08-03-2021, 10:27 AM
Après avoir passé une bonne heure dans la piscine à jouer, à nous éclabousser, maman nous demande de venir prendre une collation sur la terrasse. Nous nous installons nus pour manger un morceau de gâteau et boire un très bon thé glacé que maman a concocté début d’après-midi. Julien est très content d’avoir du monde auprès de lui. Nous nous plaçons alors sur l’herbe devant la terrasse, pour être plus à l’aise, avec Juju à nos côtés. Jacques est heureux d’avoir passé un moment avec nous. Dimitri est un très chouette gars, il raconte des blagues amusantes sans pour autant être trivial comme peuvent parfois être les mecs qui se la jouent, pensant être drôle alors que ce n’est pas le cas !
Maman entend qu’on sonne à la porte, elle va ouvrir et constate que c’est Xavier et Didier. Maman les accueille et les remercie de leur passage. Maman savait qu’ils devaient passer pour rendre visite à Julien. Maman leur précise alors que toute la tribu est dans le jardin en tenue d’Eve ou d’Adam. Elle se souvient que cela n’avait pas dérangé les deux jeunes hommes lors d’une visite précédente.
Didier fait la surprise à Julien en arrivant derrière lui. Le visage de Juju s’illumine en voyant son mono d’auto-école, étant par ailleurs lui aussi nu ! Voyant que Didier est là, je sais que Xavier va faire son apparition : comme de fait il arrive après deux minutes. Je pense qu’il a bavardé avec maman concernant les cours de conduite.
Je présente aux deux monos le reste de la troupe. Comme il reste un peu de gâteau maman en donne une part à chacun des visiteurs ainsi qu’un verre de thé glacé. Nous discutons ensemble bien que Didier fût près de Juju pour parler des futurs cours de conduite et probablement de choses et d’autres.
Nous décidons de repasser par la piscine pour profiter de celle-ci car il fait si beau. Julien reste avec maman et Stéphanie. Le frère et la sœur se regardent et leurs yeux se troublent. Des larmes coulent sur leurs joues. Ils n’avaient pas encore eu le temps de parler entre eux, non ils n’avaient pas encore vraiment parlé entre eux. Stéphanie et Julien se sont étreints pour rester un long moment, enlacés. Je veux voir ce qui se passe, mais maman me fait signe de rester où je suis, dans la piscine avec les autres.
Il se fait tard et il est temps pour Amandine et Joseph de quitter à regret la maison. Il en est de même pour Jacques et Dimitri, ils sont attendus pour le souper chez des amis. Voyant les autres quitter les lieux, Xavier et Didier veulent eux aussi partir. Maman leur propose de rester avec nous pour le souper. Ils se regardent et après insistance de la part de Julien, ils acceptent avec joie de partager le repas avec toute la famille agrandie.
Alors que nous étions toujours sur la terrasse, papa fait son entrée sur la terrasse. Il salue Xavier et Didier en les remerciant de leur visite. Maman explique qu’ils restent souper avec nous. Papa voyant que nous sommes toujours nus, va se dévêtir au salon et nous rejoint en nous demandant si nous voulons piquer une dernière tête dans la piscine avant de passer à l’apéro. Ni une ni deux nous courons tous vers l’eau encore à température. C’est Delphine qui reste auprès de Juju tandis que Stéphanie nous rejoint avec maman.
Maman pense à tout, elle avait prévu de faire un barbecue pour souper. Il y a souvent assez de viande pour tout le monde. Stéphanie et maman préparent alors les crudités. Une fois sorti de l’eau, papa s’occupe du barbecue et l’allume. Je demande alors à nos invités s’ils veulent un drap de bain pour se sécher. Je leur apporte alors deux draps.
J’aide papa pour l’apéro. Je me charge de limonades et des chips, papa va chercher du vin rouge à la cave. Je l’aide à remonter aussi des « trappistes » pour l’apéro. Nous sommes enfin tous assis autour de la table sur la terrasse, le temps étant toujours aussi beau. Nous trinquons à la santé de tous et à l’amitié. Nos deux monos trinquent ensuite à notre réussite. Didier a rassuré Julien en ce qui concerne les cours, il sera là pour lui et pour l’aider lorsqu’il sera apte à se déplacer. Juju le remercie du fond du cœur.
