11-03-2021, 09:59 AM
Maman m’avait aussi dit que mon ami Benoît pouvait lui aussi venir avec moi. Je ne savais plus quoi penser. C’est Marie qui l’avait surement dit à ses parents et ce pour me faire plaisir. J’étais heureux, j’avais retrouvé un peu de confiance en moi et j’avais une famille qui m’aimait, une amie qui était aussi ma confidente qui m’aimait tel que j’étais et cerise sur le gâteau, j’avais mon ami, mon amant Benoît qui m’aimait lui aussi.
Une fois remis de ces émotions, nous avions regardé le film. Mais à peine dix minutes plus tard le téléphone sonnait à nouveau. Cette fois c’était papa qui avait décroché le combiné.
Il parlait avec quelqu’un et deux minutes plus tard, papa était revenu, le sourire aux lèvres et il m’avait dit :
Papa : « Il y a une surprise pour toi au téléphone !
Moi : Pour moi. C’est quoi, c’est qui ?
Papa : Tu verras, allé vas-y, on t’attend !
Je prenais le combiné et j’avais dit :
Moi : Allo, ici c’est Phil.
J-P : Bonsoir Phil, c’est Jean-Pierre.
Moi : Bonsoir Jean-Pierre. Tu voulais me parler !
J-P : Oui Phil, le staff de la troupe te convie avec les chefs de patrouilles à nous accompagner entre Noël et la nouvelle année à un mini camp dans les fagnes. Et bien entendu Benoît sera de la partie.
Moi : Oh J-P, oh je ne sais pas quoi dire. Merci, merci. Je suis si content.
J-P : Tes parents auront pour la fin de semaine toutes les infos. D’ici là, je te souhaite déjà un joyeux Noël.
Moi : Oh merci J-P, je suis super heureux d’apprendre cette bonne nouvelle. Merci encore. Très belle fête de Noël à toi aussi. »
J’avais rejoint le salon avec un large sourire aux lèvres. Je m’étais assis entre maman et papa et j’avais raconté à ma famille l’invitation faite pour le mini camp dans les fagnes.
Ils étaient tous heureux pour moi. J’étais très heureux moi aussi. Enfin le destin me souriait pour une fois. Puis j’avais demandé à papa si je pouvais téléphoner à Benoît pour l’avertir du réveillon de Noël à passer chez Marie.
Ni une ni deux, j’avais contacté Benoît et c’est maman qui avait expliqué de quoi il retournait. Puis en plus j’ai appris que maman avait invité Benoît et ses parents pour le réveillon de nouvel an.
J’étais heureux, j’avais mon Benoît, mon beau Benoît, cet ange venu d’on ne sait d’où, j’avais aussi une amie et confidente Marie et bien sûr une famille aimante. Que demander de plus à la veille des fêtes de fin d’année !
Les deux derniers jours d’école furent longs à passer, j’avais déjà envie d’être à Noël, enfin au réveillon et ensuite ce serait le mini camp et aussi un réveillon chez Benoît avec sa famille.
Le week-end passa lui assez vite. Il y avait les préparatifs pour les fêtes. Puis je savais que nous allions nous retrouver en famille le jour de Noël. J’allais pouvoir avoir des vacances préparées aux poils. Je n’allais rien laisser au hasard. Comme je devais passer le réveillon chez Marie, j’avais demandé à mes parents si je pouvais compter sur leur aide financière pour que j’achète des cadeaux. Puis j’avais aussi pensé au réveillon de la nouvelle année, fallait-il que je fasse un cadeau aux parents de Benoît lorsqu’ils viendraient passer le réveillon à la maison.
Maman avait dit que pour la nouvelle année c’était à elle à tout prévoir ; et pour ce qui était des cadeaux pour la soirée de réveillon chez Marie, que je pourrais aller avec elle faire les achats que je voulais.
Nous étions donc le 24 décembre début de soirée. J’étais nerveux. Benoît devait d’abord passer par la maison avant de nous rendre chez Marie. J’avais vérifié trois fois si tout était en place dans le sac, les cadeaux, de quoi me changer, … etc.
