09-03-2021, 11:59 AM
Puis Marie m’avait encore demandé :
Mar : « Dis Phil, ne le prend pas mal, mais je voudrais toucher ton pénis.
Moi : Pas de problème, vas-y.
Marie avança sa main vers mon intimité et posa sa main sur mon sexe. Puis ce qui devait arriver arriva, mon sexe commençait à se gonfler. Marie le lâcha et me dit :
Mar : Mais il gonfle.
Moi : Oui il commence à bander, « bander », c’est le terme utilisé.
Mar : Ah, je comprends alors. Et tu te branles parfois ?
Moi : Oh petite indiscrète, oui bien entendu. Et toi tu te caresses le minou ?
Mar : Eh bien oui, j’aime bien me donner du plaisir. C’est comme toi.
Marie plaça sa main sur son sexe et commença à faire des mouvements le long des grandes lèvres. Elle s'était ensuite dirigée vers son lit pour s’y étendre. Elle m’avait alors dit :
Mar : Tu sais Phil tu peux venir près de moi et te branler, je voudrais savoir à quoi cela ressemble le sperme !
Moi : Tu crois, je n’ose pas.
Mar : Ne t’inquiète pas. Et puis je sais que tu es gay, alors je n’ai pas peur de toi.
Moi : OK, ça marche.
Je m’étais couché à côté de Marie et j’avais commencé à me masturber. Marie elle aussi se masturbait allégrement. Je commençais à me poser des questions, étais-je devenu fou, j’étais en train de me branler à côté de mon amie, de ma confidente. Elle faisait de même de son côté, donc étions-nous devenus fous ou quoi. Je m’étais alors dit que c’était juste un délire sans conséquence, enfin je l’espérais. Bon c’était trop tard pour arrêter, je ne pouvais plus faire marche arrière. Marie avait vu que mon visage avait changé, elle me demanda :
Mar : Phil, je vois que ça ne va pas.
Moi : Marie, je ne sais pas si c’est bien ce qu’on fait en ce moment !
Mar : Phil, c’est juste un fantasme que je voulais vivre et c’est toi, toi mon ami qui m’offre ce que je désire. C’est juste un délire, c’est juste pour le fun. Ne crois pas que ça m’offense ou quoi, c’est moi qui te l’ai demandé.
Moi : OK Marie, mais je me posais la question de savoir et tu y as répondu. Merci d’être là pour moi aussi. C’est la première fois que je vois une fille se masturber et en plus à côté de moi. Ça me fait drôle, c’est tout !
Nous continuons à nous donner du plaisir chacun de son côté. Marie a glissé un doigt dans son vagin et se donne du plaisir. Elle gémi de plus en plus, elle est presque en extase, elle se caresse les seins avec sa main libre et elle tourne au niveau des tétons qui ont grossi.
Moi de mon côté je sens que je ne suis pas loin d’arriver à l’orgasme, je ralenti mes mouvements masturbatoires. Marie elle continue à gémir elle se contorsionne, elle pousse des petits cris elle est, elle aussi, au bord de l’orgasme, sa main est toute humide et un liquide éjaculatoire sort de son sexe. Voyant ça j’avais senti que j’allais jouir et j’avais averti Marie de l’imminence de mon éjaculation, en effet une minutes après j’avais lâché 5 jets de sperme qui étaient venus s’étaler sur mon ventre, le premier étant arrivé sur le menton.
Marie avait fait :
Mar : Oh là, je n’avais jamais vu ça, merci mon Philou.
Moi : Merci à toi aussi, je n’avais jamais de fille se masturber et jouir.
Mar : Tu es génial mon Philou. Je ne savais pas si tu aurais osé faire ça avec moi. Maintenant je sais que tu es très ouvert, tout comme moi. Ce que nous venons de faire sera notre secret.
Moi : Oui Marie, ce sera notre secret.
Mar : Bon Phil, on va prendre une douche ensemble.