Nous passons à table, les brochettes sont à point, les crudités et les pommes de terre froides sont disposées sur la table ainsi que les sauces. Pour ceux qui ne prennent pas de vin, il y a de la limonade ou du jus d’orange. Nous mangeons tous de bon appétit. L’ambiance est au beau fixe. Nous sommes tous nettement plus détendus en cette fin de journée. Julien a eu de la visite et il sait qu’il en sera de même dans les jours qui vont suivre.
La soirée se passe au mieux, Xavier et Didier sont restés jusqu’à minuit. Ils sont partis très heureux après avoir pu connaître une ambiance familiale comme celle que nous vivons. Ils ont découvert l’ouverture d’esprit de chacun d’entre nous. L’accueil de mes parents et aussi cette particularité pour eux d’avoir deux couples, l’un lesbien et l’autre gay.
Je me suis occupé de Julien pour sa mise au lit avec l’aide de maman. Elle est stupéfaite de voir comment je prends soin de mon chéri. Elle me dit :
Mam : « Phil, tu as un véritable don pour aider les gens. Tu t’y prends comme un pro !
Jul : Je sais, j’ai beaucoup de chance d’avoir mon « infirmier » adoré !
Moi : Oh là, tu ne sais pas ce que tu risques !
Jul : Rien, tu m’aimes trop pour t’en prendre à moi !
Moi : Là tu n’as pas tort.
Mam : Je suis très contente pour vous deux. Vous vous aimez et ça personne ne peut dire le contraire.
Jul : Je sais combien Phil m’aime. Il prend sur lui, sur son temps et ses loisirs pour moi. Je ne lui serai jamais autant reconnaissant. C’est le plus beau des cadeaux qu’il me fait.
Des larmes coulent sur les joues de mon Juju d’amour. Je vais les essuyer avec mes pouces. Maman s’approche de lui. Elle lui caresse les cheveux. Elle ajoute alors :
Mam : Julien, ne pleure pas. Je sais que ce n’est pas facile, mais ça va aller mieux de jour en jour. Crois-moi !
Jul : Merci Fanny. »
Maman se penche sur lui et lui donne un bisou sur le front. Julien lui en fait un sur la joue. Les larmes ne coulent plus, un timide sourire apparait alors sur le visage un peu rosi de Juju. Maman lui répond par un sourire qui donne envie de prendre la vie comme elle vient, en ne pensant qu’au moment présent et à un avenir plus ensoleillé. Maman s’éloigne. Je me penche vers mon chéri et je l’embrasse à pleine bouche. Maman nous fait signe et referme la porte derrière elle.
Je m’allonge sur le lit de Julien. Nous continuons à nous embrasser, à nous caresser. Nos phallus sont bandés, nos corps sont chauds et nous nous disons de petits mots d’amour. Nous nous touchons les valseuses et nos mains remontent vers le sommet de nos appendices dressés. Nous nous prodiguons alors une masturbation mutuelle. Nos mouvements sont calqués sur ceux du partenaire en vue de nous procurer en même temps les mêmes sensations. Nous alternons la fréquence de nos mouvements le long de nos barres de chair. Nous sentons en même temps la pression monter, nos ventres deviennent chauds, nous savons que nous sommes près de la jouissance. Nous jouons alors chacun avec le gland de l’être aimé et dans un râle profond et partagé, nous jouissons de concert, laissant nos semences s’étaler sur nos ventres !
Le temps de reprendre nos esprits, nous restons couchés un moment. Je prends alors de quoi enlever toutes traces de notre jouissance partagée. Julien se love dans mes bras. Il me dit doucement à l’oreille :
Jul « Merci Phil, oui, merci d’être là avec moi, je t’aime !
Moi : Merci à toi aussi Juju. Je t’aime !
Jul : Je ne peux pas me plaindre, je suis comme un coq en pâte. Ta maman est super et si gentille avec moi !
Moi : Nous t’aimons tous Julien, ne l’oublie jamais. Je partage ma maman volontiers avec toi. Elle est un peu devenue « ta nouvelle maman ».
Jul : Tes mots me touchent Phil. Tu trouves souvent les mots qui m’aident à aller de l’avant.
Moi : Oh Juju, ne pleure pas. Allez viens te serrer contre moi mon amour !
