16-03-2021, 12:24 PM
C’est en voulant nous mettre au lit que j’avais remarqué la présence d’un petit paquet posé entre les deux oreillers. Je l’avais ouvert devant Ben, il contenait des préservatifs et du lubrifiant. J’étais vraiment étonné et puis il y avait un petit bristol sur lequel il était écrit « Bonne nuit à vous deux. Je vous embrasse. Marie ». J’étais émerveillé par ce petit geste. Ben lui aussi n’en revenait pas, il me disait :
Ben : « Oh Phil, je savais que Marie était ta confidente, tu m’en avais déjà tellement parlé, mais là, je peux te dire que tu as une perle comme amie. J’en deviendrais jaloux, mais je sais qu’elle aime les filles alors je ne m’en fais pas du tout !
Moi : Merci Ben, tu ne peux pas savoir comme ça me fait chaud au cœur, Marie est une très bonne amie et elle est pleine de ressources, elle m’a aussi redonné le gout de vivre tout comme toi. Merci Ben, merci de m’aimer, ça me permet de voir la vie et l’avenir du bon côté. Ben, je veux t’aimer, je veux me donner à toi, faisons l’amour, maintenant !
Ben : Tu sais Phil j’y comptais, je veux aussi t’aimer, te donner le meilleur de moi. Tu sais que je t’aime !
Moi : Oh oui Ben, je sais que tu m’aime et moi aussi je t’aime. »
Nous nous étions rapprochés et nous nous étions embrassés avec fougue. J’aimais mon Ben, il était un rayon de soleil pour moi, c’était mon amour, ma moitié. Je crois, j’en suis sûr, Ben aussi m’aimait, j’étais certain d’être son amour, son amant !
Nous nous étions couchés sur le lit tout en nous embrassant. J’avais pris l’initiative, je mordillais le lobe des oreilles de Ben, je léchais ses pectoraux, je descendais en direction de son ventre. Mes mains caressaient ses cuisses, ma bouche descendait vers son bas ventre tout en continuant à lécher son venter et son nombril. Puis ma bouche était arrivée à hauteur de son phallus déjà bien dressé. Je léchais alors le gland et le frein. Ma langue montait et descendait le long cette belle colonne de chair. Puis ma bouche allait vers les deux valseuses, je les gobais alors avidement. Puis ma bouche était remontée vers cet attribut gorgé de sang, ma bouche engloutissait alors le vis dressé. Ben gémissait déjà, il était déjà en train de ressentir les bienfaits de ce début de fellation. Puis j’avais pris une capote que j’avais déroulée le long du membre dressé de mon ami. Ma rondelle était déjà en partie dilatée car je savais que j’allais offrir mon corps, ma grotte à mon amant. J’avais pris un peu de lubrifiant et j’avais enduit mon anus de ce liquide. Je m’étais alors placé de façon à offrir mon postérieur à Ben. Il se plaça de manière à positionner son sexe à l’entrée de mon anus. Je me donnais entièrement à mon ami Ben, à mon amant, à mon amour. Ben prenait alors possession de mon corps. Son membre me pénétra doucement, lentement, lascivement jusqu’à arriver à la garde. Ma prostate était un peu titillée par les mouvements débutant dans ma caverne. Ben alternait les mouvements lents et rapides. Je gémissais de plus en plus, Ben de son côté prenait lui aussi beaucoup de plaisir à me pilonner l’arrière-train. Nous étions heureux, nous vivions notre sexualité comme nous l’entendions. Je sentais que Ben arrivait au point de non-retour, il allait jouir dans les secondes qui suivaient, il se cabra et laissa partir six jets de sperme au fond du préservatif. Moi de mon côté je ressentais cette décharge salvatrice en gémissant de plus belle.
