21-03-2021, 11:45 AM
Son autre main glissa plus bas, trouvant directement mon clitoris. Je me mis à gémir. Enfin de l’action ! Après la frustration de la journée, autant dire que je n’avais aucun mal à m’allumer. Il s’arrêta hélas très vite, portant la main à la poche intérieur de son manteau, et en sorti un petit jouet formé par trois boules reliées les unes aux autres.
- Écarte les cuisses.
Je ne discutai pas ! J’obéis immédiatement et il glissa sans mal en moi le jouet. C’était agréable, mais je voulais plus. Pourtant il se remit en position, rattacha sa ceinture et repartit. Je grognai de frustration : je n’allais pas me contenter de ça. Alors que j’ouvrai la bouche pour me plaindre, il prit dans le vide-poche une sorte de petite télécommande et appuya sur un bouton. Cela me coupa la parole immédiatement. Les boules s’étaient mises à vibrer, m’arrachant un gémissement de plaisir. C’était doux, bon, intense.
- Alors, tu aimes ça ?
Je secouai la tête vivement pour acquiescer. Il sourit. Nous roulions toujours.
- C’est le niveau 3, il y en a 10. Nous serons à la maison dans 15 minutes, tu pourras attendre ?
- Oui !
Enfin un peu de jeu !
Ma meilleure amie et moi (découverte sensuelle hétéro)
CHAPITRE 13: Enfin!
Ces vibrations qui se propageaient entre mes hanches et étaient si agréables n’accentuaient pas mon plaisir, mais elles l’empêchaient de retomber. Damien conduisait, toujours prudemment, mais laissait glisser par moment la main entre mes cuisses en la faisant glisser par l’ouverture du manteau. Je ne fis plus du tout attention à la route. Le trajet me paru durer bien moins longtemps qu’à l’aller et il vint bientôt se garer tout près de notre immeuble.
- C’est bon, il faut descendre maintenant.
Je le regardais, peu sûre de moi.
- Tu ne pourrais pas d’abord arrêter ça ? Ça me déconcentre.
- À toi de bien te tenir, aller !
Il fit glisser la télécommande dans sa poche et sorti de la voiture. Je fis de même, plus lentement, et en faisant bien attention à mes gestes. Une fois debout l’oeuf glissa un peu plus profondément en moi, m’excitant différemment. Je fis une pause, une main sur la voiture, pour assurer mon équilibre. Damien vint me rejoindre, me donna le bras sur lequel je pris appuis, tout contre lui, et j’avançais. J’eus tout d’abord peur que les passants ne s’aperçoivent de ce qui m’arrivait, mais à leur regard attendri je compris bien vite qu’ils nous prenaient pour un couple d’amoureux restant serrés l’un contre l’autre. La porte de l’immeuble se referma enfin derrière nous. Damien se tourna vers moi.
- Et maintenant que nous sommes à la maison, retire ce manteau. Tu peux garder les chaussures pour le moment.
- Q-quoi ? Mais… n’importe qui peut passer ici !
- Ah oui, tu as raison.
Il sortit de sa poche le collier et la laisse. Il me les mit et reprit :
- Allons : une chienne avec des vêtements, tu ne trouves pas que c’est ridicule ?
Le désir qu brûlait dans ses yeux raviva le mien. Il me mettait au défi. Je retirai donc mon manteau et le lui remis, restant entièrement nue à l’exception du collier et des bottines. J’étais pressée de rentrer, mais il me fit avancer sans hâte vers l’ascenseur. Je regardais partout, crainte d’être surprise. Lui savourait bien le moment. Lorsque les portes de l’ascenseur se refermèrent, il vint caresser mon pubis des doigts, les laissant glisser lentement plus bas.
- On dirait bien que ma petite chienne a ses chaleurs.
J’allais répondre mais il appuya sur une touche de sa télécommande et les vibrations se firent plus fortes, provoquant une vague de plaisir et me forçant à m’appuyer contre le mur pour ne pas tomber. Il jubilait, attendant une réponse. Je réussi à balbutier une réponse.
- Oui…
- Oui quoi ?
- Je suis en chaleur.
Le seul fait de le dire m’excita un peu plus. Nous arrivâmes à la porte de l’appartement qu’il ouvrit et où je me précipitai. Enfin en sécurité ! Je retirai mes bottines et mes chaussettes qui me gênaient. Il arrêta les vibrations, me laissant enfin le temps de souffler, et pris le temps de se déshabiller… entièrement. Saisissant la laisse, il me guida vers sa chambre. Je le suivis très volontiers, impatiente de passer à la suite. Là il alla chercher dans sa commode une sorte de petite tige métallique dont il glissa l’extrémité en moi et tira, me libérant du jouet. Devant mon air interrogateur il m’expliqua rapidement le principe : ce genre de jouet est généralement doté d’une boucle ou d’une cordelette pour pouvoir le retirer aisément, mais son jouet était conçu pour être très dur à retirer tout seul : il serait amené à glisser plus profondément si on voulait le saisir. Mais cette baguette avait un bout aimanté et permettait de l’attraper, laissant Damien seul juge de quand j’avais le droit d’être libérée. Il passa les mains sur ma poitrine, puis sur mon ventre.
- Alors Louise, que dirais-tu de finir cette journée en beauté… mais comme une vraie chienne en chaleur ?