Jul : Merci Phil, merci mon amour ! »
Nous ne parlons plus, nous restons blottis dans les bras de l’un et de l’autre. Finalement nous nous endormons comme ça, nus et collés. Nous sommes deux ados qui s’aiment et qui traversent des turbulences passagères, ensemble, en vue d’arriver à trouver la sagesse et l’apaisement sous de meilleurs cieux.
Maman entend qu’on sonne à la porte, elle va ouvrir et constate que c’est Xavier et Didier. Maman les accueille et les remercie de leur passage. Maman savait qu’ils devaient passer pour rendre visite à Julien. Maman leur précise alors que toute la tribu est dans le jardin en tenue d’Eve ou d’Adam. Elle se souvient que cela n’avait pas dérangé les deux jeunes hommes lors d’une visite précédente.
Didier fait la surprise à Julien en arrivant derrière lui. Le visage de Juju s’illumine en voyant son mono d’auto-école, étant par ailleurs lui aussi nu ! Voyant que Didier est là, je sais que Xavier va faire son apparition : comme de fait il arrive après deux minutes. Je pense qu’il a bavardé avec maman concernant les cours de conduite.
Je présente aux deux monos le reste de la troupe. Comme il reste un peu de gâteau maman en donne une part à chacun des visiteurs ainsi qu’un verre de thé glacé. Nous discutons ensemble bien que Didier fût près de Juju pour parler des futurs cours de conduite et probablement de choses et d’autres.
Nous décidons de repasser par la piscine pour profiter de celle-ci car il fait si beau. Julien reste avec maman et Stéphanie. Le frère et la sœur se regardent et leurs yeux se troublent. Des larmes coulent sur leurs joues. Ils n’avaient pas encore eu le temps de parler entre eux, non ils n’avaient pas encore vraiment parlé entre eux. Stéphanie et Julien se sont étreints pour rester un long moment, enlacés. Je veux voir ce qui se passe, mais maman me fait signe de rester où je suis, dans la piscine avec les autres.
Il se fait tard et il est temps pour Amandine et Joseph de quitter à regret la maison. Il en est de même pour Jacques et Dimitri, ils sont attendus pour le souper chez des amis. Voyant les autres quitter les lieux, Xavier et Didier veulent eux aussi partir. Maman leur propose de rester avec nous pour le souper. Ils se regardent et après insistance de la part de Julien, ils acceptent avec joie de partager le repas avec toute la famille agrandie.
Alors que nous étions toujours sur la terrasse, papa fait son entrée sur la terrasse. Il salue Xavier et Didier en les remerciant de leur visite. Maman explique qu’ils restent souper avec nous. Papa voyant que nous sommes toujours nus, va se dévêtir au salon et nous rejoint en nous demandant si nous voulons piquer une dernière tête dans la piscine avant de passer à l’apéro. Ni une ni deux nous courons tous vers l’eau encore à température. C’est Delphine qui reste auprès de Juju tandis que Stéphanie nous rejoint avec maman.
Maman pense à tout, elle avait prévu de faire un barbecue pour souper. Il y a souvent assez de viande pour tout le monde. Stéphanie et maman préparent alors les crudités. Une fois sorti de l’eau, papa s’occupe du barbecue et l’allume. Je demande alors à nos invités s’ils veulent un drap de bain pour se sécher. Je leur apporte alors deux draps.
J’aide papa pour l’apéro. Je me charge de limonades et des chips, papa va chercher du vin rouge à la cave. Je l’aide à remonter aussi des « trappistes » pour l’apéro. Nous sommes enfin tous assis autour de la table sur la terrasse, le temps étant toujours aussi beau. Nous trinquons à la santé de tous et à l’amitié. Nos deux monos trinquent ensuite à notre réussite. Didier a rassuré Julien en ce qui concerne les cours, il sera là pour lui et pour l’aider lorsqu’il sera apte à se déplacer. Juju le remercie du fond du cœur.
Nous passons à table, les brochettes sont à point, les crudités et les pommes de terre froides sont disposées sur la table ainsi que les sauces. Pour ceux qui ne prennent pas de vin, il y a de la limonade ou du jus d’orange. Nous mangeons tous de bon appétit. L’ambiance est au beau fixe. Nous sommes tous nettement plus détendus en cette fin de journée. Julien a eu de la visite et il sait qu’il en sera de même dans les jours qui vont suivre.
