19-03-2021, 11:56 AM
Voici une nouvelle suite...
Nous étions en classe terminale, les épreuves du bac étaient derrière nous et devant nous, après les vacances, c'était l'incertitude de ce qui nous attendait. Mais, pour l'instant, il y avait la perspective inéluctable de la séparation, de la dispersion aux quatre coins de la France et même du monde pour certains : chacun avait choisi sa voie universitaire en fonction de ses goûts, de ses aptitudes, des exigences familiales et de la tradition. Cela faisait deux ans que nous avions formé un groupe soudé aussi bien pour s'entraider scolairement que pour profiter au mieux de toutes les possibilités à disposition de notre jeunesse et de nos envies. Question envies, la palette était grande : parmi la quinzaine de garçons,
- il y en avait un qui était très sérieux et qui prenait au pied de la lettre la volonté d'arriver vierge à son mariage, avec une fille bien entendu ; mais lors de nos sorties il lui arrivait régulièrement de tenir des propos très salaces, tant sur les filles que les garçons, de sorte que nous ne savions pas très bien de quel bord il était. Pour ma part, je ne l'avais jamais vu nu malgré plusieurs tentatives infructueuses !
- Trois ou quatre de mes compagnons étaient des coureurs insatiables de jupons et ils n'arrêtaient pas de nous abreuver de leurs exploits qui nous laissaient un peu dubitatifs sur la réalité de leurs prestations, sauf un que je n'aurais jamais soupçonné mais que j'avais surpris en montant dans sa chambre avec son pénis enfoncé dans la chatte d'une fille qui était en plein orgasme.
- Deux camarades n'étaient manifestement pas intéressés par les choses du sexe, tout au moins du sexe tel que nous le concevions mes amis et moi. Ils venaient séparément à nos soirées mais ne participaient pas vraiment sinon, parfois, pour donner un conseil ou émettre une suggestion très à propos, par exemple sur telles ou telles positions acrobatiques.
- Enfin, les autres, c'étaient mes meilleurs amis, même si j'appréciais tout le monde : ils étaient ouvertement gays, dans le cadre de notre groupe, il ne faut pas exagérer quand même ! Aucun n'était en couple, ils aimaient butiner, ils ne s'en privaient pas et n'étaient pas le moins du monde sectaires : leurs préférences allaient plutôt aux jeunes de leur âge mais deux d'entre eux de dédaignaient pas des partenaires plus âgés affirmant qu'un homme de soixante ans n'a évidemment plus les mêmes facilités mais que par contre il compense par une grande expérience des zones érogènes et de la manière de les stimuler : l'un de ces hommes possédait, selon notre ami, une véritable science pour repousser la jouissance de leurs jeunes partenaires jusqu'à ce que ceux-ci crient grâce : c'est alors, parait-il, un orgasme monstrueux qui s'abat sur eux et une éjaculation débordante et répétitive. Je me suis toujours promis d'assister une fois à leurs prestations et même éventuellement d'y participer…
Mais je dois admettre que depuis quelque temps, j'avais un peu pris mes distances car je trouvais que la mentalité et les intérêts de mes camarades avaient changé, leurs études n'avaient plus la priorité absolue, que les fêtes et le sexe avaient trop pris le dessus. J'aime bien m'amuser, j'aime le sexe avec des garçons pour lesquels je ressens une attirance qui ne soit pas que sexuelle et avec qui il soit possible d'avoir des conversations intéressantes. Ce type de garçons n'est peut-être pas très courant mais il se trouve que j'en connaissais deux avec qui, indépendamment l'un de l'autre, je m'entendais très bien et j'avais vraiment du plaisir à les fréquenter ; bien sûr que le sexe jouait son rôle mais ce n'était pas notre préoccupation majeure, c'était un bonus en plus.