Nous nous étions ensuite couchés côte à côte, le temps de reprendre haleine. Mais Ben était déjà partant, il voulait lui aussi me faire l’amour. Il me caressait tout le corps, il me léchait le cou, descendait avec sa langue vers mon torse et mon ventre, ses mains se baladaient elles aussi, elles arrivaient à mes bijoux de famille. Puis Ben décalotta mon prépuce pour libérer le gland. Il commençait alors une fellation bien appuyée, allant du frein jusqu’à la base de la verge. Puis il avait pris le lubrifiant et me l’avait donné pour je prépare sa rondelle pendant qu’il me caressait la tige. Il m’enfila le préservatif ce qui voulait dire que je pouvais enfin faire irruption dans sa grotte. J’avais présenté mon sexe bandé à l’entrée de la chose tant convoitée, je pénétrais doucement, centimètres par centimètres son antre et puis par des mouvements lents au début je m’appropriais son anus. Je commençais à labourer le joli petit cul de mon Ben. Des gémissements commençaient à se faire entendre ; Ben était semble-t-il aux anges et savourait tout le plaisir que je lui prodiguais. Moi-même je sentais que ma sève allait venir, qu’elle allait se déverser au fond de cette capote. Puis j’avais accéléré le mouvement, j’y allais franchement et Ben gémissait de plus en plus. Je me suis alors cabré et je déversais six jets de semence dans le préservatif.
J’étais heureux, je me sentais fatigué amis heureux. Ben de son côté se remettait de mon assaut. Nous nous étions une nouvelle fois embrassés avec fougue. Ben me susurrait à l’oreille des « Je t’aime » et moi je lui répondais aussi par des « Je t’aime aussi ».
Je me demandais si nous n’avions pas trop fait de bruit lors de nos ébats, je n’avais pas envie d’avoir des reproches au petit-déjeuner !
Nous étions allés reprendre une bonne douche avant de nous mettre au lit pour la nuit.
Au matin, j’avais été réveillé par un bruit, quelqu’un frappait à la porte de la chambre. Benoît dormait encore. J’avais répondu « Oui, entrez ». C’était Marie qui ouvrait la porte. Elle m’avait dit qu’il était presque temps de se lever car nous allions prendre le petit déjeuner. Je lui avais dit que j’allais réveiller Ben et que nous serions prêts dans un quart d’heure. Marie avait alors refermé la porte de la chambre.
J’avais doucement réveillé mon ami Ben en lui caressant la joue et en lui faisant des petits bisous dans le cou. Une fois réveillé, Ben m’avait dit qu’il avait dormi comme une souche. Nous nous étions douchés et ensuite habillés pour rejoindre les autres dans la salle à manger. Ça sentait bon le café et le cacao de plus il y avait comme une bonne odeur de pain grillé et de viennoiseries.
La tablée n’attendait plus que nous. Nous avions alors dit bonjour à tout le monde en donnant une bise. Une fois assis à table, j’avais pris la parole :
Moi : « Je voudrais m’excuser pour le bruit hier soir. J’espère que cela ne vous a pas trop dérangé !
Hen : Non Phil, ne t’inquiète pas. Marie m’avait prévenue d’un petit cadeau laissé sur votre lit et je me doutais très bien que vous alliez vous en servir. Alors je t’assure que nous n’avons rein entendu ou si peu !
Ben : Merci Henriette, je sais que Phil s’en inquiétait déjà hier soir !
Hen : Mais vous êtes jeunes, alors vous devez en profiter !
Mar : Tu sais Phil, les chambres sont assez insonorisées alors ne t’en fait pas !
Moi : Merci, merci pour cette très belle intention qui nous a fait grand plaisir ! Je voudrais aussi vous remercier Henriette et René pour nous avoir si bien reçus. Je vais ajouter ceci, Marie et Isabelle, je crois que Ben sera d’accord avec moi, êtes vous d’accord d’être nos amies pour pouvoir nous épauler les uns les autres !
Pour toute réponse Marie s’était levée et était venue nous donner à Ben et moi-même une bise sur la joue, et avait ajouté :
Mar : Bien sur Phil, on sera vos amies Isabelle et moi. Ben c’est bien sur valable pour toi !
René : Phil et Ben, vous serez toujours les bienvenus à la maison. Vous êtes ici chez vous !
J’en avais les larmes aux yeux. Ben lui aussi était très ému. Il avait perdu l’usage de la parole, la seule chose qu’on pouvait voir, c’était deux larmes qui coulaient sur ses joues.
René : Allez les jeunes, mangeons. Nous ferons une photo de vous après le repas ! »
Nous avions tous mangé de bon appétit. Tout le monde avait le sourire aux lèvres. Il y avait des éclats de rires, des sourires, des mots tendres prononcés. Nous étions tous heureux, les parents de Marie étaient très, très, ouverts, ils étaient la bonté même. Je savais que René, mon sauveur, avait un cœur gros comme on ne peut l’imaginer !