La soirée se passe au mieux, Xavier et Didier sont restés jusqu’à minuit. Ils sont partis très heureux après avoir pu connaître une ambiance familiale comme celle que nous vivons. Ils ont découvert l’ouverture d’esprit de chacun d’entre nous. L’accueil de mes parents et aussi cette particularité pour eux d’avoir deux couples, l’un lesbien et l’autre gay.
Je me suis occupé de Julien pour sa mise au lit avec l’aide de maman. Elle est stupéfaite de voir comment je prends soin de mon chéri. Elle me dit :
Mam : « Phil, tu as un véritable don pour aider les gens. Tu t’y prends comme un pro !
Jul : Je sais, j’ai beaucoup de chance d’avoir mon « infirmier » adoré !
Moi : Oh là, tu ne sais pas ce que tu risques !
Jul : Rien, tu m’aimes trop pour t’en prendre à moi !
Moi : Là tu n’as pas tort.
Mam : Je suis très contente pour vous deux. Vous vous aimez et ça personne ne peut dire le contraire.
Jul : Je sais combien Phil m’aime. Il prend sur lui, sur son temps et ses loisirs pour moi. Je ne lui serai jamais autant reconnaissant. C’est le plus beau des cadeaux qu’il me fait.
Des larmes coulent sur les joues de mon Juju d’amour. Je vais les essuyer avec mes pouces. Maman s’approche de lui. Elle lui caresse les cheveux. Elle ajoute alors :
Mam : Julien, ne pleure pas. Je sais que ce n’est pas facile, mais ça va aller mieux de jour en jour. Crois-moi !
Jul : Merci Fanny. »
Maman se penche sur lui et lui donne un bisou sur le front. Julien lui en fait un sur la joue. Les larmes ne coulent plus, un timide sourire apparait alors sur le visage un peu rosi de Juju. Maman lui répond par un sourire qui donne envie de prendre la vie comme elle vient, en ne pensant qu’au moment présent et à un avenir plus ensoleillé. Maman s’éloigne. Je me penche vers mon chéri et je l’embrasse à pleine bouche. Maman nous fait signe et referme la porte derrière elle.
Je m’allonge sur le lit de Julien. Nous continuons à nous embrasser, à nous caresser. Nos phallus sont bandés, nos corps sont chauds et nous nous disons de petits mots d’amour. Nous nous touchons les valseuses et nos mains remontent vers le sommet de nos appendices dressés. Nous nous prodiguons alors une masturbation mutuelle. Nos mouvements sont calqués sur ceux du partenaire en vue de nous procurer en même temps les mêmes sensations. Nous alternons la fréquence de nos mouvements le long de nos barres de chair. Nous sentons en même temps la pression monter, nos ventres deviennent chauds, nous savons que nous sommes près de la jouissance. Nous jouons alors chacun avec le gland de l’être aimé et dans un râle profond et partagé, nous jouissons de concert, laissant nos semences s’étaler sur nos ventres !
Le temps de reprendre nos esprits, nous restons couchés un moment. Je prends alors de quoi enlever toutes traces de notre jouissance partagée. Julien se love dans mes bras. Il me dit doucement à l’oreille :
Jul « Merci Phil, oui, merci d’être là avec moi, je t’aime !
Moi : Merci à toi aussi Juju. Je t’aime !
Jul : Je ne peux pas me plaindre, je suis comme un coq en pâte. Ta maman est super et si gentille avec moi !
Moi : Nous t’aimons tous Julien, ne l’oublie jamais. Je partage ma maman volontiers avec toi. Elle est un peu devenue « ta nouvelle maman ».
Jul : Tes mots me touchent Phil. Tu trouves souvent les mots qui m’aident à aller de l’avant.
Moi : Oh Juju, ne pleure pas. Allez viens te serrer contre moi mon amour !
Jul : Merci Phil, merci mon amour ! »
Nous ne parlons plus, nous restons blottis dans les bras de l’un et de l’autre. Finalement nous nous endormons comme ça, nus et collés. Nous sommes deux ados qui s’aiment et qui traversent des turbulences passagères, ensemble, en vue d’arriver à trouver la sagesse et l’apaisement sous de meilleurs cieux.