Mais je ne voulais pas non plus rompre avec mes amis, nous avions trop de souvenirs communs et certains d'entre eux étaient même charmants, mais plus à titre individuel que lorsque nous étions tous ensemble. Nous avions décidé d'organiser une fête, pendant plusieurs jours dans notre maison familiale en Normandie car j'étais le seul à disposer d'une maison pouvant accueillir tout notre groupe. J'avais tenté de faire valoir des objections qui ne tenaient pas vraiment la route de sorte que, finalement, je n'avais pas pu faire autrement que de promettre d'en parler avec mes parents, leur accord étant bien sûr indispensable ; secrètement j'avais espéré qu'ils refuseraient mais ils trouvèrent que c'était une très bonne manière de terminer notre scolarité. Ils y avaient mis toutefois une condition, non discutable, mon grand frère François, vingt-deux ans, devrait être présent pour nous chapeauter. Cette exigence n'était pas sans m'inquiéter car j'avais compris en discutant avec notre groupe qu'ils étaient tous prêts pour un séjour très érotique et même franchement sexuel : or je ne savais pas quelle serait la réaction de mon frère vu que c'était un sujet qu'il n'abordait jamais.
Je m'entends très bien avec François, je peux pratiquement lui dire tout ce qui me passe par la tête et plus d'une fois il a intercédé en ma faveur auprès des parents lorsque j'avais fait des bêtises. Il faisait des études assez brillantes en médecine, c'était un beau garçon et je sais qu'il a passablement de succès auprès des filles qui tournent autour de lui ; une fois, l'année de son bac il m'avait même demandé de lui servir d'alibi pour je ne sais plus quelle raison, c'est dire que nous avons entière confiance l'un envers l'autre. Curieusement, je ne me souviens pas de l'avoir jamais vu ramener une fille à la maison et lorsque je lui en avais fait la remarque, il s'était contenté d'une réponse évasive. Mais cette fois, c'est bien différent puisqu'il s'agit d'un séjour de plusieurs jours qui promet des moments que je prévois très coquins et avec des garçons dont certains ne tiennent pas à afficher leurs attirances particulières, d'autant qu'en général leurs parents ne sont pas au courant. Et quelle va être la morale de ces journées ou plutôt de ces nuits ? Les gays et les hétéros resteront ils entre eux ou auront-ils envie de se mélanger et de tenter des expériences et des sensations nouvelles ? Il y aura certainement des échanges discrets dans les chambres mais je me doute qu'il y en aura également et même surtout, dans les pièces communes afin que tout le monde puisse profiter de ces moments où éclate toute la puissance de nos jeunes corps. Et là, je ne sais vraiment pas quelle sera l'attitude de François, s'il acceptera ces exhibitions, s'il les couvrira ou si, on ne peut rien exclure, il participera à nos ébats.
Je décidais de m'en ouvrir très franchement à lui, expliquant dans les grandes lignes mais quand même avec suffisamment de détails ce qui était envisagé ; je relevais le fait qu'il y aurait des timides, des hétéros, des gays et même, on ne sait jamais certains qui se révéleraient être bi. François m'écouta très attentivement sans jamais m'interrompre, parfois il esquissa un petit sourire et à une ou deux reprises, il me sembla que ça l'amusait. Je luis fis également part de mes réticences mais il ne sembla pas y attacher une importance spéciale. Notre discussion avait lieu comme d'habitude le soir, nous étions tous les deux en pyjama et je surveillais discrètement son entre-jambe pour voir si mes descriptions lui faisaient de l'effet mais je n'observais aucune réaction.
- Tu sais, Antoine, me dit-il, je ne suis pas tombé de la dernière pluie et je sais très bien qu'avec tes amis, en tous cas certains d'entre eux, vous avez des relations assez spéciales, c'est ton problème et je ne m'en mêle pas, sois simplement prudent. Vous aviez il y a quelques jours une réunion préparatoire dans ta chambre, je te conseille à l'avenir de veiller à ce que ta porte soit bien fermée car si les parents avaient entendu ne serait-ce que la moitié ce que vous projetiez, je suis certain que vous auriez pu renoncer à tous vos projets. Mais rassure-toi, j'ai discrètement fermé ta porte et je te remercie de m'avoir exposé vos idées. Au moins je ne serai pas surpris, je pourrai me préparer à vos orgies !
Et ne t'inquiète pas, je ne jouerai pas les troubles fêtes mais j'ai dû promettre aux parents que je serai là en permanence pour éviter tout abus. Je me contenterai de veiller à ce que vous ne provoquiez aucun dégâts, à ce que vous fassiez un usage raisonnable de l'alcool et qu'il n'y ait aucune consommation de drogues, de quelque sorte que ce soit : sur ce point je serai impitoyable. Et puisque j'ai promis d'être là avec vous, je me réserve la possibilité d'entrouvrir un œil de temps à autre pour juger si la nouvelle génération est très différente de la nôtre. Donc Antoine, je ne vous briderai pas, mais toi, tu es mon frère, j'aurai malgré tout, discrètement, un œil sur toi.