A la fin de ce petit déjeuner, nous avions fait une photo à l’orée de la forêt. Nous étions à quatre, deux couples, deux garçons et deux filles. Puis René avait placé son appareil photo avec le retardateur et nous étions donc six, bras dessus, bras dessous pour la postérité !
Papa était venu nous reprendre. Benoît avait été déposé chez lui car la famille se réunissait pour fêter Noël.
Nous aussi à la maison nous attendions de la famille. Il y avait mes grands-parents ainsi que mon oncle Pierre. Papa m’avait aussi annoncé une surprise, mais que je n’en saurais rien.
J’avais retrouvé Anne et Jean, je les avais embrassés, j’étais heureux de les avoir comme famille avec maman et papa. J’avais encore en tête les mots de René, « Phil et Ben, vous serez toujours les bienvenus à la maison. Vous êtes ici chez vous ». Marie avait des parents extraordinaires.
J’avais donné un coup de main à maman et à Anne pour la touche finale de la table. J’avais aussi aidé papa pour apporter les bouteilles de vin et de champagne. J’avais aidé Jean au dressage de la table de l’apéritif.
Maman se demandait ce qui se passait, elle m’avait fait un signe de l’accompagner, je pensais que j’allais l’aider à quelque chose. Maman m’avait alors dit :
Mam : « Oh mon Philou, tu es si gentil, si avenant, je crois qu’il s’est passé quelque chose chez Marie pour que tu sois comme tu es maintenant.
Moi : Oh maman, les parents de Marie sont des gens extraordinaires, ils sont d’une gentillesse et d’un dévouement hors du commun. Puis ils avaient tout prévu, nous étions comme des VIP. Je ne sais comment te l’exprimer, nous avons formé un groupe de quatre jeunes et nous nous entons très bien.
Mam : Un groupe de quatre jeunes !
Moi : Oui, il y a bien sur Marie, Ben et moi et aussi Isabelle, c’est l’amie de Marie, enfin la petite amie de Marie !
Mam : Alors j’ai tout compris. Vous êtes deux « couples » et vous allez vous soutenir les uns les autres !
Moi : Oh maman, tu es géniale, oui c’est ça !»
Mam : Je suis très heureuse pour vous. Je vois que ça t’a donné l’envie d’être très ouvert aux autres membres de la famille et je t’en suis fort reconnaissante ! »
Maman m’avait pris dans ses bras. Elle m’avait susurré à l’oreille qu’elle m’aimait, tel que j’étais. Je pouvais dire que je nageais enfin dans le bonheur.
Une fois l’apéro terminé, nous étions passés à table pour manger le repas de Noël. Toute la famille était réunie autour de la table. J’avais envie que Benoît soit avec nous, mais il était dans sa famille. Bref les discussions allaient bon train. Papy et mamy étaient très contents d’être présents avec nous. L’oncle Pierre s’était un instant assis à côté de moi, il voulait savoir comment j’allais. Je lui disais que j’étais heureux et que mon ami Benoît me comblait, que j’avais une amie et confidente en la personne de Marie et que j’avais pu découvrir qu’elle avait une petite amie, elle aussi. Bref nous parlions de tout.
Après le fromage, nous nous étions tous mis au salon où nous avions regardé des photos et des vidéos de nos anciennes vacances. Mais à un moment, durant une trentaine de seconde nous avions pu voir Henri et moi qui nous amusions dans la piscine. Je n’avais pas pu supporter d’en voir plus, je m’étais levé les larmes aux yeux. Maman l’avais de suite remarqué et avait changé de vidéo. Mamy se demandait ce qui se passait, elle s’était aussi levée pour venir me retrouver dans la cuisine. Mamy me voyait dans les bras de maman en train de pleurer. Maman expliqua alors à Mamy que le garçon qui était apparu à la vidéo était décédé et qu’il avait passé huit jours de vacances avec nous en famille.
Contre toute attente mamy m’a aussi pris dans ses bras, puis elle m’avait dit dans le creux de l’oreille : « C’était ton petit ami ! ». J’avais répondu « Oui ». Comme seule réponse mamy m’avait fait un gros bisou sur le front. J’avais alors compris qu’elle savait et qu’elle était de tout cœur avec moi.