Moi : Oh oui, je veux bien car je suis un peu poisseux et je pense que toi aussi ! »
Nous nous étions mis à rire. Nous avions pris notre douche ensemble. Marie était très souriante et moi-même j’étais heureux d’avoir découvert ce qu’était la jouissance féminine. Une fois séchés, nous nous étions rhabillés.
Nous avions regagné le salon où nous avions regardé la télévision. Une petite heure plus tard, comme il commençait à faire sombre Marie s’était levée car elle voulait fermer les tentures. Elle venait juste de prendre la première tenture en main lorsqu’elle s’est mise à crier :
Mar : « Il y a quelqu’un dans le jardin ! »
J’avais bondi du divan et j’avais tout de suite ouvert la porte d’entrée en vue de couper le chemin au visiteur indélicat. J’arrivais juste au moment où il sortait du jardin, je m’étais jeté dans ses jambes pour le faire tomber ; Nous étions tous les deux tombés dans l’herbe, je tenais l’intrus en lui faisant une immobilisation de judo. (Oui j’avais fait du judo et j’avais conservé certains réflexes) C’est Marie qui avait reconnu le jeune, elle l’avait déjà vu errer dans le quartier. Puis je l’avais retourné et je m’étais rendu compte que c’était Roland !
Moi : « Qu’est-ce que tu fout ici. Tu es un grand malade où quoi. Qu’est-ce que tu as à épier mon amie. Tu vas avoir la correction de ta vie, sale pervers.
Rol : Non Phil, je vais t’expliquer, ne me frappe pas.
Mar : On t’écoute, mais tu as intérêt à avoir une bonne explication.
Moi : Oui, on t’écoute.
Rol : Phil, je savais que Marie était ton amie, je voulais lui parler, mais je ne savais pas trop comment l’aborder. Alors je la suivais, mais je n’avais jamais trouvé le courage de rentrer en contact avec elle.
Moi : Et pour lui demander quoi !
Rol : Je voulais lui dire que je t’aimais et je voulais qu’elle te convainque de prendre contact avec moi. Je suis con, je sais, mais je n’osais plus t’aborder et je sais que tu me reproches mon comportement aux scouts.
Moi : Mais tu es un malade. Je ne t’aime pas Roland. Tu as failli me faire mourir avec tes conneries. Quand on aime quelqu’un on ne se comporte pas comme tu l’as fait.
Mar : Et tu crois que j’aurai convaincu Phil de te contacter, mais tu es fou, après tout ce que tu lui as fait !
Moi : Casses-toi et ne reviens plus chez Marie, ne la suit plus. Je te conseille de te faire oublier. Tu as de la chance qu’on n’appelle pas la police.
Rol : Oui, promis, je vous laisse tranquille. Je suis désolé ! »
Roland quittait les lieux la queue entre les jambes. Marie s’était blottie dans mes bras, elle commençait à pleurer, c’était dû au stress qu’elle venait de vivre.
Nous n’étions rentrés dans la maison que depuis dix minutes, lorsque la maman de Marie rentrait. Elle vit Marie blottie dans mes bras et elle se demandait ce qui s’était passé. J’avais alors expliqué ce que nous venions de vivre. Elle était contente que je sois resté auprès de sa fille Marie et également de ma réaction. Marie reprenait le dessus et était venue dans les bras de sa maman.
C’est avec regret que je quittais la maison de Marie pour rentrer à la maison. Il était tard et il faisait déjà bien noir. En arrivant maman me demandait ce qui s’était passé, elle avait vu que mon pantalon était tâché au niveau des deux genoux. J’avais alors expliqué ce qui s’était passé chez Marie en fin d’après-midi. Maman n’en revenait pas de l’attitude de Roland. Elle était outrée de la façon dont il s’était comporté depuis l’incident chez les scouts.