Ben arrivait, il était déjà presque 19 heures. Nous étions montés dans la voiture de papa au moment où maman me donna un gros bouquet de fleurs. Elle m’avait dit de le remettre à la maman de Marie. Ben ouvrait de grands yeux tellement le bouquet était énorme. C’est vrai que le bouquet était super grand. Il avait été placé sur la banquette arrière de la voiture, Ben étant assis à côté, le bouquet prenait plus de la moitié de la banquette.
Nous voilà en route, pour quelques minutes. Sur le trajet j’avais vu que Ben n’était pas à l’aise et je m’étais retourné pour lui demander :
Moi : « Dis Ben, je vois que tu n’es pas à ton aise, il y quelque chose qui ne va pas ?
Ben : Oh Phil, je suis un peu déçu car je n’ai qu’un ballotin de pralines à offrir à la maman de Marie !
Moi : Ne t’inquiète pas Ben, l’important n’est pas la valeur du cadeau, mais bien le fait que lui apporte un présent, peu importe sans grandeur !
Papa : Oui Benoît, Phil a raison, il ne faut pas avoir peur pour si peu. Puis je ne l’avais pas dit, mais j’avais pris avec moi une caisse de six bouteilles de vin millésimées de Bordeaux ! Vous les donnerez à deux au papa de Marie, ce sera un cadeau commun !
Moi : Oh merci Papa, je te reconnais bien là !
Ben : Oh merci Jean-Claude, je ne sais que dire pour te remercier !
Papa : Et bien, tu ne dis rien Ben, la seule chose que je veux c’est que vous soyez heureux tous les deux d’être invité chez les parents de Marie. Ce sont des gens charmants, et tu t’en doutes !
Ben : Merci pour tout Jean-Claude !
Une fois arrivés chez Marie, nous avions pris toutes nos affaires. Papa nous avait souhaité une très bonne soirée. J’avais amené Ben vers la porte d’entrée. Je lui avais alors dit :
Moi : Ben, il faut que je dise quelque chose. L’autre jour alors que j’étais chez Marie, car je l’avais raccompagnée, c’est parce que depuis quelque temps elle se sentait suivie et épiée, alors que nous étions dans son salon, elle a vu quelqu’un dans son jardin, je suis intervenu et je l’ai attrapé. C’était Roland, le scout qui m’a fait tant de mal et qui était amoureux de moi. Bref il a pris peur, je l’ai sermonné. Tu sais qu’il voulait influencer Marie pour qu’elle me suggère de reprendre contact avec lui. Alors ses parents vont surement en parler. Je t’en dirai plus si tu veux !
Ben : Ne t’inquiète pas Phil. Tu m’as déjà dit que Marie était ta confidente et je respecte ton choix et en plus je te donne raison, c’est bien pour toi et ton équilibre.
Moi : Merci Ben. Allez, on y va ! »
J’avais appuyé sur la sonnette. C’est Marie qui était venue nous ouvrir la porte. Elle avait un large sourire. Une fois dans le hall d’entrée, c’est sa maman qui était arrivée. Elle nous avait salués. J’avais pris la parole :
Moi : « Bonsoir Madame, encore mille fois merci pour votre invitation.
M.Mar : Bonsoir Phil, soit le bienvenu à la maison. C’est aussi valable pour ton ami Benoît ! ’
Ben : Bonsoir Madame, merci de m’avoir aussi convié à votre réveillon.
M.Mar : Bonsoir Benoît, mais c’est tout à fait normal.
Moi : Merci encore, voici pour vous un bouquet de fleurs.
M.Mar : Merci Phil, il ne fallait pas.
Moi : Mais c’est la moindre des choses, c’est pour tout ce que vous avez fait pour moi !
M.Mar : Oh Phil, il n’y a pas de quoi.
Ben : Voici un présent pour vous.
Benoît venait de remettre le ballotin de pralines à la maman de Marie. Benoît était un peu gêné, mais il se contenait.
M.Mar : Merci Benoît, mais il ne fallait pas. Tu es l’ami de Phil et tu es le bienvenu chez nous !
Ben : Merci Madame !
M.Mar : Il n’y a pas de madame qui tienne, moi c’est Henriette !