Nous avions rejoint le reste de la famille. Nous bavardions ensemble, Anne et Jean se chamaillaient un peu, juste pour la rigolade. Puis la sonnette de l’entrée avait retenti. Qui pouvait bien venir à cette heure ci.
C’est papa qui était allé ouvrir la porte. Puis quelques secondes plus tard, papa entra dans la pièce en disant :
Papa : « Voilà la surprise pour Phil ! »
Tout le monde regarda alors vers la porte du salon et je pouvais voir Benoît qui entrait. J’étais éberlué, je ne m’y attendais pas ! J’avais les larmes aux yeux. Puis c’était Marie et Isabelle qui suivaient. Mes larmes inondaient mes joues. J’étais pétrifié sur place, je ne savais que dire, je ne savais plus bouger.
Mam : Voilà Phil, je crois que ce sera le plus beau Noël. Comme cadeau, nous avons demandé à tes amis de venir fêter Noël avec nous.
Moi : Mais, je…merci ...euh…
Benoît s’est approché de moi et m’avait embrassé sur la bouche. Mamy avait les yeux qui pétillaient, elle avait été mise au courant par maman. Papy ne disait rien et les autres applaudissaient. Marie et Isabelle étaient venues me faire la bise.
Je n’en revenais pas, c’était effectivement un des plus beau Noël. J’avais ma famille et mes amis auprès de moi, j’avais Ben à mes côtés. Que demander de plus !
Papa avait pris la parole :
Papa : Voilà Phil, tu sais qu’on t’aime, tu sais qu’on ne veut que ton bonheur, alors nous avions préparé ceci pour toi. Ton ami Ben est là et aussi Marie, ta confidente et bien sur Isabelle, ta copine de classe et surtout l’amie de Marie. Je suis certain que vous allez rester unis pour la vie, c’est tout ce que je vous souhaite.
Mamy : Phil, vient près de moi avec Benoît. Vous êtes craquants tous les deux. Je suis heureuse pour vous deux. Je vous aime mes deux loulous.
Moi : Merci Mamy. Je t’aime tu sais.
Ben : Oh merci, je vais aussi dire Mamy ! »
Nous avions embrassé mamy de bon cœur. Papy qui était près de nous nous fit un clin d’œil. Puis il était lui aussi venu nous embrasser, il était heureux de nous voir heureux. Je ne savais pas que mes grands-parents étaient si ouverts que ça, ils n’étaient pas homophobes pour un sou !
Ben : « Oh Phil, je savais que Marie était ta confidente, tu m’en avais déjà tellement parlé, mais là, je peux te dire que tu as une perle comme amie. J’en deviendrais jaloux, mais je sais qu’elle aime les filles alors je ne m’en fais pas du tout !
Moi : Merci Ben, tu ne peux pas savoir comme ça me fait chaud au cœur, Marie est une très bonne amie et elle est pleine de ressources, elle m’a aussi redonné le gout de vivre tout comme toi. Merci Ben, merci de m’aimer, ça me permet de voir la vie et l’avenir du bon côté. Ben, je veux t’aimer, je veux me donner à toi, faisons l’amour, maintenant !
Ben : Tu sais Phil j’y comptais, je veux aussi t’aimer, te donner le meilleur de moi. Tu sais que je t’aime !
Moi : Oh oui Ben, je sais que tu m’aime et moi aussi je t’aime. »
Nous nous étions rapprochés et nous nous étions embrassés avec fougue. J’aimais mon Ben, il était un rayon de soleil pour moi, c’était mon amour, ma moitié. Je crois, j’en suis sûr, Ben aussi m’aimait, j’étais certain d’être son amour, son amant !
