, alors je m’étais moi aussi laissé aller en lui rendant la monnaie de sa pièce ! J’inondais à mon tour son sexe et ses bijoux de famille. Nous étions partis dans une grande rigolade. Les filles se demandaient ce qui se passait. C’est Ben qui leur avait expliqué le pourquoi de notre hilarité. Elles s’étaient elles aussi mises à rire. Nous nous étions quand même lavés, après avoir fait couler l’eau ; c’était normalement le but quand on prend une douche.
Une fois séchés nous nous étions mis au lit. Marie et Isabelle s’embrassaient, Ben s’était rapproché de moi et commençait à m’embrasser. Nous nous étions embrassés avec volupté, nos langues dansaient entre elles et nos corps étaient collés l’un à l’autre. Nous commencions à avoir chaud. Pour être plus à l’aise nous étions au-dessus des couvertures. Nous bandions déjà Ben et moi. Nous nous caressions en nous embrassant. Je jetais parfois un coup d’œil vers le lit des filles, je voyais qu’elles se caressaient les seins en s’embrassant. De notre côté Ben et moi nous nous caressions le dos, les fesses, les tétons et nous arrivions à nous donner quelques sensations. Nos mains s’étaient alors dirigées vers nos membres dressés. Elles caressaient nos bourses et remontaient vers le gland. Puis j’avais pris le sexe de Ben à pleine main et j’entamais des mouvements masturbatoires le long de cette tige engorgée de sang. Ben de son côté avait entamé une masturbation plus voluptueuse de mon sexe. Je ne regardais plus vers le lit des filles, seul le bien procuré à mon amour comptait. Je m’appliquais à lui procurer bien des sensations en alternant la pression ainsi que le rythme des va et vient. Ben lui aussi de son côté avait affiné sa technique et s’attardait depuis quelques minutes au niveau du frein. Nous commencions à émettre des râles de bonheur, c’était d’ailleurs la même chose du côté de nos amies. Nous nous embrassions de temps à autre et nous étions concentrés sur le plaisir procuré à l’être aimé. Nous commencions à arriver à un point très subtil, proche du point de non-retour, nous avions d’un commun accord suspendu quelques minutes nos masturbations que nous reprenions pour aller jusqu’au point limite une nouvelle fois. Nous ralentissions encore une fois nos caresses masturbatoires. Puis ne pouvant plus attendre, nous avions entrepris chacun la masturbation sensuelle du sexe de l’être aimé pour finalement arriver au bord de l’orgasme. Nos corps s’étaient raidis, nos râles étaient plus prononcés, nous nous étions cambrés et sous l’effet du bien-être qui montait, montait en nous nous avions éjaculé pratiquement en même temps, Ben laissant partir cinq jets de sperme sur son torse et moi aussi cinq jets qui s’étaient étalés sur mes abdos et un sur la figure.
Ben m’avait alors embrassé en léchant au passage le sperme qui était sur ma figure.
Une fois remis de nos émotions, nous étions restés couché côte à côte. J’avais tourné la tête vers le lit des filles, elles étaient elles aussi couchées. C’est Isabelle qui avait pris la parole :
Isa : « Alors là les mecs, vous savez vous procurer du plaisir, je n’avais jamais vu ça, merci à vous !
Mar : Oh oui Phil, quand deux garçons se branlent, c’est assez particulier et on voit que vous savez vous y prendre.
Moi : Merci les filles. Je dois vous avouer que je n’ai pas trop regardé de votre côté !
Mar : Oui, je m’en étais rendue compte.»
Ben : Je dois dire que c’est la première fois que j’ai vu deux filles se donner du plaisir, c’est pas mal non plus. Je n’ai pas raté grand-chose, du moins je le pense.
Isa : Je dois dire que je ne regrette pas cette situation, c’est même assez excitant !
Moi : Bon, c’est vrai que ça met un peu de piment. Je ferai plus attention la prochaine fois, si prochaine fois il y a ! »
Nous avions alors tous éclaté de rire. Nous étions allés reprendre une douche, couple après couple. Je ne regrettais pas cette expérience. J’avais demandé à Ben et lui aussi avait trouvé ça assez excitant. Il avait ajouté qu’il préférait quand même voir le sexe entre garçons !