A l’arrivée de papa, nous nous étions tous mis à table. C’est maman qui avait raconté ce qui s’était passé chez mon amie Marie. Papa était offusqué lui aussi. Anne et Jean me regardaient et n’osaient rien dire. Nous avions fini le repas sur une note plus amusante, papa nous expliquait comment une employée de son travail était restée coincée dans l’ascenseur durant une heure et demie avec un client et qu’à l’ouverture des portes, l’employé avait couru jusqu’aux toilettes. Il y avait une marre d’urine sur le sol de la cabine de l’ascenseur. La pauvre avait dit papa.
Au moment où nous allions regarder la télévision, le téléphone sonna. Maman avait été décroché le combiné. Elle parlait avec quelqu’un. Je n’entendais pas ce qui se disait, de toute façon cela ne me regardait pas. Après dix minutes maman était revenue auprès de nous, elle avait le sourire aux lèvres. Maman s’était assise à côté de moi. Puis en me regardant elle m’avait donné un baiser sur le front. Puis elle avait pris la parole.
Mam : « Eh bien voilà, nous avons un héros dans cette pièce ! Et ce héros c’est Phil.
Moi : Mais je n’ai fait que ce qui me semblait normal et juste.
Mam : Et c’est juste pour cela que la maman de Marie voulait te remercier. Elle t’invite au réveillon de Noël chez elle.
Moi : Mais pourquoi !
Mam : Elle en a parlé avec le papa de Marie et pour te remercier, ils souhaitent t’avoir chez eux au réveillon.
Anne et Jean : C’est super !
Papa : Là je crois que tu n’as pas le droit de refuser. Je suis fier de toi Phil, tu le mérites !
Moi : Mais je n’ai fait qu’aider mon amie Marie. Elle aussi m’a soutenu depuis le décès d’Henri.
Mam : Je sais mon Philou, mais ait confiance en toi. Je sais que tu es si généreux envers les autres et tu peux donc pour une fois être le centre d’intérêt de ceux qui t’aiment en des moments nettement moins pénibles que ceux que tu as vécus.
Moi : Je ne sais pas quoi dire. »
Des larmes commençaient à couler sur mes joues. Maman m’avait alors pris dans ses bras et papa était venu s’asseoir lui aussi à côté de moi.
Mar : « Dis Phil, ne le prend pas mal, mais je voudrais toucher ton pénis.
Moi : Pas de problème, vas-y.
Marie avança sa main vers mon intimité et posa sa main sur mon sexe. Puis ce qui devait arriver arriva, mon sexe commençait à se gonfler. Marie le lâcha et me dit :
Mar : Mais il gonfle.
Moi : Oui il commence à bander, « bander », c’est le terme utilisé.
Mar : Ah, je comprends alors. Et tu te branles parfois ?
Moi : Oh petite indiscrète, oui bien entendu. Et toi tu te caresses le minou ?
Mar : Eh bien oui, j’aime bien me donner du plaisir. C’est comme toi.
Marie plaça sa main sur son sexe et commença à faire des mouvements le long des grandes lèvres. Elle s'était ensuite dirigée vers son lit pour s’y étendre. Elle m’avait alors dit :
Mar : Tu sais Phil tu peux venir près de moi et te branler, je voudrais savoir à quoi cela ressemble le sperme !
Moi : Tu crois, je n’ose pas.
Mar : Ne t’inquiète pas. Et puis je sais que tu es gay, alors je n’ai pas peur de toi.
Moi : OK, ça marche.
Je m’étais couché à côté de Marie et j’avais commencé à me masturber. Marie elle aussi se masturbait allégrement. Je commençais à me poser des questions, étais-je devenu fou, j’étais en train de me branler à côté de mon amie, de ma confidente. Elle faisait de même de son côté, donc étions-nous devenus fous ou quoi. Je m’étais alors dit que c’était juste un délire sans conséquence, enfin je l’espérais. Bon c’était trop tard pour arrêter, je ne pouvais plus faire marche arrière. Marie avait vu que mon visage avait changé, elle me demanda :
Mar : Phil, je vois que ça ne va pas.
Moi : Marie, je ne sais pas si c’est bien ce qu’on fait en ce moment !