Nous nous étions couchés sur le lit tout en nous embrassant. J’avais pris l’initiative, je mordillais le lobe des oreilles de Ben, je léchais ses pectoraux, je descendais en direction de son ventre. Mes mains caressaient ses cuisses, ma bouche descendait vers son bas ventre tout en continuant à lécher son venter et son nombril. Puis ma bouche était arrivée à hauteur de son phallus déjà bien dressé. Je léchais alors le gland et le frein. Ma langue montait et descendait le long cette belle colonne de chair. Puis ma bouche allait vers les deux valseuses, je les gobais alors avidement. Puis ma bouche était remontée vers cet attribut gorgé de sang, ma bouche engloutissait alors le vis dressé. Ben gémissait déjà, il était déjà en train de ressentir les bienfaits de ce début de fellation. Puis j’avais pris une capote que j’avais déroulée le long du membre dressé de mon ami. Ma rondelle était déjà en partie dilatée car je savais que j’allais offrir mon corps, ma grotte à mon amant. J’avais pris un peu de lubrifiant et j’avais enduit mon anus de ce liquide. Je m’étais alors placé de façon à offrir mon postérieur à Ben. Il se plaça de manière à positionner son sexe à l’entrée de mon anus. Je me donnais entièrement à mon ami Ben, à mon amant, à mon amour. Ben prenait alors possession de mon corps. Son membre me pénétra doucement, lentement, lascivement jusqu’à arriver à la garde. Ma prostate était un peu titillée par les mouvements débutant dans ma caverne. Ben alternait les mouvements lents et rapides. Je gémissais de plus en plus, Ben de son côté prenait lui aussi beaucoup de plaisir à me pilonner l’arrière-train. Nous étions heureux, nous vivions notre sexualité comme nous l’entendions. Je sentais que Ben arrivait au point de non-retour, il allait jouir dans les secondes qui suivaient, il se cabra et laissa partir six jets de sperme au fond du préservatif. Moi de mon côté je ressentais cette décharge salvatrice en gémissant de plus belle.
Nous nous étions ensuite couchés côte à côte, le temps de reprendre haleine. Mais Ben était déjà partant, il voulait lui aussi me faire l’amour. Il me caressait tout le corps, il me léchait le cou, descendait avec sa langue vers mon torse et mon ventre, ses mains se baladaient elles aussi, elles arrivaient à mes bijoux de famille. Puis Ben décalotta mon prépuce pour libérer le gland. Il commençait alors une fellation bien appuyée, allant du frein jusqu’à la base de la verge. Puis il avait pris le lubrifiant et me l’avait donné pour je prépare sa rondelle pendant qu’il me caressait la tige. Il m’enfila le préservatif ce qui voulait dire que je pouvais enfin faire irruption dans sa grotte. J’avais présenté mon sexe bandé à l’entrée de la chose tant convoitée, je pénétrais doucement, centimètres par centimètres son antre et puis par des mouvements lents au début je m’appropriais son anus. Je commençais à labourer le joli petit cul de mon Ben. Des gémissements commençaient à se faire entendre ; Ben était semble-t-il aux anges et savourait tout le plaisir que je lui prodiguais. Moi-même je sentais que ma sève allait venir, qu’elle allait se déverser au fond de cette capote. Puis j’avais accéléré le mouvement, j’y allais franchement et Ben gémissait de plus en plus. Je me suis alors cabré et je déversais six jets de semence dans le préservatif.
J’étais heureux, je me sentais fatigué amis heureux. Ben de son côté se remettait de mon assaut. Nous nous étions une nouvelle fois embrassés avec fougue. Ben me susurrait à l’oreille des « Je t’aime » et moi je lui répondais aussi par des « Je t’aime aussi ».
Je me demandais si nous n’avions pas trop fait de bruit lors de nos ébats, je n’avais pas envie d’avoir des reproches au petit-déjeuner !
Nous étions allés reprendre une bonne douche avant de nous mettre au lit pour la nuit.
Au matin, j’avais été réveillé par un bruit, quelqu’un frappait à la porte de la chambre. Benoît dormait encore. J’avais répondu « Oui, entrez ». C’était Marie qui ouvrait la porte. Elle m’avait dit qu’il était presque temps de se lever car nous allions prendre le petit déjeuner. Je lui avais dit que j’allais réveiller Ben et que nous serions prêts dans un quart d’heure. Marie avait alors refermé la porte de la chambre.
J’avais doucement réveillé mon ami Ben en lui caressant la joue et en lui faisant des petits bisous dans le cou. Une fois réveillé, Ben m’avait dit qu’il avait dormi comme une souche. Nous nous étions douchés et ensuite habillés pour rejoindre les autres dans la salle à manger. Ça sentait bon le café et le cacao de plus il y avait comme une bonne odeur de pain grillé et de viennoiseries.
La tablée n’attendait plus que nous. Nous avions alors dit bonjour à tout le monde en donnant une bise. Une fois assis à table, j’avais pris la parole :
Moi : « Je voudrais m’excuser pour le bruit hier soir. J’espère que cela ne vous a pas trop dérangé !
