22-02-2021, 05:43 PM
- Pourquoi as-tu fait ça ?
- Je suis si fier de toi.
- Tu ne me réponds pas.
- Si justement. Je suis si fier de t’avoir qui j’ai envie de le faire savoir à d’autres.
- Oui mais, comme ça ?
- Et pourquoi pas ? Tu m’appartiens après tout.
Alors ça, ça n’avait jamais été stipulé dans le contrat. L’idée était pourtant assez attrayante. Il y avait là une sorte d’abandon, une façon de profiter tout en pouvant se dire que ce n’est pas notre faute, que nous ne sommes pas aux commandes. Je sentis ses mains descendre sous mes hanches pour saisir et peloter mes fesses. C’est fou comme ses mains pouvaient me faire de l’effet. Il commença à défaire le bouton de mon jean, puis il fit passer ses doigts sous la ceinture, saisit mon jean et ma culotte, et les fit descendre tous les deux d’un coup sur mes chevilles. Il se redressa pour m’embrasser à nouveau. Je profitai de ses baisers tout en tortillant mes chevilles pour me débarrasser du tissu qui les entravait.Vinrent ensuite mon pull, mon tee-shirt, mon soutif.
Je ne restais pas inactive pour autant, et avec une envie grandissante je me mis à défaire les boutons de sa chemise pour le déshabiller. Il m’aida et bien vite nous nous retrouvâmes tous nus dans ma chambre.
Pour la première fois je le regardai tout nu. Non, il n’était pas spécialement appétissant physiquement. Il y avait tout d’abord sa bedaine, trop grosse, sa pilosité trop marquée, et son âge commençait véritablement à se voir. Je n’eus pas plus de temps de l’observer : il me poussa et je tombai à la renverse, sur le dos, sur mon lit. Il vint s’allonger sur moi, se tenant sur les mains pour ne pas m’écraser. Son sexe trouva tout de suite son chemin et il glissa en moi sans plus de cérémonie. Il m’écrasait de son poids, de sa force. Ce n’était pas vraiment agréable cette fois. Je me sentais entièrement à sa merci. Il vint me peloter la poitrine tout en commençant un mouvement de vas et vient lent et ample. Même si mon coeur n’y était pas vraiment, mon corps, lui, réagit immédiatement. Je sentis le plaisir m’inonder et il me fit jouir sans difficulté. Lorsqu’il m’entendit crier de plaisir il s’arrêta et se retira. J’en voulais plus, j’étais frustrée à nouveau. Je grognais de le sentir se retirer alors que lui n’avait pas fini.
- A quatre pattes !
C’était un ordre, court et sec. J’obéis sans discuter.
- La tête contre le lit. Creuse le dos, cambre-toi.
J’ignorais ce qu’il voulait mais j’obéis. D’abord par curiosité, ensuite parce que son ton n’invitait pas au dialogue. Je sentis le lit se soulever alors qu’il le quittait, et il partit de la pièce. Surprise, je restai en position. De là où j’étais, je ne pouvais rien voir. Il revint bientôt, me tir par les hanches pour me positionner au bord du lit, et il glissa en moi. La position était idéale pour une pénétration, et il saisit fermement mes hanches au moment où, d’un fort coup de hanches, il projeta son gland contre mon col. Son coup me coupa le souffle et j’eusse été projetée en avant s’il ne m’avait pas fermement retenue. Je ressentis une très légère douleur mais surtout un plaisir intense.
- Alors, tu aimes ça ?
- Oh oui !
- Tu en veux encore ?
- Oui !
Nouveau coup de hanches, aussi puissant. J’en tremblais de plaisir.
- Tu connais cette position ?
- La levrette ?
- Oui, et tu sais pourquoi ça s’appelle ainsi ?
- Parce que je suis positionnée comme une chienne ?
- Et tu aimes ça ?
Nouveau coup de hanches.
- Oui !
- Et tu aimes être une chienne ?
Coup de hanches.
- J’adore !
Je le sentis alors se pencher sur le côté, ramasser quelque chose posé sur le lit et revenir sur moi. Il passa autour de mon cou un collier de cuir. J’allais m’indigner lorsqu’il reprit ses mouvements, mais cette fois il les enchaînait à l’envie. L’orgasme vint vite, dura longtemps, et fut terriblement fort. Il finit par s’arrêter, me laissant pantelante.