Mar : Phil, c’est juste un fantasme que je voulais vivre et c’est toi, toi mon ami qui m’offre ce que je désire. C’est juste un délire, c’est juste pour le fun. Ne crois pas que ça m’offense ou quoi, c’est moi qui te l’ai demandé.
Moi : OK Marie, mais je me posais la question de savoir et tu y as répondu. Merci d’être là pour moi aussi. C’est la première fois que je vois une fille se masturber et en plus à côté de moi. Ça me fait drôle, c’est tout !
Nous continuons à nous donner du plaisir chacun de son côté. Marie a glissé un doigt dans son vagin et se donne du plaisir. Elle gémi de plus en plus, elle est presque en extase, elle se caresse les seins avec sa main libre et elle tourne au niveau des tétons qui ont grossi.
Moi de mon côté je sens que je ne suis pas loin d’arriver à l’orgasme, je ralenti mes mouvements masturbatoires. Marie elle continue à gémir elle se contorsionne, elle pousse des petits cris elle est, elle aussi, au bord de l’orgasme, sa main est toute humide et un liquide éjaculatoire sort de son sexe. Voyant ça j’avais senti que j’allais jouir et j’avais averti Marie de l’imminence de mon éjaculation, en effet une minutes après j’avais lâché 5 jets de sperme qui étaient venus s’étaler sur mon ventre, le premier étant arrivé sur le menton.
Marie avait fait :
Mar : Oh là, je n’avais jamais vu ça, merci mon Philou.
Moi : Merci à toi aussi, je n’avais jamais de fille se masturber et jouir.
Mar : Tu es génial mon Philou. Je ne savais pas si tu aurais osé faire ça avec moi. Maintenant je sais que tu es très ouvert, tout comme moi. Ce que nous venons de faire sera notre secret.
Moi : Oui Marie, ce sera notre secret.
Mar : Bon Phil, on va prendre une douche ensemble.
Moi : Oh oui, je veux bien car je suis un peu poisseux et je pense que toi aussi ! »
Nous nous étions mis à rire. Nous avions pris notre douche ensemble. Marie était très souriante et moi-même j’étais heureux d’avoir découvert ce qu’était la jouissance féminine. Une fois séchés, nous nous étions rhabillés.
Nous avions regagné le salon où nous avions regardé la télévision. Une petite heure plus tard, comme il commençait à faire sombre Marie s’était levée car elle voulait fermer les tentures. Elle venait juste de prendre la première tenture en main lorsqu’elle s’est mise à crier :
Mar : « Il y a quelqu’un dans le jardin ! »
J’avais bondi du divan et j’avais tout de suite ouvert la porte d’entrée en vue de couper le chemin au visiteur indélicat. J’arrivais juste au moment où il sortait du jardin, je m’étais jeté dans ses jambes pour le faire tomber ; Nous étions tous les deux tombés dans l’herbe, je tenais l’intrus en lui faisant une immobilisation de judo. (Oui j’avais fait du judo et j’avais conservé certains réflexes) C’est Marie qui avait reconnu le jeune, elle l’avait déjà vu errer dans le quartier. Puis je l’avais retourné et je m’étais rendu compte que c’était Roland !
Moi : « Qu’est-ce que tu fout ici. Tu es un grand malade où quoi. Qu’est-ce que tu as à épier mon amie. Tu vas avoir la correction de ta vie, sale pervers.
Rol : Non Phil, je vais t’expliquer, ne me frappe pas.
Mar : On t’écoute, mais tu as intérêt à avoir une bonne explication.
Moi : Oui, on t’écoute.
Rol : Phil, je savais que Marie était ton amie, je voulais lui parler, mais je ne savais pas trop comment l’aborder. Alors je la suivais, mais je n’avais jamais trouvé le courage de rentrer en contact avec elle.
Moi : Et pour lui demander quoi !
Rol : Je voulais lui dire que je t’aimais et je voulais qu’elle te convainque de prendre contact avec moi. Je suis con, je sais, mais je n’osais plus t’aborder et je sais que tu me reproches mon comportement aux scouts.