Hen : Non Phil, ne t’inquiète pas. Marie m’avait prévenue d’un petit cadeau laissé sur votre lit et je me doutais très bien que vous alliez vous en servir. Alors je t’assure que nous n’avons rein entendu ou si peu !
Ben : Merci Henriette, je sais que Phil s’en inquiétait déjà hier soir !
Hen : Mais vous êtes jeunes, alors vous devez en profiter !
Mar : Tu sais Phil, les chambres sont assez insonorisées alors ne t’en fait pas !
Moi : Merci, merci pour cette très belle intention qui nous a fait grand plaisir ! Je voudrais aussi vous remercier Henriette et René pour nous avoir si bien reçus. Je vais ajouter ceci, Marie et Isabelle, je crois que Ben sera d’accord avec moi, êtes vous d’accord d’être nos amies pour pouvoir nous épauler les uns les autres !
Pour toute réponse Marie s’était levée et était venue nous donner à Ben et moi-même une bise sur la joue, et avait ajouté :
Mar : Bien sur Phil, on sera vos amies Isabelle et moi. Ben c’est bien sur valable pour toi !
René : Phil et Ben, vous serez toujours les bienvenus à la maison. Vous êtes ici chez vous !
J’en avais les larmes aux yeux. Ben lui aussi était très ému. Il avait perdu l’usage de la parole, la seule chose qu’on pouvait voir, c’était deux larmes qui coulaient sur ses joues.
René : Allez les jeunes, mangeons. Nous ferons une photo de vous après le repas ! »
Nous avions tous mangé de bon appétit. Tout le monde avait le sourire aux lèvres. Il y avait des éclats de rires, des sourires, des mots tendres prononcés. Nous étions tous heureux, les parents de Marie étaient très, très, ouverts, ils étaient la bonté même. Je savais que René, mon sauveur, avait un cœur gros comme on ne peut l’imaginer !
A la fin de ce petit déjeuner, nous avions fait une photo à l’orée de la forêt. Nous étions à quatre, deux couples, deux garçons et deux filles. Puis René avait placé son appareil photo avec le retardateur et nous étions donc six, bras dessus, bras dessous pour la postérité !
Papa était venu nous reprendre. Benoît avait été déposé chez lui car la famille se réunissait pour fêter Noël.
Nous aussi à la maison nous attendions de la famille. Il y avait mes grands-parents ainsi que mon oncle Pierre. Papa m’avait aussi annoncé une surprise, mais que je n’en saurais rien.
J’avais retrouvé Anne et Jean, je les avais embrassés, j’étais heureux de les avoir comme famille avec maman et papa. J’avais encore en tête les mots de René, « Phil et Ben, vous serez toujours les bienvenus à la maison. Vous êtes ici chez vous ». Marie avait des parents extraordinaires.
J’avais donné un coup de main à maman et à Anne pour la touche finale de la table. J’avais aussi aidé papa pour apporter les bouteilles de vin et de champagne. J’avais aidé Jean au dressage de la table de l’apéritif.
Maman se demandait ce qui se passait, elle m’avait fait un signe de l’accompagner, je pensais que j’allais l’aider à quelque chose. Maman m’avait alors dit :
Mam : « Oh mon Philou, tu es si gentil, si avenant, je crois qu’il s’est passé quelque chose chez Marie pour que tu sois comme tu es maintenant.
Moi : Oh maman, les parents de Marie sont des gens extraordinaires, ils sont d’une gentillesse et d’un dévouement hors du commun. Puis ils avaient tout prévu, nous étions comme des VIP. Je ne sais comment te l’exprimer, nous avons formé un groupe de quatre jeunes et nous nous entons très bien.
Mam : Un groupe de quatre jeunes !
Moi : Oui, il y a bien sur Marie, Ben et moi et aussi Isabelle, c’est l’amie de Marie, enfin la petite amie de Marie !
Mam : Alors j’ai tout compris. Vous êtes deux « couples » et vous allez vous soutenir les uns les autres !
Moi : Oh maman, tu es géniale, oui c’est ça !»