Après une bonne nuit, nous nous étions levés. Petite douche et habillage pour la journée. Nous avions été retrouvés les parents de Marie pour prendre ensemble le petit-déjeuner. Nous avions mangé de bon appétit et prendre ainsi des forces pour aller voir le défilé du carnaval.
Nous étions partis nous installer près du pont Rialto. Avant cela nous avions fait un passage pas loin du pont des soupirs. Nous pouvions voir le pont des soupirs dont on dit qu’il était le passage des prisonniers qui allaient être présentés aux juges et qui pouvaient voir une dernière fois Venise et le soleil, par les petites fenêtres avant d’être condamnés. C’était pour eux la dernière image de « liberté » avant des années.
Dans les rues et ruelles nous avions croisés nombre de personnes en costume noir et porteuses d’un masque blanc. Certains masques étaient plus colorés. Les dames avaient des robes chatoyantes et des masques multicolores. C’était grandiose. Nous étions arrivés près du pont. Nous avions une belle place pour bien voir le passage des barques et ainsi je pouvais faire de très belles photos.
La première barque était celle du Lion Ailé, blanc et or. C’était majestueux. Les autres barques débordaient de personnages hauts en couleurs, c’était féérique. Je ne savais plus par où poser mon regard, j’oubliais parfois de prendre l’un ou l’autre cliché. J’avais, tout comme les autres, des étoiles dans les yeux. Henriette était elle aussi émerveillée par le spectacle, mais aussi de nous voir si heureux en compagnie de Marie, sa fille ! C’était un grand moment de bonheur entre quatre amis, unis, semble-t-il pour la vie. Puis Ben m’avait pris par la main, j’étais comblé, mon amour me prenait par la main, j’en avais les larmes aux yeux, surtout dans un décor comme celui que j’avais sous les yeux. J’avais attiré Ben vers moi et je l’avais embrassé. Peu importe le monde autour de nous, c’était mon alter ego, mon amour, j’espère pour la Vie, avec un grand « V ». Le reste du défilé était bien entendu au-delà de ce que j’avais pu imaginer. C’était d’une splendeur, d’une élégance incroyable, j’étais subjugué par tant de belles choses.
A l’issue du ce spectacle grandiose nous étions allés nous promener sur la Place Saint Marc. Il y avait de pigeons partout.
Sur la place Saint-Marc le spectacle était lui aussi au rendez-vous. Même dans les airs il y avait des personnages qui virevoltaient. Il y avait de la couleur partout, il y avait des rires et des applaudissements. Oh que nous étions contents et heureux d’être présent pour regarder ces myriades de choses plus belles les unes que les autres ! Nous avions toujours des étoiles dans les yeux. C’était majestueux !
Venise était une très belle ville mais, malheureusement, sujette à la montée des eaux qui commençait de plus en plus à détériorer les bâtiments.
Le repas du soir avait été pris non loin du grand canal. Nous avions mangé une excellente pizza. Nous étions encore tous sous l’influence de cette très belle cavalcade aquatique. J’avais quant à moi énormément d’images dans la tête. J’étais certains que les autres eux aussi étaient encore sous le charme. J’étais vraiment content d’avoir pris mon appareil photo en vue de garder des souvenirs.
Nous avions ensuite une nouvelle fois arpenté les rues et ruelles de cette belle cité lacustre. Le spectacle de cette ville la nuit en valait lui aussi bien le détour. C’était une nouvelle fois féérique. Nous étions tous comme sur un nuage, heureux d’être là, ensemble, quatre jeunes que le destin avait réunis au gré de bons et des mauvais moments de notre simple vie d’ados face à notre devenir en construction. J’avais le sentiment que nous serions à tout jamais unis.
Oui nous étions faits pour nous rencontrer, pour nous soutenir, pour nous aimer ! Quel pied de nez fait à nos détracteurs de tous poils, à tous ces homophobes qui voulaient nous séparer. Ici c’était la ville de l’amour, l’amour avec un grand « A » et c’est ici que nous avions tacitement fait pacte d’amitié et d’amour.