Moi et Ben : Oui, Henriette, merci.
Nous avions pris place dans le salon. Marie était près de moi. Son papa arrivait, il venait semble-t-il de sa chambre. Une fois devant moi, j’avais alors dit :
Moi :« Bonjour monsieur, merci de m’avoir invité !
P.Mar : Bonjour Phil, je vois que tu vas beaucoup mieux que la dernière fois que je t’ai vu !
Moi : Oui, je vais bien mieux, et c’est grâce à vous !»
P.Mar : Tu sais Phil j’ai juste fait mon devoir, tu m’as déjà remercié par ton intervention l’autre jour pour défendre Marie face à l’intrus. Et j’ai appris entre autres que c’était ce même jeune qui t’avait fait tant de mal. Tu seras toujours le bienvenu chez moi. Phil je vais te demander de m’appeler par mon prénom, moi c’est René !
Moi : Oh merci, heu René. Vous savez que Marie est mon amie depuis de nombreuses années, je me devais d’intervenir l’autre jour. Puis elle a tant fait pour moi, je suppose que vous savez qu’elle est aussi ma confidente !
René : Oui Phil, je le sais et je souhaite que vous restiez tous les deux des amis pour toute la vie ! Et voilà Benoît, je suppose. Bienvenue chez nous à toi aussi, tu es l’ami de Phil et Marie m’a aussi parlé de toi.
Ben : Bonjour monsieur, merci de m’avoir aussi invité !
René : Benoît, tu peux aussi m’appeler par mon prénom, moi c’est René. C’est Marie qui a insisté pour que tu sois des nôtres ce soir, je sais que toi et Phil vous vous aimez, car Marie m’en avait parlé, j’ai de suite accepté, car je savais que cela tenait tellement à cœur à Marie ! Je vous souhaite d’être heureux tout les deux dans la vie !
Ben : Heu, mais, merci René. Je crois que ça fait plaisir à Phil, car je sais qu’il a déjà tellement souffert. »
J’avais les larmes aux yeux, c’est Henriette qui l’avait remarqué. Elle était venue me prendre dans les bars. Marie elle aussi était émue par les propos de son papa.
Une fois remis de mes émotions, Jacques et moi nous avions remis la caisse de six bouteilles de vin à René. Il était très content de son cadeau. Il nous avait lui aussi dit que nous n’aurions pas dû !
Une fois remis de ces émotions, nous avions regardé le film. Mais à peine dix minutes plus tard le téléphone sonnait à nouveau. Cette fois c’était papa qui avait décroché le combiné.
Il parlait avec quelqu’un et deux minutes plus tard, papa était revenu, le sourire aux lèvres et il m’avait dit :
Papa : « Il y a une surprise pour toi au téléphone !
Moi : Pour moi. C’est quoi, c’est qui ?
Papa : Tu verras, allé vas-y, on t’attend !
Je prenais le combiné et j’avais dit :
Moi : Allo, ici c’est Phil.
J-P : Bonsoir Phil, c’est Jean-Pierre.
Moi : Bonsoir Jean-Pierre. Tu voulais me parler !
J-P : Oui Phil, le staff de la troupe te convie avec les chefs de patrouilles à nous accompagner entre Noël et la nouvelle année à un mini camp dans les fagnes. Et bien entendu Benoît sera de la partie.
Moi : Oh J-P, oh je ne sais pas quoi dire. Merci, merci. Je suis si content.
J-P : Tes parents auront pour la fin de semaine toutes les infos. D’ici là, je te souhaite déjà un joyeux Noël.
Moi : Oh merci J-P, je suis super heureux d’apprendre cette bonne nouvelle. Merci encore. Très belle fête de Noël à toi aussi. »
J’avais rejoint le salon avec un large sourire aux lèvres. Je m’étais assis entre maman et papa et j’avais raconté à ma famille l’invitation faite pour le mini camp dans les fagnes.
Ils étaient tous heureux pour moi. J’étais très heureux moi aussi. Enfin le destin me souriait pour une fois. Puis j’avais demandé à papa si je pouvais téléphoner à Benoît pour l’avertir du réveillon de Noël à passer chez Marie.