J'étais rassuré, je l'embrassais avec un plaisir tout particulier et je lui glissais
- Tu sais, François, je suis heureux que tu aies compris où vont mes préférences et je pourrais t'en parler dans l'avenir plus ouvertement car, souvent, je me pose beaucoup de questions. Tu es toujours de bon conseil. Je t'aime tant François.
Ce n'est pas tous les jours que je faisais ce genre de déclaration et je vis que ses yeux étaient humides.
Il nous restait encore deux nuits à vivre dans cette maison très agréable et où nous avions vécu de très bons moments tous ensemble même si, au cours des soirées il arrivait que certains se retirent pour des périodes plus ou moins longues pendant lesquelles il arrivait que nous percevions des gémissements et, plus rarement, des cris à une ou plusieurs voix. On faisait silence pour profiter de leurs plaisirs, les entre-jambes grossissaient parfois où des mains coquines s'aventuraient et parfois se perdaient. Globalement, nous avions été sages et François n'avait jamais eu à se plaindre, et moi qui le connaît évidemment bien j'avais presque eu l'impression qu'il était, comment dire, un peu déçu, mais déçu de quoi ? je me le demandais !
Tout le monde s'était afféré pour préparer cette longue soirée où nous avions tous prévu de nous éclater, les victuailles étaient appétissantes, les boissons étaient disposées en divers endroits, ne restait plus que la question de la tenue vestimentaire et là chacun avait une opinion différente : pour les uns il convenait d'être élégants, d'autres prônaient la simplicité, certains étaient pour le déguisement. Le débat s'éternisait lorsqu'à notre surprise, Cédric, notre camarade favorable à l'arrivée vierge au mariage fit une proposition qui nous sidéra
- C'est très simple : nous venons tous en slip, en boxer et éventuellement en caleçon de toile, façon grand-papa
Grand silence
Nous étions en classe terminale, les épreuves du bac étaient derrière nous et devant nous, après les vacances, c'était l'incertitude de ce qui nous attendait. Mais, pour l'instant, il y avait la perspective inéluctable de la séparation, de la dispersion aux quatre coins de la France et même du monde pour certains : chacun avait choisi sa voie universitaire en fonction de ses goûts, de ses aptitudes, des exigences familiales et de la tradition. Cela faisait deux ans que nous avions formé un groupe soudé aussi bien pour s'entraider scolairement que pour profiter au mieux de toutes les possibilités à disposition de notre jeunesse et de nos envies. Question envies, la palette était grande : parmi la quinzaine de garçons,
- il y en avait un qui était très sérieux et qui prenait au pied de la lettre la volonté d'arriver vierge à son mariage, avec une fille bien entendu ; mais lors de nos sorties il lui arrivait régulièrement de tenir des propos très salaces, tant sur les filles que les garçons, de sorte que nous ne savions pas très bien de quel bord il était. Pour ma part, je ne l'avais jamais vu nu malgré plusieurs tentatives infructueuses !
- Trois ou quatre de mes compagnons étaient des coureurs insatiables de jupons et ils n'arrêtaient pas de nous abreuver de leurs exploits qui nous laissaient un peu dubitatifs sur la réalité de leurs prestations, sauf un que je n'aurais jamais soupçonné mais que j'avais surpris en montant dans sa chambre avec son pénis enfoncé dans la chatte d'une fille qui était en plein orgasme.
- Deux camarades n'étaient manifestement pas intéressés par les choses du sexe, tout au moins du sexe tel que nous le concevions mes amis et moi. Ils venaient séparément à nos soirées mais ne participaient pas vraiment sinon, parfois, pour donner un conseil ou émettre une suggestion très à propos, par exemple sur telles ou telles positions acrobatiques.