Moi : Mais tu es un malade. Je ne t’aime pas Roland. Tu as failli me faire mourir avec tes conneries. Quand on aime quelqu’un on ne se comporte pas comme tu l’as fait.
Mar : Et tu crois que j’aurai convaincu Phil de te contacter, mais tu es fou, après tout ce que tu lui as fait !
Moi : Casses-toi et ne reviens plus chez Marie, ne la suit plus. Je te conseille de te faire oublier. Tu as de la chance qu’on n’appelle pas la police.
Rol : Oui, promis, je vous laisse tranquille. Je suis désolé ! »
Roland quittait les lieux la queue entre les jambes. Marie s’était blottie dans mes bras, elle commençait à pleurer, c’était dû au stress qu’elle venait de vivre.
Nous n’étions rentrés dans la maison que depuis dix minutes, lorsque la maman de Marie rentrait. Elle vit Marie blottie dans mes bras et elle se demandait ce qui s’était passé. J’avais alors expliqué ce que nous venions de vivre. Elle était contente que je sois resté auprès de sa fille Marie et également de ma réaction. Marie reprenait le dessus et était venue dans les bras de sa maman.
C’est avec regret que je quittais la maison de Marie pour rentrer à la maison. Il était tard et il faisait déjà bien noir. En arrivant maman me demandait ce qui s’était passé, elle avait vu que mon pantalon était tâché au niveau des deux genoux. J’avais alors expliqué ce qui s’était passé chez Marie en fin d’après-midi. Maman n’en revenait pas de l’attitude de Roland. Elle était outrée de la façon dont il s’était comporté depuis l’incident chez les scouts.
A l’arrivée de papa, nous nous étions tous mis à table. C’est maman qui avait raconté ce qui s’était passé chez mon amie Marie. Papa était offusqué lui aussi. Anne et Jean me regardaient et n’osaient rien dire. Nous avions fini le repas sur une note plus amusante, papa nous expliquait comment une employée de son travail était restée coincée dans l’ascenseur durant une heure et demie avec un client et qu’à l’ouverture des portes, l’employé avait couru jusqu’aux toilettes. Il y avait une marre d’urine sur le sol de la cabine de l’ascenseur. La pauvre avait dit papa.
Au moment où nous allions regarder la télévision, le téléphone sonna. Maman avait été décroché le combiné. Elle parlait avec quelqu’un. Je n’entendais pas ce qui se disait, de toute façon cela ne me regardait pas. Après dix minutes maman était revenue auprès de nous, elle avait le sourire aux lèvres. Maman s’était assise à côté de moi. Puis en me regardant elle m’avait donné un baiser sur le front. Puis elle avait pris la parole.
Mam : « Eh bien voilà, nous avons un héros dans cette pièce ! Et ce héros c’est Phil.
Moi : Mais je n’ai fait que ce qui me semblait normal et juste.
Mam : Et c’est juste pour cela que la maman de Marie voulait te remercier. Elle t’invite au réveillon de Noël chez elle.
Moi : Mais pourquoi !
Mam : Elle en a parlé avec le papa de Marie et pour te remercier, ils souhaitent t’avoir chez eux au réveillon.
Anne et Jean : C’est super !
Papa : Là je crois que tu n’as pas le droit de refuser. Je suis fier de toi Phil, tu le mérites !
Moi : Mais je n’ai fait qu’aider mon amie Marie. Elle aussi m’a soutenu depuis le décès d’Henri.
Mam : Je sais mon Philou, mais ait confiance en toi. Je sais que tu es si généreux envers les autres et tu peux donc pour une fois être le centre d’intérêt de ceux qui t’aiment en des moments nettement moins pénibles que ceux que tu as vécus.
Moi : Je ne sais pas quoi dire. »
Des larmes commençaient à couler sur mes joues. Maman m’avait alors pris dans ses bras et papa était venu s’asseoir lui aussi à côté de moi.