Suivant son regard qui se posait sur le lit, je ne me fis pas prier. Me positionnant à quatre pattes sur le rebord, comme la fois précédente, je me cambrai, impatiente. Il vint me chuchoter à l’oreille, sur le ton de la confidence :
- J’ai un fantasme que j’aimerais assouvir, est-ce que tu peux me suivre s’il te plaît ?251
- Écarte les cuisses.
Je ne discutai pas ! J’obéis immédiatement et il glissa sans mal en moi le jouet. C’était agréable, mais je voulais plus. Pourtant il se remit en position, rattacha sa ceinture et repartit. Je grognai de frustration : je n’allais pas me contenter de ça. Alors que j’ouvrai la bouche pour me plaindre, il prit dans le vide-poche une sorte de petite télécommande et appuya sur un bouton. Cela me coupa la parole immédiatement. Les boules s’étaient mises à vibrer, m’arrachant un gémissement de plaisir. C’était doux, bon, intense.
- Alors, tu aimes ça ?
Je secouai la tête vivement pour acquiescer. Il sourit. Nous roulions toujours.
- C’est le niveau 3, il y en a 10. Nous serons à la maison dans 15 minutes, tu pourras attendre ?
- Oui !
Enfin un peu de jeu !
Ma meilleure amie et moi (découverte sensuelle hétéro)
CHAPITRE 13: Enfin!
Ces vibrations qui se propageaient entre mes hanches et étaient si agréables n’accentuaient pas mon plaisir, mais elles l’empêchaient de retomber. Damien conduisait, toujours prudemment, mais laissait glisser par moment la main entre mes cuisses en la faisant glisser par l’ouverture du manteau. Je ne fis plus du tout attention à la route. Le trajet me paru durer bien moins longtemps qu’à l’aller et il vint bientôt se garer tout près de notre immeuble.
- C’est bon, il faut descendre maintenant.
Je le regardais, peu sûre de moi.
- Tu ne pourrais pas d’abord arrêter ça ? Ça me déconcentre.
- À toi de bien te tenir, aller !
Il fit glisser la télécommande dans sa poche et sorti de la voiture. Je fis de même, plus lentement, et en faisant bien attention à mes gestes. Une fois debout l’oeuf glissa un peu plus profondément en moi, m’excitant différemment. Je fis une pause, une main sur la voiture, pour assurer mon équilibre. Damien vint me rejoindre, me donna le bras sur lequel je pris appuis, tout contre lui, et j’avançais. J’eus tout d’abord peur que les passants ne s’aperçoivent de ce qui m’arrivait, mais à leur regard attendri je compris bien vite qu’ils nous prenaient pour un couple d’amoureux restant serrés l’un contre l’autre. La porte de l’immeuble se referma enfin derrière nous. Damien se tourna vers moi.
- Et maintenant que nous sommes à la maison, retire ce manteau. Tu peux garder les chaussures pour le moment.
- Q-quoi ? Mais… n’importe qui peut passer ici !
- Ah oui, tu as raison.
Il sortit de sa poche le collier et la laisse. Il me les mit et reprit :
- Allons : une chienne avec des vêtements, tu ne trouves pas que c’est ridicule ?
Le désir qu brûlait dans ses yeux raviva le mien. Il me mettait au défi. Je retirai donc mon manteau et le lui remis, restant entièrement nue à l’exception du collier et des bottines. J’étais pressée de rentrer, mais il me fit avancer sans hâte vers l’ascenseur. Je regardais partout, crainte d’être surprise. Lui savourait bien le moment. Lorsque les portes de l’ascenseur se refermèrent, il vint caresser mon pubis des doigts, les laissant glisser lentement plus bas.
- On dirait bien que ma petite chienne a ses chaleurs.
J’allais répondre mais il appuya sur une touche de sa télécommande et les vibrations se firent plus fortes, provoquant une vague de plaisir et me forçant à m’appuyer contre le mur pour ne pas tomber. Il jubilait, attendant une réponse. Je réussi à balbutier une réponse.
- Oui…
- Oui quoi ?
- Je suis en chaleur.
Le seul fait de le dire m’excita un peu plus. Nous arrivâmes à la porte de l’appartement qu’il ouvrit et où je me précipitai. Enfin en sécurité ! Je retirai mes bottines et mes chaussettes qui me gênaient. Il arrêta les vibrations, me laissant enfin le temps de souffler, et pris le temps de se déshabiller… entièrement. Saisissant la laisse, il me guida vers sa chambre. Je le suivis très volontiers, impatiente de passer à la suite. Là il alla chercher dans sa commode une sorte de petite tige métallique dont il glissa l’extrémité en moi et tira, me libérant du jouet. Devant mon air interrogateur il m’expliqua rapidement le principe : ce genre de jouet est généralement doté d’une boucle ou d’une cordelette pour pouvoir le retirer aisément, mais son jouet était conçu pour être très dur à retirer tout seul : il serait amené à glisser plus profondément si on voulait le saisir. Mais cette baguette avait un bout aimanté et permettait de l’attraper, laissant Damien seul juge de quand j’avais le droit d’être libérée. Il passa les mains sur ma poitrine, puis sur mon ventre.
- Alors Louise, que dirais-tu de finir cette journée en beauté… mais comme une vraie chienne en chaleur ?
Suivant son regard qui se posait sur le lit, je ne me fis pas prier. Me positionnant à quatre pattes sur le rebord, comme la fois précédente, je me cambrai, impatiente. Il vint me chuchoter à l’oreille, sur le ton de la confidence :
- J’ai un fantasme que j’aimerais assouvir, est-ce que tu peux me suivre s’il te plaît ?251