19-03-2021, 10:00 PM
Bonne remarque de Lange2[sup]7[/sup] par rapport au terme "vidéo".
Dans le passé, au niveau du cinéma professionnel, il y a eu le 35 mm qui utilisait le même format de pellicule que les diapositives : une pellicule de 35 mm de large avec des perforations des 2 cotés. Simplement, pour une diapositive, le coté le plus long de l'image était parallèle aux perforations, ce qui donnait des diapositives de 36 x 24 mm de coté (rapport de dimension 3/2, alors que pour le cinéma, c'était le coté le moins large de l'image qui était parallèle aux perforations, avec des images de 24 x 18 mm de coté (rapport de dimension 4/3).
Beaucoup plus courant, mais encore utilisé par des professionnels, il y avait le format 16 mm (toujours la largeur de la pellicule qui était elle aussi perforée des 2 cotés.
Dans les années 60, pour le cinéma d'amateur, de petites bobines de 16 mm étaient vendues pour des caméras double 8. On filmait jusque vers la fin de la bobine, puis on intervertissait les 2 bobines de la caméra pour refilmer jusqu'à de que toute la pellicule soit revenue dans la bobine d'origine. Il y avait 2 séquences sur la largeur du film et le labo après développement découpait le film en 2 parties en son milieu ce qui donnait un film de 8 mm de large, 2 fois plus long avec des perforations d'un seul coté. Par rapport au 16 mm, les images étaient 2 fois plus petites en largeur comme en hauteur, ce qui donnait 4 fois plus de durée de film pour la même quantité de pellicule, mais avec une qualité moindre par rapport au 16 mm.
Dans les années 70, il y a effectivement eu le super 8, basées sur un film de 8 mm de large avec des perforation que d'un coté plus étroites que sur le double 8 et le 16 mm. Ça permettait donc des images un peu plus larges et comme le rapport de dimension était le même (4/3), elles étaient aussi plus hautes, ce qui a fait qu'à coût égal pour la pellicule, les utilisateurs de super 8 pouvaient filmer un peu moins longtemps qu'en double 8. A mon avis, le super 8 a juste été un produit marketing pour que le cinéastes en double 8 renouvellent leur matériel.
Sinon, entre le 8 et le 16 mm, il y a eu aussi le 9,5 mm dans lequel les perforations étaient au milieu entre 2 images. Assez peu utilisé, il y avait quand même à Albi (près de Toulouse) un club de cinéastes amateurs qui utilisait pas mal ce format, mais c'était à peu près les seuls dans le sud ouest de la France.
Dans le passé, au niveau du cinéma professionnel, il y a eu le 35 mm qui utilisait le même format de pellicule que les diapositives : une pellicule de 35 mm de large avec des perforations des 2 cotés. Simplement, pour une diapositive, le coté le plus long de l'image était parallèle aux perforations, ce qui donnait des diapositives de 36 x 24 mm de coté (rapport de dimension 3/2, alors que pour le cinéma, c'était le coté le moins large de l'image qui était parallèle aux perforations, avec des images de 24 x 18 mm de coté (rapport de dimension 4/3).
Beaucoup plus courant, mais encore utilisé par des professionnels, il y avait le format 16 mm (toujours la largeur de la pellicule qui était elle aussi perforée des 2 cotés.
Dans les années 60, pour le cinéma d'amateur, de petites bobines de 16 mm étaient vendues pour des caméras double 8. On filmait jusque vers la fin de la bobine, puis on intervertissait les 2 bobines de la caméra pour refilmer jusqu'à de que toute la pellicule soit revenue dans la bobine d'origine. Il y avait 2 séquences sur la largeur du film et le labo après développement découpait le film en 2 parties en son milieu ce qui donnait un film de 8 mm de large, 2 fois plus long avec des perforations d'un seul coté. Par rapport au 16 mm, les images étaient 2 fois plus petites en largeur comme en hauteur, ce qui donnait 4 fois plus de durée de film pour la même quantité de pellicule, mais avec une qualité moindre par rapport au 16 mm.
Dans les années 70, il y a effectivement eu le super 8, basées sur un film de 8 mm de large avec des perforation que d'un coté plus étroites que sur le double 8 et le 16 mm. Ça permettait donc des images un peu plus larges et comme le rapport de dimension était le même (4/3), elles étaient aussi plus hautes, ce qui a fait qu'à coût égal pour la pellicule, les utilisateurs de super 8 pouvaient filmer un peu moins longtemps qu'en double 8. A mon avis, le super 8 a juste été un produit marketing pour que le cinéastes en double 8 renouvellent leur matériel.
Sinon, entre le 8 et le 16 mm, il y a eu aussi le 9,5 mm dans lequel les perforations étaient au milieu entre 2 images. Assez peu utilisé, il y avait quand même à Albi (près de Toulouse) un club de cinéastes amateurs qui utilisait pas mal ce format, mais c'était à peu près les seuls dans le sud ouest de la France.