Mam : Je suis très heureuse pour vous. Je vois que ça t’a donné l’envie d’être très ouvert aux autres membres de la famille et je t’en suis fort reconnaissante ! »
Maman m’avait pris dans ses bras. Elle m’avait susurré à l’oreille qu’elle m’aimait, tel que j’étais. Je pouvais dire que je nageais enfin dans le bonheur.
Une fois l’apéro terminé, nous étions passés à table pour manger le repas de Noël. Toute la famille était réunie autour de la table. J’avais envie que Benoît soit avec nous, mais il était dans sa famille. Bref les discussions allaient bon train. Papy et mamy étaient très contents d’être présents avec nous. L’oncle Pierre s’était un instant assis à côté de moi, il voulait savoir comment j’allais. Je lui disais que j’étais heureux et que mon ami Benoît me comblait, que j’avais une amie et confidente en la personne de Marie et que j’avais pu découvrir qu’elle avait une petite amie, elle aussi. Bref nous parlions de tout.
Après le fromage, nous nous étions tous mis au salon où nous avions regardé des photos et des vidéos de nos anciennes vacances. Mais à un moment, durant une trentaine de seconde nous avions pu voir Henri et moi qui nous amusions dans la piscine. Je n’avais pas pu supporter d’en voir plus, je m’étais levé les larmes aux yeux. Maman l’avais de suite remarqué et avait changé de vidéo. Mamy se demandait ce qui se passait, elle s’était aussi levée pour venir me retrouver dans la cuisine. Mamy me voyait dans les bras de maman en train de pleurer. Maman expliqua alors à Mamy que le garçon qui était apparu à la vidéo était décédé et qu’il avait passé huit jours de vacances avec nous en famille.
Contre toute attente mamy m’a aussi pris dans ses bras, puis elle m’avait dit dans le creux de l’oreille : « C’était ton petit ami ! ». J’avais répondu « Oui ». Comme seule réponse mamy m’avait fait un gros bisou sur le front. J’avais alors compris qu’elle savait et qu’elle était de tout cœur avec moi.
Nous avions rejoint le reste de la famille. Nous bavardions ensemble, Anne et Jean se chamaillaient un peu, juste pour la rigolade. Puis la sonnette de l’entrée avait retenti. Qui pouvait bien venir à cette heure ci.
C’est papa qui était allé ouvrir la porte. Puis quelques secondes plus tard, papa entra dans la pièce en disant :
Papa : « Voilà la surprise pour Phil ! »
Tout le monde regarda alors vers la porte du salon et je pouvais voir Benoît qui entrait. J’étais éberlué, je ne m’y attendais pas ! J’avais les larmes aux yeux. Puis c’était Marie et Isabelle qui suivaient. Mes larmes inondaient mes joues. J’étais pétrifié sur place, je ne savais que dire, je ne savais plus bouger.
Mam : Voilà Phil, je crois que ce sera le plus beau Noël. Comme cadeau, nous avons demandé à tes amis de venir fêter Noël avec nous.
Moi : Mais, je…merci ...euh…
Benoît s’est approché de moi et m’avait embrassé sur la bouche. Mamy avait les yeux qui pétillaient, elle avait été mise au courant par maman. Papy ne disait rien et les autres applaudissaient. Marie et Isabelle étaient venues me faire la bise.
Je n’en revenais pas, c’était effectivement un des plus beau Noël. J’avais ma famille et mes amis auprès de moi, j’avais Ben à mes côtés. Que demander de plus !
Papa avait pris la parole :
Papa : Voilà Phil, tu sais qu’on t’aime, tu sais qu’on ne veut que ton bonheur, alors nous avions préparé ceci pour toi. Ton ami Ben est là et aussi Marie, ta confidente et bien sur Isabelle, ta copine de classe et surtout l’amie de Marie. Je suis certain que vous allez rester unis pour la vie, c’est tout ce que je vous souhaite.
Mamy : Phil, vient près de moi avec Benoît. Vous êtes craquants tous les deux. Je suis heureuse pour vous deux. Je vous aime mes deux loulous.
Moi : Merci Mamy. Je t’aime tu sais.
Ben : Oh merci, je vais aussi dire Mamy ! »
Nous avions embrassé mamy de bon cœur. Papy qui était près de nous nous fit un clin d’œil. Puis il était lui aussi venu nous embrasser, il était heureux de nous voir heureux. Je ne savais pas que mes grands-parents étaient si ouverts que ça, ils n’étaient pas homophobes pour un sou !