- Enfin, les autres, c'étaient mes meilleurs amis, même si j'appréciais tout le monde : ils étaient ouvertement gays, dans le cadre de notre groupe, il ne faut pas exagérer quand même ! Aucun n'était en couple, ils aimaient butiner, ils ne s'en privaient pas et n'étaient pas le moins du monde sectaires : leurs préférences allaient plutôt aux jeunes de leur âge mais deux d'entre eux de dédaignaient pas des partenaires plus âgés affirmant qu'un homme de soixante ans n'a évidemment plus les mêmes facilités mais que par contre il compense par une grande expérience des zones érogènes et de la manière de les stimuler : l'un de ces hommes possédait, selon notre ami, une véritable science pour repousser la jouissance de leurs jeunes partenaires jusqu'à ce que ceux-ci crient grâce : c'est alors, parait-il, un orgasme monstrueux qui s'abat sur eux et une éjaculation débordante et répétitive. Je me suis toujours promis d'assister une fois à leurs prestations et même éventuellement d'y participer…
Mais je dois admettre que depuis quelque temps, j'avais un peu pris mes distances car je trouvais que la mentalité et les intérêts de mes camarades avaient changé, leurs études n'avaient plus la priorité absolue, que les fêtes et le sexe avaient trop pris le dessus. J'aime bien m'amuser, j'aime le sexe avec des garçons pour lesquels je ressens une attirance qui ne soit pas que sexuelle et avec qui il soit possible d'avoir des conversations intéressantes. Ce type de garçons n'est peut-être pas très courant mais il se trouve que j'en connaissais deux avec qui, indépendamment l'un de l'autre, je m'entendais très bien et j'avais vraiment du plaisir à les fréquenter ; bien sûr que le sexe jouait son rôle mais ce n'était pas notre préoccupation majeure, c'était un bonus en plus.
Mais je ne voulais pas non plus rompre avec mes amis, nous avions trop de souvenirs communs et certains d'entre eux étaient même charmants, mais plus à titre individuel que lorsque nous étions tous ensemble. Nous avions décidé d'organiser une fête, pendant plusieurs jours dans notre maison familiale en Normandie car j'étais le seul à disposer d'une maison pouvant accueillir tout notre groupe. J'avais tenté de faire valoir des objections qui ne tenaient pas vraiment la route de sorte que, finalement, je n'avais pas pu faire autrement que de promettre d'en parler avec mes parents, leur accord étant bien sûr indispensable ; secrètement j'avais espéré qu'ils refuseraient mais ils trouvèrent que c'était une très bonne manière de terminer notre scolarité. Ils y avaient mis toutefois une condition, non discutable, mon grand frère François, vingt-deux ans, devrait être présent pour nous chapeauter. Cette exigence n'était pas sans m'inquiéter car j'avais compris en discutant avec notre groupe qu'ils étaient tous prêts pour un séjour très érotique et même franchement sexuel : or je ne savais pas quelle serait la réaction de mon frère vu que c'était un sujet qu'il n'abordait jamais.
Je m'entends très bien avec François, je peux pratiquement lui dire tout ce qui me passe par la tête et plus d'une fois il a intercédé en ma faveur auprès des parents lorsque j'avais fait des bêtises. Il faisait des études assez brillantes en médecine, c'était un beau garçon et je sais qu'il a passablement de succès auprès des filles qui tournent autour de lui ; une fois, l'année de son bac il m'avait même demandé de lui servir d'alibi pour je ne sais plus quelle raison, c'est dire que nous avons entière confiance l'un envers l'autre. Curieusement, je ne me souviens pas de l'avoir jamais vu ramener une fille à la maison et lorsque je lui en avais fait la remarque, il s'était contenté d'une réponse évasive. Mais cette fois, c'est bien différent puisqu'il s'agit d'un séjour de plusieurs jours qui promet des moments que je prévois très coquins et avec des garçons dont certains ne tiennent pas à afficher leurs attirances particulières, d'autant qu'en général leurs parents ne sont pas au courant. Et quelle va être la morale de ces journées ou plutôt de ces nuits ? Les gays et les hétéros resteront ils entre eux ou auront-ils envie de se mélanger et de tenter des expériences et des sensations nouvelles ? Il y aura certainement des échanges discrets dans les chambres mais je me doute qu'il y en aura également et même surtout, dans les pièces communes afin que tout le monde puisse profiter de ces moments où éclate toute la puissance de nos jeunes corps. Et là, je ne sais vraiment pas quelle sera l'attitude de François, s'il acceptera ces exhibitions, s'il les couvrira ou si, on ne peut rien exclure, il participera à nos ébats.