Ni une ni deux, j’avais contacté Benoît et c’est maman qui avait expliqué de quoi il retournait. Puis en plus j’ai appris que maman avait invité Benoît et ses parents pour le réveillon de nouvel an.
J’étais heureux, j’avais mon Benoît, mon beau Benoît, cet ange venu d’on ne sait d’où, j’avais aussi une amie et confidente Marie et bien sûr une famille aimante. Que demander de plus à la veille des fêtes de fin d’année !
Les deux derniers jours d’école furent longs à passer, j’avais déjà envie d’être à Noël, enfin au réveillon et ensuite ce serait le mini camp et aussi un réveillon chez Benoît avec sa famille.
Le week-end passa lui assez vite. Il y avait les préparatifs pour les fêtes. Puis je savais que nous allions nous retrouver en famille le jour de Noël. J’allais pouvoir avoir des vacances préparées aux poils. Je n’allais rien laisser au hasard. Comme je devais passer le réveillon chez Marie, j’avais demandé à mes parents si je pouvais compter sur leur aide financière pour que j’achète des cadeaux. Puis j’avais aussi pensé au réveillon de la nouvelle année, fallait-il que je fasse un cadeau aux parents de Benoît lorsqu’ils viendraient passer le réveillon à la maison.
Maman avait dit que pour la nouvelle année c’était à elle à tout prévoir ; et pour ce qui était des cadeaux pour la soirée de réveillon chez Marie, que je pourrais aller avec elle faire les achats que je voulais.
Nous étions donc le 24 décembre début de soirée. J’étais nerveux. Benoît devait d’abord passer par la maison avant de nous rendre chez Marie. J’avais vérifié trois fois si tout était en place dans le sac, les cadeaux, de quoi me changer, … etc.
Ben arrivait, il était déjà presque 19 heures. Nous étions montés dans la voiture de papa au moment où maman me donna un gros bouquet de fleurs. Elle m’avait dit de le remettre à la maman de Marie. Ben ouvrait de grands yeux tellement le bouquet était énorme. C’est vrai que le bouquet était super grand. Il avait été placé sur la banquette arrière de la voiture, Ben étant assis à côté, le bouquet prenait plus de la moitié de la banquette.
Nous voilà en route, pour quelques minutes. Sur le trajet j’avais vu que Ben n’était pas à l’aise et je m’étais retourné pour lui demander :
Moi : « Dis Ben, je vois que tu n’es pas à ton aise, il y quelque chose qui ne va pas ?
Ben : Oh Phil, je suis un peu déçu car je n’ai qu’un ballotin de pralines à offrir à la maman de Marie !
Moi : Ne t’inquiète pas Ben, l’important n’est pas la valeur du cadeau, mais bien le fait que lui apporte un présent, peu importe sans grandeur !
Papa : Oui Benoît, Phil a raison, il ne faut pas avoir peur pour si peu. Puis je ne l’avais pas dit, mais j’avais pris avec moi une caisse de six bouteilles de vin millésimées de Bordeaux ! Vous les donnerez à deux au papa de Marie, ce sera un cadeau commun !
Moi : Oh merci Papa, je te reconnais bien là !
Ben : Oh merci Jean-Claude, je ne sais que dire pour te remercier !
Papa : Et bien, tu ne dis rien Ben, la seule chose que je veux c’est que vous soyez heureux tous les deux d’être invité chez les parents de Marie. Ce sont des gens charmants, et tu t’en doutes !
Ben : Merci pour tout Jean-Claude !
Une fois arrivés chez Marie, nous avions pris toutes nos affaires. Papa nous avait souhaité une très bonne soirée. J’avais amené Ben vers la porte d’entrée. Je lui avais alors dit :
Moi : Ben, il faut que je dise quelque chose. L’autre jour alors que j’étais chez Marie, car je l’avais raccompagnée, c’est parce que depuis quelque temps elle se sentait suivie et épiée, alors que nous étions dans son salon, elle a vu quelqu’un dans son jardin, je suis intervenu et je l’ai attrapé. C’était Roland, le scout qui m’a fait tant de mal et qui était amoureux de moi. Bref il a pris peur, je l’ai sermonné. Tu sais qu’il voulait influencer Marie pour qu’elle me suggère de reprendre contact avec lui. Alors ses parents vont surement en parler. Je t’en dirai plus si tu veux !