- Je suis si fier de toi.
- Tu ne me réponds pas.
- Si justement. Je suis si fier de t’avoir qui j’ai envie de le faire savoir à d’autres.
- Oui mais, comme ça ?
- Et pourquoi pas ? Tu m’appartiens après tout.
Alors ça, ça n’avait jamais été stipulé dans le contrat. L’idée était pourtant assez attrayante. Il y avait là une sorte d’abandon, une façon de profiter tout en pouvant se dire que ce n’est pas notre faute, que nous ne sommes pas aux commandes. Je sentis ses mains descendre sous mes hanches pour saisir et peloter mes fesses. C’est fou comme ses mains pouvaient me faire de l’effet. Il commença à défaire le bouton de mon jean, puis il fit passer ses doigts sous la ceinture, saisit mon jean et ma culotte, et les fit descendre tous les deux d’un coup sur mes chevilles. Il se redressa pour m’embrasser à nouveau. Je profitai de ses baisers tout en tortillant mes chevilles pour me débarrasser du tissu qui les entravait.Vinrent ensuite mon pull, mon tee-shirt, mon soutif.
Je ne restais pas inactive pour autant, et avec une envie grandissante je me mis à défaire les boutons de sa chemise pour le déshabiller. Il m’aida et bien vite nous nous retrouvâmes tous nus dans ma chambre.
Pour la première fois je le regardai tout nu. Non, il n’était pas spécialement appétissant physiquement. Il y avait tout d’abord sa bedaine, trop grosse, sa pilosité trop marquée, et son âge commençait véritablement à se voir. Je n’eus pas plus de temps de l’observer : il me poussa et je tombai à la renverse, sur le dos, sur mon lit. Il vint s’allonger sur moi, se tenant sur les mains pour ne pas m’écraser. Son sexe trouva tout de suite son chemin et il glissa en moi sans plus de cérémonie. Il m’écrasait de son poids, de sa force. Ce n’était pas vraiment agréable cette fois. Je me sentais entièrement à sa merci. Il vint me peloter la poitrine tout en commençant un mouvement de vas et vient lent et ample. Même si mon coeur n’y était pas vraiment, mon corps, lui, réagit immédiatement. Je sentis le plaisir m’inonder et il me fit jouir sans difficulté. Lorsqu’il m’entendit crier de plaisir il s’arrêta et se retira. J’en voulais plus, j’étais frustrée à nouveau. Je grognais de le sentir se retirer alors que lui n’avait pas fini.
- A quatre pattes !
C’était un ordre, court et sec. J’obéis sans discuter.
- La tête contre le lit. Creuse le dos, cambre-toi.
J’ignorais ce qu’il voulait mais j’obéis. D’abord par curiosité, ensuite parce que son ton n’invitait pas au dialogue. Je sentis le lit se soulever alors qu’il le quittait, et il partit de la pièce. Surprise, je restai en position. De là où j’étais, je ne pouvais rien voir. Il revint bientôt, me tir par les hanches pour me positionner au bord du lit, et il glissa en moi. La position était idéale pour une pénétration, et il saisit fermement mes hanches au moment où, d’un fort coup de hanches, il projeta son gland contre mon col. Son coup me coupa le souffle et j’eusse été projetée en avant s’il ne m’avait pas fermement retenue. Je ressentis une très légère douleur mais surtout un plaisir intense.
- Alors, tu aimes ça ?
- Oh oui !
- Tu en veux encore ?
- Oui !
Nouveau coup de hanches, aussi puissant. J’en tremblais de plaisir.
- Tu connais cette position ?
- La levrette ?
- Oui, et tu sais pourquoi ça s’appelle ainsi ?
- Parce que je suis positionnée comme une chienne ?
- Et tu aimes ça ?
Nouveau coup de hanches.
- Oui !
- Et tu aimes être une chienne ?
Coup de hanches.
- J’adore !
Je le sentis alors se pencher sur le côté, ramasser quelque chose posé sur le lit et revenir sur moi. Il passa autour de mon cou un collier de cuir. J’allais m’indigner lorsqu’il reprit ses mouvements, mais cette fois il les enchaînait à l’envie. L’orgasme vint vite, dura longtemps, et fut terriblement fort. Il finit par s’arrêter, me laissant pantelante.