Je décidais de m'en ouvrir très franchement à lui, expliquant dans les grandes lignes mais quand même avec suffisamment de détails ce qui était envisagé ; je relevais le fait qu'il y aurait des timides, des hétéros, des gays et même, on ne sait jamais certains qui se révéleraient être bi. François m'écouta très attentivement sans jamais m'interrompre, parfois il esquissa un petit sourire et à une ou deux reprises, il me sembla que ça l'amusait. Je luis fis également part de mes réticences mais il ne sembla pas y attacher une importance spéciale. Notre discussion avait lieu comme d'habitude le soir, nous étions tous les deux en pyjama et je surveillais discrètement son entre-jambe pour voir si mes descriptions lui faisaient de l'effet mais je n'observais aucune réaction.
- Tu sais, Antoine, me dit-il, je ne suis pas tombé de la dernière pluie et je sais très bien qu'avec tes amis, en tous cas certains d'entre eux, vous avez des relations assez spéciales, c'est ton problème et je ne m'en mêle pas, sois simplement prudent. Vous aviez il y a quelques jours une réunion préparatoire dans ta chambre, je te conseille à l'avenir de veiller à ce que ta porte soit bien fermée car si les parents avaient entendu ne serait-ce que la moitié ce que vous projetiez, je suis certain que vous auriez pu renoncer à tous vos projets. Mais rassure-toi, j'ai discrètement fermé ta porte et je te remercie de m'avoir exposé vos idées. Au moins je ne serai pas surpris, je pourrai me préparer à vos orgies !
Et ne t'inquiète pas, je ne jouerai pas les troubles fêtes mais j'ai dû promettre aux parents que je serai là en permanence pour éviter tout abus. Je me contenterai de veiller à ce que vous ne provoquiez aucun dégâts, à ce que vous fassiez un usage raisonnable de l'alcool et qu'il n'y ait aucune consommation de drogues, de quelque sorte que ce soit : sur ce point je serai impitoyable. Et puisque j'ai promis d'être là avec vous, je me réserve la possibilité d'entrouvrir un œil de temps à autre pour juger si la nouvelle génération est très différente de la nôtre. Donc Antoine, je ne vous briderai pas, mais toi, tu es mon frère, j'aurai malgré tout, discrètement, un œil sur toi.
J'étais rassuré, je l'embrassais avec un plaisir tout particulier et je lui glissais
- Tu sais, François, je suis heureux que tu aies compris où vont mes préférences et je pourrais t'en parler dans l'avenir plus ouvertement car, souvent, je me pose beaucoup de questions. Tu es toujours de bon conseil. Je t'aime tant François.
Ce n'est pas tous les jours que je faisais ce genre de déclaration et je vis que ses yeux étaient humides.
Il nous restait encore deux nuits à vivre dans cette maison très agréable et où nous avions vécu de très bons moments tous ensemble même si, au cours des soirées il arrivait que certains se retirent pour des périodes plus ou moins longues pendant lesquelles il arrivait que nous percevions des gémissements et, plus rarement, des cris à une ou plusieurs voix. On faisait silence pour profiter de leurs plaisirs, les entre-jambes grossissaient parfois où des mains coquines s'aventuraient et parfois se perdaient. Globalement, nous avions été sages et François n'avait jamais eu à se plaindre, et moi qui le connaît évidemment bien j'avais presque eu l'impression qu'il était, comment dire, un peu déçu, mais déçu de quoi ? je me le demandais !
Tout le monde s'était afféré pour préparer cette longue soirée où nous avions tous prévu de nous éclater, les victuailles étaient appétissantes, les boissons étaient disposées en divers endroits, ne restait plus que la question de la tenue vestimentaire et là chacun avait une opinion différente : pour les uns il convenait d'être élégants, d'autres prônaient la simplicité, certains étaient pour le déguisement. Le débat s'éternisait lorsqu'à notre surprise, Cédric, notre camarade favorable à l'arrivée vierge au mariage fit une proposition qui nous sidéra
- C'est très simple : nous venons tous en slip, en boxer et éventuellement en caleçon de toile, façon grand-papa
Grand silence