Ben : Ne t’inquiète pas Phil. Tu m’as déjà dit que Marie était ta confidente et je respecte ton choix et en plus je te donne raison, c’est bien pour toi et ton équilibre.
Moi : Merci Ben. Allez, on y va ! »
J’avais appuyé sur la sonnette. C’est Marie qui était venue nous ouvrir la porte. Elle avait un large sourire. Une fois dans le hall d’entrée, c’est sa maman qui était arrivée. Elle nous avait salués. J’avais pris la parole :
Moi : « Bonsoir Madame, encore mille fois merci pour votre invitation.
M.Mar : Bonsoir Phil, soit le bienvenu à la maison. C’est aussi valable pour ton ami Benoît ! ’
Ben : Bonsoir Madame, merci de m’avoir aussi convié à votre réveillon.
M.Mar : Bonsoir Benoît, mais c’est tout à fait normal.
Moi : Merci encore, voici pour vous un bouquet de fleurs.
M.Mar : Merci Phil, il ne fallait pas.
Moi : Mais c’est la moindre des choses, c’est pour tout ce que vous avez fait pour moi !
M.Mar : Oh Phil, il n’y a pas de quoi.
Ben : Voici un présent pour vous.
Benoît venait de remettre le ballotin de pralines à la maman de Marie. Benoît était un peu gêné, mais il se contenait.
M.Mar : Merci Benoît, mais il ne fallait pas. Tu es l’ami de Phil et tu es le bienvenu chez nous !
Ben : Merci Madame !
M.Mar : Il n’y a pas de madame qui tienne, moi c’est Henriette !
Moi et Ben : Oui, Henriette, merci.
Nous avions pris place dans le salon. Marie était près de moi. Son papa arrivait, il venait semble-t-il de sa chambre. Une fois devant moi, j’avais alors dit :
Moi :« Bonjour monsieur, merci de m’avoir invité !
P.Mar : Bonjour Phil, je vois que tu vas beaucoup mieux que la dernière fois que je t’ai vu !
Moi : Oui, je vais bien mieux, et c’est grâce à vous !»
P.Mar : Tu sais Phil j’ai juste fait mon devoir, tu m’as déjà remercié par ton intervention l’autre jour pour défendre Marie face à l’intrus. Et j’ai appris entre autres que c’était ce même jeune qui t’avait fait tant de mal. Tu seras toujours le bienvenu chez moi. Phil je vais te demander de m’appeler par mon prénom, moi c’est René !
Moi : Oh merci, heu René. Vous savez que Marie est mon amie depuis de nombreuses années, je me devais d’intervenir l’autre jour. Puis elle a tant fait pour moi, je suppose que vous savez qu’elle est aussi ma confidente !
René : Oui Phil, je le sais et je souhaite que vous restiez tous les deux des amis pour toute la vie ! Et voilà Benoît, je suppose. Bienvenue chez nous à toi aussi, tu es l’ami de Phil et Marie m’a aussi parlé de toi.
Ben : Bonjour monsieur, merci de m’avoir aussi invité !
René : Benoît, tu peux aussi m’appeler par mon prénom, moi c’est René. C’est Marie qui a insisté pour que tu sois des nôtres ce soir, je sais que toi et Phil vous vous aimez, car Marie m’en avait parlé, j’ai de suite accepté, car je savais que cela tenait tellement à cœur à Marie ! Je vous souhaite d’être heureux tout les deux dans la vie !
Ben : Heu, mais, merci René. Je crois que ça fait plaisir à Phil, car je sais qu’il a déjà tellement souffert. »
J’avais les larmes aux yeux, c’est Henriette qui l’avait remarqué. Elle était venue me prendre dans les bars. Marie elle aussi était émue par les propos de son papa.
Une fois remis de mes émotions, Jacques et moi nous avions remis la caisse de six bouteilles de vin à René. Il était très content de son cadeau. Il nous avait lui aussi dit que nous n’aurions pas dû !